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VADE RETRO SATANAS ❋ CALYPSO

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Il voulait pas en rajouter une couche, mais si quand il la cherchait son unique punition était de l'embrasser ou qu'elle attise son machin, il avait envie de lui rire au nez, il y avait pire comme torture. Certes s'en était de la torture, parce qu'elle était exercée par Calypso Thomspers, et parce que cette fille était le Diable incarné. C'était plus fort que lui, il pouvait pas, il la supportait mieux, mais toujours pas assez pour aimait sa photo de profil sur Facebook. Ok, peut-être qu'il l'avait aimé mais son doigt avait dérapé. « J'adore quand t'es gentille, je pourrais presque t'apprécier quand tu fais pas ta chieuse. » Il ricana avant de reprendre rapidement leurs baisers échangés presque avec passion, ah si Calypso n'était pas Calypso la donne changerait. Mais comme elle était chiante, une éternelle insatisfaite, elle pouvait pas avouer qu'elle prenait son pied là et que c'était déjà pas mal qu'il soit en train de sécher les cours pour l'embrasser ? Hého, déjà que ses notes ne volaient pas haut, il était en train de prendre le risque de ne pas avoir son année pour lui faire plaisir, à elle, elle avait conscience de l'énorme sacrifice qu'il faisait ? Bon c'était pas comme s'il avait prévu d'aller en cours pour de vrai, mais merde ! « T'en as pas marre de te plaindre ? Enjoy life. » Il leva les yeux au ciel avant de se laisser déshabiller, juste pour lui faire plaisir, voilà il était gentil. Lui c'était un vrai gentil, un vrai de vrai. Caly gentille ? Que dalle, elle était nulle dans le rôle de gentille. Il l'écouta lui faire un nouveau sermon, oui bien sur, comme s'il avait besoin d'elle pour se déshabiller, il était assez grand pour le faire tout seul, du haut de ses vingt-deux ans il sait défaire des boutons de chemise hého. Il hocha la tête, comme s'il l'écoutait et approuvait et le plus sérieusement du monde – parce qu'il avait déjà joué dans une production scolaire ET dans le rôle titre. « Mais oui Caly chérie je t'adore plus que tout. » Leo la regarda pendant qu'elle parlait, c'était assez frustrant, il voulait bien reprendre leur mixage de bave, pourquoi parler autant alors qu'ils avaient bien mieux à faire ? « Moins vite tu te rappelleras, moins vite je pourrai déterminer la goût exacte de ta bave. » Phrase de lover, si avec ça elle craquait pas il comprenait pas. Fin dans l'immédiat c'est son pantalon qui allait craquait. C'est clair que mini-Leo était beaucoup plus excité par Calypso que Leo tout seul. Sans réduire la distance entre eux deux, il voulait pas priver son truc de son petit plaisir du jour. « Hum fais pas attention à lui, dans mon pantalon, il est facilement excitable. » Pendant qu'il parlait, ses mains se frayaient un chemin sous le tee-shirt de la blonde, cherchant quelque chose de sympa à toucher. Ah trouvé.
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Genre il croyait que j’étais gentille en ce moment, il était fou ce garçon, vraiment sa folie tendait vers l’infini si ce n’est plus (bon, ça n’existe pas, mais qu’importe). Mais il commençait à me faire des compliments, certes ils n’étaient pas dit de manière explicite mais je voyais la lueur dans ses yeux, il m’aimait bien le filou. D’un côté comment ne pas m’aimer. Malheureusement c’était une affection à sens unique… ou pas, mais j’avais trop de fierté pour me l’avouer. Et bien qu’est-ce que ça va être le jour où tu vas m’apprécier dis-je en exerçant une action légèrement plus forte à l’aide de ma jambe droite. Je pouvais sentir que la pression qu’exerçait la chose en dessous de son pantalon devenait de plus en plus forte. Finalement, on arrivait toujours à la même conclusion : il ne pouvait me résister, vraiment pas. Et le pire, c’est que j’adorais ça, mais j’adorais aussi l’embrasser, et sentir… qu’il était réceptif un minimum. Bon là, on avait dépassé le stade du « minimum », heureusement. Mais il arrivait toujours à tout gâcher en me critiquant, à croire que c’était son passe-temps favoris, comme si c’était moi qui me plaignais le plus, un vrai comique je vous le disais ! Seulement ses blagues n’étaient pas drôles, comme ses paroles, qui n’étaient pas très crédibles. Toute sa personne n’était pas crédible en fait. Il voulait jouer les forts, l’irrésistible étudiant, mais derrière cette façade de carambar au caramel (vous voyez, cette chose immangeable, par sa dureté), se cachait une guimauve, une vraie. Ta gueule Halberstam dis-je en collant mes lèvres aux siennes, je déposais un baiser dans son cou avant de reprendre sa bouche d’assaut, histoire qu’il n’essaye pas encore de me parler anglais, il avait un terrible accent le pauvre. Puis, il me prenait pour une gamine, m’écoutait avec un air d’imbécile, bref, il voulait me prendre pour une andouille. C’était pas comme ça qu’il fallait me prendre à moi. Enfin pour l’instant il n’allait pas me prendre tout court, s’il pensait que c’était aussi facile de mettre la déesse Calypso dans son lit, il pouvait retourner au sopalin. T’es insupportable tu sais ? lâchai-je dans un baiser. Mais ses avant dernières paroles dessinaient un léger sourire sur mes lèvres, je le regardais un instant avant de répondre. Ne le détermine jamais. Puis je plantais ma langue dans sa bouche, déplaçant mes mains dans ses cheveux. Puis un rire discret s’échappait de mes lèvres, comme si je n’avais pas remarqué ce qu’il se passait là-dessous. Maintenant une question se posait, qu’allais-je faire ? Le torturer encore plus ? Oh que oui. Le pauvre, on ne va pas le laisser tout seul alors dis-je avec faisant la moue, puis je me mordais délicatement la lèvre. Ma main lâchait ses cheveux pour descendre jusqu’à sa ceinture que je décrochais lentement, je ne lâchais pas son regard. Puis, ma main se frayait un chemin jusqu’à son deuxième cerveau, j’enroulais mes mains autour et reprenais la parole. Qu’est-ce que tu en penses ? demandai-je. Si quelqu’un que je connaissais passait par ici, j’étais morte.


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Ok, il allait se taire, elle verrait bien assez rapidement combien on s'ennuyait quand il parlait pas. Mais c'est bon, il râla pas non plus parce que l'activité qu'elle lui proposait en compensation de son interdiction de parler lui convenait parfaitement, ça c'était un vrai contrat érigé dans les règles de l'art. Se taire contre profiter pour un délai plus ou moins long des compétences en matière de roulage de pelles de Calypso, il trouvait ça passable. Il commençait à sérieusement s'habituer à la langue de la blonde, si bien qu'il fut prit de panique, genre si plus jamais il arriver à embrasser une fille sans automatiquement comparer avec elle, c'était flippant non ? Elle était quand même sacrément douée la garce. Et encore pire, le jeune homme la désirait complètement à cet instant précis (cf à ce qui se passait dans son pantalon) chose qu'il pensait improbable. Une fois c'est une bêtise, un accident, un moment de faiblesse, voilà une fois, on peut mettre ça sur le coup de la frustration de pas avoir touché une fille depuis un certain temps, mais deux fois ça commençait à faire souvent. Sa main se bataillait avec son soutien-gorge, bon sang que c'était gênant ce truc, ça l'emmerdait clairement dans ses mouvements. « Oui je sais, mais tu vas t'emmerder si je disparais, du coup je vais rester dans les parages. » Et admettez que si elle avait voulu se débarrasser de lui elle aurait employé un autre moyen que l'embrasser de cette façon et de lui perturber la ramification. En terme de perturbation on atteignait la tempête tropicale à ce stade-là, certainement pas un petit épisode cévenol. Non contente de déjà le contrôler - d'une certaine façon – avec la pression qu'elle exerçait avec sa jambe, la voilà qui, défiant clairement Leo du regard, détachait sa ceinture, prenant les choses en mains, désolé je vois pas une autre façon de voir les choses. Chose qui ne calma aucunement l'être qui vivait en autonomie dans son caleçon. Il allait devenir violent à ce rythme-là. « Tu vas finir sagement tes devoirs ? Où est-ce que je vais devoir le faire à ta place. Non parce que je préfère que t'arrêtes de suite, j'veux dire moi aussi je peux faire des choses comme ça ... » Tout en parlant, il déboutonna le pantalon de la jeune femme, glissant sa main dans sa culotte. « … la dernière fois je voulais pas la jouer comme ça, mais là ... » Ses doigts se frayèrent un chemin jusqu'au buzzer magique qui déclenche la fusée direction Planète Plaisir. « … je vais être obligé de sévir, tu me laisses pas le choix … » Continuant de jouer les astronomes, il attrapa ses lèvres des siennes, l'embrassant doucement avant de conclure. « C'est pas parce que c'est caché que c'est inatteignable, te crois pas intouchable. » Ouuuh le mauvais jeu de mot, ensuite, parce qu'elle s'ennuyait de sa meilleure amie du moment, sa langue courut retrouver celle de Calypso, étouffant tout bruit suspect que pourrait provoquer les mains graciles de la sorcière sur son petit bonhomme, de toute façon il tenait la mini-Calypso en otage aussi.
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Je sentais les mains de Leo entreprendre une croisade en dessous de mon tee-shirt. Je frémissais un instant, cela faisait si longtemps que… que personne n’avait touché cette partie de mon anatomie. Que quelqu’un m’avait touché tout court en fait. Si quelqu’un m’avait dit que Leo serait cette personne, une chose est sûre, j’aurais explosé de rire. Un réel rire, pas un faux, parce que j’aurais trouvé cette idée tout à fait stupide. Mais là, maintenant, je n’avais pas envie de rire, j’avais envie de l’embrasser. Moi qui pensais que l’événement de la piscine était une erreur, je commençais à revenir sur mes paroles, parce que c’était bien trop agréable pour être une erreur. Cela faisait trop de compliments pour un haricot, je venais d’entamer une chute vers la folie ! Ou alors j’y étais déjà ? Qu’importe. De toute manière, tu ne pourrais te passer de moi, alors je sais que tu vas rester dis-je, un sourire aux lèvres. Malgré notre intimité plus qu’apparente je ne pouvais m’empêcher - et lui non plus - de le provoquer. Parce que je ne pouvais concevoir une conversation plate et monotone avec Leo malgré son petit cerveau. Il ne pouvait pas embrasser bien et être intelligent, c’était comme ça. À présent ma main se trouvait dans son caleçon, mais elle restait immobile autour du membre de Leo. Un sourire malicieux s’affichait sur mes lèvres, encore une fois, je le contrôlais, complètement. J’adorais cette sensation, de le sentir dépendant de mes actions. Il essayait tellement de me faire comprendre que je n’avais aucune emprise sur lui… un comique, encore une fois. Décidément, il pourrait faire carrière ! Lorsqu’il me demandait si j’avais l’intention de finir « mes devoirs » je faisais la moue, penchant ma tête sur le côté. Il devrait le savoir depuis le temps… je n’étais pas du genre à me plier aux demandes des autres et j’avais un esprit de contradiction surdéveloppé. Je sais pas… je dois y réfléchir encore dis-je en baladant sagement mes mains sur l’ensemble de la chose qui était en rut dans son pantalon. Puis, sa main avec assurance venait s’immiscer dans ma culotte, un gémissement discret s’échappait de mes lèvres quand il venait rencontrer l’endroit fatidique. Je penchais ma tête en arrière un instant, fermant les yeux puis je plantais de nouveau mon regard dans le sien, puis il m’embrassait. Bon il était clair que là, j’étais carrément excitée et je n’essayais même plus de le cacher. Je soufflais à son oreille. Ce n’est pas fair-play ça Leo. Franchement, je pensais que tu serais plus original dis-je, un brin de provocation toujours présent. Puis, dans cette position, j’étais légèrement bloquée dans gestes, je glissais donc ma main hors du caleçon, et je descendais complètement celui-ci. Voilà, Leo était presque à poil dans les couloirs de la Dunster, mais pour être honnête, j’men foutais royalement sur le coup. Toi aussi, tu ne me laisses pas le choix. Puis je reprenais celui que j’avais laissé un instant, j’enroulais de nouveau ma main et je commençais à exercer des mouvements de va-et-vient. Voilà, monsieur allait pouvoir être content - enfin pas complètement, j'en étais consciente, mais s'il pensait tout gagner d'un seul coup -, et sans qu'il puisse me répondre je l'embrassais de nouveau.


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« Tu es bien trop sure de toi, sois pas si certaine que je vais rester. » Il n'allait pas partir maintenant, ça va de soi. Il partirait dans un moment quand il aurait fini d'avoir l'envie irrépressible de bouffer les lèvres de sa sorcière bien-aimée, de faire abstraction de son tee-shirt pour caresser ce qu'il y avait à caresser, qu'elle lâcherait le contenu de son caleçon. Si elle n'avait pas commencé ses petits jeux pas si mignons, il ne l'aurait vraiment pas désirée, elle restait Calypso Thomspers même si elle embrassait divinement bien, qu'elle lui déclenchait des pulsions violentes dans le machin, il la désirait uniquement parce que ça se voyait que c'était réciproque. Non vraiment, sinon il serait resté tranquille. Leo la regardait, prêt à l'attacher d'une façon ou d'une autre qu'elle ne cherche pas à s'échapper en le laissant en plan comme ça. « Réfléchis-bien. » dit-il entre deux baisers avant de se venger un peu, non mais comme s'il devait être le seul à subir ça. La dernière fois il s'était fait avoir, cette fois-ci, qu'elle ne compte pas dessus. Ah ben tiens, la Thomspers aimait bien ça, qu'elle ramène pas trop sa fraise, Leo sourit en entendant le tout petit bruit bien significatif qu'elle laissa échapper. Accentuant un tout petit peu son geste, il posa un léger baiser sur ses lèvres. « Tais-toi Thomspers, sérieux, tais-toi, fais pas la maligne. » Il fut bien vite arrêté dans ses propos par la blonde qui passait à une étape supérieure. Il savait très bien qu'elle voulait son corps, mais de là à le déshabiller au milieu de la Dunster House, vraiment il commençait à se poser des questions sur l'état mental de cette jeune femme et si elle désirait tellement lui faire le plaisir de s'occuper de son bonhomme. Chose qu'elle faisait d'ailleurs très bien. Elle l'embrassa, il en profita pour étouffer les gémissements qui s'échappaient de sa gorge, s'arrêtant pour le coup de s'amuser à la titiller, sa main restant quand même au chaud dans sa culotte. Il reprit en même temps qu'il reprenait un peu ses esprits, l'autre main glissant à l'arrière. Halberstam finit par quitter ses lèvres, il en perdait le souffle et le pauvre se faisait vieux pour ces bêtises. Son souffle rauque vint s'écraser dans le cou de la jeune femme qu'il embrassa doucement, continuant ses petites pressions régulières sur la jolie fleur de Calypso. Puis finalement il arrêta brusquement, dépatouillant sa main de là-dedans, au même instant où il reprenait contact avec la bavounette adorée de Calypso. Un étudiant passa et Leo se colla un peu à elle, se cachant avec elle derrière ses cheveux, c'était pas le moment qu'un mec les reconnaissent et aille raconter quelles étranges activités ils pratiquaient dans les couloirs de l'université. « Et ça mène où tes conneries Thomspers je peux savoir ? » gémit-il, au bord de l'implosion. Il allait craquer là, il se demandait vraiment comment elle comptait s'y prendre maintenant. Enfin si, elle allait le planter à oilpé au milieu du couloir, le petit soldat prêt au combat sans pouvoir se battre.
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Genre il n'allait pas rester, il savait très bien au fond de lui que tant que la chose dans son pantalon était dans cet état, il n'était pas prêt de partir. C'était pas la peine de me raconter des salades, mais apparemment, ça lui plaisait de dire n'importe quoi. Tu parles dis-je dans un baiser. Il avait décidé à son tour de jouer les aventuriers, venant de se frayer un chemin dans ma culotte... qu'on pouvait presque comparer à l'océan, à cet instant précis, histoire de ne pas être grossier. Mais qu'est-ce que j'étais en train de faire ? C'était n'importe quoi, le pire c'est que j'y prenais du plaisir. J'acceptais qu'un imbécile vienne mettre sa main dans ma culotte, c'était la chose la plus grotesque du monde. Je ne voyais qu'une seule explication, sa bave contenait du venin, un puissant venin qui lui permettait d'entourlouper les jeunes filles. Elle devait contenir une substance chimique qui agissait comme de la drogue, rendant la personne docile, et presque... gentille. Mais j'étais tellement cruelle avec lui que l'effet n'était pas parfait, dommage. J'essaye de faire mon mieux pour y réfléchir dis-je alors que la pression qu'il exerçait avec son doigt contre ma fleur se faisait plus forte. Il cherchait vraiment à m'avoir le filou, je voulais lui enlever sa main de là, mais premièrement cela me ferait perdre mon propre contrôle sur son anatomie et j'aimais quand même ça. De toute manière les bruits qui sortaient de ma bouche me trahissaient, il était trop tard pour le remballer et l'envoyer bouler. Lorsqu'il me disait de me taire, un sourire venait se dessiner sur mes lèvres, j'aimais quand il essayait de faire l'homme. De montrer sa virilité... je préférais ça au Leo tout gentil en fait, je ne voulais pas connaître le Leo gentil, puis au moins ça m'obligeait à rester méchante. J'aimais mon rôle de sorcière. Donc pour une fois, je décidais donc de me taire, je ne disais rien. Mon sourire faisait office de réponse. Ma main s'occupait toujours de lui, et j'accélérais légèrement la vitesse. Je pouvais sentir son souffle s'accélérer également, se mêlant au mien. J'ondulais légèrement du bassin, sentant une chaleur significative envahir le bas de mon ventre, un peu plus et j'allais exploser, seulement, un étudiant entrait dans le couloir et Leo retirait en vitesse sa main de ma culotte. Quel nul, mais vraiment, en fait c'était un pourri jusqu'au bout. Personnellement, cet étudiant c'était le cadet de mes problèmes, il pouvait nous voir, le raconter, j'men foutais. Je penchais légèrement la tête en arrière, presque frustrée et je plantais de nouveau mon regard dans celui du jeune homme. Il avait peut-être décidé de lâcher docilement la seule emprise qu'il avait sur moi, malheureusement, je n'étais pas si peureuse. Je me mordais la lèvre inférieure, m'occupant toujours de son plaisir, qu'importe si au final je devais me retrouver avec un million de petits Leo sur moi... j'irais me changer. C'était classe hein de se dire ça. Je sais pas, à toi de me le dire dis-je avant de l'embrasser.

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Ça l'amusait, elle voulait toujours mordre alors qu'elle n'était clairement plus en mesure de réfléchir convenablement plus de deux secondes. Elle avait beau lui rabâcher qu'il était le seul à avoir été dans un état pas possible la première fois, c'est qu'elle avait eu l'avantage considérable qu'il est été assez surpris pour ne rien tenté. À vrai dire, pour une première fois, le peu dont elle avait profité lui avait suffi. Il allait pas commencer à vouloir lui faire plaisir à elle, faut pas non plus pousser. Un instant, il fut tenté de s'arrêter, de lui rattacher le pantalon, la recoiffer, remettre son tee-shirt en place, de lui même se rhabiller et de lui proposer de s'asseoir et de discuter calmement de tout ça. Non parce qu'ils voulaient pas coucher ensemble, soit disant qu'ils ne voulaient certainement pas se faire le plaisir l'un l'autre de coucher. On n'avait pas la reine Calypso si simplement et Leo ne tomberait pas aussi bas que ça. À quoi bon s'allumer comme ça sérieux ? Mais Leo ne voulait pas se faire l'affront à lui-même d'entamer une discussion de cette importance intellectuelle avec elle, Thomspers pouvait se gratter si elle espérait que le Mather face un jour un effort dans ce sens-là. Bref, il jouait au fleuriste, fleur très arrosée par ailleurs, lui n'était pas non plus dans un état tout à fait normal, d'ici peu ça allait déborder. Un étudiant débarqua, il lâcha tout, il tenait à un semblant de réputation. Du temps qu'il embrassait la blonde, il ne réfléchissait pas trop, mais il suffisait que leurs langues soient séparées un quart de seconde pour qu'il se demande sur la fin de cette étrange heure de cours. Il est d'ailleurs important de noter que Leo était en train de se dire qu'il ne fallait pas qu'il embrasse Calypso en période de révision sinon il allait finir à la rue avec trois années plutôt moyennes de psycho. Mais chut, encore si elle savait ça elle allait en profiter la garce. À lui de lui dire, super, c'est qui qui se tape toute la responsabilité encore ? Elle voulait pas un dessin non plus de comment il voulait que ça se finisse, elle pouvait toujours jouer aux marionnettes mais il pensait à une façon beaucoup plus simple de terminer le boulot. Oui mais voilà, elle se démerdait toujours pour lui déclencher le deuxième homme quand il n'était pas en mesure de lui présenter une solution adaptée. Non il ne se baladait pas avec un préservatif déjà tout installé. « Je suis assez gentleman pour pas jouer au spéléologue sans casque, alors je dirai que soit tu m'aimes tellement que tu acceptes de prendre de le risque de donner vie à un bébé Halberstam soit ... » coupa-t-il brusquement, contenant difficilement les bruits que lui arrachait la pratique licencieuse de Thomspers. Pas le temps de plus argumenter sur les dangers des rapports non protégés que Leo se sentit partir, sa main re-glissant un peu trop rapidement dans la culotte de Calypso, ses lèvres se cramponnant violemment contre celles de la jeune femme. C'est du joli la jeunesse.
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Leo se collait toujours à moi, par peur de se faire repérer par l’étudiant qui venait de passer sûrement. De mon côté, j’étais repérée, j’étais une dunster et on me voyait clairement. Heureusement que je n’étais pas à poil, moi. Que les gens de la dunster se disent que j’avais une vie sexuelle, ça, je pouvais l’accepter, en revanche qu’il me voit toute nue pas vraiment. J’hésitais à crier relativement fort le nom de famille de l’individu avec lequel je faisais des transfusions de bave mais je me ravisais immédiatement. Je ne voulais pas que les gens sachent que je fréquentais ce genre de personne, à défaut de faire descendre ma réputation par le fait que je faisais des trucs pas très nets dans les couloirs, c’était le fait de le faire avec une certaine personne qui allait me faire passer pour je ne sais pas quoi. Le problème c’est qu’à présent j’étais bloquée, moi qui ne voulais pas lui donner ce qu’il voulait depuis le début, j’étais quand même, disons-le, grandement tentée. Mais c’était lui faire trop plaisir, lui montrer qu’il avait un minimum d’importance et franchement, je voulais encore résister. Lui montrer que ce n’était pas si facile de mettre madame Thomspers dans ses draps surtout quand on s’appelait Leo Halberstam et qu’on était de la race imbécile. Imbécile comique haricot bien évidemment. Et peut-être que je j’appréhendais légèrement le futur si je venais à lui offrir mon bouquet, puisqu'après tout serait terminé. Plus de mélanges de bave, plus provocation, plus de mains baladeuses, seulement des échanges et regards froids. Et pour être honnête ce n’était pas forcément ce que je voulais, en fait non, c’est sûr, je ne voulais pas ça. Une fois l'étudiant parti, rouge de honte je supposais, je l'embrassais de nouveau. Je devais prendre une décision, c'était clair, surtout que ses dernières paroles confirmaient mes soupçons quant à ses intentions. Je le regardais un instant, me mordant la lèvre inférieure, soupirant. Je tenais toujours dans ma main le petit Leo, mais je ralentissais légèrement. C'était vraiment du n'importe quoi, j'étais prête à coucher avec lui, sans préservatif, certes, je prenais la pilule mais, je ne savais où il faisait trainer son deuxième cerveau moi. Avez un idiot pareil, il fallait toujours être sur ses gardes. Le problème c'est que je ne t'aime pas dis-je en souriant. J'accélérais de nouveau les mouvements avec ma main et l'effet était instantané sur le jeune homme. Il remettait en vitesse sa main dans ma culotte et ma respiration commençait à s'accélérer. Je l'embrassais et je sentais que j'étais en train de monter, vraiment. Ma respiration était plus qu'audible, mais d'un seul coup je m'arrêtais. Tant pis si je faisais une bêtise. Je soufflais à son oreille. Mais je crois que je vais quand même prendre le risque. Je lâchais son petit Leo, et délicatement je descendais mon jean, puis ma culotte, sans quitter son regard.

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Il avait arrêté de chercher une explication rationnel à l'attirance incroyable qu'elle exerçait sur lui, parce que véritablement elle lui tapait sur les nerfs, et le voilà espérant qu'elle se donnerait entièrement à lui pour combler tout ce désir. Très franchement, il ne pariait pas y parvenir, tête de mule qu'elle était, elle allait probablement se frustrer elle-même en partant plutôt que de prendre le risque de faire plaisir à Leo. Ceci dit, s'il n'avait pas fait taire son égo deux minutes, il serait parti aussi. Il avait horreur de paraître vulnérable face à elle d'autant plus qu'il savait pertinemment qu'elle lui rappellerait, encore et encore. À moins qu'elle ne se souvienne plus et qu'il doive lui rappeler la prochaine fois qu'ils se croiseraient … Le jeune homme se préparait donc à être déçu, il n'en attendait pas mieux de la part de la sorcière, c'est pas comme si elle était souvent d'humeur généreuse. Il avait pourtant mis tout de son côté, reprenant même ses caresses espérant d'une certaine façon la faire craquer. Elle croyait qu'elle allait prendre le risque. Lâchant son mini Leo, elle baissa tout simplement son jean, sa culotte, laissant le brun bouche bée. Enfin par pour longtemps évidemment. « T'es complètement folle. » conclut-il simplement, il ne la comprenait pas, mais c'était pas non plus le moment d'essayer de comprendre ce qui se passait dans sa tête. Elle était tordue hein ça datait pas d'aujourd'hui, depuis le temps qu'il le disait qu'elle tournait pas rond cette meuf ! Pour une fois, il en ferait presque – presque hein – une qualité. Puisqu'il estimait avoir suffisamment toquer, il entra donc sans faire trop de chichis, il n'allait pas faire le difficile. Il plaqua la jeune femme au mur encore un peu plus si c'était possible. Ses mains glissèrent doucement sur les cuisses de Calypso, il l'embrassa de nouveau, son bassin bougeant régulièrement. Elle avait presque réussi à lui faire oublier à cet instant à quel point elle pouvait lui taper sur le système, se surprenant à n'avoir aucune pensée négative à son égard. Il lâcha ses lèvres, posant ses lèvres contre son épaule, accélérant légèrement la cadence. Les bruits qui s'échappaient de sa gorge, ses mains cramponnées sur les hanches de la jeune femme, il oubliait soudainement le monde environnant, les gens qui pouvaient passer, il s'en moquait, l'immeuble pouvait s'écrouler, prendre feu, une bombe pouvait tomber à côté d'eux, il ne bougerait pas d'ici avant d'avoir totalement fini. Il attrapait de temps à autre les lèvres de Thomspers pour l'embrasser et quand il atteint le dernière marche avant de s'écrouler sur l'étage plaisir du building de la vie, il lâcha ses lèvres, appuyant sa tête contre le mur. Il se détacha à regret – oui vous avez bien lu – de la blonde, remontant galamment sa petite culotte avant de remettre son caleçon aussi. Il l'embrassa de nouveau, un échange de bave ça se refuse pas, avant de sourire, satisfait. « C'était pas mal, je dirais presque que j'ai bien aimé, presque hein. » dit-il avec un sourire enjôleur, pas trop la complimenter surtout, au cas où ça lui arracherait la bouche d'avouer qu'il avait carrément apprécié.
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Honnêtement je voulais lui résister, lui montrer à quel point il n'avait pas de pouvoir sur moi et qu'il ne me faisait pas vraiment d'effet. Même si de toute évidence il m'en faisait et que j'essayais de me mentir à moi-même, en vain. Mais je voulais le faire attendre parce que c'était Leo Halberstam, le mec le plus insupportable et bête du monde. Et malgré tout ça, j'étais là, prête à franchir le pas avec cet imbécile. Allait-il me rejeter à présent que je baissais ma petite culotte ? Je le défiais du regard, histoire de voir sa réaction, il semblait surpris. Je vous assure, j'étais également surprise, ce n'était pas vraiment mon genre de faire ça, surtout dans les couloirs dans la Dunster House. De faire des trucs étranges, ça c'était mon genre, souvenez-vous, j'étais mariée à une femme, ce n'était pas vraiment le genre de choses que la majorité des gens font. Mais je l'avais fait et malgré l'alcool qui coulait dans mes veines lors de cette fameuse soirée j'avais décidé d'assumer jusqu'au bout mes actes. À présent, je portais son nom de famille et j'étais officiellement mariée à elle. Cependant, aujourd'hui aussi je devais assumer ce que j'étais en train de faire. C'est-à-dire, ouvrir le péage pour la voiture monsieur Halberstam qui ne tardait pas avant de se rendre sur l'autoroute. Il me disait que j'étais complètement folle, un dernier sourire se dessinait sur mon visage et je l'embrassais. Il semblerait effectivement. Il pouvait me prendre pour une folle ou je ne sais pas, je m'en fichais, à présent j'attendais qu'il prenne ses responsabilités pour une fois. Une fois nos baves de nouveau en contact, il me plaquait contre le mur, je passais mains dans ses cheveux. Je relevais ma cuisse délicatement enroulant une de mes jambes autour de lui pendant qu'il s'engageait sur ma route vertigineuse, il m'arrachait un gémissement que j'essayais d'étouffer contre ses lèvres. Mes mains continuaient leur chemin jusqu'aux fesses du jeune homme, se laissant bercer par les coups de reins, mon bassin répondait en faisant des légers mouvements. Leo commençait à accélérer le rythme, je sentais sa respiration contre mon épaule, pendant que je penchais la tête en arrière, n'essayant plus d'étouffer les bruits qui sortaient de ma bouche. J'étais prête à exploser, je le sentais, la chaleur que j'avais ressenti quelques minutes auparavant revenait me dire bonjour et finalement, un cri sûrement trop fort s'échappait de mes lèvres, je lâchais les fesses du jeune homme et je fermais les yeux. Puis, je l'embrassais, et à son tour il tombait du ravin. Déversant des millions de mini Leo sur mon autoroute, encore une fois heureusement que je prenais la pilule... et j'espérais qu'il n'avait pas de maladies, quand même. Mais je ne regrettais pas, je le regardais, laissant ma jambe quelques secondes autour de lui avant de retrouver mes deux pieds. Il remontait ma petite culotte, et j'attrapais mon jean avant de le refermer. Même après avoir couché ensemble, on ne pouvait s'empêcher de se provoquer. Moi aussi je suis encore dubitative, mais qui sait peut-être qu'un jour tu auras l'occasion de me remontrer tes talents dis-je avec un clin d'oeil avant d'attraper sa chemise, que je lui tendais avec un sourire espiègle. Je déposais un dernier baiser sur ses lèvres. À la prochaine Halberstam, essaye de ne pas trop faire de bêtises sans moi dis-je avant de reprendre mon chemin en direction de mes cahiers.

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