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OLIRREN ಇ broken

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Putain Warren. M’fais plus de plaisanteries comme ça, c’est pas drôle. Seulement là, tu éclates de rire. Bon, tu ne te tordais quand même pas de rire par terre, mais à voir l’expression énervée, choquée et rassurée de la belle, tu ne pus t’empêcher d’en rire un bon coup. Ça faisait bien longtemps que t’avais pas ri comme ça. Drôle à dire, n’est-ce pas? Mais bien vrai, pourtant. L’Olive souriait aussi, ce qui te donna un peu d’espoir, non pas de la reconquérir, mais plutôt du fait que vous alliez peut-être passer une bonne soirée, après tout… Rien que tous les deux, avec les étoiles, le silence, tout ça. ‘’ Au contraire, ça m’fait bien marrer. ‘’ Tu finis par respirer un bon coup, retrouvant ce sourire d’autrefois que t’avais en passant du temps avec elle. Sincère, taquin, provocateur, c’ça que t’étais en sa présence ; il le fallait bien, sinon ce serait ennuyeux. Ennuyeux comme ta vie, quoi, ta vie des dernière semaines, rien d’intéressant à raconter, parce que rien d’intéressant ne s’était jamais produit. Ouais, aussi nul que ça, le pauvre. T’aurais pu sortir, rencontrer d’autres filles et oublier Olive, ou bien passer plus de temps avec Caleb, parce que c’tait un vrai bon pote et qu’il avait perdu sa Winter, à ce que t’avais entendu dire… Enfin bref, rien à raconter. Tu vois qu’elle n’apprécie pas plus Princesse que Livette, ce qui te pousse encore un peu plus à la surnommer ainsi. Vilain garçon… J’ai découvert les fêtes d’ici. Rien de bien comparable avec celles de là bas. Tu souris, bien évidemment. T’avais pas encore eu la chance de découvrir les fêtes d’ici, mais tu mettrais ton grain de sel, si elles étaient si nulles que ça… ‘’ C’est sûr que pour vous Miss Shark, vous êtes tombée bien haut de votre petit trône des Omega. ‘’, dis-tu, sans une once de méchanceté derrière, mais bien pour la taquiner un peu. C’vrai que c’était la reine, là-bas. La reine de la soirée, de tout ce qui entourait les plus énormes partys, fallait pas l’ignorer. Impossible, de toute façon : tout le monde la connaissait.  Putain Warren, j’te déteste. Tu ne comprends pas pourquoi, d’un seul coup, elle te balance ça. Vous étiez bien, là? Elle s’était de nouveau blottie dans tes bras, et toi tu l’avais entourée afin de la serrer contre toi, afin d’apprécier ce contact qui se ferait rare, probablement.. T’en avais la certitude, même. Fallait s’attendre à tout, avec Olive. Mais c’est que quelques secondes après, lorsqu’elle posa presque violemment ses lèvres sur les tiennes, que tu compris le sens de ses mots. Tu ne comprendrais jamais ces foutus revirements de situations, mais t’appréciais. Vraiment, oui. C’était fougueux, mais aussi doux, plus que doux, même. La fougue, c’était elle. Toi, tu étais la douceur. Tu te serras contre elle, bien que t’étais debout face au pick-up et l’Olive, assise dans la boite. Mais rien à faire, tu voulais préserver cette nouvelle chaleur entre vous deux, car c’était tout ce dont t’avais besoin. Il ne pouvait y avoir plus beau moment que ça, pour toi. C’était juste… parfait. Tout simplement parfait. Élégant, même. Tes doigts glissèrent, tel un réflexe, de sorte à parcourir sa cuisse, jusqu’à atteindre sa hanche. Y’avait rien de plus agréable au toucher que les courbes d’un corps féminin. Ton autre main se dirige vers sa nuque, afin de vous stabiliser, et pour que le contact soit encore meilleur. Tu ne disais rien. Tu ne voulais rien dire qui pourrait gâcher le moment. Car toi, tu pourrais l’embrasser toute la nuit, sans même te lasser. T’avais envie d’elle, tu l’aimais comme un fou, c’était Olive et Warren, et en l’espace d’un instant, tu y croyais pour de vrai. Mais y croyait-elle, elle?

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Tu finis par lui jeter un regard noir, incandescent, brûlant d’une envie de vengeance extrême. C’était pas drôle, même si ton sourire affichait trompeusement le contraire. Bon sang, ces lèvres se retroussèrent en un sourire heureux. Pour la première fois depuis que tu l’avais revu, c'est-à-dire à peine une petite heure, il semblait heureux d’être avec toi, en ta compagnie. Et toi ? Putain, c’était pareil. Non non, ça n’allait pas d’penser ça. C’est sûr que pour vous Miss Shark, vous êtes tombée bien haut de votre petit trône des Omega. Tu lèves les yeux au ciel, un sourire en coin sur les lèvres. Ta nouvelle vie, on pouvait l’appeler comme ça hein, n’avait rien à voir avec celle d’avant. Rien que ta confrérie, ou maison comme ils appellent ça ici.. De présidente, tu passais à simple et invisible bizut, c’était ridicule. On te remettait bien vite à ta place quand t’ouvrais ta gueule, mais ils ne savent pas qui ils ont en face d’eux. Tu sais ce que c’est toi, de gérer une confrérie. J’m’y ferais, de toute façon j’passe pas autant de temps à la Mather House que c’que j’passais au QG des Omégas. Tu pouvais pas te piffrer la vice présidente, ça jouait beaucoup aussi sur ta fréquentation du lieu. Mais t’avais juré sur la tête de tes frères que tu ne quitterais pas la MH à cause d’elle. Puis, y’a eu ce blottissement contre Warren. Puis, y’a eu ton cœur qui s’emballe, puis y’a eu tes pulsions incontrôlable, puis y’a eu ce baiser. Passion, fougue, tout s’y était mêlé, ajoutés à la douceur et l’envie de Warren. Exquis cocktails de sensations. La main du jeune homme se posa sur ta cuisse et glissa jusque ta hanche, tandis que l’autre vint se nicher dans ta nuque. Putain, tu pouvais plus t’arrêter, tu adorais ça, embrasser Warren. C’était différent du premier baiser que vous vous étiez échangé, lors de cette nuit, près du bassin de Jumper, c’était plus.. vrai ! Non, non, ça pouvait pas être vrai, tu pouvais pas l’aimer. Voilà que tes idées et tes sentiments se retrouvaient de nouveau pour s’affronter. Qui l’emportera cette fois ? Ton cœur est sur le point d’exploser, ta tête tourne à t’en donner le vertige, pourtant tu restes là, collée à ses lèvres, tandis que vos langues dansent ensemble. Tu relâches finalement tes bras qui s’étaient incroyablement resserrées dans le dos du garçon puis baisse la tête, te passant la langue sur les lèvres. J’pourrais jamais te donner c’que tu veux Warren. Rien que ça, j’me sens coupable à mort, même si.. putain ! Même si t’avais aimé. Tu t’prends la tête dans les mains et recule jusqu’au fond de la boîte où tu te blottie contre des coussins. Cela faisait longtemps que tu n’avais pas été aussi paumée. Il te semblait que la dernière fois était suite au départ de tes frères, sans aucune explications, six ans auparavant. Tu étais là, perdue, brisée et fragile.


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J’pourrais jamais te donner c’que tu veux Warren. Rien que ça, j’me sens coupable à mort, même si.. putain ! Il n’y avait que ça qui te restait en tête. Que ça qui résonnait, qui frappait à coups de poing les maigres espoirs que tu avais réussi à clouer en toi, dans ton petit cœur fragile. Oui, elle arrivait, en l’espace d’un instant, à te donner envie de tout, à t’accrocher aux minuscules plaisirs de chaque seconde qui t’étaient offerts en sa compagnie, à apprécier cette soudaine douceur à laquelle elle se laisser sombrer, sans avoir peur, ni regretter. L’instant d’après, pourtant, c’est une bombe qu’elle te lançait. Une grenade activée qui menaçait de te sauter en plein dans les mains et de te détruire, d’un seul coup. Ta bombe, c’était Olive. Elle agissait comme tel, avec toi. C’était une patate chaude, ça te brûlait tout entier et t’arrivais pourtant pas à te sortir de cet enfer, car tu aimais y rester. Tu voulais y rester. ‘’ Pourquoi tu fais ça? Pourquoi tu te prends la tête comme ça? J’comprendrai sûrement jamais. Peut-être parce que je suis qu’un gars, et que c’est un truc de femme, j’sais pas, mais arrête de me torturer comme ça. Mais surtout, arrête donc de TE torturer l’esprit comme ça. Si t’en as pas envie, c’est ta décision, c’est ton choix, c’est toi, après tout, qui le sait, qui le sent. Mais si c’est de la retenue, tout simplement… laisses-toi donc aller, un peu. ‘’, disais-tu d’une voix douce, mais plutôt forte, en prenant place dans la boîte du pick-up, ne la lâchant pas du regard. C’était vraiment pénible, tu ne savais comment agir avec elle. Ça avait toujours été ainsi. Y’avait-il un mode d’emploi qui venait avec Olive Bambi Shark, ou quoi? Un guide d’instruction, ou un truc du genre qui t’éclairerait là-dessus? Tu observais, analysais, sans pour autant insister ou ajouter quoi que ce soit. Tu voulais que ce soit elle qui vienne à toi, pas toi qui la force de quoi que ce soit. C’était pas ton genre. Encore moins avec elle. Elle semblait perdue intérieurement. Toi aussi, tu l’étais. Totalement. T’avançais presque les yeux bandés, sans savoir dans quelle direction tu t’en allais, mais tu avançais quand même.

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C’était pénible de se sentir tiraillée comme ça, partagée entre les idées et les sentiments. C’était pire qu’un choix cornélien. Renoncer à tes idées et lui offrir le bonheur ou renoncer à tes sentiments et lui briser le cœur comme tu semblais si bien le faire ces derniers temps. Tu t’étais réfugiée dans un coin de la boîte du pick-up, comme si cela allait t’aider à réfléchir. Non, t’avais même plus la force de réfléchir tellement tout était confus là haut. Putain. Tu sentais les yeux de Warren sur toi, t’imaginais ses deux billes d’un marron si profond posées sur ton corps et t’en frémissait. Qu’est-ce que tu allais bien pouvoir lui dire ? Tu l’enverrais chier, comme d’habitude. Non, t’avais pas envie, parce que c’était chouette ce qu’il avait préparé et qu’il n’y était pour rien. Mais si il y était pour quelque chose, il t’avait charmé, ensorcelé, c’est un acte horrible pour toi, trop douloureux. Pourquoi tu fais ça? Pourquoi tu te prends la tête comme ça? J’comprendrai sûrement jamais. Peut-être parce que je suis qu’un gars, et que c’est un truc de femme, j’sais pas, mais arrête de me torturer comme ça. Mais surtout, arrête donc de TE torturer l’esprit comme ça. Si t’en as pas envie, c’est ta décision, c’est ton choix, c’est toi, après tout, qui le sait, qui le sent. Mais si c’est de la retenue, tout simplement… laisses-toi donc aller, un peu. Pourquoi tu te prenait autant la tête ? Parce que c’était pas simple, rien de tout ça n’était simple. Oh oui, pour certains ça l’est : tu l’aimes, sort donc avec lui, pourquoi te déchires-tu autant l’esprit, c’est simple comme bonjour pourtant. Non. Non, non et encore non. Ca ne l’était pas pour Olive Bambi Shark. T’avais peur en fait, c’était ça, pour vrai. Vouloir rester libre et volage, c’était du pipo. T’avais réellement peur, peur de souffrir. Mais soit lucide cinq minutes Olive, ne souffres-tu pas plus en refusant tes sentiments ? Te laisser aller, finalement, c’était peut-être ça la solution. Juste pour ce soir, juste pour lui, et pour toi. Tu relèves la tête, tournant tes yeux brillants vers Warren. Comme ça, tu le fixes un instant, sans rien dire, te répétant les mots qu’il avait prononcé. Le cœur battant, les mains tremblantes, le ventre serré, tu lui sautas littéralement dessus, comme si ta vie en dépendait, collant tes lèvres contre les siennes. Tu te laissais juste aller et ton cœur s’ouvrait, enfin. Pour combien de temps cependant ? Tu t’en foutais, t’étais bien, et tu l’aimais. Oh oui, tu l’aimais. Donne moi juste du temps.. murmures-tu à son oreille, le faisant basculer dans toutes les couvertures et les coussins du pick-up tandis que tes mains se collèrent à son torse et une de tes jambes entoura les siennes. Le temps d'me faire à l'idée que je suis amoureuse de toi. Tu l’avais dans la peau ce gars, s’en était désastreux.

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Étrangement, t’aurais bien aimé être comme elle, et te torturer avec tous ces sentiments qui se bousculaient en toi. Mais tu n’y arrives pas ; tu es loin d’être indécis face à ce que tu ressens pour elle. C’est elle, la femme de tes rêves. Ton âme-sœur. La seule que tu veux avoir dans ta vie amoureuse, maintenant. Certes, tu es encore jeune, et tu as toute la vie devant toi, tout comme elle d’ailleurs, mais ce que tu ressens, c’est loin d’être banal. Et de la voir aussi indécise, ça te fait mal, mal pour elle, mais aussi mal pour toi. Tu aimerais tant la serrer dans tes bras, l’embrasser, lui apprendre à t’aimer, ou au moins, à être capable d’aimer… Pourquoi est-ce aussi fort? Comment tout ça, ça peut être aussi fort? Ton cœur bat la chamade rien qu’en la voyant. Est-ce normal? Faut-il t’en guérir? Tu ne voudrais pas cela pour rien au monde. Oublier ce que tu éprouves pour elle, ce serait bien pire que de la laisser fuir de nouveau. Et puis paf, tout d’un coup, le monde s’arrête de tourner, tu te retrouves au paradis, enfin. Tu ne croyais pas qu’un tel endroit puisse exister, mais c’est bel et bien réel. Ou bien, ce ne l’est pas, mais au moins, tu t’y trouves. C’est magique… Olive prend les devants, et elle te saute littéralement dessus. Tu te retrouves sous elle, tes lèvres agréablement agrippées aux siennes et tu ne veux plus les lâcher. C’est ta drogue. Tu sens que ton cœur va exploser, mais tu le contiens. Tu entoures les hanches de ta belle pour la serrer contre toi ; chose dont tu rêves depuis bien longtemps. Son corps, tu ne l’as jamais vu entièrement, mais rien qu’à le sentir, tu sais qu’il est parfait. Donne moi juste du temps.. Elle rompt le baiser, et t’as l’impression de manquer d’air. Si bien que tu réponds, plus vite que tu ne te l’étais imaginé : ‘’ Tout le temps qu’il t’faudra, princesse. ‘’ Tu reviens chercher ses lèvres, en y glissant ta langue, en passant l’une de ses mains sous son chandail, sans aller trop loin pour autant. Tu l’aimes. Tu la respectes, et ce sera toujours ainsi. Elle entoure tes jambes de la sienne, ce qui ne te rend que trop heureux. Le temps d'me faire à l'idée que je suis amoureuse de toi. Tu souris, bien trop heureux, et tu murmures : ‘’ Chuuuut… ‘’, comme seule réponse, avant de venir passer ta main dans sa crinière blonde, soyeuse et douce. Ta main sur sa peau, dans le creu de son dos, la caresse doucement, avant de la serrer contre toi, ce qui te rend un peu dingue, il faut dire. Faudrait pas que ça fasse comme cette fois, à la pool party… ‘’ Olive, si tu savais comme je t’aime. J’te laisse tout le temps qu’il te faut, mais toi… laisse-moi la nuit pour te le prouver. ‘’

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Tout le temps qu’il t’faudra, princesse. Il avait répondu au quart de tour, comme s’il avait su ce que tu allais dire. Princesse. Tu étais si peu habituée aux jolis noms, tu détestais ça même, vraiment. Mais là, ça sonnait bien, et tu appréciais. Tu avais envie d’apprécier, tout le temps. Seulement, en serais-tu capable ? Sa langue se mit à danser avec la tienne, sa main glissa le long de ton corps, sans que tu grognes, pour une fois. A vrai dire, c’était agréable. Tout devenait agréable, simple, et t’adorais ça. Tu terminas le fond de tes pensées, la raison de pourquoi t’avais besoin de temps, et sa seul réponse fut un Chuuuut… avant qu’il ne reprenne possession de toi, laissant ses mains parcourir chaque centimètre de ton corps. Tes cheveux, tes hanches, ton dos. Il t’étreinta un peu plus, t’obligeant à te coller contre lui. Son odeur, ses caresses.. Warren te faisait perdre la tête, tu en étais complètement dingue. Tu pouvais sentir son excitation contre ton bassin, ce qui t’arracha un sourire. Tu te souvenais de cette pool party, cette nuit où tu t’étais agrippée contre lui, les seins nus, et lui dur, te soutenant. Oh, ça te semble tellement loin aujourd’hui. Quoi qu’il en soit, Warren te fit taire de la meilleure façon qu’il soit : en t’embrassant. Vraiment, tu n’avais plus envie de parler, plus envie de réfléchir. Olive, si tu savais comme je t’aime. J’te laisse tout le temps qu’il te faut, mais toi… laisse-moi la nuit pour te le prouver. Ton cœur s’emballe, tes joues sont en feu. A cet instant, ta seule envie est de passer le restant de tes jours ici, contre lui, dans l’arrière de ce pick-up. Seulement était-ce possible ? Faut-il vraiment retourner en ville dès demain ? Tu lui attrapes la lèvre inférieure et la mordille avant de le soulager d’un doux baiser. Tes mains qui étaient à la ceinture de son jean remontent doucement, entraînant avec elles le tee-shirt de ton… amoureux ? Putain, non. De ton Warren. Le morceau de tissus termina sa course derrière ta tête et tu attrapas une couverture pour l’envelopper bien au chaud, tout près de toi. Je te la laisse Warren. Mais j’ai pas besoin de ça pour réaliser combien tu m’aimes. J’le sais déjà. avoues-tu en enfouissant ta tête dans le creux de son cou, posant tes deux mains sur son dos dénudé, chaud, et musclé.

Copyright Clochette
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