Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityOLIRREN ಇ broken
-25%
Le deal à ne pas rater :
PC Portable Gamer 16,1” HP Victus 16 – 16 Go /512 Go
749.99 € 999.99 €
Voir le deal


OLIRREN ಇ broken

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
T'arrivais pas à te la sortir de la tête. Dans ce long trajet en train, t'avais pas arrêté de revoir cette dernière scène où vous étiez les deux seuls acteurs. Mais le film s'était terminé, et bien trop vite, comme si le lecteur DVD ne voulait plus le lire, ou encore pire : comme si le réalisateur en avait marre et y avait décidé de l'arrêter au moment le plus horrible. T'étais dévasté, détruit de l'intérieur, ton petit coeur cherchait à se raccrocher au mince espoir que tu t'étais construit : la retrouver et la reconquérir. Elle avait peut-être eu une urgence, non? Peut-être... un truc familial, personnel? Mais bon, tu te faisais des illusions, c'était horrible, c'était... dévastateur. Depuis 1 mois exactement, t'avais encore plus de mal à dormir. Ton insomnie s'était empirée, parce que tu t'imaginais la prendre dans tes bras, la serrer contre toi. Au moins, si seulement t'avais pu la faire chier encore un peu, ça te manquait de voir son sourire, de voir ses traits se tirer lorsqu'elle en avait marre de toi, ses claques qu'elle te balançait parce qu'elle voulait avoir le dernier mot. C'est ce qui t'avait fait craquer, faut croire. Tu venais d'arriver à Boston, Cambridge plus précisément, et tu t'trouvais maintenant sur le Campus d'Harvard. Pour te renseigner de l'emplacement ou elle pouvait bien s'trouver, car elle était sûrement chez elle à cette heure de la soirée, presque la nuit d'ailleurs, à moins qu'elle soit en train de faire la fête, tu t'étais arrêté à l'Accueil. Elle était dans une confrérie nommée les Mathers et l'on t'indiqua comment t'y rendre. C'était plutôt immense, ici... Tes pas, pressés, se dirigeaient droit devant, pour attendre ton but : la fille de tes rêves. Elle te manquait tant, et peut-être lui manquais-tu tout autant, non? C'tait quand même pas possible autrement... Pas vrai? T'avais le numéro de sa chambre en tête, et tu t'y dirigeas avec empressement. Dans l'escalier menant à sa chambre, tu manquas te péter la figure tellement tu escaladais rapidement ; tu t'étais pris le pied dans une marche. Quel con. Arrivé devant la chambre, tu examinas le numéro de longs instants. Prenant de très longues et grandes respirations. T'étais enfin là. T'allais revoir cette fille qui t'faisais tant chier, mais tant rêver. Au fond de toi, t'étais déjà profondément blessé, mais ton incompréhension te servait de carapace, de protection. Oui, c'est ça. Tu comprenais pas les raisons de sa fuite, donc tu pouvais pas t'imaginer le pire, même si tu aurais dû. Tu toquas alors deux-trois coups, mais en découvrant que la porte était déverrouillée, c'est sans plus attendre que tu entras, le sourire aux lèvres, le coeur battant si fort au niveau de ton torse. Tellement fort, que t'étais à peu près sûr qu'il exploserait d'ici un instant. Et t'avais raison. En pénétrant dans la chambre d'Olive, tu vis qu'elle était là. En chair et en os. C'était bien elle, tu l'aurais reconnue entre mille. Mais tes jambes faiblirent en une fraction de seconde en découvrant qu'en fait... elle était entièrement nue, avec entre ses jambes un mec qui semblait bien prendre soin d'elle comme il se devait. Et le pire? C'est qu'elle aimait ça, tu le voyais sur son visage. Tu restas figé. La bouche entrouverte, les poings serrés le long de ton corps. Tu n'arrivais à sortir aucun son, aucun mot. Mais tout à l'intérieur de toi bouillait. Toute ta joie et ton excitation de la revoir se transformaient en une seule et unique chose : de la colère. De la colère noire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
Il avait peut-être eu raison ce gars. Tu couchais avec les hommes pour oublier quelque chose. Une idée, un sentiment, quelqu’un.  Le temps d’une partie de jambe en l’air, tu devenais quelqu’un d’autre. Tu oubliais tout, tu étais seulement toi, et lui, et le plaisir. Sauf que là, tu simulais plus qu’autre chose : tu ne tombais pas toujours sur les bons numéros. Alors que tu gémissais faussement pour faire croire à ton partenaire qu’il te comblait, les idées affluaient dans ta tête. Ca faisait un moins. Un mois que tu étais à Harvard, un mois que tu avais quitté l’Ohio, l’université de là bas, ta famille. Et Warren. Et c’était loin d’être facile. C’était trop tard quand t’avais fait ta valise, les sentiments étaient déjà bel et bien là. Tu ne pouvais pas affirmer que tu l’aimais, mais c’était tout comme. Ca n’allait pas, c’était contre ce que tu t’étais toujours dit : tu ne seras jamais amoureuse, tu n’aurais jamais de petit copain parce que ça craint trop. Tu pensais à ce qui te tenait le plus à cœur : ta liberté ! T’y tenais trop pour te laisser emprisonner le cœur par un garçon. C’était inconcevable. Le grincement de la porte de la chambre te fit sortir de tes pensées. Tu poussas un énième gémissement avant de soupirer. Excuse moi, j’crois qu’y’a ma coloc’ qui nous observe. murmures-tu à l’oreille de ton partenaire avant de lui mordiller le lobe et de le pousser doucement pour faire face à… Oh. C’était loin d’être Alexys. En fait, tu aurais presque préféré que ce soit elle qui se tienne là, à sa place. Ton cœur se mit à battre, battre, de plus en plus vite, de plus en plus fort. C’était lui. C’était Warren. Il avait ce même parfum que t’aurais reconnu parmi mille hommes. Il était encore plus beau que dans tes souvenirs. L’espace d’un instant, il n’y avait plus que lui jusqu’à ce que tu te souviennes de tout. T’attrapas la couverture pour cacher ton corps dénudé, et celui de ton partenaire. Ta mâchoire se serra, ton regard se durcit. Tu n’avais pas passé un mois à essayer de l’oublier pour qu’il vienne tout gâcher aujourd’hui. Qu’est-ce que tu fais là ? demandes-tu sèchement, si bien que ça te serra le cœur de lui parler de la sorte.

Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
C'tait pas possible. Ce n'était qu'un mauvais rêve, un horrible cauchemar. Oui, tu t'étais endormi dans le train et tu te retrouvais prisonnier de ce stupide cauchemar qui ne faisait que te montrer tes pires peurs. C'était pas juste, c'était horrible. Tout simplement. Olive, tu savais qu'elle savait y faire avec les mecs. Tu savais qu'elle avait eu de nombreuses aventures d'un soir : en Ohio, les gens connaissaient la réputation de tout le monde, c'était pas nouveau. T'avais beau cligner des yeux, te pincer, la réalité était bel et bien ce qu'elle était : Olive s'trouvait nue dans un lit avec un beau type. Elle t'avait oubliée. Ce que vous aviez vécu, c'était qu'une blague, elle n'avait jamais rien voulu savoir de toi, c'que vous aviez partagé, c'était rien... Mais c'était tout pour toi. Elle représentait tellement à tes yeux, que ça pourrait être pathétique. Qu’est-ce que tu fais là ? Sa voix... Son ton de voix était si froid et sec que ça te glaçait le sang. Mais tu n'avais pas donné ton dernier mot, parce que toi aussi, tu répondis, d'une voix horriblement glaciale : " Une connerie. " Oui, c'était une connerie d'avoir tout laissé tomber pour venir la retrouver et la reconquérir. L'avoir pour toi, Olive c'était une sauvage, t'aurais dû le savoir ; tu le savais et t'avais préféré te jeter tête première dans le feu. Dans cette merde. Hors de toi, tu t'approchas du lit, foudroyant Olive du regard, même si derrière se cachait une lueur de profonde tristesse et de douleur immense, puis tirant sur les couvertures, tu tiras l'inconnu du lit, le forçant à te faire face, nu comme un vers. " Sale connard. Dégage. " Mais comme il te regardait, puis regardait la blondinette, en tentant d'attraper ses vêtements à l'aveuglette, tu lui assénas un violent coup en plein sur le nez. Puis un deuxième, sur la machoire. Tu te défoulais, comme quand tu faisais d'la boxe, mais là c'était pas un sac, c'était un être humain. Puis tu le frappas une nouvelle fois, ce qui le jeta par terre, mais ô, t'étais bien trop gentil pour le laisser se morfondre là : tu l'attrapas avant de le tirer en dehors de la chambre, et tu le jetas dans le couloir, sans dire un mot de plus. T'arrivais pas à regarder Olive, t'étais soudainement pris de spasmes bizarres, mais tu pleurais pas, c'était juste ton corps qui réagissait mal à... une douleur d'amour? Tu pouvais juste pas y croire. " J'y crois pas... ", dis-tu en maugréant, serrant ton poing qui, tout d'un coup, t'arrachas une affreuse grimace de douleur. " Merde. " Manquait plus que tu te pètes la main, avec ça!
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
Il était là, face à toi. C’était bien lui, le Warren que t’avais laissé tomber à l’université de l’Ohio. Tu t’étais imaginé un tas de scénario : il ferait une dépression, ou bien il pleurerait deux jours puis finirait par t’oublier. Mais à aucun moment tu n’avais pensé à ce qu’il te rejoigne ici, qu’il cherche à te retrouver. La muraille autour de ton cœur que tu t’étais forcée de construire tout ce mois venait d’être réduite en poussière en une fraction de seconde. Tu t’étais enroulé dans la couverture de ton lit, demandant d’un ton glaciale ce qu’il foutait ici. Une connerie. Tu haussas un sourcil sans lui décrocher un sourire. Puis tu devins spectatrice de la scène. La couverture qui te recouvrait s’envola. Warren dégagea l’autre gars du lit, lui ordonnant de partir. Son regard de posa sur toi, puis sur Warren, puis de nouveau sur toi. Tu te pinças les lèvres et haussas les épaules, si t’étais lui, tu partirais fissa. Il n’eut même pas le temps d’attraper ses affaires que le bêta l’assena d’une multitude de coup de poings. Tu ne bougeais pas d’un poil, te contentant de regarder la scène qui se déroulait sous tes yeux, grimaçant légèrement à chaque coup que le gars recevait. Le pauvre homme qui n’avait rien demandé se retrouva à terre, mais se n’en était pas fini pour lui. Voilà qu’il le prenait pour le jeter dans le couloir comme une vulgaire chose. J’y crois pas… Merde. Ton regard était le même, il n’avait pas changé. Noir. Tu attrapas à la volée ton top et ta culotte que tu enfilas rapidement. T’es content ? T’es fier de toi ? Tu marchas jusqu’à lui, t’arrêtant à quelques centimètres de lui. Cette proximité t’avais rendu folle quelques semaines auparavant. De quel droit tu t’es permis de faire ça, Warren Jay Cooper ? grognes-tu, les poings serrés.

Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
T’es content ? T’es fier de toi ? Ton coeur devenait de plus en plus noir, et tes poings se serraient à t'arracher une grimace de douleur. T'étais hors de toi et tu bouillais littéralement de l'intérieur, mais tu te contrôlais grâce à une seule chose : Olive. Si t'étais en colère, c'est aussi à cause d'elle, mais tu pouvais pas lui faire de mal. T'allais pas l'attaquer, l'agresser, la forcer à t'aimer, même si t'aurais tant aimé qu'elle t'aime comme tu l'aimais. Elle, elle préférait s'éclater, s'ouvrir les jambes à n'importe qui ; du moins c'est ce que t'avais tout de suite crié dans ta tête en la voyant nu avec cet idiot. " Plutôt, oui. " Tu parlais en syllabes, et avec raison, t'étais incapable de raisonner, de réfléchir sagement et donc les mots ne sortaient pas en phrases, mais plutôt en sons, en courtes syllabes. Et là, boum dans ton coeur. L'explosion, au sens propre du terme. Ton coeur, ta tête, ton corps, tout ça, ça s'effondrait, ça fondait d'un coup, alors que t'étais à quelques centimètres à peine de ton... de ton âme-soeur, oui. Elle était si belle, malgré son regard noir. Si... elle. T'avais envie de la serrer contre toi, et de l'embrasser. Parce que t'y avais eu droit qu'une seule fois. Ou deux, peut-être? Mais ce sentiment, cette sensation, ce goût te manquait, il te piquait les lèvres depuis l'Ohio. C'est elle que tu voulais. Mais elle, elle n'en n'avait rien à foutre de toi. Tu fermas les yeux en lui attrapant avec fermeté les poignets, amenant ceux-ci contre toi, pour la sentir un peu. Elle était réelle. En chair et en os, et pourtant... si loin de toi à la fois. " Du même droit que tu t'es permis de foutre le camp comme une fugitive à la fête de l'automne. ", crachas-tu, comme si c'était du venin. Tu la lâchas cependant, t'éloignant, lui tournant le dos. Tu te passas une main dans tes cheveux en bataille, tu cherchais ton souffle, tu cherchais un échappatoir, une solution. Hors de question que tu restes ici. " Combien? Combien d'mecs sont passés là depuis...? " Certes, c'était pas dans tes droits de demander, mais tu demandais quand même. T'avais fréquenté aucune autre fille depuis son départ. Parce que toi, la seule fille que tu voulais avoir dans ton lit, c'était elle. C'était Olive Bambi Shark. Et pas pour la baiser, mais pour l'aimer.

Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
Plutôt, oui. Tu l’aurais bouffé pour ce qu’il avait fait. De quel droit s’était-il permis d’faire ça ? Il arrive, il entre et tabasse le gars avec qui t’étais. C’était la blague de l’année, et tu aurais préféré que tout ça n’ai jamais lieu. Tu lui en voulais d’être revenu tout autant que d’avoir tapé ce type qui n’avait rien demandé. C’était dégueulasse. Il t’attrapa les poignets, avec une telle fermeté que tu n’arrivas même pas à t’en dégager, pour les plaquer contre lui. Son torse était toujours son torse. Ses mains étaient toujours ses mains. Il avait changé physiquement, mais en bien. Il restait la perfection incarnée à tes yeux. Pourtant, tu le détestais à cet instant même. Du même droit que tu t’es permis de foutre le camp comme une fugitive à la fête de l’automne. Si les mots pouvaient avoir un impact réel, tu serais déjà à terre, assommée par le force de ses mots. Il venait de te transpercer d’un coup d’épée. Comme si tu ne souffrais pas déjà assez d’être partie, de tout laisser derrière toi, d’avoir été égoïste et ne pas affronter ta plus grande peur, l’amour, il en rajoutait une couche et c’était encore pire sorti de sa propre bouche. Tes poignets furent enfin libérés de son emprise et ton premier réflexe fut de les masser, laissant ton regard noir flotter dans le vide. Tu t’fous d’ma gueule ? J’ai aucun compte à t’rendre Cooper ! J’avais plus rien qui m’retenait à l’Ohio, j’avais plus rien à foutre là bas. Il aurait peut-être que j’te demande la permission de partir ? Ton regard fusillait son dos. Tes mots étaient des pointes aiguisées que tu lui lançais, espérant le blesser tout autant qu’il venait de le faire. Tu pouvais voir sa main glisser dans ses cheveux. Il était énervé, tout comme toi tu l’étais. Ces retrouvailles allaient être explosives. Combien ? Combien d’mecs sont passés là depuis… ? Tu croyais rêver. C’est ça, tu étais en plein rêve éveillé et Warren débarquait, te piquant une crise de jalousie. Tes yeux s’écarquillèrent tandis que ton regard s’assombrit d’avantage. Il était aussi sombre qu’une salle obscure, totalement obscure. Beaucoup. craches-tu sans aucune once de gêne, juste de la colère. Pourquoi t’es revenu ? Comment t’as fait pour m’retrouver ? grognes-tu en l’attrapant par l’épaule pour le retourner, plongeant ton regard noir dans le sien. T’avais plus peur de le regarder dans les yeux, parce que tu n’avais plus peur de tomber amoureuse de lui : tu l’étais déjà.

Copyright Clochette

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
Tu t’fous d’ma gueule ? J’ai aucun compte à t’rendre Cooper ! J’avais plus rien qui m’retenait à l’Ohio, j’avais plus rien à foutre là bas. Il aurait peut-être que j’te demande la permission de partir ? C'qu'elle pouvait être venimeuse. Attendez, mais elle s'gênait pas pour te mettre la faute sur le dos, alors que c'est elle qui avait pris ses cliques et ses claques et qui était partie comme une voleuse. Tu t'étais morfondu pendant des jours avant d'entreprendre des recherches. Parfois, c'était utile d'avoir de l'argent. T'aurais pu faire le tour du monde pour la retrouver, mais en sachant ce que tu venais de découvrir, t'étais pas certain que ça en avait valu la peine. Sauf que le truc, c'est qu'au fond de toi, tu savais que t'étais pas prêt à baisser les bras. T'abandonnerais jamais, parce que tu voulais son coeur. Qu'elle se tape tous les mecs d'Harvard, tu lui en voulais, terriblement, mais tu l'aimais toujours comme un fou. Le pire dans tout ça, c'est qu'elle jouait les hypocrites. Elle savait qu'tu l'aimais, car tu le lui avais dit. Et elle n'en avait rien à foutre de toi. T'étais qu'un mec de plus. Un con qui s'foutait en plein dans son filet de femme fatale. Mais tu l'aimais à n'en plus finir et t'hésiterais pas à taper sur tous les mecs qui s'pointeraient. Parce que t'étais jaloux. " T'avais pas un truc qui s'appelle Warren? ", disais-tu presque en boudant. En fait, tu ajoutas, d'une voix faible, baissant les yeux, tout d'un coup honteux par l'aveu que t'allais lui faire : " J'me suis faufilé dans TON parc toutes les putain de nuits en espérant qu't'y sois. Eh bien non. Tu manques à Jumper, en tout cas. " Tu mentais pas. T'étais vraiment allé, comme un con, en espérant ne pas t'faire prendre. Mais elle s'en fichait, non? Éperdument. Beaucoup. Ton coeur s'arrêta net dans ta poitrine. Tu sentais le sol se dérober sous tes pieds, mais tu t'y attendais. Tu croyais que vos sentiments étaient partagés, pourtant. Pourquoi t’es revenu ? Comment t’as fait pour m’retrouver ? Elle voulait jouer à ça la p'tite blondinette? Elle était forte, têtue, magnifique, sexy, en colère, remarquable, intimidante, détestable, enrageante. C'était Livette, quoi. Et malgré tout ça, malgré tous ses aspects d'elle qui te faisaient fondre et te poussaient à te sur elle pour l'embrasser d'une passion que seul toi pouvait bien lui offrir - t'en étais certain -, lorsque tu la sentis te forcer à te retourner face à elle, tu crachas, comme elle te crachais en plein visage d'ailleurs : " Un mec amoureux, ça abandonne pas la fille de ses rêves. Elle a peut-être été la plus horrible des garces pour s'être tirée en cachette, sans un mot. Mais un homme amoureux, même en sachant ça, il va s'pousser dans l'cul pour la reconquérir. J'te déteste tellement, Livette, tu sais pas comment.. ", finis-tu, la gorge soudainement prise de sanglots que tu retenais. T'avais une boule au ventre, tu voulais partir. C'était peut-être pas viril pour un homme de pleurer pour un truc du genre. Tu pleurerais pas, mais t'aurais pu te laisser aller. T'aurais pu. Mais t'allais pas la laisser gagner sur tes émotions.

Copyright Clochette
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
T’avais pas un truc qui s’appelle Warren ? Oui. C’était la seule raison qui t’aurais fait rester à l’Ohio si tu n’avais pas aussi été fixée quant à l’amour. Tu campais sur tes positions : c’était pas un truc pour toi, tu passerais plus de temps à te faire souffrir et à le faire souffrir qu’à l’aimer comme il le fallait. Tu ne décrochas pas un mot, incapable de mentir devant son air boudeur. J’me suis faufilé dans TON parc toutes les putain de nuits en espérant qu’t’y sois. Eh bien non. Tu manques à Jumper, en tout cas. T’avais l’impression qu’il tenait ton cœur dans sa main et qu’à mesure qu’il parlait, il serrait, serrait, encore plus fort jusqu’à ce que tu le supplie d’arrêter. Tu l’aimais, oh oui tu l’aimais. Tu te rendais compte qu’il était le seul à connaître cet endroit, à connaître Jumper, à savoir que t’y venait la nuit pour échapper à ton père. T’avais pas le droit de l’aimer, tu voulais pas, tu pouvais pas. Mais merde, c’était trop tard. C’était beaucoup trop tard. Et le fait qu’il se tienne devant toi, son petit air sur le visage, à t’avoué ce qu’il était le seul à connaître, ça n’arrangeait pas les choses. Ca te manquait. Ta vie d’avant te manquait. Jumper te manquait. Warren te manquait. Eh bah tu vois, je n’y étais pas. J’étais ici, et j’y suis bien ! dis-tu en serrant les dents et les poings. T’étais pas une bonne menteuse quand les sentiments s’y mêlaient, mais t’essayait quand même de faire face et de pas te montrer faible. T’étais forte, t’arriverais à tenir face à Warren, à lui faire abandonner. Il devait abandonner, parce que vous deux, ça menait à rien. Un mec amoureux, ça abandonne pas la fille de ses rêves. Elle a peut-être été la plus horrible des garces pour s’être tirée en cachette, sans un mot. Mais un homme amoureux, même en sachant ça, il va s’pousser dans l’cul pour la reconquérir. J’te déteste tellement, Livette, tu sais pas comment.. Il était méchant. Il était féroce. Il était vexé. Tu sentais qu’il avait la gorge nouée, comme la tienne si tu te mettais à parler. Amoureux. Il était amoureux de toi, il te l’avait dit et te le redisait aujourd’hui. Une envolée de papillon partie de ton ventre pour aller jusque ton cœur avant d’être pris par cet élan de colère qui émanait de ce surnom. Livette. Tu pris ton inspiration, t’avais besoin d’éclaircir les choses, une bonne fois pour toute. Ensuite tu partirais. PUTAIN ! Ne m’appelle pas comme ça ! Arrête ! Plus jamais. Oublie ce surnom ! Oublie moi toute entière. Je.. J’suis pas amoureuse de toi ! Parce que j’y crois pas, parce que c’est impossible, parce que j’suis contre tout ça. J’suis loin d’être la fille de tes rêves, j’suis même pas envisageable ! J’suis une nana libre Warren. J’veux pas m’prendre la tête avec ça. Tu attrapas ton jean que t’enfilas, pris ta veste et ton sac à main. J’sais que c’est trop tard Warren, mais j’ai pas envie d’te faire de mal. Et tu savais que c’était impossible. Tu le frôlas et descendit l’escalier de la MH à toute allure, s’il te suivait, tu n’savais plus quoi faire.

Copyright Clochette

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
Eh bah tu vois, je n’y étais pas. J’étais ici, et j’y suis bien ! À l'instant, tu te serais bien permis un coup dans le mur derrière toi. Pour évacuer ta déception, ta colère et ta tristesse. C'était trop pour toi, t'étais du genre sensible, tu t'énervais facilement, et tu perdais vite contrôle de tes moyens. " C'est sûr que t'y es bien. Avec un nouveau mec chaque soir entre les jambes, tu peux qu'avoir du plaisir. " C'était méchant. Injuste, surtout, c'que tu venais de lui balancer en pleine figure. Mais ça te blessait tellement, qu'attaquer était ton seul moyen de protection contre les sentiments, ces putain de sentiments qui te rendaient fou et te déchiraient en deux, en quatre, en dix mille morceaux. Tu étais fou : bien avant tu aurais dû ouvrir les yeux et te rendre compte de la fille qu'était Olive. Mais en fait, tu ne voulais pas retourner en arrière, car t'avais vécu tes plus belles émotions avec elle, grâce à elle. Comme tes pires, aussi. Tu l'aimais, putain. PUTAIN ! Ne m’appelle pas comme ça ! Arrête ! Plus jamais. Oublie ce surnom ! Oublie moi toute entière. Je.. J’suis pas amoureuse de toi ! Parce que j’y crois pas, parce que c’est impossible, parce que j’suis contre tout ça. J’suis loin d’être la fille de tes rêves, j’suis même pas envisageable ! J’suis une nana libre Warren. J’veux pas m’prendre la tête avec ça. Oh, mais t'avais littéralement joué avec le feu, toi. Oh que oui. Tu esquissas un sourire impossible à retenir, mais il disparut bien vite, alors qu'la blondinette attrapait son sac à main. Tu savais pas c'qu'elle allait en faire, et tu ne t'imaginais pas le pire qui arriverait d'ici peu. Son "je ne suis pas amoureuse de toi" te fendit le coeur pour de bon. Tu la regardais, et tes yeux brillaient. Ils brillaient des larmes que tu empêchais de laisser couler, car c'était inconcevable que tu la laisses te voir pleurer comme un gros bébé. Un pleurnichard stupide qui s'croyait tout permis en tombant amoureux d'une sauvage. Tu n'entendis pas ses derniers mots. Le seul truc qui t'vint en tête, une Livette qui prenait ses jambes à son cou plus vite que l'éclair. Tu la voyais, car elle ne prit même pas la peine de refermer la porte, et cette fois, contrairement à la fête de l'automne, tu la voyais te fuir. Tu savais qu'elle s'en irait et qu'elle ne voulait plus te parler. Ou qu'elle fuyait quelque chose en même temps qu'elle te fuyait. T'étais pas un monstre, si? " OLIVE! ", crias-tu, d'une voix emplie de désespoir, car t'étais soudainement pris de panique. Non, tu la laisserais pas te glisser entre les doigts une deuxième fois. Jamais. Tu te mis à courir à toute vitesse en sautant quatre marches à la fois de l'immense escalier. Sans trop de difficultés, tu la rattrapas, et c'est en l'attrapant par le bras que tu la stoppas dans son élan d,aller plus loin. " Olive, m'fais pas ça... " J't'aime tellement, si tu savais., avais-tu envie d'ajouter. Mais elle le savait déjà. Tu la retournas contre toi et t'attrapas son visage d'ange entre tes mains. T'arrivais pas à y lire les émotions dessus ; c'était un vrai livre fermé, c'te fille là. " Tu t'sauves pas encore! Olive, j'ai fais l'con. J'suis con d'être tombé amoureux de toi, mais j'peux rien y faire. J'peux pas contrôler ça, et j'regrette pas les émotions que je ressens. J'regrette pas les sentiments que j'éprouve pour toi. Que tu le veuilles ou pas, j'vais rester ici à faire le con tous les jours, même s'il y a peu d'espoir que tu m'aimes un tant soit peu un jour, j'suis assez stupide pour me faire souffrir comme ça moi-même. J'te hais Olive. J'te hais, parce que tu veux pas t'ouvrir. Parce que tu veux même pas te donner la peine de me regarder dans les yeux et de me dire que tu m'aimes pas, pour de vrai, et définitivement sans prendre la fuite. De t'être sauvée, ça signifie juste une chose : que t'as peur. Et moi aussi, j'suis effrayé. À mort. Mais je t'aime. Regarde-moi dans les yeux et comprends-le. C'est p'têtre ma sincérité qui t'fais peur? C'est quoi le truc? T'en aimes un autre? T'as jamais apprécié tout ça... nous deux? Mon dieu Olive, fais juste être sincère... " T'étais plus doux. Moins en colère. Plus en panique, oui. Et c'est là, juste là à ce moment précis, que tu laissas ces foutues larmes s'échapper de tes yeux et glisser silencieusement le long de tes joues bronzées, où une légère barbe de deux-trois jours avait poussée.

Copyright Clochette
[/quote]
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité


OLIRREN ಇ broken
C’est sûr que t’y es bien. Avec un nouveau mec chaque soir entre les jambes, tu peux qu’avoir du plaisir. Un nœud se noua dans ta gorge, tu n’arrivais plus à parler. Ce qu’il disait te blessait, encore plus du fait que ça vienne de lui. Lui, ce gars qui t’avais prise dans ses filets, qui t’avait ensorcelé, dont tu étais éperdument amoureuse. Et pourtant, il ignorait tout de cela parce que t’étais têtue. Une mule à côté de toi, c’était du pipi de chat. T’étais bornée comme il n’était pas possible de l’être et tu n’avais pas les couilles d’assumer que tu l’aimais parce que c’était toute ta fierté qu’en prendrait un coup. Bein oui vas-y, dis le ! J’suis une pute, allez dit le, crache le, cri le ! Enfoiré ! T’hurlais sur lui, le poussant un peu plus avec tes petites paumes de main qui ne feraient pas de mal à une mouche. Il venait de te lancer le coup fatal, celui qui venait de te fendre le cœur en deux. Ca faisait mal. Tu saignais de l’intérieur, t’aurais préféré qu’il ne cherche jamais à te retrouver pour ne jamais connaître cette douleur insupportable. Tu lui en voulais horriblement d’avoir dit ça, plus que tout le reste. Puis, il t’avait fait son discours sur l’homme qui n’abandonnait pas la femme de ses rêves, et t’étais parti, essayant tant bien que mal de lui faire comprendre que tu ne l’aimais pas, que tu ne voulais pas de lui, pas même un peu, même si c’était faux. Absolument faux. OLIVE ! T’accéléras le pas. Tu ne voulais plus voir, plus pour l’instant. T’allais lui faire plus de mal qu’il ne le méritait. Seulement, méritait-il d’être blessé par toi ? Putain, voilà que tu te mettais à penser comme ce bouquin à la con que t’avais lu avec Hazel et son Gus. Ce livre dégueulant d’amour qui n’avait cesser de te rappeler certains souvenirs de Warren. Olive, m’fais pas ça. Sa voix était proche. Ses pas étaient plus grands que les tiens, il n’avait eu aucun mal à te rattraper. Le poids de sa main s’écrasa contre ton épaule qui te força à te retourner. Il captura ton visage entre ses mains. Oh, ses mains. Elles étaient chaudes, grandes, rassurantes, fortes. Tu les aimais ses mains, tout comme tu aimais chaque partie de lui, un peu plus fort à chaque instant. Tu le détestais pour ça. Et là, le grand discours. Tu buvais chacune de ses paroles, te promettant de t’en souvenir à tout jamais. Si seulement il savait.. si seulement il savait que tu l’aimais comme une folle, et que ça te rendait dingue parce que tu refusais ça. Le lui dire serait lui donner de faux espoir et le blesser plus qu’il ne l’était déjà. T’en avais pas envie. Regarde-moi dans les yeux et comprends-le. C'est p'têtre ma sincérité qui t'fais peur? C'est quoi le truc? T'en aimes un autre? T'as jamais apprécié tout ça... nous deux? Mon dieu Olive, fais juste être sincère... Tes yeux ne quittèrent pas les siens qui se mirent à briller, avant que quelques larmes ne perlent sur son visage. Tu fermas les yeux, te pinçant les lèvres. Tu refusais de le voir pleurer, encore plus à cause de toi. Lorsque tu les ouvris, les tiens aussi étaient emplis de larmes qui n’arrivaient pas à couler. Elles étaient juste là, faisant briller un peu plus tes jolis yeux. Ton sac glissa de ton épaule et tu posas tes petites mains sur celle de Warren, toujours sur ton visage. WARREN ! hurles-tu, l’impression d’être déjà à bout de force. Il était juste en fasse de toi, à seulement quelques centimètres, et pourtant t’avais se besoin de crier, d’extérioriser. Ca faisait trop longtemps que ça durait, que tu intériorisais tout. J’te déteste ! J’te déteste parce que tu m’as pris un truc que je m’étais promis de n’offrir à personne, jamais ! Et pourtant tu l’as pris, comme un voleur et j’t’en veux ! J’t’en veux aussi parce que j’essayais d’oublier tout c’que j’ressentais pour toi, et qu’là tu te pointes comme une fleur, et t’anéantis tout ! J’en aime pas un autre, j’aime que toi, et c’est déjà trop, beaucoup trop ! Warren, j’suis tombée amoureuse de toi et j’t’en veux pour ça ! hurles-tu en éclatant en sanglots avant de secouer la tête et lui tourner le dos après t’être dégagée de l’emprise de ses mains autour de ton visage. Les regards des quelques Mathers aux alentours devinrent pesants, si bien que tu préféras une nouvelle fois prendre la fuite. C’est dans le jardin que tu allas te réfugier cette fois, te recroquevillant sur la balancelle. En fait, t’avais rien d’une nana forte. T’étais faible. Olive Bambi Shark était faible.

Copyright Clochette

(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)