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falling right back into you - ashton & naomi.

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Naomi Braxton & Ashton Irving



Elle n'avait pas imaginé deux secondes que ce soit à cause d'un de ses amis qu'elle se retrouverait confronté à Ashton. Elle avait vraiment pensé qu'elle réussirait à terminer son cursus scolaire sans le recroiser, c'était bien ce qui était arrivé avec plusieurs personnes après tout pourquoi Ashton aurait été l'exception ? Et bien visiblement tout était différent lorsqu'il en revenait à ce type, Naomi devait se faire une raison. Décidant de faire un premier pas, de se montrer un minimum civilisée, la jeune femme émit alors un compliment que Irving lui fit regretter aussi tôt. Le visage de Naomi se durcit d'un coup et elle s'apprêtait à user de sa répartie lorsque le basketteur ne trouva pas mieux que d'en rajouter une couche en lui demandant de ramener du monde au match en particulier des filles. La jeune femme serra les dents, se sentant totalement lésée elle n'arrivait pas à croire qu'il recommençait à la provoquer et cette fois ci ça marchait plus que jamais. Son coeur s'emballa, à l'idée de le voir entouré d'une nuée de fille comme c'était souvent le cas pour le sportif à l'université. Elle le fusilla du regard, tentant de lui faire regretter ses paroles alors que Chester riait aux éclats, prêt à tout pour faire plaisir à la nouvelle star de basket d'Harvard. A en voir le petit sourire satisfait d'Ashton celui ci était très content de sa requête. Naomi devait réagir et vite, lui montrer qu'il était ridicule et qu'elle pouvait le rendre jaloux bien plus qu'il n'en était capable lui-même. Sauf qu'elle avait beau réfléchir elle ne voyait pas comment elle pouvait le rendre dingue, elle n'allait pas se précipiter dans les vestiaires et sauter sur un joueur, même si franchement si elle parvenait à se taper un des collègues d'Ashton ça serait largement suffisant pour lui montrer qu'il n'avait aucune emprise sur elle et qu'elle faisait ce qu'elle voulait au sein de cette université. Sauf que pour le moment à part Chester, elle n'avait aucun outil de vengeance. Mais une fois encore ce fut Chester qui lui sauva la mise "Bah Naomi ça te suffit pas ? C'est une des plus belles nanas d'Harvard, un caractère de lionne et un corps de dingue crois moi si elle me rejetait pas comme elle le faisait, on serait marié depuis un bail !" s'exclama Chester en prenant Naomi par le cou. La jeune femme réagit au quart de tour : "Mais voyons je te rejette pas arrête de te faire des films, on va boire un verre là c'est déjà un premier pas non ?" dit-elle en souriant, regardant Ashton droit dans les yeux, lui prouvant de cette manière qu'elle pouvait elle aussi multiplier les rencontres et l'oublier dans les bras d'un autre. Il ne voulait pas respecter le deal, elle allait l'obliger, le pousser dans ses retranchements. Si il ressentait, ce qu'elle ressentait alors les effets n'allaient pas se faire attendre.
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Il aurait dû refuser il y a trois semaines de pouvoir passer une nuit avec elle pour s’en passer à jamais. Il s’était passé quelque chose entre eux, c’est pour cela que la nuit avait été inoubliable. Une sorte d’alchimie indestructible influait sur le déroulement des choses et perturbait l’équilibre même du basketteur qui ne savait comment arrêter la machine destructive qui brouillait son esprit. Il détestait cette façon qu’elle avait de le dénigrer comme s’il était un moins que rien. Ils ne venaient pas du même monde, mais si elle avait voulu apparaitre polie, c’était tout le contraire qui s’était produit. Pas un regard, pas une mimique, elle prenait son rôle trop au sérieux. Et le caractère humain dans tout ça ? Comment faisait-elle pour aller contre ses ressentis ? C’est peut-être qu’au fond, elle n’en éprouvait pas, et qu’il était au même titre que les autres, une conquête de plus et puis c’est tout. Lui qui avait pour habitude de se contrôler, il apparaissait étrangement froid, comme si son animosité transparaissait très clairement, et puis il voulait lui prouver que lui aussi il savait la rendre dingue à sa manière. L’arme des faibles, c’était de faire chanter l’autre avec une fille, lui, il allait plus loin, il se servait de toutes. Pourtant, elle n’aurait pas dû s’en faire. Il n’avait découvert l’amour qu’avec elle, les autres elles avaient couché avec lui. Chester se retrouvait en plein milieu du conflit, et il ne devait rien y comprendre. Il était comme la balle de ping-pong qu’on renvoyait inlassablement jusqu’à la perte du point, il était l’outil, l’arme à portée de main pour blesser l’autre. Naomi n’en menait pas large, il le savait. Elle cherchait pourtant à répliquer par n’importe quel moyen, mais Ashton avait dégainé le premier et il ne lui laissait aucune porte de sortie. Si Naomi lui suffisait ?! Il aurait dû répondre l’inverse : que les autres ne combleraient jamais le manque qu’elle avait installé en une soirée. Elle était la plus belle fille d’Harvard, elle avait un caractère de chien mais c’est ça qui donnait du mordant à leur pseudo-relation, et elle avait un corps à se damner, telle Esmeralda faisant succomber Frollo, l’homme de foi. Et alors qu’il aurait voulu rétorquer quelque chose à Chester, celui-ci s’accrocha au cou de la belle amérindienne, et le rictus d’Ashton se crispa. Vint la riposte de Naomi, et Ashton se mit à rire jaune. « Vous êtes à peine contradictoires tous les deux… » Il fallait qu’il éloigne Chester d’elle, et même si Naomi venait de le faire chanceler, son esprit vif d’exécution lui trouva une solution toute faite. « Je suis désolé Chester, mais je crois que t’as du chemin à faire si tu veux réussir à contenter une fille comme Naomi. La barre est très haute. » Il faisait allusion à leur nuit passée trois semaines en arrière, et il regarda Naomi en haussant légèrement les épaules, lui montrant qu’il pouvait encore pousser le vice plus loin. Elle ne voulait pas que ça se sache, que se passerait-il si ça se savait ? Qu’avait-elle à répliquer ? Plutôt que de lui laisser le temps d’y réfléchir, il enfonça le clou en incitant Chester à faire autre chose qu’aller boire un verre avec une fille qui ne voudrait jamais de lui. « Je serais toi, tu ferais mieux de te concentrer sur les cheerleaders, elles sont hot, et moins prise de tête ! Viens je te les présente ! » Soit dit en passant, il l’avait caractérisée de prise de tête, pas pour Chester, mais pour lui et tous les sens étaient possibles : elle monopolisait son esprit comme elle le rendait fou en le maintenant éloigné d’elle, et elle l’agaçait au possible en lui faisant subir des émotions contradictoires.

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La guerre était déclarée et les deux anciens amants semblaient armés jusqu'au dent, impatient de voir qui allait avoir le dernier mot. Mais la vérité était qu'aucun d'entre eux n'en sortirait indemne, Naomi était déterminée à rendre à Ashton la monnaie de sa pièce. Bon, certes, elle avait refusé qu'il ébruite leur liaison mais il n'était pas non plus obligé d'afficher sa volonté de rencontrer d'autres filles. Plus les minutes passaient et plus Naomi regrettait de l'avoir conduis sur ce chemin de l'indifférence. Elle se demandait si elle serait capable de le partager finalement, si elle était capable de le laisser aller vers une autre alors que quand elle voyait son visage, sa bouche, son corps elle n'avait qu'une envie : l'appeler sien. Aucune autre fille ne serait capable de l'apprécier à sa juste valeur, Naomi connaissait les femmes et elle les savait pour la plupart intéressée et hypocrite. Elle, avait son propre argent, ses propres ambitions et son indépendance faisait foi de sa bonne volonté de rester seule sans venir s'emmerder avec un mec qui finirait sûrement par la tromper ou la rendre dingue. Mais ce qu'elle réalisait là à ce moment précis, c'était que de ne pas être en couple avec Ashton, ou encore fait semblant de l'avoir un jour rencontré la rendait quand même dingue, et si jamais il voyait une autre nana elle prendrait aussi mal que si il l'avait trompé. Ne devrait-elle pas remettre en question ce deal ? Elle avait besoin de lui parler. Terriblement besoin de lui parler. Elle devait absolument faire dégager ce merdeux de Chester. Lorsqu'il rétorqua que Naomi avait mis la barre était très haute et qu'il ferait mieux de se concentrer sur quelqu'un d'autre, quelque chose s'anima dans le regard de la jeune amérindienne. Était-ce une forme de jalousie ? À ce moment là, ça voulait dire que lui aussi était jaloux, que lui aussi éprouvait ce besoin d'exclusivité. Après tout pourquoi dissuader Chester si ce n'était pas pour la garder pour lui ? Elle devait prendre les choses en main, quitte à péter les plombs et à en dire un peu trop sur le fond de sa pensée, elle était prête à prendre le risque juste pour lui faire comprendre que finalement… Ce deal n'était pas raisonnable.

"Chester tu veux bien nous excuser deux minutes ?" Elle agrippa alors le bras de Ashton avec précipitation, le menant à la porte de vestiaire la plus proche. Une fois la porte fermée, elle le poussa violemment et lui cria : "C'est quoi ton problème ?" Elle était folle de rage maintenant, folle de rage qu'il l'oblige à regarder ses sentiments en face. "Ne joue pas à ce jeu là avec moi Irving, n'essaie pas de me rendre jalouse parce que… Parce que…" Un doigt menaçant pointé vers lui, un regard mitrailleur, Naomi fit finalement tomber le masque et se passa les mains sur le visage. "Parce que ça marche putain… Ça marche trop bien. Et je déteste de me le faire dire." C'était la deuxième fois qu'elle baissait la garde devant ce type, elle qui s'était juré de rester raisonnable maintenant c'était foutu et vous saviez quoi ? Elle n'en avait plus rien à foutre. Elle allait mettre sa fierté de côté et espérait que le basketteur en ferait autant."J'annule le deal. C'est moi qui vais détruire ta réputation, dès que j'en aurais l'occasion je dirais qu'entre toi et moi il se passe quelque chose, que t'es chasse gardée et que la première qui approche va passer un sale quart d'heure ! Ne joue pas avec mes couilles Ashton, ne joue pas avec parce que là tu me rends dingue !" Essouflée, Naomi se calma, le regardant d'un air semi-paniqué, semi-désespéré.
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Naomi changea radicalement d’attitude, à croire que les mots d’Ashton l’avait touchée, et elle demanda à Chester de les excuser, saisissant le bras du basketteur pour se diriger vers un vestiaire vide. Qu’avait-elle en tête ? Il n’allait pas tarder à le savoir, mais il ne pouvait s’empêcher de croire qu’il allait passer un sale moment. Il savait également qu’il était allé loin dans la provocation et qu’il pouvait la blesser. Ce n’était pas forcément ce qu’il souhaitait, alors il devait faire attention à ce qu’il avançait. Naomi claqua la porte une fois rentrés dans les vestiaires et le bouscula franchement, même s’il ne bougea pas de gros centimètres, il fut surpris par cette façon qu’elle avait de le pousser. Il lui avait mis les nerfs en pelote. Elle était énervée au possible, et c’était une réaction qui eut pour effet de fermer le visage du natif de Detroit. Il avait appris à se la fermer et à faire profil bas quand une femme se mettait en colère, car la seule femme qu’il avait vue s’énerver et elle ne s’énervait que rarement, c’était sa mère. Naomi lui reprochait de jouer un jeu avec elle, de la rendre jalouse, et ce n’était pas faux. C’était absolument l’effet qu’il avait visé et recherché, parce qu’il voulait qu’elle regrette. A cause d’elle, il gambergeait sans arrêt. Il n’avait fait que penser à elle, s’imaginant lui envoyer des SMS à perte de vue, et l’invitant à diner pour avoir un ‘premier rendez-vous’ digne de ce nom. Parce que le premier n’en était pas vraiment un. Elle monopolisait son attention, et il détestait cela. Ce qu’il apprécia en revanche, c’est de voir que son plan avait parfaitement fonctionné. Elle avait peiné à le dire, mais elle était jalouse maladive de le savoir entouré d’autres filles ou de souhaiter en voir d’autres. Il était hautement fier d’y être parvenu, car il savait l’amérindienne inatteignable. Voilà qu’elle finissait son speech en lui exprimant son envie d’annuler le deal, et mieux encore de lui révéler qu’elle était prête à entamer une histoire avec lui, et qu’il n’avait pas intérêt de jouer au con avec elle, ou elle en deviendrait folle. Il ne savait plus s’il devait sauter de joie ou s’il devait commencer à flipper. Une relation, c’était tout ce qu’il avait évité jusqu’à présent. Il n’avait jamais voulu se lancer dans quelque chose de sérieux parce qu’il avait peur de la routine et peur de l’engagement. Tout ceci n’était qu’un reste de sa vie d’enfant. Son père était parti du jour au lendemain et n’était jamais revenu, laissant sa mère dans le chagrin et dans les ennuis. Elle s’était battue pour rendre la vie de son fils agréable, mais du coup, il n’était pas sûr d’être prêt à se lancer dans quelque chose de concret. Du coup, au lieu d’accueillir la nouvelle à bras ouverts, il prit la parole à son tour pour mettre les choses au clair, s’emportant légèrement : « Mon putain de problème, Naomi, c’est toi ! Tu sais un peu ce que tu veux ?! Tu me vires et m’ignore pendant trois semaines et là t’es en train de me dire que tu veux tout l’inverse ? » Il ne savait plus sur quel pied danser avec elle, et c’était frustrant. « Je suis pas une girouette, okay ?! » Pourtant, il mourrait d’envie de la prendre dans ses bras et l’embrasser de nouveau, de lui faire sentir qu’elle était la seule et unique pour lui, mais ça lui demandait beaucoup de concessions. Elle le menait à la baguette. « Avec toi c’est les montagnes russes ! » Insistait-il encore et encore. Il passait de moments de disputes à des moments de bonheur intense en quelques minutes, il connaissait l’euphorie et la déception à la fois. Atteindre le sentiment positif c’était grisant, mais la chute était insupportable. Il s’adoucit un peu par la suite, comprenant que de toute façon, il ne pouvait pas aller contre les sentiments que ce soit les siens ou ceux de celle qui faisait battre son cœur. « Et puis tu peux pas faire ça… Tu vas devenir folle et te mettre à dos tout le monde. » Il était bien entouré Ashton, et pas seulement de garçons. Les filles, il en connaissait une palanquée, et il serait difficile à Naomi de toutes les maintenir à distance. Il ne pouvait cependant plus résister à l’appel de la jeune femme. Elle le tentait trop, alors se rapprochant d’elle lentement, il finit par lâcher contre sa fierté : « Oh et puis merde ! » Et il se jeta littéralement sur elle, la plaquant contre le mur sans douceur, pour l’embrasser dans un baiser fiévreux et intense qu’il réprimait depuis trop longtemps déjà. Il n’y a pas que lui qui la rendait dingue, la réciproque était on ne peut plus vraie.

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"De toute façon t'es intouchable toi. Toi tu t'en fous de tout, t'as pas de coeur." Naomi revoyait sa meilleure amie de l'époque pleurait devant elle à cause d'un garçon. Cette phrase elle se l'était prise dans la tronche parce qu'au lieu de la consoler elle l'avait engueulé, lui hurlant d'arrêter de geindre pour un mec qui n'en valait pas la peine. Et à partir de là Naomi avait vraiment cru que son amie avait raison. Elle se foutait des histoires d'amour, elle ne tombait jamais amoureuse. Sa première fois avait été avec un amour de vacances et toutes les autres avec des amis proches ou des mecs rencontrés de manière spontanée mais ponctuelle. Naomi n'avait jamais été ce genre de fille à collectionner les histoires d'amour. Elle n'avait jamais été trompée, larguée ou quoique ce soit. Elle prenait toujours les devants, mettait la barre tellement haute qu'elle n'avait jamais été atteinte… Jusqu'à maintenant. Naomi était en train de comprendre qu'en réalité ce genre d'histoire renversante ne prévenait pas. Elle se profilait au loin et vous tombez dessus d'un coup d'un seul sans vous laisser le temps d'envisager comment il était possible de gérer les choses. Ashton était apparu une nuit dans sa vie et il semblait avoir laissé une empreinte immuable. Elle ne pouvait l'expliquer.. Après tout ils ne se connaissaient pas tant que ça mais c'était comme si ils savaient déjà tout l'un de l'autre. Comme si le fameux soir où ils s'étaient abandonné l'un à l'autre, ils s'étaient dit l'essentiel. Naomi avait alors pensé qu'il serait facile de l'oublier, qu'il n'était qu'un trophée dans son tableau de chasse, que certes il lui avait grande impression mais que le temps atténuerait cette attirance. Sauf que d'une attirance avait découlé une obsession. Elle avait failli lui envoyer une trentaine de messages, effaçant les petits caractères à chaque fois. Au précipice de succomber… Jusqu'à ce soir. Maintenant qu'il était devant elle, elle n'avait plus d'autre choix que de faire face à une évidence : elle l'avait dans la peau. Le voir sur ce terrain avait rendu les choses soudainement réelles, elle avait alors réalisé qu'elle aurait beau refoulé ce sentiment inexpliqué qu'elle ressentait à son égard elle ne pourrait pas le fuir indéfiniment. Ces filles crier son nom, les gens le regarder avec un regard ampli d'admiration… Naomi découvrait un nouveau sentiment, une nouvelle facette de sa personnalité qu'elle ne se connaissait pas : la possessivité. La jalousie pure et irraisonnée.

Voilà pourquoi elle en venait à péter les plombs dans ce vestiaire, à déverser ses sentiments comme un fleuve au débit furieux et destructeur. Lorsqu'Ashton se mit à l'accabler, elle se sentit clairement minable. Vaincue à son propre jeu, elle payait le prix de sa fierté mal placée et de la réputation qu'elle voulait tenir. Sans doute devait-elle comprendre que tenir sa réputation ne valait pas le coup de passer à côté de quelque chose de bien plus grand et légendaire que ce qu'elle ne pouvait imaginé. La vérité c'était que Ashton lui était tombé dessus comme ça et qu'elle n'avait rien venir… Alors Naomi Braxton-Scott avait consciemment tout fait foiré pour ne plus à s'inquiéter de ne pas réussir à contrôler. "Ne me dis pas ce que je ne peux pas ou ne doit pas faire Ashton ! Si je veux que tout le monde sache pour nous, j'hésiterais pas ! Tu me connais pas je te jure que tu me connais pas !" Deux fous. C'était réellement plus fort qu'eux, toute la dynamique de leur relation reposait sur cette peur finalement qu'ils avaient tous les deux : s'engager. Oser vivre les choses à deux. Alors qu'ils étaient tellement différents… Naomi commençait à perdre espoir, il s'énervait, il criait… Il allait la dégager. Elle allait le regretter. Quand soudain… Il se précipita sur elle et les choses s'emballèrent. En moins de deux la jeune femme se retrouva prise entre le vestiaire et le beau sportif, qui avait pris ses lèvres en otage. Ce fut un feu d'artifice. Comme si on lui avait enlevé un poids, naturellement, la jeune femme s'agrippa à son cou, l'embrassant avec passion, profitant de ce baiser qui n'en finissait pas. Son corps contre le sien ne tarda pas à la mener jusqu'à une pulsion d'excitation qui se solda par les ongles de la jeune femme se plantant dans son dos. Elle avait à nouveau envie de lui, et plus que jamais. Mais était-ce bien raisonnable ? "Ne me fais pas de mal Ashton, c'est tout ce que je te demande, ne me fais pas de mal." Entre deux baisers la jeune femme rajouta. "C'est l'inconnu pour moi mais je crois que…" Nouveau baiser enflammé. "Je suis curieuse de toi."
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Il se voyait parfois à travers Naomi. Parce qu’elle avait cette façon de défier le monde de façon surprenante et paradoxale. Elle se battait contre tout. Loin d’être la jeune femme friquée qu’il avait cru qu’elle était, elle démontrait qu’elle était sensible au possible, et qu’elle ne savait juste pas comment s’exprimer. Comme elle, Ashton craignait ce changement colossal qui cognait à leur porte. Il ne savait pas comment il était censé agir, comment il devait se comporter par rapport à elle, par rapport aux autres. Elle bouleversait toute sa vie, parce qu’à partir de maintenant, il n’était plus question d’être égoïste, mais il fallait toujours penser le moindre de ses actes en fonction de l’autre. Mais il ne savait ni comment s’y prendre, ni quelles en seraient les conséquences. Ashton n’avait jamais pensé à quelqu’un d’autre que lui-même, parce qu’il s’était toujours concentré sur le basket, sa seule véritable passion. Mettre Naomi au milieu de ses rêves n’était-ce pas entraver sa route vers la gloire ? Pourquoi se mettait-il déjà à penser au long terme ? Ils n’avaient fait que coucher ensemble, et il résidait déjà un problème. C’était comme si ni l’un ni l’autre ne pouvait aller contre ça, qu’un lien si fort s’était créé cette fameuse nuit, qu’il était devenu immuable et indestructible. Elle exerçait un pouvoir si grand sur le jeune homme, qu’il en perdait la tête. Un tas d’émotions contradictoires se bousculaient. Il voulait l’embrasser à s’en étouffer, mais il lui en voulait à mort de le perdre dans les dédales de l’amour, si on pouvait appeler ça ainsi. Parce qu’il n’était pas sûr que tout le monde ait pu gouter à une telle passion destructrice que vous détestez l’autre autant que ce que vous en êtes dépendants. C’était comme respirer à s’en asphyxier, vivre à en crever. Il s’imaginait déjà à quoi s’attendre avec elle : il était hors de question qu’elle fréquente d’autres gars que lui. Que si ça venait à arriver, il n’hésiterait pas à sortir les poings. Parce qu’elle était sienne. Il la voulait, et il l’aurait. La possessivité, il ne l’avait jamais expérimentée, et tout son être bouillonnait de rage. Il aurait voulu ne jamais avoir à la rencontrer. Mais en même temps, il aurait raté sa vie s’il était passé à côté de ce feu brûlant auquel il avait pu goûter. Ashton et Naomi c’est l’histoire d’un amour destructeur qui risque de faire bien des ravages.
« Mais tu peux pas tout contrôler ! Tu vas te détruire en réagissant de la sorte. » Elle en perdrait la tête, parce qu’Ashton n’était pas tout le temps avec elle. Quand il n’était pas à l’entrainement, il était en cours, quand il n’était pas là-bas, il était en déplacement pour les matchs, et parfois même à Detroit. A se mettre les gens à dos pour protéger ce qui lui appartient, elle devrait faire face à des gens qui feront tout pour la briser, pour lui mener la vie dure, et Ashton n’était pas sûr de pouvoir tout maintenir à flot, parce qu’il se savait humain. A voir leurs réactions, il savait qu’il s’embarquait dans un jeu dangereux qui les consumerait de l’intérieur, parce que leur passion était tout sauf saine, elle était maladive. Ils en devenaient dépendants. Mais la dépendance est tellement appréciable. Il se délectait chaque seconde un peu plus des baisers qu’il pouvait obtenir de la belle Braxton-Scott. Il en perdait la faculté de respirer, tant il s’abreuvait de ce désir partagé qui les agrippait d’une force incalculable. Son corps se raidit au contact des ongles de la jeune femme dans la peau, et il détacha momentanément ses lèvres des siennes pour prendre une inspiration, tant il manquait d’air. Il n’y avait qu’elle pour le mettre dans un tel état. Elle était la seule, l’unique. Elle le suppliait de ne pas lui faire du mal, et il ne savait quoi lui répondre. S’il ne le ferait pas consciemment, il était certain que l’inconnu les pousserait dans leurs derniers retranchements et que tôt ou tard, l’un ou l’autre en pâtirait. Il ne répondit pas, préférant reprendre possession des lèvres qu’il chérissait tant, son corps tout entier s’embrasant au contact de Naomi. Elle le rendait fou, si bien qu’il saisit ses hanches pour porter la jeune femme qui entre deux baisers, lui avoua qu’elle voulait en apprendre plus sur lui. Ce n’était pas le moment, parce qu’il ne pouvait plus réprimer cette envie irrépressible de retrouver leur union qui l’avait tant obsédée. Portant la jeune femme, il se dirigea sous les douches, et reposant la jeune femme au sol, il lui dit : « On a le temps pour ça. J’ai envie de toi. » Sa respiration était trop rapide, comme s’il avait fait un effort surhumain. Il en avait oublié Chester qui devait probablement attendre de l’autre côté. « Je te pardonnerais jamais… » lui souffla-t-il. Il ne lui pardonnerait jamais de l’aveugler à ce point, de l’enchainer à elle pour toujours. Et il fondit une nouvelle fois sur elle, pour la couvrir de baisers.
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Au lieu de la rassurer, Ashton insistait sur le fait qu'elle risquait de se détruire en promettant de défendre ce qui lui appartenait selon elle. Cela énervait la jeune amérindienne au plus haut point comme si il n'était pas capable de protéger ce qu'ils partageaient, comme si il était inenvisageable de faire en sorte que ça marche entre eux et que personne ne vienne s'interposer. Mais Naomi se contrôla, elle ne devait pas encore péter les plombs et l'envoyer bouler car elle avait envie d'être avec lui, de profiter de ce moment et provoquer une nouvelle dispute finirait de l'énerver et il allait lui filer entre les doigts ce qu'elle ne voulait pas. Alors elle mit sa fierté et son impulsivité de côté, elle ne voulait surtout pas qu'il s'éloigne d'elle ou qu'il la lâche. Elle était trop bien dans ses bras à l'embrasser comme si sa vie en dépendant, comme si ils allaient mourir demain. Elle réalisait alors subitement qu'il lui avait terriblement manquer ces dernières semaines et qu'elle aurait mieux fais de lui envoyer un message. Ce mec la rendait complètement dingue, lui faisant souffler le chaud et le froid. Même après lui avoir dévoilé ce qu'elle pensait de leur relation et ce qu'elle voulait pour maintenant elle n'était pas sûre d'où ils en étaient à présent. Elle avait envie de lui demander clairement, de lui poser la fameuse question qui résoudrait le problème mais une paire d'elle n'était pas sûre de vouloir savoir. Si jamais Irving lui répondait qu'ils étaient désormais ensemble, elle serait perdue, elle n'avait jamais été vraiment en couple. Ou du moins elle n'avait jamais été en couple avec quelqu'un qu'elle aimait. Et si jamais il lui répondait que ce n'était qu'une sex friend pour lui alors elle sentirait son coeur se briser et se préparerait mentalement à l'affront d'apprendre qu'il couchait avec d'autres filles. Elle ne voulait pas, elle ne voulait vraiment pas qu'il fréquente d'autres filles. Naomi était parfaitement au courant qu'il existait de magnifiques créatures à Harvard, et en tant que membre de la Cabot elle était bien placée pour savoir que certaines avaient plus de chance de finir top-model que de réellement se retrouver diplômé. Naomi n'avait pas envie de s'engager dans une compétition perdue d'avance, Ashton avait l'air beaucoup plus jeune qu'elle, il allait vouloir acquérir de l'expérience plutôt que de s'embarrasser d'une petite amie et tout le monde serait d'accord avec ça.


Mais l'heure n'était plus à la réflexion car Ashton semblait avoir d'autres projets pour les deux amants, après lui avoir signifié qu'il avait envie d'elle et qu'il n'avait pas le temps d'apprendre à mieux se connaître en une poignée de secondes, les jambes de Naomi quittèrent le sol et à cet instant précis elle eut l'impression de revenir au fameux soir où il s'était introduit dans la maison des Cabot et qu'il l'avait porté jusqu'à sa chambre alors que son pieds saignait, à la recherche du disjoncteur. Retrouvant son odeur, son parfum, la jeune femme était d'ores et déjà au septième ciel. Elle hallucina lorsqu'il l'emmena près des douches. Pourquoi les douches ? Un banc des vestiaires aurait fait l'affaire. Mais Naomi se serait contentée de n'importe quoi pour partager un autre de ces moments avec le bel Irving. Il lui souffla alors qu'il ne la pardonnera jamais et Naomi plaqua de nouveau son corps contre le sien, lui ordonnant de se taire. Elle prit les devants, faisant tomber son gilet jaune fluo au sol puis son maillot de basket qui lui faisait office de robe qu'elle avait mis pour l'occasion tout en se chargeant d'embrasser le jeune homme, passant ses mains autour de son cou, elle était obligée de se tenir sur la pointe des pieds ce qui était carrément désagréable. "Porte moi Irving, t'es beaucoup trop grand !" Autant une fois allongé ça pouvait aller, autant lorsqu'il la portait c'était moins compliqué autant pour le bien de leurs nuques, s'embrasser debout n'était bon ni pour l'un ni pour l'autre. Avide de lui, Naomi avait l'impression d'être une gamine le jour de noël. Elle voulait le retrouver, elle voulait qu'il lui fasse l'amour une deuxième fois. Puisqu'il était le seul homme capable de le faire, le seul homme capable de lui faire atteindre le nirvana avec une tendresse et une sensualité infinie. Naomi ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait mais une chose était sûre : si ce n'était pas de la passion alors elle ne savait pas ce que c'était.
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Il la désirait ardemment, et il n’avait plus envie de se poser des questions. Naomi était tout ce qu’il recherchait : plastique de rêve, fort caractère, et suffisamment de sensibilité pour devoir être rassurée ou protégée. Il s’étonnait de ne pas la voir aux bras d’un gentleman Winthrop ou d’un friqué Eliot qui pouvait la combler dans bien des domaines. Ashton, c’était le gars des mauvais quartiers de Detroit qui n’avait que le basket pour s’en sortir, car il ne s’imaginait ni prof de maths, ni mathématicien toute sa vie. Aussi, s’il se projetait et qu’il émettait la possibilité de ne pas pouvoir réussir au plus haut niveau en NBA pour une quelconque raison, qu’aurait-il à lui offrir ? Pas grand-chose, si ce n’est lui-même. Mais est-ce qu’elle pouvait s’imaginer vivre avec une personne qui a foiré sa vie ? Il n’était pas certain qu’elle resterait avec lui. Surtout si un avocat charmant venait à la draguer comme il se doit. Elle était brillante et splendide, elle aurait forcément des prétendants toute sa vie. C’était maintenant qu’il fallait agir, c’était maintenant qu’il pouvait la conquérir à jamais. Il n’avait qu’à se montrer un tant soit peu romantique et le tour était joué. Mais il avait du mal à se muer dans ce rôle. Il n’avait jamais eu à l’être, et il trouvait ça niais au possible. S’il voulait garder Naomi auprès de lui, il devrait fonctionner d’une manière différente et ce n’était pas gagné. Irving ne comprenait pas les filles et les mecs qui se mariaient à vingt ans à peine révolus. Ils avaient toute la vie devant eux, pourquoi diable se mettre en ménage ? C’était un sacrifice conséquent, et il savait qu’il le prendrait le plus tard possible. Mais qui sait, peut-être que ce serait quand même avec la jeune Cabot qui était lovée dans ses bras et qu’il ne voulait plus repousser de peur de la voir s’envoler à jamais.
La douche, c’était le seul moyen qu’il avait trouvé pour se cacher au cas où quelqu’un aurait la bonne idée de rentrer dans le vestiaire, et puis l’eau pourrait étouffer leurs gémissements, car il savait qu’ils étaient loin d’être seuls que le gymnase était encore bien occupé. Si son coach le surprenait dans une telle position, c’était la suspension assurée pour au moins le prochain match, ce qu’il voulait éviter, mais il ne pouvait plus résister une seconde de plus à la déesse qu’il avait entre les doigts. Naomi commença d’ailleurs à se déshabiller elle-même, le poussant à se taire et reprenant possession de ses lèvres avec fièvre. Elle l’incita également à la porter, car elle considérait sa taille comme un frein à leurs ébats. Irving rit doucement tout en agrippant fermement ses hanches pour la soulever lui faire tenir en équilibre en maintenant ses jambes autour de la taille du basketteur. Il fit glisser ses mains dans le dos de la jeune femme pour atteindre les agrafes de son soutien-gorge qu’il détacha d’une main experte pour déposer des baisers par dizaines dans le cou furtivement, puis descendant en direction de sa poitrine. Il lui souffla tout contre sa bouche, mélangeant leurs souffles, effleurant ses lèvres des siennes : « T’es à moi. » Il frissonnait déjà à l’idée de retrouver ce contact perdu depuis trois semaines, échangeant des baisers toujours plus suggestifs et langoureux, quand il entendit frapper à la porte et ouvrir la porte. Repoussant très vite Naomi, il lui mit le doigt sur la bouche pour lui faire comprendre qu’il fallait se taire, et appuya machinalement sur le bouton de douche, laissant momentanément Naomi où elle se trouvait et passant la tête derrière le renfoncement pour faire face à Chester. « Un souci mec ?! » L’autre s’excusa en disant qu’il ne savait pas qu’il prenait sa douche et qu’il cherchait Naomi. Histoire d’être tranquille, le basketteur secoua la tête en disant : « On s’est pris la tête mec, elle est partie depuis un moment. Je pensais qu’elle t’avait rejoint ! » Chester s’excusa et repartit. C’était moins une. Soupirant, il revint vers Naomi, un sourire espiègle aux lèvres. « C’était moins une… On ferait mieux de pas rester ici…Si on me trouve là avec toi, ça peut chauffer pour moi… » Mais en même temps, il n’avait pas envie de se priver d’elle, parce que ça faisait bien trop longtemps qu’il avait attendu, et puis, il avait trempé Naomi à moitié vêtue, elle n’allait pas pouvoir sortir comme ça, sans attirer l’attention. D’ailleurs il explosa de rire voyant sa bêtise. « Pardon, c’était pour qu’il croie que je prenais ma douche ! » Il avait parfois véritablement l’air d’un crétin.

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Falling right back into you.
Naomi Braxton & Ashton Irving



Déjà partie d'un autre monde, celui qui n'appartenait qu'à eux, Naomi fut ramenée à la réalité lorsque Ashton lui murmura qu'elle était à lui. Son coeur rata un battement de coeur. Était-ce vraiment le cas ? Était-ce une promesse ? La jeune femme ne put s'empêcher de sourire intérieurement, satisfaite, même si ça la terrifiait leurs sentiments se précisaient. Elle avait là la preuve que les sentiments fous qu'elle éprouvait était réciproque. Si Ashton la considérait sienne, alors peut-être qu'elle pouvait le considérer sien. Elle avait même besoin de le considérer comme tel, être la légitime, pouvoir assumer ce qu'elle ressentait à son égard sans avoir trop peur de se planter, de passer pour quelqu'un de ridicule. Oui.. Ces mots resteraient gravés dans sa mémoire, s'il fallait à ce nouveau rôle qu'il occupait dans son coeur elle n'hésiterait pas à lui rappeler qu'il avait été le premier à déclencher la guerre des passions. Nouvelle motivation, les baisers que les deux amants échangeaient étaient de plus en plus savoureux, sensuels. Puis le charme fut rompu, quelqu'un frappa à la porte et l'ouvrit à la volée, Naomi se plaqua contre le mur. Ça ne pouvait arriver qu'à eux ! La jeune femme se mit les mains devant la bouche pour retenir son rire. Pauvre Chester.. Elle lui avait naïvement fais croire qu'il avait peut-être une chance avec elle juste dans le but de rendre jaloux celui qui l'obsédait et le voilà maintenant lancé à sa recherche pendant qu'elle et Irving s'adonnaient à ce qu'ils savaient faire de mieux. Lorsque Ashton répondit pour toute réponse qu'ils s'étaient pris la tête et qu'elle était partie, Naomi lui fit des gros yeux, ils n'étaient pas censé se connaître et au lieu de ça il lui sortait qu'ils s'étaient pris la tête. La jeune femme réalisa alors qu'elle était sous l'eau et se décala rapidement tandis que Chester s'éclipsait à nouveau, laissant les deux amants rebelles seuls dans le vestiaire. La température était nettement retombée et l'ambiance avait radicalement changé. La jeune femme secoua la tête. "Toi t'es vraiment pas malin non seulement tu m'as poussé sous la douche et en plus de ça t'arrives à sortir à Chester qu'on s'est engueulé alors qu'on est censé s'être rencontré y'a cinq minutes ! Et te fous pas de moi en plus !" Elle lui envoya alors une tape et étouffa un petit cri lorsque son poing heurta le pectoraux d'Ashton. Il était vraiment trop bien foutu. "J'en ai strictement rien à foutre que ça chauffe pour toi j'avais envie de toi là maintenant mais bon visiblement ce n'est pas réciproque alors autant rejoindre la sortie." lui dit-elle avec un sourire hypocrite. Elle ramassa donc ses affaires à terre, dieu merci elles étaient tombées du côté sec de la douche et se dirigea vers les vestiaires. "Donne moi une serviette au moins que je puisse essuyer tes conneries." soupira t-elle. Elle passa donc devant le banc lorsqu'une lumière attira son regard. Ashton venait de recevoir un message. Et pas des moindres. Jackie Alvarez. Et de plus c'était une réponse. "Si tu m'promets de pas m'arracher les yeux de la tête vu que tu as l'air de bien les aimer, je serais là". lut-elle à haute voix. "Tu te fous vraiment de ma gueule Irving." Elle se rhabilla puis passa une main dans ses cheveux avant de soupirer. "J'arrive vraiment pas à te suivre, je te comprends vraiment pas… T'as bien vingt-ans toi hein. Ça y est tu te retrouves à la fac, t'as les hormones collées au plafond c'est plus fort que toi. Mais bref, je suis même pas étonnée. Tu veux qu'on aille boire un coup ou tu préfères fêter ta victoire avec tes potes ?" Ellle avait dit ça d'un air las trop déçue parce qu'elle venait de lire, elle n'était même plus sûre d'avoir envie de le fréquenter. C'était idiot mais de voir qu'il parlait à d'autres nanas ça lui montrait qu'en réalité ces trois dernières semaines il ne l'avait pas attendu comme elle avait pu le faire, trop obsédée par lui, lui avait continué à gérer son business sans ciller et c'était vexant. Bien sûr, ils n'étaient pas ensemble ni quoique ce soit mais elle avait espéré secrètement cette réciprocité. Une fois encore, elle s'était apparemment fait trop vite des illusions sur celui avec qui elle avait partagé une nuit plus que parfaite. "Puis cette nana elle est pleine d'histoire compliquée, tu te prendras vite la tête mais bon après tu fais comme tu veux hein je suis personne pour te donner des conseils après tout." Bras croisés sur sa poitrine, la jeune femme le regardait en haussant les sourcils.





(tu m'as fais rire avec ton post, par contre le mien est naze désolée..)
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Chester avait gâché son moment. Chester avait osé les déranger dans leur atteinte du septième ciel, et s’il avait envie de le tuer, il n’allait pas s’occuper de lui parce qu’il avait bien autre chose à faire. Toujours est-il qu’à cause de son intervention, il avait agi spontanément et qu’il se retrouvait maintenant dans de beaux draps, car Naomi s’avérait bien mouillée, et s’il ricanait bêtement, les représailles de l’amérindienne se firent immédiatement sentir. Elle le jugeait idiot, et il fronça les sourcils, non-content de cette appellation venant d’elle. S’il préférait que les autres le perçoivent comme un crétin, il ne voulait pas qu’elle le considère comme tel, parce qu’il savait qu’il valait bien mieux que ça. Il lui fit face, et lui rétorqua mécontent : « J’aurais bien aimé t’y voir toi ! T’avais qu’à intervenir à ma place ! Et puis on se connaissait pas avant, tu lui aurais dit quoi si tu l’avais rejoint après m’avoir pris à part ? ‘Je ne le connaissais pas mais j’avais envie de mettre les points sur les i ?’ C’est qui l’idiot maintenant ? » Chacune de leurs interventions étaient musclées et si leurs corps s’enflammaient l’un contre l’autre quelques minutes auparavant, ils étaient maintenant en train de se disputer comme de vrais charognards. Mais ça ne durait jamais bien longtemps car la jeune femme le frappa au niveau de son pectoral et se fit mal par la même occasion, ce qui le fit rigoler comme un enfant. Elle avait décidé de le punir parce qu’il lui avait fait vivre l’ascenseur émotionnel, mais il jugeait ne pas être responsable. Au fond, elle était bien exigeante avec lui, et elle ne lui laissait rien passer. Elle était aussi flexible qu’une barre de fer. Il l’interpela tout de même, conscient qu’elle était en train de lui échapper. Elle ne se rendait pas compte comme il avait envie d’elle et qu’il venait de vivre la pire désillusion qui pouvait exister, mais il n’avait pas eu le choix. Qu’aurait dit Chester s’il les avait trouvés à moitié nus dans les bras l’un de l’autre ? Il l’aurait probablement crié sur tous les toits, et si Naomi ne risquait pas grand-chose à part perdre son ami qui avait le béguin pour elle, lui s’exposait à des sanctions sportives, ce qui remettait en question sa carrière en NBA. « Bordel Naomi t’es chiante quand tu t’y mets ! J’ai vraiment l’air de pas avoir envie ? Merde je vais pas risquer de foirer ma carrière pour une partie de jambes en l’air ! On a qu’à faire ça dans ma voiture si tu veux, mais ici moi je risque gros ! » Il s’agaçait, parce qu’il refusait de faire un choix entre elle et sa carrière. Le basket avait une place trop importante dans sa vie et c’était également son bon de sortie. Elle lui avait lancé un de ces sourires hypocrites qui voulait tout dire, et tandis qu’elle rassemblait ses affaires, elle trouvait encore le moyen de le dénigrer en exigeant qu’il lui donne une serviette, et il lui balança sans douceur aucune la serviette qui se trouvait dans son sac et qui était encore humide de sa précédente douche.

Evidemment, les choses se compliquèrent et il fallait que son téléphone se mette à vibrer affichant un message de Jackie Alvarez, la fille qu’il avait dragué par message pour le fun, en réponse à un défi lancé par les Mathers. Il se passa la main sur le visage quand Naomi se mit à lire à haute voix son message, et il soupira de dépit. « On t’a jamais dit que fouiller dans le téléphone de quelqu’un c’était une violation de la vie privée ? » Ça devait lui rappeler quelque chose. Mais il n’avait pas envie d’en rester là, et il voyait bien l’effet que provoquait ce petit message chez la belle Cabot. Il lui saisit le bras pour la retenir : « Tu prends les choses hors contexte ! A quoi ça te sert de faire des conclusions hâtives ? T’as envie de tout foutre en l’air c’est ça ? » Il ne savait même pas pourquoi il disait une telle chose, parce qu’elle ne fichait rien en l’air, il ne savait même pas comment se considérer par rapport à elle. Et puis, elle lui fit de nouveau une remarque par rapport à son jeune âge et à ses soi-disant hormones. Il fouilla dans son sac et attrapa un t-shirt, se donnant un temps de réflexion pour ne pas s’énerver, parce qu’il refusait de terminer les choses de cette façon, mais il avait sa fierté, et il ne supportait pas qu’elle l’attaque à tout bout de champ sans savoir. « Je serais déjà parti si j’avais voulu célébrer la victoire avec mes potes. » Il poursuivit ensuite, un peu sur la défensive : « La prochaine fois, renseigne-toi avant de lire les messages tout haut. C’était un pari avec les Mathers. Ce qui ne m’empêche pas d’aller passer la soirée d’Halloween avec elle. Et si ça te plait pas, c’est pareil, parce que tant que tu me feras pas confiance, je te laisserais pas influencer ma vie. » Il s’était vidé. Il avait eu besoin de mettre les choses au clair, et puis, il soupira bruyamment, en ayant marre de se prendre la tête dans un débat qui n’avait ni queue ni tête. Il s’approcha alors à nouveau d’elle, la regardant d’un air désolé, et il l’enlaça au niveau de la taille, déposant un baiser timide sur ses lèvres, comme pour lui demander pardon, mais non sans avoir du mal à le faire. « Tu fais vraiment chier, tu le sais. J’en ai rien à foutre de cette fille. Si t’es encore capable de me supporter, on va boire un verre. » Un nouveau deal venait de faire son apparition.
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