Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityJOANDRO ♥ You're married, I am a father .. Life sucks. - Page 3
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JOANDRO ♥ You're married, I am a father .. Life sucks.

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Est-ce que je suis prêt à prendre le risque de nous faire surprendre par la mère de ma fille ou bien suis-je prêt à prendre le risque d'être embêté par les pleurs de ma fille ? Bien sûr. Même si j'aime ma fille je ne suis pas le père de l'année et j'en avais absolument rien à faire qu'Ornella me prenne en flagrant délit. C'est simplement pour Joan, pour pas qu'elle se sente mal à l'aise à cause de cela mais visiblement elle était prête à prendre le risque, m'embrassant toujours aussi merveilleusement bien. Sans hésiter. murmurais-je en laissant ma main glisser le long de son corps, ne voulant plus détacher mon corps du sien. Sauf que l'hypothèse qu'Ornella revienne d'un instant à l'autre juste pour le plaisir de foutre le bordel - ce qu'elle est d'ailleurs capable de faire - m'embêtait un peu. Donc doucement je rompais tout contact avec Joan pour me diriger jusqu'à la porte d'entrée, insérant ma clé à l'intérieur de la serrure pour fermer la porte à clé en laissant bien évidemment ma clé dans la serrure pour empêcher la mère de ma fille d'entrer même avec la sienne. Héhé pas con le Spinelli non ? Je rejoignais de nouveau la belle jeune femme sur le canapé, profitant que je sois début pour retirer rapidement mon t-shirt, revenant ensuite m'allonger sur Joan pour kidnapper ses lèvres une nouvelle fois. Au moins comme ça le problème Ornella est à exclure .. Espérons juste que la petite ne se réveille pas. murmurais-je, laissant mes lèvres glisser dans sa nuque. Il faut vraiment être con pour vouloir te résister .. Disais-je en souriant. Ouais j'ai été terriblement con à vouloir résister à la tentation, à me chercher des excuses bidons, finalement je m'en fous qu'elle soit mariée à mon pote, elle m'attire bien trop pour que j'arrête de passer du bon temps avec madame Bleeker.
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Elle avait manqué se faire un torticolis en tournant la tête et gigotant sur le clic-clac pour regarder ce qu'il avait décidé de faire, autant il était pris d'une soudaine folie et il se barrait, ou alors c'était son plan depuis le début, occuper Joan le temps qu'elle baisse sa vigilance et prendre la fuite quand elle ne s'y attendait pas. Un peu comme il avait fait quand il ne lui avait pas donné de nouvelles alors qu'il avait été un témoin plus de parfait pour son mariage. C'était tout à fait le genre de trucs tordus que pourrait faire la jeune femme, elle ne devait pas être la seule avec une imagination aussi … débordante. Mais c'était bon, il revenait, quittant même son tee-shirt au passage, pour le plus grand bonheur des petits yeux de la Lowell. Un vrai délice vraiment, il avait failli redoubler mais à ce rythme-là il allait vite devenir premier de la classe. La brune rit doucement avant de répondre. « On va être le moins bruyant possibles, on va essayer, perso je promets rien, mais c'est faisable. » Et dans le pire des cas ils n'auraient qu'à se rhabiller et ronger leur frein. Ses mains retrouvèrent le contact fort agréable du torse du jeune homme, ses lèvres goûtant à nouveau à celles de Leandro. Elle le libéra, un sourire amusé sur le visage. « T'es passé à deux doigts de la connerie tu sais, tu t'es rattrapé à temps, la débilité profonde c'est dur à récupérer. » Elle glissa ses mains plus bas pour défaire l'attache du pantalon du Dunster, et lui fit glisser lentement le long des cuisses, et ben oui elle était encore parfaitement habillée mais on s'en fout hého. Elle faisait ce qu'elle voulait d'abord lalalalalala.
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Le problème Ornella réglé, il ne me reste plus que ma fille à gérer mais bizarrement j'ai confiance. D'ailleurs la remarque de Joan me fit rigoler, comme si on arriverait à rester silencieux. Je l'embrassais rapidement avant de décaler mes lèvres des siennes. Faisable ? Non je crois pas que t'en sois capable, mais je t'en veux pas .. Moi ça me plaît. Disais-je en rigolant histoire de la taquiner un peu. Quel mec dirait à une fille 'non sérieux arrête de gémir ça me déconcentre!' ? Et soyons francs je suis pas non plus très discret lorsque j'atteins le point de non-retour. De toute façon les Spinelli ont un sommeil de fer, je suis persuadé que ma fille restera bien endormie pendant que papa fait des jeux de grands avec la femme de son pote. La remarque de Joan me fit sourire, mais je n'ai pu ajouter quoi que ce soit qu'elle commençait déjà à me mettre nu, le moins que l'on puisse dire c'est que la lowell est entreprenante et ça aussi ça me plaisait chez elle. Je l'aidais alors à enlever mon jean, enlevant par la suite mon boxer mais le seul petit problème ? C'est qu'elle était encore parfaitement habillée pour mon grand désespoir. Doucement je m'allongeais de nouveau sur elle, murmurant au creux de son oreille. Il n'y a pas de raison que tu sois la seule à en profiter. Doucement j'embrassais sa nuque avant de l'aider à enlever son haut, puis son soutien-gorge avant d'embrasser sa belle poitrine et de m'attaquer à son bas, laissant tout de même son dernier sous-vêtement masquer le restant de son magnifique corps car j'en avais pas la force, ses lèvres me manquaient déjà et sans plus attendre je venais reprendre ses lèvres en otages, l'embrassant fougueusement tout en laissant ma main caresser ses seins.
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Mon dieu mais dans quel sens totalement improbable partait cette conversation. Enfin … conversation c'est fort dire, ils étaient pas spécialement en mode 'ayons une conversation sérieuse sur le tsunami de 2004 et ce qui a été accompli que Sri Lanka depuis', non bien sur que non, même si Joan pouvait être barbante au possible quand elle le voulait, elle n'avait pas atteint ce point de bêtise. « Ah ben tiens, monsieur veut être certain d'avoir bien accompli son boulot. » Fallait se méfier, depuis que la jeune femme était entrée chez les Lowells elle avait eu tout le temps possible pour travailler ses vocalises, faut faire gaffe qu'elle pète pas les deux-trois biberons en verre qui pouvaient traîner dans le coin. Bleeker avait entreprit d'enlever les vêtements de Leandro, laissant ses mains se promener là où bon leur semblait, en profitant au passage, parce qu'il était quand même pas mal formé le brunet. Bon, bien sur, il fut un temps où Leandro se mit à râler, exigeant que la Lowell se mette à nu à son tour et au sens propre du terme. Elle protesta à moitié, elle allait pas se plaindre non plus et se débattre pour partir, tant qu'il le voudrait elle serait coller à ce canapé. « Naaaaan j'aimais bien cette supériorité textile que j'avais, j'ai pas eu le temps de me préparer à être réduit au même rang. » Mais mais mais, elle n'eut pas le temps de plus discuter, gagner du temps elle savait pas faire, elle avait déjà le haut en moins avant qu'elle ne puisse protester encore. Puis le soutient-gorge vola, le bas aussi, yoloooo. Les lèvres du jeune homme faisaient leur chemin laissant Joan frissonnante et brûlante de désir. Un vague gémissement s'échappa de ses lèvres avant qu'elles ne retrouvent celles de l'Italien pendant ses mains se crispaient sur son dos.
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Sa remarque me fit rigoler, quel homme sur terre n'aimerait pas avoir confirmation qu'il se débrouille pas mal ? Et je suis certain que c'est la même chose pour les femmes. Non je veux juste que tu prennes autant de plaisir que moi .. Et je veux aussi faire chier le connard qui me sert de voisin. disais-je en rigolant à ma propre connerie. Bon c'est vrai que je hais mon voisin, ce vieux con et son balai dans le derch mais en réalité je m'en fiche pas mal. Je veux juste que Joan soit autant comblé que moi lorsque je passe un bon moment avec elle. Par contre elle semblait vouloir me rendre dingue, notamment en voulant garder ses vêtements mais c'est mal connaître Leandro Spinelli, l'homme qui déshabille les femmes aussi vite que Lucky Luke sort son arme. Puis autant être franc, ses gémissements me rendaient déjà totalement dingue. Oh mais je t'en prie .. Remets tes affaires si tu veux, je ne t'oblige à rien. Disais-je en souriant avant de parsemer son corps de caresses et baisers. Au-delà des plaisanteries, j'ai bien du mal à résister à la tentation, Joan est belle et magnifique, n'importe quel mec craquerait devant elle et moi le premier. J'ai envie d'elle, de ne faire qu'un avec elle mais j'ai aussi envie de l'embêter car même si j'ai abandonné l'idée d'être raisonnable avec la femme de mon pote, ça n'empêche pas que ce mariage me dérange toujours autant. Je laissais donc mes mains glisser sur son corps de rêve avant de remonter mes lèvres contre les siennes. Qu'est-ce que tu attends pour récupérer tes affaires ? lui demandais-je en souriant avant d'aller chercher de nouveau sa langue pour qu'elle puisse s'amuser avec la mienne. Bon ce petit jeu est bien sympa, mais mini-Spinelli est impatient de ne faire qu'un avec madame Bleeker.
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Elle ricana, ils seraient certainement de très mauvais sujets pour l'émission de Stéphane Plaza dont j'ai perdu le nom mais osef, je sais que dedans c'est des voisins qui se battent et à la fin tout le monde s'aime et boit l'apéro ensemble. « Si tu veux je peux t'aider à le faire déménager. » Effectivement, s'ils étaient déshabillés, ça faciliterait l'affaire. Et comme Joan s'était mise à râler, réclamant de garder ses vêtements – la bonne blague – le jeune homme l'invitait gentiment à reprendre ses affaires. Elle le regarda avant de rire, la forcer ? Il la forçait à rien bien au contraire, et même si elle avait voulu partir ne serait-ce que pour lui montrer qu'elle était tout à fait capable de partir, elle était bloquée sur le clic-clac, incapable de bouger. Il lui donnait quand même assez envie de rester. La Lowell soupira outrageusement, quitte à faire part de sa – fausse – exaspération, autant bien le faire. « Je vais partir alors, je me demande lequel de nous deux sera le plus embarrassé, t'avais l'air assez motivé quand même. » Bleeker repoussa alors Leandro, bon vous pensez bien que c'est pas à sa force à elle qu'elle allait le faire tomber du canapé. De toute façon, il revint à la charge, l'incitant de nouveau à partir oralement, mais son baiser, disait tout le contraire. Maintenant qu'elle l'avait mis à nu au sens propre du terme, elle n'allait pas s'arrêter en si bon chemin, il allait pas s'en remettre le pauvre gosse, Joan voulait bien faire la charité mouhaha. Elle pressa mes mains contre la nuque du brun, lui rendant aussi bien son baiser. « Attends. » dit-elle en se détachant tout doucement, faisant glisser son dernier morceau de tissus. Bon elle estimait que Leandro avait pas besoin d'invitation pour entrer.
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