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TIMOTEI † si ce que tu as à dire n’est pas plus important que le silence, alors tais-toi.

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Il n’était pas venu après être sorti de la salle de bain, il avait préféré partir tout seul dans son coin comme à son habitude. Mais ça tu n’étais pas vraiment étonnée c’était Timoteï, soit il venait directement et il était tout câlin tout mignon. Soit il t’ignorait et là il avait choisis l’ignorance, cela arrivait beaucoup ces derniers temps. Tu le laissais faire et restait quelques minutes assise sur ton canapé avant de te décider à faire le premier pas. Tu passais la porte fenêtre avec ton verre et tu venais te posais sur les cuisses tendues de Timoteï qu’il redescendait bien vite de la balustrade. Tu le regardais pendant quelques minutes, tu pensais qu’il allait te faire un câlin comme d’habitude mais absolument pas. Le beau brun, venait te jeter sa fumée à la figure en t’envoyant littéralement chier. Tu posais ton verre sur le sol en rigolant doucement. « Bourrée ? Mais pas du tout j’ai bu deux verres je pensais que je tenais un peu plus l’alcool quand même. » Tu riais pensant que ça allait le faire rire mais pas du tout, il te disait même d’aller te coucher mais dans ton lit, pas dans le sien, car sinon tu risquais de déguerpir très très rapidement. Tu te sentais légèrement mal d’un coup. Tu baissais doucement les yeux. « Mais… Mais tu as besoin de moi. J’ai pas envie que tu sautes du balcon après tu vas plus jamais revenir. » Tu le regardais doucement avec cette mine de petite fille qui se rend bien compte qu’elle a fait une grosse grosse bêtise. Cette petite fille que tu es voudrais se faire pardonner mais elle ne savait pas vraiment comment. « M’en veux pas. Tu sais très bien que je suis énervée mais que je t’aime quand même hein ! » Tu jouais doucement avec tes doigts en regardant ton colocataire.
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Je n'avais pas honte, non, loin de là. Je ne me rendais même pas compte comme j'étais froid avec elle, comme je pouvais être blessant et limite méchant. J'étais dans ma bulle, j'étais totalement déconnecté du monde. Je ne voyais que ce qu'elle m'avait fait, plus les histoires à Las Vegas. Cela m'énervait et du coup, elle était la seule présente et elle ne lâchait pas l'affaire. Décidant de me pousser à bout, ce qui n'était pas toujours la bonne solution. J'étais de nature violent, je savais me contrôler, mais parfois je pouvais me montrer brut. La pousser ou autres, pour moi ce n'était pas forcément fort, mais pour elle, si. C'est pourquoi, j'avais décidé de me contrôler, de me calmer, de respirer et penser à autre chose. Je n'avais pas envie de la blesser, de l'offenser, j'avais juste envie d'avoir la paix. De pouvoir ressentir l'effet de cette douce drogue dans mon système. Au moins, après ce petit joint, j'allais être plus calme, même peut-être un peu trop. J'aspirais une dernière fois cette fumée dans ta bouche, dans ta gorge pour au final la laisser s'échapper seulement quelques secondes plus tard. Une fumée blanchâtre qui se dissipait dans l'air pur, j'écrasais le mégot dans le cendrier qui était posé juste à côté de mon siège. J'avais déjà tout prévu, en effet je n'avais pas envie de retrouver des mégots partout sur le balcon, un peu de propreté ne faisait pas de mal. Elle n'était pas bourrée, mais elle ne voulait pas pour autant aller se coucher. Elle avait beau faire ses petits yeux de chiens battus, rien n'allait me faire changer d'avis. Je posais ma main sur sa cuisse et je fermais les yeux, appuyant ma tête contre le mur. J'avais l'impression de planer, de voler, l'effet commençait à se montrer petit à petit. Je retenais seulement quelques mots et je n'allais pas les laisser s'envoler comme ça. Je n'ouvrais pas les yeux pour autant, je laissais ma main ou elle était, ma tête posée et je sifflais « Je sais que tu m'aimes, ce n'est pas nouveau. » une rapidité impressionnante et quand je rouvrais les yeux, au début tout ce qui était autour de moi était légèrement flou. Mais ma vue revenait petit à petit, laissant mes yeux vitreux, rouge... Comme d'habitude, pour ne pas changer.
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Tu étais allée trop loin et comme toujours c’était maintenant que tu t’en rendais compte. Une fois que la merde était bien foutue, tu allais comme à ton habitude te faire pardonner auprès de la personne. Sauf que Timoteï ce n’était pas un pigeon comme les autres et il savait te montrer que tu étais allée trop loin. C’est aussi ce que tu appréciais chez lui c’est qu’il ne te laissait pas faire tout et n’importe quoi puis t’en sortir comme si de rien n’était. Tu venais donc vers Timoteï, tu te posais sur lui et tu attendais qu’il te pardonne mais tu allais en chier et ça tu le savais dès ces premières paroles. Tu tentais tout, les yeux de chiens battus, l’air de la petite fille désolée mais rien. Il déposait juste pour finir une main sur ta cuisse pour ensuite fermer les yeux sans un mot. Et puis, les minutes passaient et il sortait quand même sa petite phrase qui allait te tuer. En effet, tu lui avais dit que tu l’aimais et il te disait qu’il le savait que ce n’était pas nouveau. Tu souriais doucement, venant te coucher sur lui, tu déposais ta tête sur son torse. « Mais toi aussi tu m’aimes sauf que tu ne le sais pas encore. » Tu riais doucement en fermant doucement les yeux, ta tête toujours posée sur le torse de Timoteï sans dire un mot puisque c’est ce qu’il voulait.
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« Possible » laissais-je glisser entre mes lèvres. Je n'avais rien trouvé de mieux à dire, à part ce simple mot qui voulait tout dire et à la fois rien. Je laissais donc un doute planer entre nous deux, comme d'habitude, cela ne changeait pas. J'avais fermé de nouveau mes yeux, c'était certainement mieux ainsi. Elle allait en faire de même à force de parler dans le vide sans vraiment de réponse. D'ailleurs, cela ne loupait pas, elle s'était allongée contre mon torse, sous sa couverture telle une gamine de quelques années. Je ne disais rien, de toute façon je ne savais pas quoi dire. À part la porter et l’amener jusqu'à sa chambre comme les enfants. La bercer aussi ? Il ne fallait pas abuser tout de même. Mais, je restais ainsi pendant plusieurs minutes, des longues minutes. J'appréciais sa compagnie malgré nos petites embrouilles. Je ne voulais pas l'avouer, mais ça me faisait un bien immense de la retrouver et de l'avoir dans mes bras. Mon cœur battait rapidement et fort, et elle devait certainement l'entendre ou le sentir. Je m'amusais à lui caresser la cuisse pour la chatouiller ou même lui faire des frissons. Peut-être que j'allais pouvoir bientôt rentrer pour me vautrer sur mon lit ? Il m'attendait, il était en train de m’appeler, en effet j'étais cuit, j'étais crevé. Les heures de route m'avaient tout simplement achevé.
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Timoteï n’était vraiment pas dans son assiette ce soir. En règle générale oui il te fait la gueule mais jamais à ne plus te parler du tout enfin c’était arrivé que très rarement et quand cela arrivait c’était assez tendue et tu n’aimais vraiment pas ça. En règle général, tu fermais ta bouche et tu partais dans une autre pièce mais là tu avais décidée de rester. Tu posais ta tête contre le torse du jeune homme et tu fermais les yeux quelques instants. Eh oui ! Ta nuit avait été perturbée par ce retour inespéré. C’était un retour tendu mais en même temps tu étais heureuse de te retrouver là dans ses bras. Ça t’avais manqué ces petits moments quand même et ton corps te le faisait ressentir. Tu étais paisible, tu étais bien et en même temps tu te sentais vraiment en sécurité. C’était con mais maintenant qu’il était là, tu pourrais aller dormir tranquille dans ton lit mais malheureusement pour lui ta nuit tu la continuait poser sur lui jusqu’à ce que ses doigts posaient sur ta cuisse venaient te caresser doucement, ce qui te fit frissonnais au début mais plus il continuait et plus ça se transformer en chatouille. Tu émettais quelques petits rires jusqu’à ce que tu ouvres les yeux. « Mais j’étais bien moi ! » Tu décalais sa main afin de te redresser. « Il fait froid dis-donc ! » Tu te levais, tu remettais ta couette sur les épaules et tu rentrais telle que tu étais venue. Avant de passer le seuil de la porte fenêtre tu te retournais. « Tim, je peux venir me coucher un peu avec toi après je retourne dans ma chambre promis ! » Tu lui souriais d’un air enfantin espérant qu’il dise oui.
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Même si je lui en voulais, elle arrivait toujours à me faire changer d'avis. Elle arrivait toujours à se faire pardonner, elle était ce petit bout de femme qui me manquait dans ma vie. Personne ne m'avait parlé de mon passé, personne ne voulait me dire ce qui s'était réellement passé. Je savais juste que j'avais perdu ma petite amie lors de la bombe, mais je n'avais rien ressentit. Perdre la mémoire, m'avait permis de tourner la page et d'avancer. Et j'avançais en sa compagnie, j'avançais avec cette jeune femme. Malgré son caractère et le mien, malgré les disputes et les fortes engueulades. Je restais soudé à elle, comme si elle était devenue une personne très importante pour moi. Je lui caressais doucement la cuisse, sentant chaque frisson et d'un seul coup, la jeune femme se relevait doucement. Ronchonnait légèrement, un léger sourire sur mes lèvres comme d'habitude. Je ne répondais rien, je plongeais mon regard dans le sien. Malgré l'effet de la drogue, même si je n'avais pas toute ma tête, elle était magnifique. Et pour rien au monde je changerais de colocataire, même si parfois je ronchonnais contre elle. Elle se levait, remettait correctement sa couette sur les bras et marchait en directement de l'intérieur. Elle n'avait pas tort, il ne faisait pas tellement bon. J'attrapais le cendrier que je déposais sur la petite table et déposais mon téléphone au fond de ma poche de téléphone. J'avais du mal à marcher, j'avais certainement chargé un peu trop ce petit joint du soir. Enfin du matin puisqu'il était tôt à présent. J'entrais doucement dans l'appartement, fermant la fenêtre à double tour et appuyais sur un bouton et les volets descendaient. Je posais mon regard sur la jeune femme, avec sa bouille de gosse. « Si tu veux. » lâchais-je désespéré, je ne pouvais pas refuser sa présence. Elle le savait et elle en jouait, mais je ne pouvais pas lui en vouloir. Je marchais en direction de ma chambre et une fois dedans, j'allumais la petite lumière de chevet. J'enlevais simplement mon pull et je m'allongeais sur le dos. Ce lit m'avait manqué pendant mon long séjour. Tout comme cette princesse barbie.
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Son arrivée avait était houleuse, vous vous étiez engueulés mais ça c’était un peu votre quotidien. Vous vous engueuliez pour mieux vous retrouver après et cette fois-ci ne faisait pas exception à la règle. En effet, tu avais eu du mal à avoir ne serait-ce qu’un sourire de la part de Timoteï mais une fois que tu t’étais mise dans ses bras tu te sentais bien. Et Timoteï aussi se sentait bien et il te le faisait savoir par quelques caresses sur ta cuisse. Tu ne réagissais pas au début mais quand ses caresses se transformèrent en chatouille tu étais obligée d’ouvrir les yeux en ronchonnant et c’est là qu’il te décrochait son premier sourire depuis son arrivée. Tu lui souriais aussi sans lâcher ses prunelles et puis tu décidais de rentrer et Timoteï t’emboitait le pas. Apparemment lui non plus n’avait pas très chaud. Tu te retournais une dernière fois vers ton colocataire avec tes yeux de merlan frits pour lui demander si tu pouvais passer un peu de temps avec lui dans son lit mais ne pas y dormir. Il soupirait mais il finissait par accepter. JACKPOT, GAGNEE ! Tu aurais bien entamée une petite danse de la victoire mais tu étais bien trop fatiguée pour ça et Timoteï se serait encore foutue de ta gueule. Tu ne préférais donc rien faire, simplement te dirigeais vers la chambre de Timoteï. Tu arrivais la première et sans même allumer la lumière, tu te laissais tomber sur son lit, trouvant bien vite ta place habituelle sous sa couette. Tu restais pourtant bien emballé dans la tienne et souriait. Tu regardais ton colocataire avachis à côté de toi. « Il doit se passer des choses bizarres dans ta tête, je n’ose même pas imaginer. » Tu déposais un baiser sur sa joue. « Eh bonne nuit hein ! » Tu te retournais trois quatre fois avant d’exploser de rire mais en te retournant vers Timoteï il ne semblait pas avoir décroché. Tu venais alors poser ta tête près de la sienne et fixer dans la même direction que lui. « Maintenant que les tensions se sont apaisées tu veux m’en parler ou pas du tout ? » Tu étais douce, calme et tu étais même prête à l’accueillir en pleurs dans tes bras.
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J'avais du mal à tenir debout, mais si ce n'était que ça, ça serait pas mal. Mais non, j'avais l'impression de voler, comme les petits oiseaux. Doucement, mais sûrement, c'est pourquoi en peu de temps je m'étais déplacé jusqu'à ma chambre pour pouvoir m'allonger correctement. M'allonger et penser, penser à quoi ? Bonne question, certainement a la première chose qui allait passer dans mon cerveau totalement en explosion. J'étais déchiré, mais bien contrairement aux autres fois. J'enlevais mon pull sans trop de mal et je me laissais tomber à côté de la belle sur le lit, la tête sur l'oreiller, je fixais le mur sans bouger. Du moins, quand celle-ci fit genre de dormir, j'avais posé mon regard sur elle. Je savais, pertinemment qu'elle allait finir sa nuit dans mon lit et non dans le sien. Mais, je n'allais pas la virer, elle me portait compagnie et c'était ça que je voulais. Même si je ne voulais pas l'avouer, je voulais qu'elle soit près de moi. Je ne voulais pas la voir avec un autre mec, je ne voulais pas entendre ses ébats avec encore un Mather ou je ne sais qui. Elle n'avait pas besoin d'eux pour s'amuser, elle n'avait pas besoin d'eux pour vivre. Du moins, c'était ce que je pensais. Un vrai jaloux, j'étais horrible et je le savais. C'est pourquoi, je gardais toujours tout au fond de moi. Elle m'enlevait de mes pensées, ce n'était pas si mal que ça. « Oui, totalement. » répondais-je tranquillement. Elle n'avait pas tort, il y avait tellement de choses dans cette tête, un peu de joint et voilà que tout était dans le désordre, totalement tout. J'avais l'impression que chaque chose volait autour de moi et c'est pourquoi, j'éteignais la lumière. Il faisait nuit et ça me permettait de reposer mes doux yeux. Elle voulait parler du drame, cela lui tournait dans la tête depuis la salle de bain ? En tout cas, j'avais presque oublié cette histoire, je disais bien presque. « Tu sais, je ne me souviens de rien. À part de mon réveil. Une bague, une robe de mariée et un costard. Une blonde dans mon lit. Une journée horrible à traîner limite un boulet à mon pied. Bref plus qu'à attendre les papiers... » répondais-je, j'avais limité envie de rire à la vision du boulet. Mais, je préférais oublier cette journée et passer une bonne nuit avec blondie. C'est pourquoi je m'étirais et la poussais pour prendre un peu plus de place. « Putain, tu as pris combien de kilo pendant mon voyage ? Tu prends une de ces places. » lâchais-je de vive voix.
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Tu avais réussie et honnêtement tu en étais fière. Tu étais fière de l’avoir fait craquer avec tes beaux yeux et ta jolie chevelure blonde. Timoteï avait décidé d’accepter ta compagnie pour quelques heures mais tu savais que tu allais finir par dormir dans son lit, car tu aurais la flemme de sortir de sa chambre, tu serais trop bien avec lui pour partir. C’était vraiment bizarre que sa simple compagnie te fasse autant de bien et t’apaise autant. Tu étais donc partie directement vers la chambre de ton colocataire pour te mettre aussi vite possible sous ses draps. Tu le regardais pendant de longues minutes alors qu’il ne réagissait à rien du tout. Tu n’aimais vraiment pas le voir comme ça, parce que même s’il pouvait paraître froid ou autre chose. Avec toi il était plus souvent plein de vie ou plein de sang mais jamais il était comme ça inerte, même le plus défoncé il n’était pas tel un déchet sur une place publique. Tu venais donc déposer ta tête près de la sienne et tu fixais toi aussi le mur, tentant d’en savoir un peu plus sur ce qui c’était passé à Las Vegas. Tu souriais lorsqu’il parlait de boulet blonde, tu en pouffais de rire même. « Les boulets sont toujours des blondes et je suis bien placée pour le dire ! » Tu riais à nouveau avant que Timoteï n’étende ses bras pour avoir plus de place, t’annonçant même que tu avais pris quelques kilos. Tu t’écartais de lui pour le regarder. « J’ai bien dû comblée ton absence comme je le pouvais ! » Tu haussais les épaules en te retournant pour te mettre dos à lui, le poussant avec ton cul, quitte à ce qu’il tombe du lit, tu voulais te venger.
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Je me retournais près d'elle, mon visage était à seulement quelques centimètres du sien, je sentais sa respiration, et elle sentait la mienne. Il faisait nuit, il faisait sombre, mais grâce à quelques filets de lumière, je pouvais voir vaguement ses yeux. Il n'y avait que nous deux pour s'entendre aussi, d'être aussi proche sans être en couple. Je ne voulais pas la perdre malgré nos sauts d'humeur, je voulais la garder simplement pour moi et personne d'autre. Je ne voulais pas la partager, je ne voulais pas la voir s'éloigner. Bien sûr, tout ce que je désirais n'était tout simplement pas possible. C'était une jeune libre comme le vent, faisant ce qu'elle désirait de sa vie sans se soucier des autres. Elle était comme moi, mais au féminin. Elle ne se prenait jamais la tête pour des conneries, elle laissait couler. Mais, elle savait parfois quand elle allait trop loin, ce que je ne savais pas faire. Elle était ce genre de personne que j'aimais, que j'appréciais. Je m'attachais à elle de plus en plus et c'était ça qui me faisait peur. Je n'avais pas envie de connaître l'amour, je n'avais pas envie de souffrir pour de telles sottises. L'amour détruit tout, je préférais l'amitié. Une belle et longue amitié. Je déposais mes lèvres sur son front, un baiser de protection. Je sentais sa peau contre mes lèvres, je souriais. Oui, je souriais, pourquoi ? Je n'en savais rien, mais là, à ce moment, j'étais heureux et elle arrivait même à me faire oublier cette douleur que j'avais depuis cet accident. Elle me faisait rire, ma femme était un boulet, mais elle, ne l'était pas. Je posais ma main sur sa joue pour la caresser et dire calmement « Elle l'est, mais toi tu ne l'es pas. Il ne faut pas mettre toutes les blondes dans le même sac. » Je n'avais pas tord, elles n'étaient pas toutes chiantes ou autre. Grace, était certainement l'unique blonde intelligente. Je me mettais à rire de plus belle, pinçant au passage le ventre de ma colocataire « En effet, le chocolat, ça y va ! » laissais-je glisser entre mes lèvres. Elle me poussait avec son postérieur, avec une force impressionnante. Mais avant même de tomber, je me relevais rapidement du lit pour me placer juste au-dessus d'elle. Je venais de la coincer, elle était sous mon emprise. « Rattrapons tout ce temps perdu, si tu le veux bien sûr. » répondais-je doucement.
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