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VADE RETRO SATANAS ❋ CALYPSO

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La vipère était de retour, et elle était plus venimeuse que jamais. Pourtant pas question que le Mather se démonte devant les arguments de la jeune femme. Oh Calypso se croyait maligne, elle lui alignait à chaque fois la liste des raisons pour lesquelles elle ne pouvait pas se le voir dans le but de prouver qu'elle n'avait pas besoin de lui dans sa vie, Leo n'attendait qu'à voir tout ça. « Ah ouais ? Si je suis si inutile à ta vie pourquoi tu me parles là ? Pourquoi tu pars pas ? Pourquoi tu t'es pas barrée à la piscine l'autre fois ? Pourquoi tu m'as embrassé ? Pourquoi tu m'as bloqué sur ce banc ? Explique-moi pourquoi Calypso et je t'assure je te laisse tranquille. » Présentable, elle ? Pfu la blague. Non, elle l'était pas, et si elle attendait qu'il lui dise elle pouvait toujours rêver. Jamais la Thomspers n'entendrait aucun compliment de la bouche du brunet, il se le jurait. Même dans le cas où elle se mettait à de nouveau être gentille comme l'autre fois – oui il lui avait dit qu'elle était une horrible personne de lui faire ça, mais il avait assez prouvé que tout ça avait été assez agréable – jamais Halberstam ne lui ferait ce genre de confidence. C'était trop risqué, ça risquait de mal finir s'il se mettait à avouer qu'elle était plutôt pas moche. Il grimaça pendant qu'elle parlait, elle pouvait toujours s'étouffer avec sa langue tiens, il la laisserait crever parterre … Ouais enfin jusqu'au moment où il lui serait proposé de lui faire du bouche-à-bouche, simple mesure de secours. « Tu l'es déjà à moitié mon esclave. » confia-t-il en souriant avant de se résoudre à aller chercher lui-même un tee-shirt dans une chambre, il laisserait un gentil petit mot au pire des cas. Seulement ce que raconta brusquement la sorcière l'arrêta dans sa course, tiens intéressant. Apparemment ce qui n'était pas le problème de la Dunster allait vite le devenir s'il devait rester à moitié découvert. Tu parles d'une volonté de fer. Il fit volte-face, s'approchant d'elle, les mains dans les poches. « Ferme la bouche, il y a un espèce de filet de bave dégoûtant qui est en train de tomber, même si je t'aime pas, j'aimerai pas que tu sois vu en public comme ça. » Il essuya avec son pouce le filet de bave imaginaire de la blonde. « J'ose espérer que j'ai le monopole de ta bave. »
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Je levais les yeux pendant qu’il me parlait, faisant une tête ridicule afin de lui montrer à quel point ce qu’il me disait ne me touchait pas. Bon, j’étais pas complètement indifférente et je me posais toutes ces questions, s’il savait à quel point je me demandais pourquoi je l’avais embrassé, sûrement une folie passagère. Puis je ne voulais pas qu’il me laisse tranquille, j’allais pas lui expliquer, non mais oh. J’étais pas folle à ce point. Pourquoi tu veux savoir tout ça ? Ça va t’avancer à quoi ? demandai-je. Puis je continuais, puisqu’il voulait des explications, très bien. Moi aussi. Et toi alors ? Tu t’es bien laissé faire que je sache ? Pourquoi ? demandai-je à mon tour. Voilà 1 partout - enfin plutôt 10000 pour moi, mais bon j’suis généreuse, j’vais pas le descendre plus bas que terre il y arrive très bien tout seul, oui oui un haricot ça peut peser lourd -. Puis, il avait décidé de me faire du charme en enlevant sa chemise, comme si ça allait marcher… non non, je ne vais rien avouer par rapport à ce point, stop, c’était fini les compliments. Un haricot ne pouvait pas recevoir plus, ce que je venais de révéler était suffisant. Puis il m’expliquait que j’étais déjà à moitié son esclave, haha la blague. Je n’étais l’esclave de personne, mais encore moins de lui. C’était beau l’espoir, j’étais même tentée de rentrer dans son petit jeu mais je ne pouvais me faire traiter de la sorte. En attendant je ne ramasse pas ta chemise, je m’en sors pas trop mal pour une esclave, puis il faut savoir vivre avec son temps, l’esclavage ça n’existe plus, quoique peut-être dans tes rêves, mais c'est tout. dis-je avec un sourire espiègle. Il rêvait de moi, toutes les nuits, je le savais. C’était évident. Il partait en direction des chambres, avant que je ne fasse ma révélation - qui était une erreur, avouons-le, c’était lui donner du pouvoir-. Pourquoi tu veux avoir le monopole si ma bave est si dégoûtante ? dis-je en reprenant ses paroles, bah ouais, il était pas logique, normal c’était Leo, jamais logique celui-ci.
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Leo croisa les bras, ah ouais elle voulait pas répondre ? Madame n'avait pas besoin de bonne raison pour l'embrasser, pas pour l'emmerder non plus, pour le bloquer dans un coin et le faire languir non plus, puis si elle avait envie de devenir brusquement amie avec lui un beau jour elle n'aurait pas d'explications à donner non plus. « J'ai le droit d'avoir des explications. T'as mis ta langue dans ma bouche et ta main sur mon maillot, je peux me poser des questions ? » Y en a assez, Halberstam allait finir par se vexer, par vraiment croire qu'elle avait fait ça sur un coup de tête, que ça aurait pu être n'importe qui. Il n'était pas n'importe qui, qu'elle le comprenne bien. La blonde démoniaque réclama à son tour de savoir pourquoi le Mather avait laissé faire. Ouuuuh la copiteuse, elle pouvait pas créer ses propres questions ? Pfu aucune personnalité. « Parce que t'es une fille, t'es insupportable, t'es chiante, et encore je suis poli, et j'ai cligné des yeux tu avais imposé ta bouche sur la mienne, et je fais ce que je veux. » Si elle croyait qu'il allait lui dire quoique ce soit de plus, ne serait-ce qu'avoue que si elle avait été juste une fille comme il disait, il l'aurait repoussé, elle se mettait les deux mains dans un seul œil. Le jour où il avouerait rien qu'elle était jolie, ce serait sous la torture, et la vraie torture, pas la pseudo torture que Calypso lui avait infligé. Et il faisait d'elle son esclave quand il voulait … Bon ok, dans ses rêves, il le concevait, mais il pouvait le faire. Sa chemise l'appelait parterre, quand même, ça lui faisait mal au cœur qu'elle soit tristement jeté en boule, mais pas question qu'il fasse ça devant elle, elle allait encore le réduire en miettes. « Je sais pas, mélangée à la mienne ça donnait quelque chose de sympa. Elles sont peut-être complémentaires. » Ouh ça le démangeait, mais il n'allait certainement pas lui donner la satisfaction de lui donner rien qu'une bise sur la joue. Il fixa la blonde du regard, un air de défi dans celui-ci, le sourire bloqué sur les lèvres. « T'es pas d'accord Thomspers ? » Oh puis zut ! Il s'en moquait si elle était d'accord, qu'elle réponde oui ou merde, ça commençait à être gênant d'être torse nu au milieu de la Dunster House.
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Leo faisait son Leo quoi, rien de surprenant jusque-là. Il me sortait son petit air insupportable, gentiment accompagné d'une jolie frimousse, malheureusement. Mais il n'allait pas m'avoir aussi facilement le petit. Bon, il marquait peut-être un point, il méritait sûrement des explications, mais s'il pensait que j'étais prête à me dévoiler de la sorte, et bien, il se trompait. Oui oui fais ce que tu veux, mais j'ai pas envie de répondre, puis maintenant c'est du passé pourquoi tu veux revenir dessus ? demandai-je. J'allais commencer à croire qu'il avait aimé m'embrasser. Néanmoins, je restais de marbre jetant un petit regard méprisant à son égard, m'enfin j'étais pas persuadée que j'étais très crédible dans ce rôle mais je faisais de mon mieux. Il fallait me comprendre aussi, il y avait un gros élément perturbateur dans le coin, et il se trouvait devant moi, dorénavant nu, puisque la chemise était toujours à terre. Bah ouais, il était peut-être insupportable, et j'avais déjà vu cette partie de son corps, mais ça m'faisait toujours de l'effet. Chut. Ah ouais t'es ce genre de mec toi, le genre qui dit non à rien... tu dois vraiment être désespéré mon gars, c'est triste ! Mais tu sais quoi Leo ? dis-je en le défiant du regard. Je fais ce que je veux aussi ! Puis je vais pas te mentir, ça me faisait plaisir de te voir à ma merci de la sorte dis-je avec un clin d'oeil. Le truc c'est que, sous cette mascarade, si on me demandait d'être véritablement honnête, et bien je serais tout simplement incapable de répondre. Pourquoi avais-je décidé de mettre ma langue dans sa bouche, c’était la question du jour. Puis, moins je le supportais, plus il m’attirait, une seule conclusion semblait logique : j’étais folle. Folle c’était le mot, mais au moins je n’étais pas la plus zinzin dans la pièce, dieu merci. Je levais un sourcil lorsqu’il me disait que lorsque ma bave était mélangée à la sienne, cela donnait un truc « sympa ». Je vacillais entre l’idée qu’il se foutait ouvertement de ma gueule, ou si c’était une manière pas très subtile de me dire que ouais, il avait aimé autant que moi ce mélange de bave. Et il me demandait si j’étais pas d’accord, génial ! Comme si je savais quoi répondre moi maintenant, j’venais de me faire poser une colle par un haricot, si c’est pas classe ça. Je me mordais la lèvre inférieure qui trahissait ce que je pensais réellement. Peut-être qu’elles le sont ouais, complémentaires, mais j’me rappelle plus trop dis-je, le défiant presque. Il faut apprendre aux haricots à assumer leurs paroles jusqu’au bout. Puis, j’avais trop de fierté pour lui refaire un don de bave, même si je me rappelais très très bien.


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Que du passé ? Ça la gênait de revenir dessus peut-être. D'un côté elle avait raison, à quoi bon se ressasser sans cesse ce terrible cauchemar. Tout le monde fait des erreurs de parcours hein, c'est clair qu'ils pouvaient se passer de débattre sur cet écart, c'était lui donner de l'importance, un sens, une signification et bon sang de bonsoir, il n'avait aucunement envie qu'elle se mette à réclamer un intitulé exact à leurs embrassades de la piscine. C'était rien, ni une erreur ni l'expression d'une espèce d'attirance difficilement contrôlable de la part de Leo quand il croisait Calypso. Quoique la dernière proposition était ce qui se rapprochait le plus du ressenti du Mather face à tout ça. Tout ça c'était Calypso, la fille la plus adorablement insupportable, ça arrangerait grandement le brunet qu'elle se prenne un bus dans la figure pour ressembler plus à Ribéry. « Oh désespéré je le suis, je sais plus quoi faire de toi, tu peux pas dégager ? Tu me saoules, toujours là gnagnagna, pars avant qu'on se mette à revivre le passé. » Il leva les yeux au ciel. À sa merci de rien du tout. C'était juste un moment de faiblesse, elle savait appuyé où il fallait c'est tout, en aucun cas elle avait prit le pas sur Leo, qu'elle s'enlève ça de suite de la tête. « Il y a pas que ça qui te faisait plaisir. » dit-il avant de pouffer. Non mais sérieusement, comme si elle n'avait pas mouillé sa culotte elle aussi. Mais c'est qu'elle mettait du temps la Thomspers à répondre. Oh il ne fallait pas autant hésiter, elle n'avait qu'à avouer à quel point ça lui manquait, qu'elle avait essayé tant bien que mal de reproduire la délicieuse bavounette de Leo, ah c'était tellement génial de la voir mal à l'aise. Elle se mordillait la lèvre, ce qui lui donnait un air tout à fait … Non toujours aussi moche, beurk, elle le dégoûtait, un tue-l'amour à elle toute seule la fille. « C'est dommage, c'est le genre de souvenirs qu'il faut conserver. À vrai dire je pensais que tu t'en souviendrais longtemps juste pour pouvoir me le rappeler et le ressortir dans les moments qui faut pas. Tu me déçois. » Il ramassa finalement sa chemise. Tant pis pour la tâche, il la remit. « Avec tes conneries je vais être en retard en cours. » Il tourna les talons, prêt à quitter la Dunster House. C'est ce qu'il fit d'abord. Il marcha, marcha, prêt à passer la porte avant de faire demi-tour. Il tira la blonde par le bras, attrapa sa taille avant de l'embrasser longuement. En s'arrêtant, il se racla la gorge. « Juste pour que tu t'en souviennes et que je puisse te le ressortir dans un moment où il faut pas. »

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Il était vraiment trop débile garçon, en fait il me faisait de la peine… Ses pauvres parents, ils devaient en voir de toutes les couleurs avec un guignol comme celui-ci pour fils. Il pouvait concurrencer le grand journal à lui tout seul, j’vous assure. Et en plus il me parlait mal, le ponpon, il se sentait vraiment plus le pauvre. Je le saoulais peut-être, mais il était loin d’imaginer à quel point il me saoulait à moi avec ses petits airs. Puis je préférais même pas aborder le sujet de son corps sans chemise… ahem, je ne voulais plus avoir cette image dans la tête, parce que ça me détournait de mon idée principale par rapport à lui. Mais dégage toi, je t’ai rien demandé Halberstam, puis c’est ma maison là dis-je histoire de remettre les pendules à l’heure, c’était lui avait décidé de me suivre, j’étais conscience que la capacité cérébrale d’un haricot n’était pas très développée mais quand même, c’était pas la mer à boire pour le coup. Puis il reparlait de nouveau du passage « piscine ». Bon, encore une fois, il avait raison, j’pouvais pas m’empêcher de continuer à mordre ma lèvre lorsqu’il me disait qu’il n'y avait pas que ça qui me faisait plaisir. Pour une fois, il faisait preuve d’intelligence, je devais l’avouer. C’est ce que tu crois m’exclamai-je, jamais je n’avouerai que j’avais pris de plaisir, certes bref, mais du plaisir. Il avait déjà un égo surdimensionné, ce n’était pas la peine d’en rajouter. Je n’étais pas une énième groupie de monsieur Halberstam, désolé. Il était insupportable, arrogant, moche… non pas moche, mais c'était pareil. Horrible quoi le garçon. On ne pouvait le fréquenter que par pitié, malheureusement, je n’étais pas une oeuvre caritative prête à m’apitoyer sur le sort de tous les débiles du coin. Si tu t’en souviens c’est déjà ça, c’est que ça t’a marqué dis-je avec un sourire mesquin. Il ramassait sa chemise, j’devais avouer que sur le coup j’étais déçue, je m’attendais à ce qu’il réagisse de la manière dont je voulais… Je voulais me rappeler, même si je m'en souvenais très bien. Mais j’avais trop fierté. Et si tu penses que te décevoir me touche, c’est que t’es vraiment en plein délire, puis tes cours, je m'en fiche mais alors comme de l'an 40 ! dis-je lorsqu’il s’éloignait, prêt à quitter la Dunster. Quel nul, mais alors quel nul. Je tournais également les talons, prête à rejoindre mes cahiers lorsque je sentais quelqu’un m’attraper par la taille en me tenant le bras, puis d’un seul coup, les lèvres de Leo se trouvaient collées aux miennes. Je clignais des yeux, vraiment surprise pour le coup. Attends, j’ai du mal à m’en souvenir encore dis-je sans lui laisser le choix, je l’embrassais à mon tour, goûtant de nouveau à sa bave. Mes mains entouraient son visage, et je le plaquais contre le mur du couloir, tant pis, je jouais le bonhomme, comme à la piscine. Quelle belle idiote je faisais mais qu’importe. Puis je rompais le baiser, un sourire satisfait aux lèvres. J’aime te décevoir en fait.


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Il allait lui bouffer le nez, vraiment, il ne supportait plus, mais elle ne pouvait pas se taire ? Laisser les pauvres oreilles d'Halberstam en paix, il ne leur donnait plus beaucoup à vivre s'il continuait à la croiser. Sa voix partait dans les aigus, absolument inaudible. Ou alors c'est juste pas le genre de choses qu'il aimerait entendre, elle avait rien de plus doux à lui dire ? Genre qu'il était le plus merveilleux garçon qu'elle avait croisé de toute sa vie et que ses journées se résumaient à s'imaginer en robe de mariée à son bras, un truc cool, mignon, tout doux à l'oreille auquel il répondrait un 'merci Calypso ça me touche'. « Oh et tu comptes faire quoi pour marquer ton territoire, vas-y fais voir qu'on rigole ! » Leo décida de partir, c'est bon, ça servait à rien de rester, elle n'avait absolument pas changer, exactement la même qu'avant, pourtant il avait espéré que le pouvoir magique de sa salive adoucirait la blonde. Tu parles, elle était pire. Ou alors il se faisait vieux et il supportait de moins en moins ce genre de choses. Tandis qu'il partait et qu'elle le sermonnait encore et encore, il se boucha les oreilles comme un gosse. Enfin ça c'était avant qu'il fasse demi-tour pour réclamer ce qu'il voulait, embrassant la sorcière, prêt quand même à déguerpir au cas où elle lui en foute une en plein visage, ce qui ne l'étonnerait pas. Mais pensez-vous, elle en réclamait plus, il devrait l'enregistrer à chaque fois qu'elle disait en avoir rien à faire de l'embrasser ou non, vraiment, il monterait un sacré dossier. Il sourit, bon ok, elle l'avait fait sourire, ça va c'est pas comme si c'était particulièrement impressionnant on va pas en faire tout un plat. « T'en as pas marre de vouloir prendre le dessus comme ça ? » Il se tourna, renversant la situation, et c'est bon ! Qu'elle ne compte pas le rebloquer comme la dernière fois ! « Tu me déçois tellement. » Il dégagea le visage de Calypso de tout cheveu qui pourrait se balader avant de mélanger sa bave à la sienne langoureusement. « Tu te souviens pas encore très bien hein ? » Dit-il avant de recapturer ses lèvres une nouvelle fois, posant ses mains sur ses hanches. Puis il quitta ses lèvres un instant, avant de secouer sa tête en souriant. « J'espère que tu vas me décevoir encore longtemps. »
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Il continuait encore et toujours à me provoquer, seulement, avant de me laisser le temps de répondre il avait tourné les talons afin de rejoindre la sortie. Pas besoin de marquer mon territoire, il comprenait - pour une fois - les choses très bien tout seul. Vraiment contradictoire ce Leo, aucune logique, aucune réflexion, bref, ça ne volait pas très haut. Néanmoins, pour une fois, il décidait de faire preuve d’intelligence en se retournant, venant m’embrasser. J’étais partagée entre l’envie de le tuer, je m’imaginais déposer mes mains délicatement sur son cou puis serrer, très fort. Le voir agoniser. Seulement, je voulais aussi continuer à l’embrasser, je voulais continuer à l’embêter. On se tait, merci. Déjà que ça m’énervait assez de lui montrer comme ça, il allait prendre le melon. Déjà qu’il était déjà énorme son melon, j’avais l’impression de vendre un rein lorsque je lui montrais que j’aimais sa bave. Le pire dans cette histoire c’est que je le faisais malgré moi. Seulement, il se trahissait également, laissant échapper un petit sourire, j’y répondais discrètement, sans quitter ses yeux. Les haricots, ça n’avait pas une grande cervelle, mais ça pouvait être énigmatique quand même. Il devait être un Haricot-Bactérie, les bactéries, j’vous assure, c’est vraiment très compliqué. Mais elles ne sont pas uniques, Leo, par sa stupidité, il l’était. Tu aimes bien quand je contrôle les choses, j'le sais dis-je lorsqu’il me collait à son tour contre le mur. Je perdais mon rôle de bonhomme, mais il fallait que j’apprenne à laisser ma place, que voulez-vous. Et tu aimes quand je te déçois constatai-je avant de l’embrasser de nouveau, passant mes mains dans ses cheveux, mêlant ma langue à la sienne. Puis, je reculais légèrement la tête en arrière. Franchement, j’ai du mal à m’en souvenir encore, c’est très abstrait cette histoire… dis-je en collant, encore une fois, mes lèvres aux siennes. Puis, d’une main adroite je déboutonnais avec rapidité la chemise de Leo, faisant sauter un bouton au passage, bah ouais, ça pouvait pas être parfait non plus HEIN. Je rompais le baiser, regardant son corps, de nouveau, à l’air frais. Mais ça commence à revenir je crois dis-je avant de déposer ma main sur son torse, jetant la chemise quelque part, elle était habituée au sol de la dunster maintenant.


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Oh, c'est pas vrai ! Même quand il faisait un effort surhumain, revenant sur sa bonne résolution de ne plus jamais se laisser tenter par les lèvres de la maléfique fée Thomspers, elle arrivait à trouver un moyen de lui casser les pieds. Leo n'aimait vraiment pas quand elle contrôlait trop justement, il refusait qu'une fille, et encore plus Calypso, le prive de son autorité, il ne voulait en aucun cas être à la merci d'une fille, il serait déjà suffisamment priver de son libre arbitre quand il serait marié. Si elle voulait tant le contrôler, voyez ce qu'il lui restait à faire et il n'était pas prêt d'accepter. Hého on parle de Calypso là. Il préféra ne pas répondre, de toute façon il avait la bouche pleine, on parle pas la bouche pleine, simple question de principe. Puis s'il y avait bien une chose qu'elle avait de délicieuse c'était ses lèvres, le reste, nul, pourri, beurk, dégoûtant, à jeter, à refaire, enfin non, il gardait bien son enveloppe corporelle, c'est le reste qu'il voulait virer. Mettant leur baiser en suspens un instant il soupira. « Si tu savais comme c'est agréable, quand tu parles pas, continue à m'embrasser ça t'occupe, tu serais presque potable quand tu la fermes. » Avant qu'elle n'ait le temps de lui répondre, donc de lui brouiller les tympans et la cervelle, il l'embrassa de nouveau, glissant ses mains sur son postérieur. « On va prendre le temps de te réapprendre alors ça serait con que tu rates ça. » Et décidément, Caly avait un vrai problème avec sa chemise, non contente de lui avoir tâchée et bousillée, la voilà qui s'en débarrassait, la jetant au sol. Bon après … ça lui déplaisait pas non plus. Elle posa sa main contre son torse tout à fait dénudé, provoquant une série de petits frissons chez Halberstam, tout à fait léger. Regardant d'ailleurs sa main il sourit, moqueur. « Je voyais bien que depuis toute à l'heure ça te démangeait, il suffisait de demander tu sais, passer par le stade bisou baveux c'est un peu superflu. » Ouais ou pas, mais c'était juste pour le plaisir de la contredire, il avait beau la supporter un peu mieux quand leurs baves étaient mélangées, ça restait quand même léger. Doucement il rapprocha de nouveau ses lèvres des siennes, pour une nouvelle fusion de la bave, il glissa ses mains sous le tee-shirt de la jeune femme, il prenait son temps que mini-Leo ne se réveille pas trop tôt et qu'il soit de nouveau torturé par la malheureuse Thomspers. Un ou deux étudiants se risquèrent à passer dans le couloir, Leo les ignora le plus royalement du monde, il ne chercha pas à se rhabiller ni à être moins entreprenant avec Caly. S'ils étaient gênés ils n'avaient qu'à passer leur chemin. « Je trouve que tu prends un peu trop de plaisir, t'as pas peur de devenir dépendante ? C'est des choses qui arrivent tu sais. »
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Leo était toujours si agréable et élégant lorsqu'il ouvrait la bouche. Non je déconne, une vraie vipère, en pire. Vraiment, il y avait un gros problème d'éducation chez ce garçon, plus mal éduqué c'était difficile à trouver. Heureusement qu'il avait une bonne tête, sinon il serait foutu de chez foutu, déjà qu'il l'était pas mal. J'en pouvais plus de lui, de ses remarques, de ses lèvres, de son torse. Ouais tout ça, j'en pouvais plus, parce qu'il était drôlement con mais il avait quand même de quoi se faire remarquer. Outre sa stupidité irréfutable, il était quand même ultra attirant et ça c'était injuste. Il ne méritait même pas dix secondes de ma journée, même si à présent j'étais prête à passer trois heures coller à ses lèvres. Ne me cherche pas Halberstam dis-je avant de poser mes lèvres sur les siennes, puis avec délicatesse quand même, ne voulant pas gâcher le seul organe potable chez lui, je mordais légèrement sa lèvre inférieure. Ensuite, je rompais le contact entre nos lèvres, un sourire malicieux s'affichait sur mon visage. Et tu sais aussi bien que moi que là j'suis gentille alors toi, ferme-la. S'il pensait que j'allais tout lui passer juste parce que monsieur embrassait merveilleusement bien, il se trompait véritablement. J'étais déjà gentille d'accepter de lui faire un don de bave, il ne fallait pas pousser trop loin non plus. Bon après je n'avais rien contre le don de bave qu'il me faisait lui-même bien évidemment. Mais je n'étais pas si facile à entourlouper surtout pas par un mec sans cervelle. Un haricot pardon. Ouais j'crois aussi, mais pour l'instant tu n'es pas un très bon professeur... Puis, j'avais décidé d'enlever sa chemise et à présent ma main se trouvait sur la peau de monsieur l'imbécile, ça me rappelait presque notre mésaventure à la piscine. Le problème avec Leo, c'est que je ne savais jamais comment tout allait se terminer, ni ce que j'allais faire, mais pour l'instant, tout était très bien. Enfin jusqu'à ce qu'il ouvre la bouche. Blablabla. C'est toi qui en rêvait, seulement, le seul moyen que tu as trouvé pour que ça arrive, c'était de m'embrasser, inverse pas les rôles comme ça... Je m'approchais de son oreille avant de souffler. Je sais que tu m'adores. Au même moment je sentais les mains du jeune homme passer sous mon tee-shirt, je voulais l'envoyer bouler mais... non. Parce que j'pouvais pas le repousser là maintenant, même s'il m'énervait. Oh tu sais, il m'en faut plus pour devenir dépendante, et qui te dit que j'y prends du plaisir ? J'essaye juste de me rappeler. Je laissais mes mains parcourir son torse, reprenant notre baiser, me collant sûrement trop à lui afin d'appuyer légèrement sur son entrejambe, et oui, je connaissais les points sensibles de monsieur.
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