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VADE RETRO SATANAS ❋ CALYPSO

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Il y avait des jours comme ça, qui donnaient envie à Leo de sautiller, de se déplacer tel un Fred Astaire sur le campus pour aller ravir quelques Ginger Rogers par-ci par-là. Il était d'une bonne humeur à toutes épreuves, comme si sa marraine la Bonne Fée lui avait tapé sur la tête le matin pour lui ordonner d'être le symbole même de l'allégresse et de la joie. Après un rapide tour de l'université où avec générosité il avait donné de beaux sourires aux étudiantes croisant son passage, défoulant ainsi les foules, le brunet avait eu envie de partager son bonheur avec ses potes. Et il se trouvait qu'il avait quelques amis à la Dunster House dont son meilleur ami Leandro, aussi étonnant soit-il monsieur Halberstam avait des amis chez les intellos. Il se rendit donc tout guilleret à la Dunster House, espérant croiser le fameux poto dans le QG de sa confrérie. Le jeune homme avait fait le tour une fois, deux fois, trois fois, il était même allé vérifier dans les toilettes communs, n'avait pas trop osé regarder les douches. Il errait comme une pauvre âme solitaire dans la salle commune, voyant des Dunsters passer qu'il ne connaissait évidement pas. Dans son champ de vision, une chevelure blonde s'approchait de lui, mais trop perdu dans sa recherche et ses pensées, il ne fit pas attention au danger iminnant qui se rapprochait de lui. Quand il regarda en direction de la fameuse chevelure, il était trop tard, dans son collimateur ? La sorcière Thomspers. Il était trop tard pour faire demi-tour, elle fondait sur lui. Aaaaaaaah, il avait presque envie de pleurer, bon sang qu'elle était flippant, bon sang qu'elle était bonne. Il était vraiment, mais alors VRAIMENT traumatisé de leur passage à la piscine. Quelle horreur, il n'y avait aucune issus de secours. Mais surtout, il ne fallait pas montrer à la vipère qu'il était déstabilisé. Il arbora son plus beau sourire, une attitude nonchalante qui lui allait si bien et avec une voix à moitié moqueuse il demanda. « Tu peux plus te passer de moi ? Ils sont jolis tes cheveux secs aussi. »
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Même si je n’habitais plus dans la maison commune, je devais m’y rendre afin de réviser, ou pour voir des amis. Néanmoins, j’avais réalisé que mes amis les plus proches n’étaient à la dunster, m’enfin c’était un détail et je connaissais les locaux depuis maintenant quatre ans, difficile de s’en détacher donc. Je déambulais avec aisance dans la bâtisse afin de me rendre à la cuisine, j’avais décidé de me reprendre en main et je devais travailler afin de rattraper mon retard. Mais après quatre heures sans bouger d’une chaise, je me devais de manger quelque chose. Je devais traverser le salon, il y avait relativement peu de monde, sûrement parce qu’on était en pleine journée et qu’ils étaient en cours. La tête rivé sur un cahier, je me rendais donc à la cuisine avant de me préparer une tasse de café, puis je reprenais le même chemin afin de retourner à mes cahiers. Lorsque je poussais la porte du salon, une seule personne entrait dans mon champ de vision, attention, l’autruche d’Harvard se tenait juste devant moi. Je levais les yeux au ciel, qu’est-ce qu’il pouvait bien faire ici celui-ci. S’il me cherchait trop, j’avais une arme, un café brulant qui mourrait d’envie de rencontrer sa jolie peau. Avec une démarche déterminée, je rejoignais le jeune homme, vu sa tête il venait de m’apercevoir également. Je ne prenais même pas la peine de lui faire un sourire, parce que même s’il était un artichaut débile…. bah ouais, je l’aimais bien, voilà, content ? Il me plaisait, et j’pouvais pas enlever les images de la piscine de ma tête. J’avais eu l’occasion d’y réfléchir, de beaucoup y réfléchir, mais je préférais ne pas me pencher sur la conclusion. Un sarcasme venait s’écraser contre mes oreilles, étonnant ! Attends, laisse-moi réfléchir… qui est dans la maison de qui ? Ah oui, tu es chez les dunsters, ma confrérie que je sache, on dirait plus que c’est toi qui ne peux plus te passer de moi dis-je avec un clin d’oeil. Je sais dis-je avant de me tourner vivement, du haut de mon mètre quatre-vingts j’arrivais presque à sa hauteur et mes cheveux volaient direction son visage, et bim.
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Bouuuuuh, à peine avait-elle ouvert la bouche que Leo avait envie de se boucher les oreilles de façon tout à fait mature avant de s'enfuir en courant dans sa maison à lui, oubliant l'horrible vision qui venait de s'offrir à lui. Enfin horrible … pas tant que ça, c'était une façon de parler bien évidement, disons qu'il avait du mal à faire le lien entre la meuf qu'il avait embrassé avec plaisir et qui se révélait assez canon avec l'espèce de manipulatrice sadique qui lui avait provoqué le mini-Leo tout en le rabaissant plus bas que terre. Pour faire simple, elle le perturbait assez cette fille, et pas dans le sens oh ça y est il se posait des questions sur ce qu'il ressentait blablabla. Leo ne ressentait jamais rien au niveau du pectoral. Le Mather croisa ses bras sur ton torse, en mode défensif, s'éloignant de toute table, chaise, tout fauteuil ou canapé où la blonde psychotique pouvait décider de le coincer pour une longue séance de torture. Psychologiquement, il n'était vraiment pas près pour subir ça une nouvelle fois, ça demandait bien trop d'énergie. « Redescend sur Terre ! La dernière personne au monde dont je ne pourrais plus me passer c'est bien toi, ma vie est géniale quand t'es pas là, regarde à peine tu entres dans mon champ de vision tu mets toute ma bonne humeur en l'air. » Il n'était pas question non plus de la faire s'apitoyer sur son pauvre sort de petit garçon, elle l'avait déjà assez vu en position de faiblesse, il ne comptait pas recommencer de si tôt, une fois, elle pouvait encore oublié bien qu'il ait essayé de la retourner pour qu'elle se rappelle qui il était aussi, mais deux fois, elle prendrait ensuite bien trop l'habitude d'en faire sa petite chose. La Dunster fit volte-face, lui foutant un bon coup de cheveux dans les narines, il allait presque s'extasier sur la texture soyeuse de sa chevelure dorée, avant de voir qu'elle commençait à s'éloigner. Et pauvre débile qu'il était, il suivit la reine des abruties. « Ça a pas du être facile d'enlever tout ce chlore, j'aurais bien aimé avoir ton petit maillot de bain en trophée, tu crois que c'est faisable ? »
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Mais ce qu’il était con, alors là je vous raconte même pas, je préférais éviter des souffrances à tout le monde. Avec son petit air de monsieur je sais tout, enfin, je ne pouvais pas vraiment décrire son « petit air », mais je ne le supportais pas. Je le regardais avec mépris, puis je levais les yeux au ciel après sa remarque sans réel sens. Un haricot dans le cerveau, ça ne permettait pas de bien réfléchir, malgré un physique plutôt… agréable. M’enfin, il restait très bête. Ah ouais ? Tu devrais pas parler aussi vite Léo, parce que si je me souviens bien tu pensais pas la même chose la dernière fois. Alors tu m'dirais que ta vie aurait été aussi géniale si tu avais pas eu la chance de tomber sur moi à la piscine ? demandai-je, lui adressant un clin d’oeil. J’hésitais à poser ma main à l’endroit fatidique histoire de lui rappeler, que lors de cet épisode, il était bien content de ma présence. Un sourire mesquin aux lèvres, j’avais eu la gentillesse d’envoyer mes cheveux dans le visage du jeune homme, puis je me retournais afin de me diriger de nouveau vers la bibliothèque. Seulement impossible de repartir tranquillement : il me suivait le filou. Et après il me faisait des tirades afin de m’expliquer à quel point il me détestait, j’avais envie de rire. Mais bon, j’disais rien, car j’étais bien contente au fond qu’il décide de me suivre comme un petit chien, je restais la tête droite, sans me tourner vers lui et je continuais à marcher. Comment te dire… commençai-je, avant de me mordre la lèvre, j’me souvenais très bien que monsieur avait décidé d’me planter, oui oui. Et s’il pensait que j’allais lui courir après, il pouvait toujours rêver, un abruti je vous dis. Je me retournais vivement, levant les sourcils. Tu penses que tu mérites un trophée, sérieusement ? Si ce n’est celui du roi des cons, j’vois pas trop ce que je peux faire dis-je d’un air hautain et espiègle. J’étais pas contre l’idée de lui donner mon maillot hein, non, ce n’était pas ça… mais j’allais pas non plus lui avouer ça, il allait prendre la grosse tête, imaginez si le haricot décidait de grossir, ô malheur.
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Mais qu'elle était relouuuuuu, tout le temps vouloir avoir raison, ça se soigne ça, c'était une sorte de pervers narcissique cette fille, ou alors elle était tout simplement idiote. Épuisante, puis elle lui sortait ses petits clins d’œil genre elle avait un quelconque pouvoir sur lui rien qu'en clignant ses yeux bleus de loup-garou sans cœur. Ou alors de husky, le problème des huskies c'est qu'ils sont mignons alors il fallait très vite oublier cette comparaison. On parle de Calypso, merde ! « Ok j'avoue que c'était peut-être une expérience enrichissante, mais une simple séance de natation tout seul m'aurait suffi, ta présence n'a été que le coup du hasard. » Expérience enrichissante, oui bien sur, rien que de penser à son passage sur le banc, Leo la revoyait en maillot, ce qui en soit n'était pas déplaisant mais ça éveillait chez lui une espèce de nostalgie du moment, disons qu'elle était douée mais c'était son rôle de garce. C'était certainement pas la raison pour laquelle il allait commencer à sympathiser avec l'ennemi. Il la suivait, le pauvre homme, de quelle folie était-il soudain atteint, il aurait mieux fait de retourner à ses recherches, prendre son pote par le bras pour le tirer hors d'ici et oublier ce qu'il venait de se passer. Il la défia du regard, si elle croyait qu'il suffisait qu'elle lui sorte son regard de Méduse reine des Gorgones pour qu'il se pétrifie avant de se briser en petits morceaux pour ses beaux cheveux – il voulait bien lui accorder qu'elle avait une jolie chevelure, c'est tout. Quelle naïveté ! Il la laissa terminer, avant de rire. « Oh réfléchis bien, si tu te rappelles j'ai d'autres talents, non ? » Vu comment la blonde lui avait littéralement bouffé les lèvres pendant le moment qu'ils avaient passé ensemble, il avait plutôt l'impression qu'il méritait d'obtenir le prix du meilleur baiser 2014. Il se rapprocha d'elle juste assez pour qu'elle comprenne de quoi il s'agissait avant de faire deux pas en arrière. « Hum tu as du regretter de ne pas avoir pu en profiter un peu plus, tu as du certainement attendre avec impatience le moment où tu me reverrais enfin. Je comprends que j'ai pu te manquer, aucune surprise, je te croyais plus inventive que ça Thomspers. »
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J'avais envie de lui en coller une, ou faire un truc, parce que là il était insupportable le garçon, même pas capable d'avouer qu'il avait grave kiffé son moment avec moi à la piscine. J'étais presque tentée d'lui faire se remémorer ce que ça faisait d'embrasser la grande Calypso Thomspers-Leroy, mais s'il pensait que j'allais coller mes lèvres sur les siennes une fois de plus, il était le roi des haricots débiles. Mais bon il l'était déjà. Même si sur le moment, j'en avais presque envie - j'ai dis presque hein -. Ouais s'tu veux ! Bah on va éviter alors d'autres situations enrichissantes comme celle-ci, afin que tu puisses profiter des choses « simples » comme tu dis, c'est le mieuuuuux. J'insistais bien sur le dernier mot, un petit air mesquin, et un demi-sourire aux lèvres. Puis il soutenait mon regard histoire de me faire peur je suppose, seulement il avait pas besoin de ça, rien que de voir son idiotie me faisait prendre mes jambes à mon cou. Enfin pas vraiment, mais dans ma tête vous voyez. Puis, il me faisait repenser à ses « talents » je savais pas si on pouvait appeler ça comme ça, mais j'étais déterminée cette fois-ci : je n'allais pas l'embrasser, non non. Puis s'il pensait que bien embrasser - ok, très bien, ça va - allait le sauver, il se trompait, j'étais plus féroce que ça. Et têtue. Non, j'vois pas de quoi tu parles, désolé, si ce n'est ton talent pour dire de la merde, franchement, j'ai du mal dis-je en posant ma main sur mon menton, comme si je réfléchissais. J'me foutais de lui ouvertement, mais il méritait pas mieux cet ogre tout droit sorti du seigneur des anneaux, il était cruel. T'as raison, je regrette, j'ai pas eu l'occasion d'aller au bout de la frustration que je voulais que tu ressentes, mais au moins, te voir me suivre comme un petit toutou me prouve que j'ai pas totalement loupé mon coup, parce que oui, si tu es capable de réfléchir, même si j'ai des doutes... qui vient de suivre qui ? Allez, j'le laissais réfléchir un peu, j'espérais que ça allait pas prendre trente ans, mais avec cet ananas des îles j'étais pas sortie de l'auberge !
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Pourquoi tant de haine ? C'était un scientifique à sa manière, il avait besoin d'expérience de ce genre pour mieux comprendre la race humaine, elle devait d'urgence l'aider dans ses recherches. Et puis non, elle avait qu'à rester dans son coin, s'étouffer avec ses cheveux, se coudre des maillots de bain à la main et puis elle avait qu'à faire ce qu'elle voulait en fait. Qu'elle était bornée, têtue, chiante. « Ouais c'est ça, profitions des bonheurs simples que nous offre la vie. Profite toute seule, reste avec ta bêtise Thomspers. » Ouiiiii il faisait sa petite crise, ouiiiii et alors ? Elle allait faire quoi de toute façon, il avait beau la suivre, il n'obtenait rien d'intéressant de sa part, mais il continuait. La jeune femme semblait être certaine qu'il ait été le seul à se sentir frustré quand il avait remis ses vêtements pour retourner vivre sa vie de mec ailleurs. Oh la belle menteuse – ouais enfin belle façon de parler, il allait pas se mettre à la complimenter tout de suite. Il grimaça devant les attaques incessante de miss Jesuischianteetjassume. Qu'elle arrête, BAAAAH, il avait mal aux oreilles, heureusement que ce qu'il voyait compensait un peu. Un sourire moqueur aux lèvres, il s'approcha de nouveau d'elle, ne reculant pas cette fois-ci. Il planta son regard dans celui de la Thomspers, il effleura son bras du bout des doigts, puis remonta aux lèvres. Il approcha sa bouche, touchant à peine celle de Calypso, juste assez pour qu'elle croit qu'il allait vraiment le faire, puis dévia pour déposer un baiser tout léger à la commissure de ses lèvres. Il glissa jusqu'à son oreille, chuchotant. « Oh s'il te plaît je suis pas le seul à avoir été frustré, rappelle-toi, je suis sure que tu es assez forte pour ça. » Puis il reprit de la distance, croisant les bras, regardant la blonde, tout à fait satisfait de lui. Ouais enfin il faisait le fier, mais il se faisait du mal tout seul, seulement, à ce moment-là, c'était lui qui avait le contrôle, plus rassurant que d'être bloqué entre les jambes de la sorcière. « Je te suis pas, je vais juste au même endroit que toi, nuance ! Mon monde ne tourne pas autour de toi Thomspers même si je sais que tu en rêves. Tu me harcèles, regarde-toi, tu me cherches, tu attends que je craque, que je livre ce que tu t'imagines que je pense de toi, tu meurs d'envie que je lâche que je te trouve séduisante, belle, sexy, irrésistible et pire encore, tu n'attends que ça pour me mettre plus bas que terre, pour flatter ton égo ou parce que c'est ce que TU penses de moi et que tu espères une réciprocité à tout ça. »
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C’était un crétin, seule conclusion à avoir. En plus de me tenir tête, il essayait de m’énerver, et l’pire dans tout ça c’est que ça marchait, mais juste un petit peu. Évidemment, je lui montrais pas, je gardais ma petite tête angélique mais espiègle, j’voulais jouer le rôle de la sorcière comme j’aimais si bien le faire avec lui. Je tenais toujours dans mes mains mes cahiers ainsi que ma tasse de café qui avait refroidie à présent. Il servait vraiment à rien ce mec - bon, si, il était agréable à regarder mais il fallait qu’il arrête d’ouvrir la bouche -, si ce n’est me faire chier… et m’embrasser, bon D’ACCORD, ça va ça va, il servait à quelque chose. Mais quand même. Ce n’est pas parce que je ne suis pas avec toi que je suis seule Halberstam dis-je en soutenant son regard. Puis il s’approchait de moi, je frissonnais presque, je voyais ses lèvres se rapprocher des miennes, j’avais envie de lui cracher dessus afin de lui montrer le mépris que j’avais pour lui, mais je ne faisais rien. Je ne bougeais pas telle une idiote qui attendait quelque chose d’un haricot, je sentais son souffle effleurer mon visage, mais seul un petit baiser se déposait sur le coin de mes lèvres. Puis j’me rappelais d’un seul coup la sensation de la piscine, parce que ouais, c’était le roi des connards malgré son sourire envoutant. Je ne répondais pas à son attaque, seul un sourire accompagnait mon regard. Profitant de ma proximité avec l'ananas des îles, je laissais le contenu de ma tasse se déverser sur la chemise du jeune homme. Oups dis-je sans quitter ses yeux. Sa chemise était pleine de café à présent, petite vengeance, on embête pas une Thomspers, point, il me cherchait trop l’âne là. Tu as raison, j’adore flatter mon égo, ça doit être ça… je suis une vieille sorcière qui ne s’intéresse qu’à toi, car tu es le centre de ma vie, c’est évident ! D’ailleurs j’ai cherché à te revoir n’est-ce pas ? Je t’ai envoyé beaucoup de messages, je suis restée une nuit entière à ta fenêtre, j’ai fait tout ça. Crédible ? Non j’crois pas, allez, va te laver, on dirait un clochard là. J’voulais partir, faire une belle sortie, mais je restais là, comme une idiote.
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« Détrompe-toi, j'aurais bien aimé être dans ta petite tête toute vide au moment où je t'ai plantée à la piscine, tu as du te sentir si seule. Je suis presque certain que tu as tenté de te suicider en plongeant dans la pataugeoire. » lui répondit-il avec un air songeur. Ah ça aurait été le paradis, plus de Calypso, plus d'espèce de petite peste canon pour lui jouer de mauvais tours. Enfin pour le moment il était loin d'être débarrassé. C'était lui qui avait commencé, d'accord, mais pourquoi elle était entrée dans son jeu aussi cette débile, après elle se plaignait qu'il la suivait partout, en même temps il fallait de peu pour qu'elle réagisse et Leo s'amusait terriblement. Jusqu'au moment où il sentit le café mi-froid mi-pas très chaud de la Thomspers dégouliner le long de son corps. Lorsque le jeune homme releva sa tête vers princesse Raiponce la démoniaque, celle-ci recommença à lui débiter un flôt incroyables d'insanités. Après ça, Halberstam oscillait entre l'envie de lui en foutre une, de la plaquer contre le mur pour l'embrasser sans qu'elle puisse se défendre ou alors se barrer. Mais il resta là, tout comme la jeune femme qu'il s'était plutôt attendu à voir déguerpir pendant qu'il était en train de se préoccuper de sa pauvre chemise. Oh non, elle n'allait pas s'en sortir comme ça, et puisqu'elle n'avait pas profité d'un moment d'inattention de sa part pour s'enfuir, Leo allait la faire souffrir, c'était à son tour. Puis finalement, cette histoire de café l'arrangeait bien. « T'as pas d'égo pauvre fille, t'es rien du tout, encore moins à mes yeux, t'es encore moins que moins que rien. » Il baissa le regarda vers sa chemise. Allez, il fallait mettre son plan à exécution maintenant. Il déboutonna un à un les boutons de sa chemise, avant de la quitter et la laisser tomber par terre aux pieds de la jeune femme. Il releva ses prunelles sur celles de Calypso. « Mais t'as raison sur un point je vais me changer. » Il passa à côté d'elle, la bousculant légèrement. « Tu connais pas quelqu'un qui pourrait me 'prêter' quelque chose à mettre ? Je te confie cette mission dans la mesure où c'est ta faute si je vais devoir me trimballer comme ça sur le campus. »
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Boudu, ce qu’il était relou, à faire le mec super fier à penser que j’étais à fond sur lui et que je n’arrivais pas à me remettre de son départ à la piscine. Bon, d’accord, c’était pas la fin idéale pour ce moment, mais il n’était pas le centre de mon univers non plus. Mais ça, il pouvait pas le comprendre, il avait besoin de gonfler son égo, sûrement un manque de confiance, voilà. D’un côté comment voulez-vous avoir confiance en vous quand vous avez un haricot en guise de cervelle, compliqué hein ! En plus il se foutait d’ma gueule, haha, mais c’était vraiment un petit comique le garçon. Mais oui Leo, je ne peux pas vivre sans toi, si tu savais comment c’était dur de te voir partir… dis-je avec mépris et ironie. Autant rentrer dans son jeu hein, j’allais pas me battre. Ensuite, j’avais versé mon café sur sa jolie chemise, j’étais fière parce qu’à présent, il était ridicule - même s’il avait pas besoin de ça pour l’être -, seulement il ne se démontait pas. Encore plus stupide que je pensais. Puis il me critiquait, ENCORE, à croire que c’était son passe-temps favoris, et après c’était moi qui étais « fan » de lui. Le truc c’est qu’il ne pouvait pas se passer de moi et il avait besoin de me critiquer pour ne pas le montrer, oui oui, j’avais compris son petit jeu. D’un côté comment ne pas succomber au charme de Calypso Thomspers. Peut-être que je suis rien comme tu dis, mais en attendant moi, j’suis encore présentable dis-je en indiquant la grosse tâche sur sa chemise. Il commençait à enlever sa chemise, okaaaaay, caly calme tes ardeurs, c’était pas ce que j’avais prévu. Je voulais l’énerver, pas admirer ce qu’il y avait en dessous. M’enfin, je restais stoïque, c’était pas la première fois que j’avais l’occasion d’apercevoir cette partie de son corps. Non mais tu as cru que j’étais ton esclave ou quoi ? Débrouille toi Halberstam c’est pas mon problème ! dis-je en mettant un coup de pied dans sa chemise qui partait un peu plus loin. Bah ouais j’étais pas footballeuse professionnelle non plus, et essayez vous de shooter dans une chemise. Puis j’aime bien cette vue , j’ai pas envie que tu te rhabilles répliquai-je en me mordant la lèvre. Baaaah quoi si on a même plus l’droit d’être honnête, voilà, c’était dit.

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