Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(Flasback) Et on se rends compte à quel point nos vie sont importantes (KOMAY)
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(Flasback) Et on se rends compte à quel point nos vie sont importantes (KOMAY)

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J'ai... quelques souvenir seulement de ce soir là. Je me suis faite percutée par une voiture, c'est tout ce dont je me souviens... et aussi la voix de Koray qui avait eu peur pour moi, des sirènes de l'ambulance qui approchait de l'endroit où j'avais eu mon accident... des cris des passants qui étaient présents, mais surtout de la main de Koray dans mes cheveux...

J'avais mal, le genre de douleur qui vous donne envie de crier, le genre de douleur qui vous dit que malgré tout vous êtes encore vivant après avoir été percutée par une voiture... je n'osais pas imaginer ce qu'aurait été la vie de Koray si jamais au lieu de survivre j'aurais succombé au blessures et si elles m'avaient achevées... C'aurait été égoïste de ma part de mourir maintenant, surtout après la promesse que le jeune homme m'avait faite. C'est une larme qui perla sur ma joue qui me fit réveiller en sursaut, un peu trop brutalement parce que mes douleurs se réveillèrent... je devais avoir des côtes cassées, au moins... Je regardais dans la pièce autour de moi et cherchais du regard Koray... où était-il ?
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Le geste est devenu automatique à force. Je vais à la machine à café, y mets quelques dollars et prends mon café long. Je dois avoir une tête à faire peur, mais c'est bien le cadet de mes soucis. Ça fait quatre jours que je vis presque à l'hôpital, près de May, fou d'inquiétude, ne passant chez moi que pour prendre des douches, rapides, mangeant à peine, et revenir dans sa chambre d'hôpital. C'est au bout de deux longs jours après l'accident, qu'on a annoncé que son état était stable, et que j'ai pu me détendre un peu.
Je suis resté au chevet de May en guettant le moindre signe de vie de sa part, sans succès. Je me sens complètement apathique depuis son accident et je n'ai qu'une envie, c'est de la voir se réveiller. Je reviens dans sa chambre d'un pas lent, et je reste interdit en la voyant réveillée, alors que j'ouvre la porte.
Je pose mon gobelet sur une table, et coure la prendre dans mes bras. Je lui embrase les deux joues et remarque qu'elle pleure, je sens les larmes qui me montent aux yeux et essaie de les retenir en « C'est fini, tu es réveillée May, je suis là...»  Je souris de plus belle. Je suis heureux, surpris, soulagé, et j'arrive à peine à décrire  ce que je ressens.  

 
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Dans cette pièce il fait beaucoup trop sombre, je me sens perdue, désorientée, je reconnais que trop bien l'odeur de cet endroit, je reconnais que trop bien cette blouse blanche qui est sur moi, je reconnais cette pièce... Je panique, je ne peux pas croire que je me retrouve ici, une fois de plus, une fois de trop... je pleure, je ne vois même pas Koray, combien de jours sont passés depuis mon black out ? Puis une porte s'ouvre, peut-être une infirmière, mais non, je reconnais cette silhouette... et quelques secondes plus tard je me retrouve dans les bras de Koray... Mon coeur fait un bond dans ma poitrine, je pleure encore plus...
"Koray...J'ai cru que...que c'était fini pour moi... j'ai eu si peur..." Je restais dans ses bras, là je voulais plus être séparée de lui... c'était juste impensable...
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Je l’entends parler et ça me soulage d’un poids ; La fatigue et l’abus de caféine aidant, il y a encore un instant j’me serai bien cru en plein rêve éveillé. Mais non, May est plus ou moins en bonne santé, et surtout, réveillée. Je la serre à nouveau dans mes bras et lui dépose un baiser juste sous la tempe. Je me sens tellement coupable. J’ai pas arrêté de penser à ce soir là quand je l’ai vu retomber violemment sur le bitume sans n’avoir rien pu faire. J’aurais dû la retenir, j’aurai dû être plus prudent, mais j’suis resté là, hébété, comme un con, à la place. Je lui caresse les cheveux et la berce doucement.
« J’ai eu peur moi aussi, May,  mais tu n’as plus rien à craindre, tu es vivante et tu vas bien, c’est tout ce qui compte. » Je lui prends le visage entre mes mains et plante mon regard dans le sien.  « J’en mourrai s’il devait t’arriver quelque chose, d’accord ?»
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Je culpabilisais terriblement, je ne savais pas ce qu'il m'avait pris ce soir-là à faire la folle sur la route alors que j'étais complètement raide. Je savais que c'était risqué, j'avais vu la voiture arrivée mais je n'avais pas eu le réflexe de l'esquiver... J'avais eu le temps, mais mon corps avait refusé de bouger ce soir-là... Je culpabilisais tellement que lorsque Koray m'embrassa sur la tempe je me sentais... apaisée, peut-être à cause de la morphine ou bien c'était lui qui me faisait cet effet... Je fermais les yeux, appréciant ce geste, j'aurais pu presque en frissonner, mais j'avais bien trop chaud pour ressentir des frissons. Puis Koray devenait plus sérieux dans ses paroles, je ne savais pas comment réagir face à tant de sérieux venant de lui, tout ce que je pouvais faire c'était rougir comme une idiote...

"Dis pas ça... tu sais pas à quel point je culpabilise déjà... J'aurais pas dû boire autant, j'aurais pas dû aller sur la route... surtout que j'aurais pu avoir le temps d'esquiver la voiture, mais mon corps refusait de bouger..." fis-je en recommençant à trembler...
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 « Chut, c'est terminé maintenant, essaie de ne plus y penser.  »Je prends ses mains dans les miennes et lui sourit. Malgré toutes ces inquiétudes, je suis plus heureux qu'autre chose. Quelque chose de plus grave aurait pu arriver, mais ce n'est pas le cas.
« Je suis tout aussi fautif. C'est moi qui t'ai proposé de sortir, qui t'ai encouragé, et j'aurai pas dû te laisser boire autant. À l'avenir, j'essaierai d'être un « Grand frère» plus responsable que ça.  »

Ces derniers jours hormis l'accident, je n'ai eu que quelques souvenirs de notre virée en boîte. Etant donné que j'ai passé ma gueule de bois à l'hosto, je me demande encore si tout était réel, si je lui ai bien dis ce que je pense lui avoir dis, et si même elle s'en rappelle. Je me sens mal à l'aise, à me tenir aussi près d'elle, quand je pense à ce qui s'est passé. Si elle s'en rappelle, elle ne laisse rien paraître, et me lève.
 « Tu dois avoir faim, tu veux que j'aille te chercher un truc? »


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Je me souvenais de tout ce qu'il m'avait dit le soir où on était allés en boîte tous les deux, je m'en souvenais parfaitement et l'entendre me dire qu'il agirait plus comme un grand frère, fit apparaître un sourire triste sur mes lèvres. Je ne préférais pas répondre à ça et effectivement mon ventre gargouillait. Je rougissais, mais heureusement que la pièce n'était pas bien éclairée, mais je ne voulais pas me retrouver seule dans cette chambre. Je le retiens par le pan de sa veste, la tête baissée, alors que mes larmes reviennent "Pars pas... me laisse pas toute seule, j'aurais trop peur que tu ne reviennes pas..." C'était égoïste de ma part, mais j'avais besoin de lui, d'me sentir protégée par lui aussi...
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Je fonds en entendant sa petite voix et reviens m'asseoir auprès d'elle. Je me sens immédiatement stupide d'avoir voulu poser une distance entre nous deux aussi soudainement et pose sa tête contre mon épaule. Je trouve ça dingue de voir comme May a la capacité de me faire changer d'avis en quelques secondes. Moi qui suis si obstiné. Voilà que je me trouve incapable de résister à sa petite bouille. Je n'ai jamais pu, mais je sais qu'aujourd'hui c'est quelque chose de différent que je ressens. Nos regards se croisent et j'hésite à aborder le sujet. Les pensées fusent dans mon esprit et je dois en être sûr.  « Tu sais, tout ce que j'ai dis, ou fait, avant l'accident... » Nous sommes encore une fois très proches l'un de l'autre et mon regard se fixe sur ses lèvres. Mais je détourne rapidement la tête en espérant qu'elle n’ait rien remarqué. Le moment est mal choisi, elle vient à peine de se réveiller, et elle doit sûrement encore penser à Owen, je n'ai pas tellement le droit de lui faire ça.
 « Je suis désolé si j'ai pu te brusquer, tu devrais pas y faire attention. »
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Je suis incapable de le laisser partir, il a toujours été là pour moi, je sais qu'il sera toujours là quand ça ira mal, mais ce serait trop égoïste de le faire patienter pendant trop longtemps... Même moi je ne savais pas ce dont j'avais envie, puis ce serait nul si finalement je le rembarrais... Mais j'n'en avais pas envie, pas maintenant, j'avais trop besoin de lui, peut-être pas pour l'éternité, mais au moins partager un moment de bonheur avec lui, que ce soit notre moment à nous.
Finalement il reste avec moi, et commence à me parler, à me dire que je ne devrais pas faire attention à ce qu'il m'a dit ce soir là en boîte, qu'il n'avait pas voulu me brusquer ou quoi... Je refuse d'y croire, parce que c'était à lui que j'avais pensé dès que j'avais ouvert les yeux et pas à un autre, pas à Owen... "Arrête... t'as pas le droit de me dire ça. Quand...j'ai été percutée, c'était à toi que je pensais, quand j'ai ouvert les yeux c'était encore à toi que j'ai pensé... J'étais paniquée de ne pas te voir dans la pièce tu sais... Je tiens tellement à toi que ça me fait mal au coeur..."
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Je ne sais pas quoi penser en l'entendant dire ce qu'elle dit, et c'est un peu le chaos dans ma tête. Je me contente de sourire et de lui faire un bisou sur le front en la serrant contre moi. Je tiens à toi aussi, tu sais. Les mots quittent presque ma bouche mais je me retiens. C'est comme quand j'avais onze ans et que j'hésitais à me jeter du plongeoir de 3 mètres chez mon oncle. J'étais sûr d'une chose; si je ne sautais pas, j'allais immédiatement le regretter, mais la peur du vide me retenait. Je finissais toujours par sauter, plus par fierté qu'autre chose.
L'allégorie me fait sourire et je reviens sur terre. J'étais plus courageux que ça, qu'est-ce qui est arrivé entre-temps?
 « Je suis là maintenant, je ne te quitterais plus.»

Je me redresse et la fixe à nouveau, l'air sérieux.
 « Je sais que c'est un peu compliqué pour toi en ce moment, mais je suis sérieux quand je dis que je ne veux plus te quitter. Et j'attendrai s'il le faut.»

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