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Bein oui vas-y, dis le ! J’suis une pute, allez dit le, crache le, cri le ! Enfoiré ! C’est pas ce que t’avais voulu lui laisser entendre. Lui faire comprendre. Merde, t’étais juste jaloux. T’étais un putain de jaloux lorsqu’il s’agissait d’elle, parce que tu l’aimais. T’arrivais pas à expliquer ça, mais on aurait dit que c’était inimaginable, impossible, irréel. Pourtant, tu l’aimais beaucoup et c’est pour cette raison qu’tu étais dans cet état pas croyable de panique et de honte, mais aussi cet état dévastateur. T’étais brisé de l’intérieur de la retrouver les cuisses ouvertes avec un mec qui lui faisait plaisir, alors que c’est toi qui l’aimait. Pas ce con. Mais toi. Toi, et toi encore. " Putain, arrête de faire ta tête de mule! Tu cherches même pas à comprendre! Tu fais l’aveugle. C’est désespérant! ". Sous l’effet de la colère et de la tristesse, tu ne contrôlais plus rien. C’est bien pour cela que t’avais frappé ce mec sans lui laisser aucune chance. Tu ne regrettais pas, pourtant. T’avais honte, mais tu ne regrettais pas ton geste. Pendant que tu lui parlais… ou plutôt que tu lui balançais ce que t’avais sur le cœur, tout ce qui t’faisait peur à toi, tout ce que tu ne comprenais pas dans son comportement vis-à-vis de la situation, eh bien pendant que tu lui disais tout ça, t’avais remarqué ses yeux emplis de larmes s’ouvrir devant toi. Et ses mains… ses mains fraîches et délicieusement douces qui se glissaient contre les siennes. Et si tout était si facile, après tout? Cette engueulade, elle n’était qu’illusions. Rien de tout cela ne s’était passé, et vous vous étiez retrouvés dans l’émotion, mais ça irait. Ça allait... Mais comme tu venais de le dire, ce n’était qu’une illusion. Un stupide mirage d’assoiffé d’amour et ton cœur se serra en voyant ses larmes, en l’entendant crier ton nom de la sorte. Tu croyais d’un coup que tout était terminé et avant même qu’elle ne te sorte elle aussi son discours rempli de souffrance, ton pouce s’était glissé sur le coin de son œil, juste un peu en dessous, rien que pour essuyer la larme qui y perlait. Tu pouvais pas supporter de la voir pleurer. Pas à cause de ça. J’te déteste ! J’te déteste parce que tu m’as pris un truc que je m’étais promis de n’offrir à personne, jamais ! Et pourtant tu l’as pris, comme un voleur et j’t’en veux ! J’t’en veux aussi parce que j’essayais d’oublier tout c’que j’ressentais pour toi, et qu’là tu te pointes comme une fleur, et t’anéantis tout ! J’en aime pas un autre, j’aime que toi, et c’est déjà trop, beaucoup trop !  Warren, j’suis tombée amoureuse de toi et j’t’en veux pour ça ! Étrangement, ce qu’elle te dit te redonna de l’espoir. Un espoir nouveau qui t’avait quitté depuis son départ à elle. Depuis qu’elle avait disparu de ta vie en à peine une fraction de seconde. L’espoir d’obtenir son cœur, même si comme elle te l’avouait actuellement, c’était déjà fait. Le seul truc qu’tu retenais, c’est que tu pourrais la reconquérir et que ce n’était pas peine perdue. Pas encore… Certes, ça t’faisait un coup en plein cœur, comme si on venait d’te frapper en plein sur la poitrine. Mais c’était une douleur agréable. Une douleur supportable. ‘’ Moi, j’regrette pas de t’aimer. Et j’regrette encore moins maintenant de savoir que c’est pour ça qu’tu m’en veux. ‘’ C’est ce que tu lui avais dit, comme ça, en murmurant, comme si c’était un secret et que tu voulais que seule elle puisse l’entendre. Mais à peine venais-tu de dire ça qu’elle prenait la fuite de nouveau. En pleurant. Pour de vrai. Tu ne l’avais jamais vue pleurer. Elle était si belle, pourtant. Si belle, que si ça n’avait pas été des larmes de peine, tu l’aurais laissée pleurer, pour l’admirer. Comme tu l’admirais toujours. Ça t’effrayait, tout ça. Putain que oui, ça te fichait la trouille d’aimer quelqu’un comme ça. Tes histoires précédentes avec quelques nanas ici et là, c’était rien. C’était des stupidités. Ça, c’était loin d’être un truc passager. C’était unique, et c’est pour cette raison que tu ne la laisserais pas fuir comme ça de nouveau. Parce que tu l’aimais et mieux encore : maintenant tu savais qu’elle t’aimait. Tu la laissas filer en réfléchissant à tout ça, mais peu de temps après, tu suivis ses pas en t’informant auprès de quelques personnes qui passaient par là afin de savoir s’ils avaient vus cette blondinette dangereusement parfaite qui t’vendait du rêve chaque jour. Elle te rendait fou à lier, mais c’est sans regret que tu te laissais encore et toujours hypnotiser par sa beauté et les mystères qu’elle cachait si bien. Tu venais de percer sa sensibilité. Et elle n’en était que plus belle encore à tes yeux, cette fille. Tu la retrouvas recroquevillée à l’extérieur, en sanglots, et bizarrement, tu ne savais pas trop quoi faire. Tu ne voulais pas qu’elle fuit de nouveau. Tu voulais juste l’avoir contre toi. Et c’est de cette façon qu’tu dirigeas tes pas vers elle pour te retrouver devant une Olive dévastée et… amoureuse? Ta main glissa sous l’un de ses bras pour la forcer à se relever. Doucement. Très doucement. Ses larmes te fendaient le cœur, et alors seulement, en plongeant ton regard dans le sien, même si tu savais très bien qu’elle s’était sauvée pour ne pas te voir, et pour protéger son cœur, l’envie de la serrer contre toi te prit. Et c’est ce que tu fis. ‘’ Viens là… ‘’ T’entouras tes bras autour d’elle, et tu poussas un soupir satisfait, ravi, comme si enfin tout allait bien. Comme si le monde était beau. Merde, c’que cette fille pouvait te faire ressentir, parfois. Tu la berças en silence, sans un mot, entremêlant tes doigts dans sa longue crinière rien que pour apprécier le moment. Ce moment parfait qui pouvait pourtant se briser à tout moment.

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Tu n’écoutais même plus ce qu’il avait à te dire, tu voulais partir, te cacher, ne plus le voir, ne plus l’entendre. C’que tu voulais, c’est qu’il te laisse t’émietter en paix. C’était sans compter qu’il te rattrape et te balance tout ce qu’il avait sur le cœur. Toi aussi t’en avais gros sur la patate, pourtant il aura fallu qu’il te secoue pour que tu craches le morceau. Tu l’avais enfin dit, tu l’aimais. Voilà, il avait eu ce qu’il voulait. Comment ça s’passait maintenant ? Moi, j’regrette pas de t’aimer. Et j’regrette encore moins maintenant de savoir que c’est pour ça qu’tu m’en veux. Son murmure t’électrisa. Tu lui avais avoué que tu l’aimais, et même si ça n’avait pas été chose facile, ça te soulageais d’un poids, comme si tu n’attendais que ça, finalement. En fait, tu n’attendais que ça. C’était une putain de bataille entre tes idées et ton cœur que ce dernier venait de remporter, mais ça ne signifiait pas que la guerre était finie. Tu soupires, il semblait soulagé d’un poids lui aussi. Tu ouvris la bouche, prête à cracher de nouveaux mais ne pu retenir les larmes bien longtemps et sortit alors de la Mather House, dans le jardin plongé dans la noirceur de la nuit. Tu t’étais recroquevillée sur la balancelle, à l’abri des regards indiscrets. Seuls quelques réverbères éclairaient difficilement le jardin. Tu te sentais vidée, t’avais vécu trop de choses, trop vite, en un trop petit laps de temps. T’étais passée par plein d’émotions à la fois, et finalement tu étais perdue, ne sachant même plus quoi dire, quoi faire. Warren, tu le voulais comme tu ne le voulais pas ; tu l’aimais comme tu le détestais ; tu le désirais comme tu pouvais le rejeter. C’était comme ça, t’étais pleine de contradictions. T’es une meuf trop difficile Olive, ça te tuera un jour. Tu ravalas un sanglot en sentant son odeur. Il était juste à côté de toi. J’t’en prie Warren, laisse moi. dis-tu en enfouissant ta tête dans tes bras, le cœur serré. Ca t’aurait franchement étonné qu’il t’écoute et te laisse, en effet, seule sur ta balancelle. Viens là… Ses bras chaleureux t’entourèrent et te serrèrent tout contre lui. Tu fermas les yeux un instant, laissant quelques larmes couler contre ta joue, terminant leur course sur le tee-shirt de Warren. Là, tout était bien, tout semblait facile. Immobile, tu te blottie contre lui. Pourquoi est-ce que c’est si difficile ? Pourquoi est-ce que je suis si difficile ? demandes-tu, comme si la réponse allait t’apparaître comme une évidence. La seule évidence ici, c’est que Warren était amoureux de toi, et que tu étais amoureuse de lui mais que tu le refusais. C’est tout.

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J’t’en prie Warren, laisse moi. Toi aussi, tu pouvais faire ta tête de mule et ne pas écouter ses souhaits. Surtout un truc comme ça. Pensait-elle vraiment qu’après tout ça, t’allais partir comme ça, et l’oublier, ou bien la laisser seule, en larmes, avec un aveu comme elle t’avait fait. Un aveu qui avait fait de toi le plus heureux des hommes, et pourtant il te manquait un truc encore : son bonheur. T’étais pas con, hein. Tu voulais qu’elle soit heureuse, et pas torturée comme elle l’était, là, tout de suite. Ça te faisait mal au cœur, pour elle. ‘’ Jamais j’vais te laisser. Sauf si c’est ce dont tu as vraiment envie. ‘’ Tu n’allais certainement pas être un parasite et si tu sentais que c’est vraiment ce qu’elle souhaitait, alors là seulement, tu tournerais les talons et jamais plus elle n’aurait à revoir ton visage, ou entendre ta voix, voir tes yeux, sentir tes mains. Plus rien de cela. Mais tu voulais la rendre heureuse… Tu la sens pourtant se laisser aller quelque peu, se blottissant contre toi, et tu la serres un peu plus en respirant son odeur. Vous aviez peut-être l’air con. On vous aurait p’têtre pris pour des cons en vous comparant à ces films stupides exagérés qui puaient l’amour, mais et puis quoi? C’était pas ça. Mais tu l’aimais et tu ne t’en cacherais pas. Pourquoi est-ce que c’est si difficile ? Pourquoi est-ce que je suis si difficile ? Tu hausses les épaules, en la poussant légèrement pour la regarder et essuyer les larmes qui perlaient abondamment sur ses joues. Tu replaças une mèche de ses cheveux en soupirant, ne sachant pas trop quoi répondre à ça. ‘’ J’sais pas, Olive. C’est comme ça. Et même si c’est difficile comme tu dis, ça m’fait pas plus ou moins peur, tu sais. ‘’ Tu la regardes un moment, puis tu ajoutes, en soupirant, baissant la tête, la rattrapant pour la blottir de nouveau contre toi. Mon dieu que ton cœur battait vite. ‘’ Mais toi, tu prends peur facilement, je crois… ‘’ Tu souris doucement en posant ton menton sur le dessus de sa tête, en ajoutant, dans un murmure craintif : ‘’ Est-ce que tu me fais confiance? Parce que j’veux t’emmener quelque part. Un endroit qui t’plaira peut-être pas, mais j’tiens quand même à t’y emmener. Pour la nuit. ‘’ Certes, t’avais encore sur le cœur ce truc par rapport au mec avec qui elle couchait lorsque tu étais arrivé pour la voir, mais t’essayait de mettre ça dans un coin de ton cerveau pour l’oublier et ne te concentrer que sur l’aveu qu’elle t’avait fait, que sur ça. Pas sur le négatif.

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Jamais j’vais te laisser. Sauf si c’est ce dont tu as vraiment envie. Il mentait. Tu lui avais fait comprendre maintes et maintes fois en dix minutes que tu ne voulais pas de lui, qu’il fallait qu’il s’en aille, et il était toujours là. Non, Warren n’était pas un gars qui te laisserait quoi qu’il arrive. Pleins de nanas trouveraient ça chouette, romantique, excitant. Toi, tu trouvais ça juste étouffant. Te répéter était un truc que tu détestais, avec Warren tu n’avais pas le choix que de te répéter, encore et toujours, en vain. Tu m’énerve. grognes-tu en sanglotant. Il te rendait folle, dingue. Le pire dans tout ça, c’est que t’aimais ça. Tu t’étais laissée allée, te blottissant tout contre lui, sans vraiment savoir c’qu’il pourrait s’imaginer. J’sais pas, Olive. C’est comme ça. Et même si c’est difficile comme tu dis, ça m’fait pas plus ou moins peur, tu sais. Tu te recules légèrement, plantant ton regard de braise dans le sien. Le feu et la glace réunit, ça avait été pour le moins explosif. Mais toi, tu prends peur facilement, je crois… Ton regard se fronce, et il te reprend contre lui. Je n’ai pas peur Warren. L’amour c’est un truc qui mène à rien, j’ai pas envie d’y prendre part. Tu t’accroches à la mauvaise prise, et tu vas t’faire mal pendant la chute. Penses-y. Le blesser était bien la dernière de tes intentions, mais tu n’étais pas prête à faire des efforts pour ne pas qu’il souffre, tu n’étais pas prête à ouvrir ton cœur et avoir un.. copain. Merde. Est-ce que tu me fais confiance? Parce que j’veux t’emmener quelque part. Un endroit qui t’plaira peut-être pas, mais j’tiens quand même à t’y emmener. Pour la nuit. Tu relèves la tête, collant le bout de ton nez contre son menton. Qu’est-ce qu’il pouvait bien connaître de Cambridge, il venait tout juste de débarquer ? Et puis s’il pensait que ça ne te plairait pas, pourquoi vouloir t’y emmener ? Putain, il venait de piquer à vif ta curiosité. Tu glisses ta main sur la sienne. J’te suivrais les yeux fermés Warren. lâches-tu en serrant les dents et les poings, comme si tu avais essayé de ne pas dire cette phrase. Pourtant, tu l’avais dire malgré tout. Attends moi là. Tu te relevas rapidement et parti en courant jusque dans ta chambre. L’espace d’un instant, tu pensas à t’échapper, t’en aller. Allez chez Maxime, ou t’enfermer dans la chambre de Ricardo. Mais ce que t’avais vraiment envie, finalement, c’était de passer la soirée avec lui, la nuit même. Un sourire niais sur les lèvres, tu attrapas ton gros baluchon dans lequel tu mis ton plaid et ton oreiller, quelques barres de chocolat que tu gardais dans ton tiroir aussi. Tu t’arrêtas devant le miroir, te dévisageant avec ton sourire niais sur le visage. Putain, c’que t’étais nouille quand tu étais amoureuse, tu mériterais des claques Olive. Ca craint, tu ne devais pas rentrer là dedans. Tu attrapas à la volée ton épais polaire moumouté et redescendit au jardin. Profite Warren, j’ferais n’importe quoi pour toi ce soir. Mais que ce soir. dis-tu en te plantant devant lui, les mains dans les poches. Demain, il devrait commencer à t’oublier, et toi aussi.

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Tu m’énerve. Que répondre à ça? Tu ne pouvais qu’être d’accord avec elle, silencieusement bien sûr ; si t’étais à sa place, tu te serais certainement trouvé bien énervant, embêtant, étouffant. Mais peut-être ne le remarquais-tu pas réellement, encore. Si pourtant tu ne la perdais pas parce qu’elle ne t’aimais pas, alors tu la perdrais parce que t’étais trop borné à l’aimer. Était-ce possible? Je n’ai pas peur Warren. L’amour c’est un truc qui mène à rien, j’ai pas envie d’y prendre part. Tu t’accroches à la mauvaise prise, et tu vas t’faire mal pendant la chute. Penses-y.#  Au final, tu te posais aussi la question. Pourquoi était-ce si difficile? Si compliqué d’aimer quelqu’un et de se faire aimer en retour? Certes, vous aviez ces deux côtés du médaillon réunit, mais il manquait le principal : la volonté. Elle t’aimait peut-être, mais son manque d’envie d’y consacrer son cœur enfin te faisait peur, en fait. ‘’ Un jour, tu vas comprendre que ça mène pas nulle part. Et puis si c’est moi qui s’trompe, alors je me ferai mal, un point c’est tout. Et si je me casse les ailes pendant la chute, ou pire, alors… j’y aurai pensé sagement. ‘’ Non, tu n’étais certainement pas prêt d’abandonner, et certainement pas maintenant. J’te suivrais les yeux fermés Warren.  Tu souris, dévoilant tes dents parfaitement blanches et droites, bien trop heureux pour cacher ta joie et ton bonheur soudains. Allez, si tu pouvais profiter au moins avec elle d’un bon moment au moins une nuit, sans qu’elle ne se sauve, alors t’allais pas laisser passer cette chance. L’Olive te demanda de l’attendre un instant et il te prit peur soudainement de la perdre de nouveau. N’est-ce pas de cette façon qu’elle avait pris ses jambes à son cou, la dernière fois? Te faisant croire quelque chose pour ne jamais réapparaître. Ton cœur battait si vite en même temps que tu te forçais à rester planté là, l’attendant. T’avais parfaitement l’idée de ce que tu voulais faire ce soir et cette nuit en tête ; tu connaissais un peu les lieux, car ta sœur y était allée par le passé avec son groupe, lorsqu’elle était encore de ce monde. Et te vantant les beautés de Cambridge, elle t’avait forcé à y aller. C’qu’elle te manquait, ta petite chérie de sœur… Paix à son âme. Lorsqu’Olive revint, tu l’observas se diriger dans ta direction avec un sac en sa possession, puis t’admiras sa beauté un instant, avant d’baisser les yeux au sol. C’que t’avais envie de te sortir une clope, là tout de suite. Mais non, fallait pas. Tu t’calmerais plus tard. Profite Warren, j’ferais n’importe quoi pour toi ce soir. Mais que ce soir. Tu soupiras. Fallait toujours qu’elle trouve le dernier mot pour te rappeler qu’elle avait du mal avec l’amour, et avec toi par conséquent, et qu’elle finirait bien par te blesser, que tu tomberais de haut là-dedans, parce que ça ne pourrait fonctionner. Tu ne répondis pas, ignorant sa question, répondant par autre chose : ‘’ Faut qu’on fasse un arrêt. J’me suis loué une voiture avant d’venir te voir.. J’ai pas eu le temps d’penser à m’en acheter une. ‘’ Pourquoi tu lui racontais ça? Elle savait qu’tu venais ici pour la rejoindre et pour t’installer, tu le lui avais balancé plus ou moins clairement en plein visage tout à l’heure. ‘’ Tu viens? Y’a un p’tit bout de marche à faire.  ‘’ Tu marchais à côté d’elle, sans trop savoir quoi dire, tu voulais pas péter sa bulle ou quoi que ce soit, la briser, la piquer au vif, même si l’envie d’la faire chier comme autrefois te piquait vraiment. Warren et Olive ne seraient pas pareil sans leurs engueulades de merde. Comme à cette fameuse pool party, par exemple. Une fois rendus sur les lieux ou ton pick-up s’trouvait, c’est sans un mot que tu montas à l’intérieur, attendant que la blondinette en fasse de même. ‘’Alors… Jumpy il t’manque? Il m’a presque forcé à t’embrasser pour lui, parce que tu lui manques, mais… j’crois pas que ce soit une bonne idée. ‘’, disais-tu en roulant sur cette route tantôt parfaitement droite et belle, maintenant plutôt raboteuse et terreuse… Y’avait un champ devant vous, et c’est directement là, en plein trou perdu que tu te rendais pour y passer la nuit. T’avais dit ça avant un brin d’ironie, mais aussi avec un peu de tristesse dans la voix, car oui t’aurais voulu l’embrasser. Mais non, tu ne pouvais pas. T’avais pas le droit, ça. ‘’ On est arrivés, princesse. ‘’ Pourquoi pas la taquiner un peu, hein? Tu débarquas prestement en allant derrière le pick-up, pour ouvrir la boîte et dévoiler… un espace couvert de couvertures et rempli de coussins. (comme ça) T’avais fait tout fait ça comme t’arrivais à Cambridge. Parce que t’avais été assez con pour croire qu’elle te sauterait dans les bras en t’embrassant. Mais voilà, t’avais été stupide de penser ainsi, mais tu voulais tout de même lui en faire profiter… Tu te passas alors une main sur la nuque, mal à l’aise, haussant les épaules ‘’ J’avais préparé ça.. Voilà, je sais, c’est con. ‘’

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Un jour, tu vas comprendre que ça mène pas nulle part. Et puis si c’est moi qui s’trompe, alors je me ferai mal, un point c’est tout. Et si je me casse les ailes pendant la chute, ou pire, alors… j’y aurai pensé sagement. Tu secoues la tête. Tu n’pourrais pas l’arrêter, c’était certain, et à cette idée ton cœur se serra. Pour deux raisons : la première, c’est que ça te rassurerais. Tu pouvais pas vivre sans Warren, tu faisais vite n’importe quoi. Y’avait qu’à regarder ce que t’avais accomplis depuis que t’étais là : rien. Tu passais juste pour la pute d’Harvard, et c’était vraiment pas ce que tu étais. La seconde raison pour laquelle ton cœur se serra, c’est que t’allais le faire souffrir et même s’il en avait conscience, cette idée te rendait folle. Le seul gars qu’à essayé d’m’apprendre à l’aimer à terminé à l’HP. dis-tu sans un petit sourire en coin. Bon, c’était pas d’ta faute, fallait dire que le gars en question avait déjà un sérieux problème, mais c’était marrant d’le dire comme ça. Warren t’avait proposé de t’emmener quelque part, ton caractère lunatique et toi avez acceptés. Faut qu’on fasse un arrêt. J’me suis loué une voiture avant d’venir te voir.. J’ai pas eu le temps d’penser à m’en acheter une. Tu viens? Y’a un p’tit bout de marche à faire. Tu haussas les épaules et l’accompagna. Côtes à côtes, vous ne déboitèrent aucun mot du trajet ce qui assez reposant finalement. Warren calme, ça faisait du bien, ça te rendait plus calme. Quoi que, ça dépendait des moments, tu serais bien capable de lui piquer une scène car il était trop calme. Après quelques longues et reposantes minutes de marches, vous étiez enfin arrivés. Toujours aussi silencieusement, tu grimpas du côté passager du pick-up, cherchant où diable pouvait-il t’emmener. Alors… Jumpy il t’manque? Il m’a presque forcé à t’embrasser pour lui, parce que tu lui manques, mais… j’crois pas que ce soit une bonne idée. La silence fit enfin rompu, encore aurais-tu préféré qu’il ne le soit pas si c’était pour parler de ce qui te manquait le plus. Tu grognas silencieusement, t’accoudant contre la portière, retenant ta tête avec ta main. T’avais pas le droit d’aller là bas, sans moi. grognes-tu dans ta moustache. Bien sûr qu’il m’manque. termines-tu sèchement, préférant vite passer à autre chose, esquivant bien entendu la question d’un baiser. Mine de rien, ça coupa la conversation net. La voiture s’immobilisa dans un immense champ. On est arrivés, princesse. Tu pouffas de rire en regardant l’endroit, en effet, y’avait des risques que ça n’te plaise pas. C’était quoi son idée, te kidnapper dans son pick-up, dans un endroit plus désert que le Sahara ? Merde, lui aussi était bon pour l’HP en fait. Tu poussas la lourde porte et descendit de la voiture, le regardant retirer la boîte à l’arrière. Le ‘coffre’ était rempli de coussins et de couvertures. Oh. J’avais préparé ça.. Voilà, je sais, c’est con. C’était tellement beau, tellement douillet, tellement cocooning, tellement romantique, tellement pas toi. Tu t’avances doucement vers Warren, gardant les yeux sur le pick-up. Il avait fait ça… pour toi. Warren.. J’sais pas quoi t’dire. Tu inspires, te mords la lèvre inférieure et passe tes bras autour de sa taille, amicalement. Je crois que tu m’dois un bisou de Jumper ? J’te promet que j’ferais pas toute une scène. dis-tu en montrant ta joue du bout de ton index.

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Le seul gars qu’à essayé d’m’apprendre à l’aimer à terminé à l’HP. Oh, mais tu voyais bien qu’elle essayait, fort en plus de ça, très fort même, de te repousser et de chasser tes ardeurs amoureuses à son égard. Si t’avais été normal, ou bien si t’avais pas été toi, t’aurais peut-être fini par comprendre le message et t’éloigner. Mettre des efforts sur quelque chose ou sur quelqu’un qui n’en n’a absolument rien à foutre de toi, ça ne sert à rien, et au bout du compte, t’aurais très bien pu te mettre à penser de la sorte. Mais t’étais Warren, non? Pourtant, tu restais quelque peu blessé intérieurement et tu ne le montrais pas. Puis aussi, tu semblais un peu désespéré de tes propres tentatives, alors que tu t’apercevais bien que, malgré les sentiments éprouvés par la blondinette à ton égard, elle ne voulait rien savoir de toi. ‘’ Le pauvre. ‘’ Ton côté peu bavard semblait ressortir à l’instant présent. Peut-être parce que t’avais honte, ou que tu regrettais soudainement d’être venu ici et d’avoir fait tant d’efforts pour te faire rejeter de la sorte… T’avais pas le droit d’aller là bas, sans moi. Tu lèves les yeux au ciel en tournant à droite, alors qu’elle finit par avouer  - enfin – que Jumper lui manque bel et bien. T’aurais pu l’emmener ici avec toi hein, mais c’pas comme un chien ou un p’tit chat. C’était même pas un poisson rouge, alors quoi… Pas si simple. ‘’ Tant pis, tu m’connais. J’y suis allé quand même, parce que toi tu m’manquais. ‘’ À quoi bon lui mentir? Strictement à rien, puisqu’elle savait c’que tu ressentais et ça faisait de toi le faible, le soumis. Pas elle, contrairement à ce qu’elle pouvait bien penser. Vous étiez peut-être amoureux les deux, mais c’est encore et toujours elle qui aurait le pouvoir sur toi, maintenant. Car c’est toi qui était prêt à tout pour lui faire plaisir, pour la rendre heureuse, pour l’aimer. Et elle te repoussait comme la peste, car elle avait ce pouvoir. Ce besoin, précisément. En la voyant éclater de rire, tu es presque exaspéré. Détruit de l’intérieur, quoiqu’il ne faut pas exagérer, non plus. C’est juste qu’elle a toujours tellement son dernier mot à dire sur tout ce que tu peux bien faire, que tu ne sais même pas comment agir avec elle, ni quoi faire. Alors qu’autrefois, c’était si simple de la faire chier à ta guise, sans avoir peur de la froisser ou de la retourner contre toi. Putain. C’faisait chier. ‘’ Dis rien, c’était une mauvaise idée, de toute façon… ‘’, finis-tu par murmurer tristement en baissant la tête. Oui, toi aussi tu pouvais avoir tes moments de tristesse et de déception. C’pas parce que t’étais un mec et que t’agissais en mec que tu pouvais pas être faible ou triste. Olive t’passa ses bras autour de ta tête, ce qui te surprit et te força à relever la tête, de façon à la regarder, fronçant les sourcils. Mais qu’est-ce que tu fous, lui demandais-tu intérieurement. Elle t’offrait sa joue. Tu soupiras. C’est pas exactement le message que t’avais tenté de lui faire passer, tout à l’heure. Mais si t’avais droit qu’à ça, alors tu saisirais ta chance, pour l’instant. C’pourquoi tu déposas tes lèvres sur sa joue, souriant contre celle-ci, appréciant le doux contact créé. ‘’ Il va être content… ‘’ Puis, tu gardas le silence, pivotant ta tête vers le pick-up, observant tout ce que t’avais préparé dans l’espoir de la conquérir de nouveau, de lui ouvrir ton cœur. Tu haussas les épaules, mal à l’aise. ‘’Euh… si tu préfères avoir c’t’espace là à toi toute seule, ça me dérange pas du tout. J’dormirai dans le voiture, devant… Ça t’va? ‘’ Bien que t’aurais préféré l’avoir dans tes bras, pour dormir. Normal, non? Ouais bon, c'tait pas facile de faire comme si ça te dérangeait pas, hein.

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Tant pis, tu m’connais. J’y suis allé quand même, parce que toi tu m’manquais Le savoir près du bassin de Jumper te fit frissonner. Jumper était ton animal, y’avait que toi et les autres dresseurs du parc qui avaient le droit de le voir, et encore tu étais franchement réticente quant aux employés de ton père. Savoir qu’il s’était introduit chez toi, en douce, une seconde fois.. grr. Oui, une seconde fois, rappelons que la première fois, il n’y avait pas été invité et t’avait suivi en douce dans la nuit. Oui j’te connais, c’est bien ça le problème. soupires-tu, collant tes poings contre tes côtes. L’endroit où il t’avait emmené était désert, mais ce qu’il avait préparé comblait bien vite le vide. Tu aurais été du genre romantique, tu se serais jetée dans ses bras pour l’embrasser. Mais t’étais loin de l’être, beaucoup trop loin peut-être. Dis rien, c’était une mauvaise idée, de toute façon… Tu te mords la lèvre un peu plus fort. Tu n’avais pas dit-ca, bien au contraire. Tu n’savais pas quoi dire dans le sens où tu étais.. époustouflée. Oui, Olive Bambi Shark était époustouflée par Jay Warren Cooper, c’était possible. Au contraire. J’aime beaucoup. Ton cœur se mit à battre vite, beaucoup plus vite. Il parlait pour toi, c’qui te rendait malade. T’aimais pas ses soudaines accélérations des battements de ton cœur, elles te rappelaient que tu étais amoureuse de lui, putain c’que c’était chiant. Tu t’étais accrochée à sa taille, lui réclamant un baiser sur la joue.. subtilement. Y’a qu’avec Warren que tu faisais dans la dentelle de toute façon. Lorsqu’il dépose ses lèvres sous ta joue, c’est une décharge électrique qui parcours chaque parcelle de ton corps parcourable. C’était doux, chaud, piquant et froid à la fois, lorsqu’il retira ses lèvres. Il va être content… Un sourire déchire tes lèvres. Tu m’en vois ravie. dis-tu en te mettant sur la pointe des pieds avant de reculer d’un pas. Euh… si tu préfères avoir c’t’espace là à toi toute seule, ça me dérange pas du tout. J’dormirai dans le voiture, devant… Ça t’va? Ton regard se durcit, une nouvelle fois. Tu lui avais promis d’faire ce qu’il voulait le temps de cette soirée, t’allais pas lui gâcher le plaisir de dormir avec toi. Et puis, ce n’était pas comme si t’en mourrais pas d’envie. Non. dis-tu en lui attrapant le bout des doigts et marcher vers l’arrière du pick-up pour y grimper et t’affaler dans les coussins et autres couvertures. J’irais dormir devant. Non, tu n’irais pas, tu resteras dans ses bras, t’en étais sûre. On a l’temps de toute façon. Parle moi Warren, dis moi que tout va bien à part… moi. dis-tu en te tournant sur le côté pour lui faire face, rabattant une couverture sur toi.

Copyright Clochette
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Avec cette ville, tu avais l’impression de n’être qu’un prédateur en chasse de sa proie. Ou plutôt, un vampire assoiffé de sang, incapable de se contrôler qui n’attendait que le bon moment pour lui sauter dessus et faire de cette fille ce qu’il rêvait tant depuis des mois. Mais tu devais te contrôler, et ça tu le savais. C’était impératif, presque crucial, même. Au contraire. J’aime beaucoup. Incapable d’apprécier cet espèce de compliment, tu ne dis mot, préférant garder le silence plutôt que dire une bêtise. Tu passes une main dans tes cheveux en espérant que ça cache ton soudain malaise. Vous parliez alors de Jumper, son orque. C’était un secret que vous partagiez, que seul toi avais la chance de connaître. Ce n’était pas ton secret, mais bien le sien et tu te faisais un devoir de le préserver, le cachant dans cette grotte secrète dans ton cœur et dans ta tête, afin de lui faire honneur. Oui, tu te sentais privilégié d’avoir partagé un moment comme celui au parc aquatique de son père, même si ça c’était terminé en… queue de poisson. Quel jeu de mot ridicule, Warren… Non. Non? Pourquoi non? Elle ne voulait pas d’toi, et puis t’allais pas la laisser dormir par terre, hein. Ce serait de faire un grand déshonneur à ton côté parfait-gentleman que tu étais, et il était hors de question que tu la laisses gagner sur ce terrain-là. ‘’ Nah. Tu dors ici, moi devant. C’est même pas discutable. ‘’ Même si dieu seigneur, t’avais cette putain d’envie de la serrer dans tes bras et de l’embrasser une nouvelle fois, de retrouver ses lèvres, leur douceur, son odeur. T’avais envie de caresser ses courbes du bout des doigts rien que pour apprécier le contact et la sentir frissonner. Romantique? Peut-être, mais t’avais ce côté sauvage aussi qu’Olive ne connaissait peut-être pas, et elle en manquait une, une chance… Cette pensée t’arracha un sourire en coin, mais tu gardas le silence. On a l’temps de toute façon. Parle moi Warren, dis moi que tout va bien à part… moi. Tu t’tirais soudainement de tes pensées, observant, tel un zombie qui venait de sortir de sa tombe, la belle demoiselle qui se trouvait assise dans la boîte du pick-up devant toi. Tu haussas les épaules à sa question ; t’étais pas très habitué à parler de toi, hein. Y’avait des moments ou tu préférais t’intéresser aux autres plutôt qu’à ta petite personne. Comme maintenant. Mais tu fis un effort. Pour lui faire plaisir, peut-être? ‘’ Crois-moi, tout va bien. J’suis tombé dans la drogue, on m’a fait dealer, puis j’ai tué un mec tu sais. Mais ça va. ‘’ Même pas drôle, merde. T’étais pathétique. Tu te passas une main sur la nuque, grattant celle-ci du bout des doigts. ‘’ Euh… ouais, enfin, ça va, quoi. Y’a rien de spécial. À part que… non, vraiment y'a rien., dis-tu en émettant un léger rire nerveux, alors qu’il n’y avait rien de drôle. C’tait toi le pas bavard, pourquoi elle t’faisait parler, hein? ‘’ Et toi, princesse? ‘’ Tu te penches vers l'avant en posant tes mains de chaque côté d'elle, alors qu'elle s'était enroulée dans une des nombreuses couvertures. " T'es toujours aussi belle, tu sais? " Que la vérité, Warren... Que la vérité.

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Nah. Tu dors ici, moi devant. C’est même pas discutable. Tu savais que discuter avec Warren n’était pas quelque chose de facile à faire. Vous aviez tous les deux un fort caractère et étiez à cheval sur vos idées, aucun de vous ne changerait son avis. Tu grognas face à son refus d’obtempérer mais n’ajouta rien, vous verrez ça tout à l’heure. Pour l’heure, tu avais besoin de savoir comment il allait. Tu n’avais pas eu de nouvelle de Warren depuis presque un mois et demi et la seule fois où ça vous était arrivé, c’était juste après votre escapade au parc de tes parents, soit juste avant la fête de l’automne. Vous étiez fait pour vous fuir et vous suivre l’un et l’autre, c’était désastreux. Crois-moi, tout va bien. J’suis tombé dans la drogue, on m’a fait dealer, puis j’ai tué un mec tu sais. Mais ça va. Tes yeux bleus pacifiques s’étaient agrandis à mesure qu’il énumérait les choses qu’il avait faites, jusqu’à ce que tu comprennes que, putain, il plaisantait. Quel con. Tu l’aurais cru en plus, merde. Putain Warren. M’fais plus de plaisanteries comme ça, c’est pas drôle. dis-tu en arborant un grand sourire, allant à l’encontre de ce que tu disais. Tu l’aimais comme ça Warren, plaisantin. Euh… ouais, enfin, ça va, quoi. Y’a rien de spécial. À part que… non, vraiment y'a rien. Tu étais soulagée, ou peut-être pas en fait. Savoir qu’il n’avait rien fait de spécial après ton départ te serra le cœur. Tu repenses un instant aux semaines qui ont coulées suite au départ de tes frères, sans raison. Tu étais dévastée, et s’il te mentait alors qu’il l’avait été aussi ? Tu te pinces les lèvres et hausse les épaules, compatissante. Et toi, princesse? Ses mains se posent de part et d’autre de ton corps, tu frissonnes à ce contact, mais ne retient guère un grognement face à ce petit nom qu’il s’autorise à te donner. Princesse, et puis quoi encore ? Horrible. J’ai découvert les fêtes d’ici. Rien de bien comparable avec celles de là bas. dis-tu en roulant des yeux. Là bas, c’était toi l’omega, la reine de la soirée, celle qui faisait tourner toutes les têtes. Ici, ce n’était pas pareil. C’était différent. Le souffle de Warren te caressa le visage alors qu’un compliment lui sortit délicatement des lèvres, te faisant serrer les dents. T'es toujours aussi belle, tu sais? Il te regardait, les yeux brillants et débordants d’émotion. Putain, c’est pas vrai, t’avais pas le droit de baver pour ce type, tu pouvais pas le désirer comme ça, maintenant, en plus de l’aimer. C’était un carnage, tu contrôlais plus rien et ça t’rendait folle. Tu glisses une main autour de sa nuque, te décales un peu plus contre lui et pose tes lèvres sur son menton avant de te blottir tout contre lui. Tu fermes les yeux, respire son odeur et t’en imprègnes. Bordel Olive, mais qu’est-ce que tu fous ? Tu inspires profondément, te concentre sur les battements de ton propre cœur, en vain. Putain Warren, j’te déteste. grognes-tu avant de plaquer tes lèvres contre les siennes. C’était pas vrai, tu l’aimais, putain qu’est-ce que tu pouvais l’aimer.

Copyright Clochette
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