SHALEO ಇ azy moque toi *fuck*.

Évidemment qu'il était célébre, plus célébre que lui tu meurs. Mais pas le temps de débattre sur la prétendue célébrité du jeune homme que déjà la blonde réagissait face à ... l'absence de réaction de Leo. Quoiiii, après elle allait se plaindre que les sentiments c'était de la merdouille en boîte, qu'elle allait se jeter d'un haut d'un caillou ou une autre connerie de ce genre totalement Sharon. Et ben n'en déplaise à Sa Majesté, le manque c'est un sentiment. Halberstam agissait en bon coach de vie là, elle devrait le remercier au lieu de le torturer. Elle monta sur lui comme elle montait à poney, lui écrasant la rate et le gros intestin au passage la brute, avant de lui voler ses bras pour les bloquer. Évidemment Leo se cogna la tête parterre, il allait pleurer dans trente secondes quand elle commença sa séance de chatouillage absolument insupportable. Il avait lu un jour un article – oui il lisait des articles, dans des journaux sérieux je vois pas ce qui CHOQUANT, merde à la fin – que les chatouillements étaient apparentés par le cerveau à une forme d'attaque corporelle et que cela déclenchait les mêmes hormones que pour une très forte peur, ce qui enclenchait le mode instinct de survie. C'est d'ailleurs le discours qui lui sortit en se tortillant pour se débattre. « Arrête sinon l'animal en moi va ressortir je vais te mordre, te griffer, te jeter au sol … » A ce stade là, elle devait être en mode 'ooooh oui Leoooo fais ça, comme avant qu'on était bien ensemble comme tu me manques Leochouuuu' ou alors elle comprendrait le sens scientifique de tout ça mais il en doutait fort. Il s'arrêta d'un coup de bouger. « Allez, on arrête les bêtises, descends, je voudrais pas que tu te fasses mal tu sais. » Niveau modes de persuasion, Leo avait du boulot aussi.