Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(feat. Leo) ♕ the awkward moment. - Page 3
Le Deal du moment : -67%
Carte Fnac+ à 4,99€ au lieu de 14,99€ ...
Voir le deal
4.99 €


(feat. Leo) ♕ the awkward moment.

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

LEO FEAT. ORLANE


J'avais l'impression de retrouver mon ami depuis toujours, et mon coeur ne pouvait que se réjouir de ce phénomène. Nous avions enfin réussi à passer le cape des attaques, et tout ça s'était fait en collaboration d'un problème technique. C'est comme si cette panne d'ascenseur avait été prévue dans le simple but de rapprocher deux pauvres imbéciles qui ont préférés se nier plutôt que de sauver leur amitié. Ca faisait du bien de le retrouver, d'avoir la sensation que nous nous étions jamais quittés en reprenant nos bonnes vieilles habitues. Si ça ne tenait qu'à moi, je lui sauterai au cou en ce moment-même pour ne plus jamais le lâcher. « Non les tiennes sont beaucoup plus … poétiques ? » C'était le mot exacte pour comparer mes formes à celle de cette star refaite de partout. D'ailleurs, je ne me souvenais même plus comment on avait réussi à arriver à ce sujet de conversation. En fait, je ne me posais même pas la question, car je me souvenais parfaitement de comment été Léo et de la manière où il pouvait introduire des sujets de conversation improbables. "Je pense qu'on peut dire ça." dis-je en souriant largement. Je décidais de me lever, étant restée assise contre la partie depuis le début alors que je voyais le mather faire une nouvelle tentative d'appel au secours. Et alors qu'une voix famine répondait présente, celle-ci ne semblait pas s'en faire plus que ça de notre situation. « Ouais tu vas voir s'ils vont s'en foutre longtemps. » Léo et sa patiente hors paire, bien que d'un côté je le comprenais puisque ça commençait tout doucement à faire un petit moment qu'on était coincés là-dedans. "Tu sais qu'en temps normal j'aurais déjà fait une crise?" me rendais-je soudainement compte étant claustrophobe de nature. Et pourtant, j'avais fini par oublié que j'étais enfermée dans une boîte suspendue dans le vide. Le silence s'installant entre nous le temps d'un instant, l'envie de laisser ma fierté de côté me traversa l'esprit. "Tu me manques Léo." Voilà, c'était dit, aussi fou soit-il. Il avait intérêt à avoir entendu ma révélation, parce que je ne la répéterais certainement pas. J'avais fait un effort surhumain en lâchant ça sous un élan improbable.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Il était en train de s'énerver contre le petit boîtier couverts de boutons, le seul lien entre eux et l'extérieur de l'ascenseur, pas de réseau sur les portables, et il était bien déterminé à les faire sortir de là. Tout en s'énervant contre l'administration de l'université qu'il se promettait de traîner en justice pour leurs mesures de sécurité plus que limites, qu'en plus de ça ils avaient laissé deux étudiants sans eau ni nourriture coincés dans un ascenseur plus d'une heure, bref Halberstam faisait la liste des chefs d'accusation tout en gardant une oreille attentive sur ce que disait Orlane. Il sourit en se tournant un court instant vers elle. « Tu as travaillé ton self-control dis-moi ! Si t'avais fait une crise on aurait pas été dans la merde, vu qu'ils font pas grand chose pour débloquer cet ascenseur. » Il se retourna, appuyant encore contre le bouton d'urgence, donnant un coup de pied sur la paroi de l'ascenseur avant d'entendre une toute petite phrase lâchée avec une toute petite voix par la brune. Son cœur se serra, il se retourna franchement vers elle, les yeux presque brillants. Malgré le temps qui avait passé, malgré l'amertume, Orlane avait toujours une place dans son cœur même si depuis il s'était passé bien des choses dans sa vie. Il s'approcha d'elle, et la prit dans ses bras, ça lui fit un petit truc, il posa ses lèvres contre la tempe de la jeune femme avant de s'écarter. « Tu … tu m'as manqué aussi. » dit-il en se raclant la gorge après. Il jeta un coup d'oeil au-dessus d'eux. « Tu te sens te monter voir là-haut ? J'veux dire je te fais la courte échelle, qu'on voit si on est loin d'une porte ou non. »
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

LEO FEAT. ORLANE


C'est comme si nous allions éternellement restés enfermés dans cette boîte suspendue dans le vide. Et si les cordes finissaient par lâcher et que l'on s'écrasait violemment vers le bas? Une multitudes de questions pessimistes me traversaient l'esprit, ce qui n'était pas vraiment une bonne idée. Je me chassais ces mauvaises situations de la tête, histoire de ne pas aggraver ce moment critique. Pendant ce temps, le mather s'acharnait sur le boîtier de contact dans l'espoir que quelqu'un nous vienne enfin en aide. C'est qu'il commençait à perdre patience, pendant que moi je gardais dans mon calme en restant dos contre « Tu as travaillé ton self-control dis-moi ! Si t'avais fait une crise on aurait pas été dans la merde, vu qu'ils font pas grand chose pour débloquer cet ascenseur. » Il n'avait pas tord. Faire une crise de claustrophobie aurait été la dernière des choses qu'il fallait. On avait déjà assez de mal comme ça à se sortir de là, à avoir une communication extérieure pour avoir un cas d'extrême urgence à gérer. "Ils auraient eu ma mort sur leur conscience." dis-je en haussant les épaules. Je ne regrettais pas d'avoir pris ces séances pour lutter contre cette peur du renfermement, ça m'aurait au moins servit à quelque chose et mon calme actuel le prouvait amplement. Une fois encore, il tenta tant bien que mal d'appuyer sur le bouton, en espérant qu'un moment ou un autre, tous ces efforts soient récompensés et nous sortent d'ici. J'en profitais alors pour lui dire qu'il me manquait. Ca n'avait pas été facile de sortir ça, mais je l'avais fait, et je me sentais étrangement plus légère. Il me manquait, terriblement et je ne demandais qu'à rattraper le temps perdu. Notre amitié valait bien plus que toutes ces querelles sans importances. Sa réaction ne passait pas inaperçu, il semblait étonné de cette révélation si soudaine, au point qu'il me prit dans ses bras en signe d'affection. C'était bon de la pouvoir le serrer tout contre moi après autant de temps... « Tu … tu m'as manqué aussi. » Je savais que le dire n'était pas facile non plus pour lui et je ne pouvais que me réjouir de l'entendre. On avait chacun notre fierté, et malheureusement, celle-ci nous avait éloignés. « Tu te sens te monter voir là-haut ? J'veux dire je te fais la courte échelle, qu'on voit si on est loin d'une porte ou non. » Je levais le regard vers la direction indiquée, quelque peu hésitante. "Heu oui... enfin je crois." C'était pas vraiment un plan qui me branchait, mais si au moins ça nous permettait de sortir d'ici, alors je me porterai volontaire.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Mort, pourquoi elle évoquait le sujet de la mort là de suite, c'était flippant, maintenant Leo s'imaginait avec Orlane gisant à ses pieds. Ça ne serait pas uniquement les personnes cachées derrière le boîtier de l'ascenseur qui allaient se mordre les doigts, mais aussi le Mather. Il était pas du tout branché mort, tout ça, c'était bien trop effrayant, il aimait bien les choses normales, il était terre-à-terre pas du genre à croire aux choses étranges du monde. Il était hors de question d'imaginer ce genre de choses, parce que autant ils étaient enfermés ensemble, ça avait permis de rétablir le dialogue et ça les occupait, autant tout seul, Halberstam avait peur de virer complètement timbré. « Parle pas de ça, quoique c'est assez poétique cette affaire, l'ascenseur qui te sert de cercueil tout ça. Est-ce que tu as souscrit à une assurance vie ? C'est qui le légataire, que ce soit pas lui le commanditaire de tout ça. » Suite aux confidences de la jeune femme, Leo lui même avait décidé d'y mettre du sien. On a rien sans rien et si depuis qu'il était monté dans cet ascenseur leurs relations s'amélioraient, il y avait encore du chemin à faire avant qu'ils soient parfaitement à l'aise, le brunet voulait régler ça, le conflit, très peu pour lui. Il l'avait prise dans ses bras, ça paraissait anodin mais c'était pas si facile que ça à réaliser. Il la relâcha, se sentant un peu bizarre d'un coup. Mais le premier contact physique était établi, maintenant ils allaient pouvoir monter un plan pour sortir d'ici. « Bon ok, essaye de voir où on est bloqués, si on est loin d'une porte ou pas. » Il se mit en place, prêt à l'aider à grimper, il fallait s'y mettre maintenant.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

LEO FEAT. ORLANE


Les tensions semblaient s'être volatilisées, ou du moins oubliées en l'espace de cet instant critique. J'avais dans l'espoir que ce soit définitif, que nous allons pouvoir nous redécouvrir et retrouver ce lien fusionnel qui nous avait toujours unis sans plus jamais refaire la même bêtise. « Parle pas de ça, quoique c'est assez poétique cette affaire, l'ascenseur qui te sert de cercueil tout ça. Est-ce que tu as souscrit à une assurance vie ? C'est qui le légataire, que ce soit pas lui le commanditaire de tout ça. » C'est qu'il se contredisait à ses quatre premiers mots puisqu'il s'était lancée dans des idées complètement insensées et qui m'arrachèrent un léger rire. C'est qu'il n'avait pas changé, et que c'était bon à voir. "Non mais sérieux, tout ce qui te préoccupes c'est de savoir qui est mon légataire? Je te parle de ma mort et au lieu de dire que tu ne pourrais pas vivre sans moi, tu penses à ça?" Je disais ça sur air faussement vexé, finissant finalement par rire. Ce que je venais de dire était un peu ironique, puisqu'il avait très bien réussi à vivre sans moi pendant tout ce temps à se dénigrer pour des imbécilités. "On ne se débarrasse pas de moi aussi facilement de toute manière." ajoutais-je en haussant les épaules. Ensuite vers le moment des aveux. Un effort surdimensionner que j'avais réussi à faire, laissant ma fierté sur le côté et lui avouant qu'il me manquait sur un moment de folie. En réalité, je redoutais un peu sa réaction, et c'était bien la première fois que je me retenais de lui dire ce genre de chose alors qu'avant tout semblait plus facile à se révéler. Mais finalement elle alla dans mon sens, engageant une enfreinte bizarre dans une premier temps, mais soulagée de voir qu'il n'avait pas nier mes propos. Et histoire de vite changer de sujet, il en revenait à un plan d'évasion. « Bon ok, essaye de voir où on est bloqués, si on est loin d'une porte ou pas. » L'idée ne m'enchantait pas vraiment, mais si on avait un espoir de sortir d'ici rapidement, alors je prenais sur moi-même et posais sur mon pied pour atteindre le haut de l'ascenseur et ouvrir le capot. La tête hors de l'ascenseur, je ne cherchais même pas à regarder dans les alentours mais juste en face de moi, remarquant cette porte qui se trouvait à moins d'un mètre de nous. "J'crois qu'on a trouvé un moyen de sortie. Il y a une porte pas très loin, on pourrait facilement l'atteindre." dis-tu convaincue malgré cette peur qui me prenait.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
En réalité, le jeune homme ne voulait pas sortir de cet ascenseur. Ils étaient bien là, ils reparlaient, ils blaguaient. C'était comme si cette boîte était une machine à remonter le temps, qu'ils étaient de nouveau quelques mois auparavant, quand ils n'avaient pas encore couché ensemble, quand ils n'avaient pas réduit leur amitié à néant. Leo entrait dans son jeu, Orlane répondait toujours de pires conneries. Rien n'avait changé, tout était redevenu comme avant. Il n'en revenait pas, il ne s'y attendait pas en fait. Il était longtemps resté persuadé que leur relation resterait aussi froide qu'une bûche glacée qui sort du congélateur. Mais non, il avait suffi de peu, de mettre leurs fiertés de côtés un court instant pour se retrouver. Ça demanderait encore un peu de travail, mais c'était déjà pas mal. Puis plus c'est plus sérieusement qu'il lui répondit, parce que blague à part, ce que disait la Mather rapportait aussi à leur toute récente réconciliation. « Oh non je peux pas vivre sans toi voyons. » Finalement la brune prit appui sur son ancien meilleur ami pour monter par la trappe, voir ce qu'il se passait au-dessus. Faisant attention à ne pas relâcher ses muscles et risquer de la faire tomber, il l'aida à grimper sur le toit de l'ascenseur. « Essaye de voir si tu arrives à l'ouvrir et tu m'aideras à monter. » Oui il se demandait comment il allait faire pour monter, peut-être en prenant appui sur la paroi, si jamais ils ne se faisaient pas mal, ces deux-là avaient vraiment une chance inouïe, parce que pour l'instant ils étaient mal partis.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

LEO FEAT. ORLANE


C'était un poids en moins à tenir sur les épaules. Certes, il nous avait fallut des mois pour pouvoir enfin tenter d'arranger les choses, mais mieux valait tard que jamais. Il m'avait manqué, et même si les mots avaient eu du mal à sortir, j'y étais parvenue. J'en avais marre de me voiler la face et rester en froid avec celui que je considérais comme le pilier de ma vie toute entière. Si l'on parvenait à se parler sans devoir se bouffer la gueule et de même remettre notre humour commun en avant, les choses n'allaient pas pour autant redevenir comme avant aussi vite. Il allait nous falloir du temps pour tout même si nous avions sans doute franchi le plus gros. « Oh non je peux pas vivre sans toi voyons. » Quelle ironie lorsque l'on sait qu'on a fait que s'éviter comme la peste ces derniers temps. Mais peu importe, sa réponse me convenant malgré tout, je me contentais de tout simplement sourire. C'était bon de le retrouvé, et j'espérais qu'après cet enfermement, on prendrait la peine de se revoir rapidement pour essayer de rattraper le temps perdu. Mais d'abord, il allait falloir nous sortir de cette boîte métallique, chose que je m'engageais à faire en prenant appui sur le mather afin de grimper sur le toit. J'apercevais rapidement la porte non loin de nous, mais je doutais pouvoir l'atteindre. « Essaye de voir si tu arrives à l'ouvrir et tu m'aideras à monter. » J'étais quelque peu hésitante pour le coup, les engagements à la super héros ce n'étaient pas vraiment mon truc. "Hum, je ne sais pas si c'est vraiment une bonne idée. C'est pas loin, mais pas non plus tout près." Trouillarde, voilà ce que j'étais. Une fois qu'il s'agissait de se retrouver dans le vide comme nous l'étions, je devenais la plus peureuse de toute. "T'as pas plutôt envie qu'on attende qu'ils nous répondent? Ils vont bien finir par nous faire sortir de là." Si on pouvait sortir plus facilement d'ici, je prenais volontiers.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Orlane n'avait pas l'air toute à fait chaude à l'idée de grimper sur le toit de l'ascenseur pour éventuellement sortir par la porte la plus proche. En même temps, c'était compréhensible, Leo ne l'aurait pas fait non plus en fait. Le temps qu'ils prennent une décision, il eut l'impression que ses bras commençaient à fatiguer, mais pas question de faire tomber la brune, il tenait bon, il allait y arriver. Il hocha la tête même si ça servait à rien étant donné qu'elle ne le voyait pas. « Oui t'as raison, attend redescend ! » dit-il comprenant que ça servait à rien de la tenir comme ça vu qu'elle n'allait pas grimper et qu'elle avait raison, ils allaient bien finir par agir. Lentement, le Mather laissa glisser la jeune femme dans ses bras, faisant attention à ne toucher aucune partie déconvenante, ok ils étaient sur la voie de la réconciliation mais il ferait très attention de ne pas y aller trop vite. Parler de ses boobs ou de ses mecs et de leurs compétences au lit, c'était pas le genre de sujets qu'il se sentait prêt d'aborder tout de suite, ça viendrait avec le temps sûrement. Il la reposa au sol, et à ce moment-même, l'ascenseur bougea et se mit à monter. Cette fois-ci c'était fini, ils allaient en faire sortir. Sur le coup, plein de joie et d'allégresse, il serra Orlane dans ses bras avant que les portes ne s'ouvrent. Il remercia à peine les hommes de la sécurité qui venaient de les délivrer, ils avaient mis bien trop de temps. Une fois dans le couloir, il regarda de nouveau la brune. « Bon alors, j'crois qu'on pourrait se revoir un de ces jours t'en penses quoi ? »

on cloture? (feat. Leo) ♕ the awkward moment. - Page 3 3850463188
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité

LEO FEAT. ORLANE


Si les réconciliations étaient faites, désormais, l'idéal serait de sortir de cette stupide boîte métallique. Non pas que la présence du mather me dérangeait, bien au contraire, mais que ça commençait à faire long. J'avais la nette impression que le fait qu'on soit coincés tous les deux n'inquiétaient personne. De multiples tentatives d'appel, et aucune réponse hormis cette femme dont on n'avait compris aucun mot de ce qu'elle voulait. Certes, Leo avait eu l'idée de me faire monter sur le toit de l'ascenseur pour nous trouver une issue, histoire de sortir un jour d'ici puisque rien ne bougeait depuis maintenant plus d'une heure. Si au début j'étais partante pour l'idée, je le fus tout de suite moins lorsqu'il me demande d'essayer de grimper jusqu'à la porte. Je devenais tout de suite réticente, un peu trouillarde pour la peine. « Oui t'as raison, attend redescend ! » Soulagement lorsqu'il me demande de redescendre. J'avais pas envie de risquer ma vie, même si je commençais à perdre patience d'être enfermée. Je me frottais les mains une fois redescendue, soupirant de désespoir. Pourtant à cet instant, l'ascenseur bougea. Je fus premièrement effrayée, imaginant que l'on était entrain de tomber dans le vide, jusqu'à je ne comprendre que c'était tout l'inverse: nous étions entrain de remonter. ALLELUJAH! J'avais presque envie de faire une roulade pour la peine, d'ailleurs le mather me prit dans ses bras, heureux de voir qu'on allait enfin sortir d'ici. Et lorsqu'enfin les portes s'ouvrit, nous renoncement avec le monde extérieur, je me précipitais vers la sortie, remerciant en coup de vents les personnes qui nous avait sorties de là. « Bon alors, j'crois qu'on pourrait se revoir un de ces jours t'en penses quoi ? » Le temps de repartir chacun de notre côté était venu, et je me réjouissais à la question qu'il venait de me poser. "Peut-être bien, faut voir." Evidemment, je disais ça pour rire, et ma réponse avait plus l'air d'une approbation qu'autre chose. Le sourire sur les lèvres je me tournais en sens inverses, nos chemins se séparant pour aujourd'hui.
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)