2o ans plus tard ...(FINI)[ Phoebus.

Ah, le retour dans le passé, elle y a souvent pensée, et songé. Si seulement c'était possible. Au début de son coma, Maëlyn aurait aimé être à sa place. Juste pour ne pas vivre ce qu'elle a vécus, c'est égoïste, c'est vrai. Mais la frustration de le voir allonger dans se lit d'hôpital qu'elle ne peut même plus encadrer … Surtout qu'ils étaient très fusionnel, l'un ne marcher pas sans l'autre. Quand il a plongé dans son long coma c'était comme si on lui arracher une partie d'elle. Elle sourit quand il parle d'effort. Elle secoue la tête comme pour dire non. " Ce n'était pas des efforts … c'était juste normal, et naturel. Je voulais être sûr d'être là le jour au tu ouvres les yeux … je m'en veux que ça ne soit pas arrivé au moment où j'étais là. " Dit-elle en levant son regard vers le sien. Au fur et à mesure qu'il parle, elle se rend bien compte qu'il est resté le même, mais alors pourquoi tout semble si froid entre eux? Elle ne sait pas, mais elle espère que la situation va se décoincé au plus vite.

Elle le regarde et lui demande. " Mais … tu te souviens encore de ce que l'on a vécus avant l'accident? … " Elle avait un doute maintenant. Elle l'espérer en tout cas. Ils s'étaient tant aimer, que de savoir qu'il a toute oublié lui briserai certainement le cœur une fois de plus. C'est maintenant qu'elle se rend compte que se sentiments c'était juste mis sur pause. Puis il lui annonce qu'il a repris ses études. Sa première réaction et de faire les gros yeux. C'était possible? Elle aller le croiser alors tous les jours? Dans les couloirs? Elle espère qu'une chose c'est ne pas l'avoir en cour. Elle sera certainement incapable de faire cours face à lui. D'ailleurs chaque fois qu'elle croise son regard l'émotion fait surface. Sa faisait vingt ans qu'elle attendait de recroisé son regard bleu turquoise, maintenant qu'elle peut le faire elle n'y arrive pratiquement pas. "Tu … tu as repris les cours ? " Elle essaie de cacher sa déception mais c'est impossible, elle ajoute très vite pour masquer sa réaction. " C'est bien … tu as choisis qu'elle filière? "Elle sourit a sa question tiens son humour ne s'est pas effacer durant cette longue sieste. Mais c'était une bonne question à laquelle elle était incapable de répondre. Elle réfléchit un instant. " Je suis resté Mademoiselle. " Dit-elle sur un ton un peu ironique bien que ce soit vrai. Puis comme ça, elle évite sa question. Elle denterai l'entendre l'appeler madame, ou encore qu'il la vouvoie. Ils ont tout de même des enfants ensemble.

Quand elle lui dit qu'elle est actuellement accompagné, elle a comme l'impression que sa lui fait ni chaud ni froid. Elle ne sait pas comment le prendre, mais elle n'en dit pas plus. Quand son copain a appris que Phoebus était sortie du coma, il a un peu tout fait pour éloigner Maëlyn de lui, il a un peu peur que ce qu'il pense se passe. Puis il lui demande pourquoi elle a choisi cette université. Elle se pince les lèvres, et lui répond, très sincèrement. Car après tout c'était inutile de cacher les raisons " Eh bien … parce que c'est la plus proche de l'hôpital … puis parce qu'en restant ici, c'était un peu une façon de rester vingt ans en arrière. " Voilà c'était dit, maintenant il va certainement comprendre que finalement elle n'a pas fait un très grand chemin, et que depuis le coma, rien n'a vraiment beaucoup changé. " Mais nous ne sommes pas ici pour parler de moi … Comment se passe ton retour à la vie ? " Dit-elle en prenant sa boisson pour l'amener à ses lèvres. Phoebus était resté se jeune homme de vingt ans, elle s'en rend bien compte …

Il aurait tellement aimé que tout ça ne soit pas réel que rien de tout cela ne ce soit passé, mais, il fallait se rendre à l'évidence tout était vrai malheureusement ais je envie de dire. Il est clair qu'une machine à remonter dans le temps serait carrément super, ça réglerait tous les problèmes mais dommage la vie n'était pas un film de science fiction et on ne pouvait pas régler ses problèmes de cette manière. Tu sais, tu n'as pas à t'en vouloir de ne pas avoir été là le jour de mon réveil, tu as quand même passé 15 ans de ta vie à rester près de moi ce n'est pas rien quand même.

Il releva la tête en entendant sa question qui l'étonna. Je me souviens de tout, je ne suis pas amnésique, j'ai juste dormi pendant très longtemps. Je me rappelle la façon dont j'ai conquéri ton cœur, notre premières sorties en amoureux, le jour ou tu m'as annoncé ta grossesse, ma demande en fiançailles. D'ailleurs à mon réveil la première chose que j'ai dis c'est ton nom m'ont raconté les médecins, et puis, j'ai voulu récupéré la bague que tu m'avais offerte pour officialiser nos fiançailles. Il sortit alors une chaine planqué sous son t-shirt ou y était accroché ce fameux bijou. Même si maintenant tu en aimes un autre, je la garderais toujours près de moi.. Malgré ses 20 ans, il avait toujours été un gars très romantique près à tout pour surprendre la femme qu'il aimait et donc ce type était toujours là.

Finalement, il avait avoué reprendre les cours. Oui, je me suis enfin décidé et donc j'étudie l'archéologie en majeur et la politique en mineur. Mais ce second choix c'est pour faire plaisir à mon père. Ils allaient donc se voir tous les jours, d'ailleurs ce retour au source n'était pas vraiment anodin, il pourrait la voir tous les jours même si maintenant ils avaient quand même réussi à se faire des nouvelles connaissances, dont un petit flirt avec une eliot mais il préférait taire tout ça, mais bon, elle s'en rendrait compte tôt ou tard au détour d'un couloir. Même s'il flirtait avec cette jeune fille c'était qu'une question d'attirance et rien de plus, aucuns sentiments.

Il ne releva pas le fait qu'elle voulait resté en arrière et lui parla directement de lui. C'est assez difficile, il y a tellement de nouvelles choses en 20 ans, pour l'instant je suis beaucoup sorti, j'ai été découvrir les nouvelles boites de nuit et j'ai encore quelques visites à l'hôpital, visite de contrôle. Ils veulent surveiller mon évolution.

Maëlyn le regarde toute en l'écoutant. Il n'a pas tort, mais pour elle quinze ans à attendre et passé les voir n'est rien à coter de ce qu'il a vécus, et de ce qu'il vit actuellement, car elle est certaine que pour lui le plus difficile c'est maintenant. Revenir dans un monde comme le nôtre après tant d'année, comment ne pas dérapé. Et maintenant c'était ce qui l'inquiétait le plus. Elle a conscience que maintenant ce n'est plus elle qui a la monopole sur sa vie, car quand il était à l'hôpital, c'était Maëlyn qui décidait de tout, vraiment tout, de l'heure à laquelle il fallait lui faire sa toilette, et qu'elle gout aller être sa gastrostomie (a). Elle préfère ne rien dire, et ne pas en rajouter.

Si Maëlyn lui avait posé cette question, c'est juste parce qu'elle en doutait. Mais en même temps, Phoebus ne retrouve pas vraiment la même femme, du moins physiquement, à son époque, elle était belle et jeune. Maintenant sa a bien changé, bien qu'elle reste une jolie femme non mais ! Elle l'écoute, et retrouve tout de même le sourire, contente qu'il se souvienne de tout ça, et dans les moindres détails. " Tu me rassure… "Elle se dit que ce petit lien qui les liées tant finalement n'a pas disparu. Elle était presque soulagée de l'entendre. Elle le regarde sortir cette chaine sur laquelle pend la bague qu'elle lui avait offerte. C'était tout bête, mais ce qu'il venait de faire lui réchauffer le cœur comme jamais. Maëlyn avait gardé la bague de Phoebus, mais elle ne la porter plus depuis cinq ans à peu près. Elle avait pris conscience que pour avancer il fallait la quitter. Mais ce qui compter le plus pour c'est son tatouage.

Elle se redresse de sa chaise, et fin de se rapproche de lui, et regarder la bague de plus près, elle sourit en se souvenant dans qu'elle circonstance elle la lui avait offerte. " Ça me fait vraiment plaisir que tu la garde … elle représente vraiment beaucoup pour moi … " Maëlyn fait totalement abstraction de son copain actuelle. Pour elle sa relation avec lui n'avait rien à voir avec celle qu'elle avait eue avec Phoebus.

Elle l'écoute lui parler des cours qu'il va suivre, elle sourit et n'est pas étonné de ses choix. Mais elle se dit qu'elle va surement le croisé deux ou trois fois dans sa classe. L'Anthropologie est une matière assez vaste qui englobe plein de chose donc bon. Cette idée ne réjouis pas du tout Maëlyn, mais elle ne lui fait pas remarquer. Pour le moment elle ne la pas croisé, mais à vrai dire elle fait tout pour éviter ça.

Il lui parle enfin de lui, elle l'écoute comme toujours pendant vingt ans c'est lui qui la écouté xD elle lui doit bien ça. Quand il lui dit qu'il est beaucoup sortie, le coter possessive de Maëlyn fait automatiquement surface de par son attitude qui se tripote une mèche de cheveux, puis qui trifouille sa tasse dans raison. Mais le pire c'est de savoir qu'il a été en boite :O, déjà … Maëlyn reste muette un instant. C'est là qu'elle se rend compte qu'il a encore vingt ans à l'intérieur … Elle n'a pas remis les pieds en boite depuis bien longtemps la dernière fois c'était à vingt-cinq ans, et c'était parce qu'on l'a forcé! Puis elle hoche la tête quand il lui parle de l'hôpital. Maëlyn avait été totalement refroidis. " Fait attention à toi … "Pour elle qui dit sortie, dit nouvelle rencontre … Et nouvelle rencontre vous connaissez la suite ^^. " J'ai l'impression que tout nous sépare maintenant, et même temps que tout nous lie … c'est vraiment désagréable comme sensation." Maëlyn est persuadé que tout ne reviendra pas comme avant. " Les médecins t'en ont dit plus sur la suite? " Maëlyn avait été contacté par des journalistes qui étaient intéressé par le cas de Phoebus, son coma qui a duré vingt ans, elle a son chevet, puis son réveil. La façon dont le journaliste lui a proposé a mis Maëlyn dans une colère de dingue. Elle la envoyer balader, mais en voyant Phoebus maintenant, elle prend conscience que ce n'est pas à elle de décider. Elle lui en parlera surement par la suite.

Vingt ans s'étaient écoulés depuis leur idylle. Depuis son réveil il ne pouvait s’empêcher de se dire "et si je n'avais pas prit le volant ce soir là ?" mais bon, avec des si on mettrait une ville en bouteille n'est ce pas ?

Bien sur qu'il se souvenait de l'amour qu'il avait ressenti pour elle, et qu'il ressentait d'ailleurs encore probablement. Le réveil avait été dure, surtout quand il avait "rencontrés" ses enfants alors que la dernière fois qu'il les avaient vu ils portaient encore des couches culottes. Disons qu'ils avaient bien grandi et il fallait l'avouer, avoir louper l'enfance et l'adolescence de ses gosses le faisait bien chier. Il aurait tellement voulu être là pour soigner les petits bobos, pour leur apprendre à faire du vélo ou tout simplement être là pour leur premier pas. Pourquoi tu avais peur que je t'ai oublié ? Comment aurais je pu t'oublier, même amnésique je me souviendrais toujours de toi. Si ça ce n'était pas une déclaration je ne sais pas ce que c'est dis donc !

Quand il la vit se rapprocher de lui pour regarder la bague, il put sentir son parfum qui l'enivrait toujours autant on va dire. C'est normal, même si tu as quelqu'un d'autre, et même si je venais à refaire ma vie, tu seras toujours mon premier vraie amour. Refaire sa vie, il avait vraiment du mal à s'imaginer ça. Là il s'amusait à flirter avec une Eliot, il avait tellement perdu sa jeunesse qu'il voulait la retrouver maintenant, mais jamais il ne pourrait imaginer en aimer une autre, c'était Maëlyn qui était dans son cœur, malgré qu'elle ait vraiment changé, qu'elle ne soit pas la même fille qu'il a aimé dans le passé.

Il termina par lui parler de lui, de ce qu'il avait fait depuis son retour parmi le monde des vivants. Oui moi pareil, tu as tellement changé autant physiquement que psychologiquement. Les médecins aimeraient que je prenne 20 ans en quelques jours mais comment veux tu que ce soit possible ? Je ne veux pas avoir 40 ans moi !

Maëlyn avait plein de chose à lui dire, elle ne sait pas si il se souvient comment c'est passé son accident ? Car elle le sait, mais elle n'a pas non plus envie de lui rappeler tous ses mauvais souvenirs, sauf si il le lui demande. Voir ses enfants grandir sans leur père, c'est certain sa a été très dire pour Maëlyn, elle sait ce que représente de grandir sans un des parents. Mais de toute façon avec deux bébés du même elle n'avait plus trop le temps de se posé cette questions. Encore moins de remplacer le papa, puis de toute façon elle n'aurait pas réussis à remplacer le père. Il lui demande si elle a eue peur d'être oublié. Bien sûr qu'elle en avait eue peur ! Et pas qu'un peu. Elle hoche la tête, puis sourit presque timidement quand il lui dit qu'il est impossible de l'oublié. "Je ne sais pas … j'ai eu un doute, t'es un amour … " Dit-elle en souriant. Encore une fois ses paroles lui réchauffe le cœur, c'est fous comme en l'espace de quelque jours la vie de Maëlyn c'est encore transformé …

Venir toucher cette bague, elle avait l'impression que c'était l'unique contacte qu'ils allaient avoir aujourd'hui. Pourtant quand il était encore dans le coma, & avant qu'elle se mette en couple avec Robyn, elle se permettait un baiser sur ses lèvres a chacun de ses arrivés à l'hôpital, de prendre sa main & de la serrer en espérant un retour. C'est presque d'une petite voix qu'elle lui répond " Sache que c'est réciproque Phoebus … " Dit-elle en le regardant dans les yeux. Le faite qu'il pense a " refaire " sa vie, ne lui plaisait absolument pas … Mais elle ne se sent pas encore de rétorquer quoi que ce soit à propos de ça. Si il refait sa vie sans elle, elle ne veut surtout pas voir ça, & s'en éloigner le plus possible. Ajouter cette souffrance a son carnet, & c'est la fin (a).

Elle fixe ses lèvres quand il reprend la parole. Puis elle remonte son regard vers le sien, l'envie de se loger dans ses bras était horrible, mais ce n'était pas le moment. Il lui fait clairement comprendre qu'elle a beaucoup changé. Elle hoche la tête … " Oui … j'imagine que c'est un choc de me voir aussi vieillis … Je ne suis pas à mon avantage. " Dit-elle avec une petite touche d'ironie. Puis il lui dit qu'il ne veut pas avoir quarante ans. Elle grimace légèrement, elle avait un peu l'impression d'entendre ses enfants, mais c'est normal en même temps. " Je sais... sa ne doit pas être facile a accepter … j'ose esperer que sa viendra avec le temps. " Bon là elle a un peu dérapé sur sa dernière phrase, mais en même temps elle le pense. Elle espère qu'un jour il va réussir à avoir la maturité d'un homme de quarante ans. " Dit moi … tu as été contacté par des journalistes ? " En venant prendre sa tasse de cappuccino, malencontreusement, elle frôle la main de Phoebus, gêné, elle la recule automatiquement.

Depuis son réveil il avait du mal à retrouver sa vie, d'ailleurs sa vie d'avant ne reviendrait probablement jamais puisque ses enfants avaient grandi, sa fiancée en aimait une autre, et ses amis de l'époque avaient tous disparu "je ne sais ou". Et récupérer ce qu'il avait alors perdu étaient impossible, il était le même mais pas ses proches qui avaient bien évidemment évolué, après tout 20 ans ce n'est pas rien. Il se mit ensuite à la rassurer, bien sur qu'il se rappelait d'elle, de tout, il avait tout un tas de souvenirs de leur amour. Il lui sourit à son tour. Et bien voilà un truc qui n'a pas changé alors, plaisanta l'étudiant des eliot.

Il lui fit une petite déclaration qu'elle répondu plutôt positivement. Mais ça s’arrêtait là. Merci, et tu sais je ne t'oublierais jamais. Depuis qu'il était revenu d'entre les morts, il passait beaucoup de temps avec ses enfants pour apprendre à les découvrir, leurs envies, leurs passions ainsi que leur goût tout naturellement. Il était vraiment compliqué de rattraper le temps perdu après tout, ces deux jeunes gens n'étaient que des inconnus pour lui à son grand désespoir soit dit en passant. Oui il avait parler de refaire sa vie même si ce qu'il préférait ce serait carrément reprendre son histoire avec la jeune femme qui se trouvait présentement en face de lui.

Elle vint ensuite à parler de son physique, oui elle avait vieilli c'était indéniable mais elle restait quand même une belle femme. Tu te trompes, tu as toujours ce charme, charme qui m'a fait t'aimer il y a 20 ans. Il remarqua sa propre grimace et ne releva pas, il se doutait que ça l'ennuyait qu'il reste si immature mais il ne pouvais rien y changer. Il se doutait qu'un jour ou l'autre il devrait grandir mais le plus tard possible serait le mieux. Après ce qui était sur c'est qu'il allait devoir évoluer plus rapidement que les autres car sinon imaginez le dans 20 ans : il aurait l'aspect d'un type de 60 balais mais n'en aurait que 40 ans mentalement, cherchez l’erreur quoi. Elle espérait que cela viendrait avec le temps mais lui il avait du mal à se faire à cette idée. Ensuite, il releva la tête quant à sa question sur les journalistes. Oui, en effet, toi aussi je suppose ? Après je dois t'avouer que je fais tout pour les éviter. J'ai d'autres choses à penser en réalité.. Il baissa la tête quand il sentit la peau de Maëlyn contre la sienne mais fut un peu vexé de la voir reculer automatiquement. Il voulait prendre sa main mais avait carrément peur de la brusquer, après tout, son cœur appartenait à un autre type maintenant.

A son réveil, il s'était rendu compte que ses enfants le connaissaient mieux qu'il ne les connaissait lui. Il serait toujours reconnaissait à leur mère, donc à son ex (mot qu'il avait du mal à dire) d'avoir conserver le mythe de leur père faisant en sorte de ne pas être un inconnu pour ses deux progénitures. Heureusement qu'elle avait été là pour que ces derniers connaissent leur géniteur sur le bout des doigts. Et la preuve quand il était revenu dans le monde des vivants il avait eu droit à des cadeaux en fonction de ses goûts et de sa personnalité, preuve que son ancienne compagne se souvenait de ce qu'il aimait dans les moindre détail. Même si elle avait fini par le "remplacer", elle le connaissait encore par cœur et c'était assez flattant et jouissif de savoir cela.

Il sourit en entendant sa nouvelle phrase une nouvelle fois flattée de l'avoir marqué au point qu'il reste gravée dans son cœur. Car si chacun finissait par faire leur vie de leur côté elle ne l'oublierais pas. Après même si les temps avaient changés, il avait quand même du mal à se dire qu'il pourrait en aimer une autre. Certes il flirtait depuis son arrivée à Harvard avec une autre eliot mais c'était juste une certaine attirance qu'il y avait. Et il faut dire que de voir que malgré son physique de la quarantaine, il pouvait toujours plaire & séduire, cela était top pour lui qui avait juste peur de ne plus ressembler à rien.

Il continua encore & encore de la complimenter, il ne pouvait s'en empêcher. Il avait toujours été ainsi et d'ailleurs c'est de cette manière qu'il parvenait toujours à avoir ce qu'il voulait. Et c'était donc de cette manière qu'il avait réussi à conquérir la belle brune qui avait été sa petite amie pendant les deux plus belles années de sa vie. Ne dis pas de bêtises, je suis vieux, j'ai des rides ... c'est simple quand je me regarde dans le miroir j'ai l'impression d'être face à un inconnu.

Finalement, elle parla à nouveau de ces foutus journalistes qui voulaient en savoir plus sur leur histoire loin d'être atypique. Phoebus avait beaucoup avoir encore 20 ans, il n'en était pas débile pour autant et revenir sur ce "truc", très peu pour lui, il voulait juste passer à autre chose et tenter de faire sa vie maintenant, il avait tant de choses à rattraper après tout. Il ne répondit rien d'autre puisqu'il n'avait tout simplement rien à ajouter sur ce qu'elle disait.

En sentant la fille qui faisait battre son cœur l'effleurer il eut envie de lui prendre la main mais craignait simplement de l’effrayer voire pire, de la faire fuir. Il préférais y aller en douceur et lui faire la coure comme dans le tant était fallait le dire un sacré challenge pour le jeune homme. Il tourna alors la tête et aperçut à l'extérieur un vendeur de fleurs. Je reviens. Il s'absenta alors un court instant et reviens vers sa belle avec un bouquet de fleurs mais pas n'importe lesquels puisqu'il s'agissait des préférés de la jeune femme. Il lui tendit alors. Tiens, tu vois que je ne t'ai pas oublié, je me souviens de tes goûts dans le moindre détail.

Il ne revient pas sur le sujet des journalistes. Il à bien raison, Maëlyn a du mal à comprendre comment ses personnes peuvent se faire de l'argent sur les malheurs des autres. Elle garde un petit sourire aux lèvres, de toute façon elle n'arrive pas à ne pas sourire, plus les minutes passe, et plus elle se sent à l'aise, sans compter qu'elle a comme l'impression de retrouver son Phoebus qu'elle a tant aimé. Elle rit légèrement quand il lui demande de ne pas dire de bêtise. Elle secoue la tête de gauche à droite pour dire non. " Je ne dis pas de bêtise … mais c'est plus facile pour moi car je t'ai vue changer ! Si vingt ans plus tôt on m'aurait dit que tu ressembleras a ca je pense que je t'aurai emprisonné chez nous ". Dit-elle en riant légèrement encore une fois. 'Chez nous', en effet ils venaient tout juste de s'installer dans un petit appartement avec l'aide de leurs parents, à la naissance des jumeaux. Mais finalement ils ne sont pas rester bien longtemps. Puis Maëlyn ne voulait plus continuer dans cet appartement. C'était tous les quatre, ou personnes.

Par la suite elle le regarde se levé en lui disant qu'il revient. Qu'es ce qu'il a derrière la tête ? Elle le regarde à travers la vitre, elle sourit, puis se pince les lèvres quand il revient vers elle. En effet c'était ses fleurs favorites, de belle rose rouge. Les roses rouge représentent beaucoup de chose, dont la passion. On peut dire que sa résume bien ce qu'elle ressent pour Phoebus. Elle prend le bouquet qu'il lui tend sans trop faire attention à la conséquence, ben oui si elle rentre avec ce bouquet ce soir, c'est Robyn qui va être content. Elle se lève de sa chaise, et viens lui déposer un baiser sur sa joue en guise de remerciement, et oui voilà elle a franchis le petit pas qui les séparer. En fait, des baisers, elle lui en a donné et plus d'un pendant vingt ans, mais la ce qui change c'est qu'elle va avoir une réaction, et dieu comme ça va lui faire du bien. Elle finit par lever son regard vers le sien. " Je crois que tu n'imagines pas une seul seconde comme ça me fait plaisir que tu te souviennes de tout … Parce que moi je n'ai rien oublié … " Dit-elle en souriant, et en passant sa main dans la sienne sans arrière-pensée, juste pour la lui serré, et lui faire comprendre qu'il lui a terriblement manqué.

Le sujet des journalistes était à présent clos et il s'en portait très bien car des gens qui gagnaient leur vie sur le dos des autres il n'aimait pas. Étant petit il avait souvent été en proies aux journalistes car il état le fils d'un ministre Français et donc il avait apprit à détester les gens qui faisaient ce boulot, d’où le fait qu'il ne s'était pas engagé dans ce domaine des études. Il sourit. Emprisonné hein ? Il doit signer ou ? Enfin plus sérieusement il reprit la parole. Hum, je pense que je n'aurais pas dis non moi. Bien sur il plaisantait, quoique il n'avait jamais été aussi sérieux finalement.

Le type romantique qui se trouvait dans ce corps de "vieux" était toujours présent, la preuve puisqu'il était aller lui acheter ses fleurs préférées, des roses rouges. En tout cas, il était vraiment heureux que ça se détendent car au départ on était mal parti pour engager une conversation. Maintenant il se sentait déjà mieux, redevenant peu à peu aussi à l'aise que jadis en présence de sa belle. Il la connaissait mieux que personne après avoir partagé sa vie avec elle pendant 2 ans, et il restait persuadé que s'il n'y avait pas eu ce foutu accident ils seraient mariés et auraient d'autres enfants. D'accord c'est idyllique mais après être sorti d'un coma qui avait duré plus de 20 années, il avait un peu besoin de rêve. Il ne s'était pas encore rassit quand il la vit se relever pour venir déposer un baiser sur sa joue. Sentir ses lèvres contre sa peau lui faisait un bien incroyable, il n'y avait pas à dire. Je pense réussir à l'imaginer si.

Quand elle mit la main dans la sienne il lui caressa doucement du pouce tout en réfléchissant. Finalement il se mit à parler mais quelque peu hésitant ce qui d'ailleurs était une première quand on connait cet homme. Dit, tu crois que ça serait prit comment si un élève invitait une prof pour le bal organisée par Harvard ? Peut être que ça ne l’intéressait pas, après tout c'était quand même réservé à des petits jeunots et elle penserait avoir passé l'âge. Ou peut être qu'elle n'oserait peut être pas se montrer en public avec lui devant ses élèves ou même ses collègues. Après si elle refusait, il pourrait l'inviter autre part ne sait on jamais, et convié avec lui une étudiante pour ce fameux bal qui l’excitait car ça lui rappelait sa jeunesse perdue.