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(feat. Leo) ♕ the awkward moment.

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LEO FEAT. ORLANE


J'étais prête à exploser, là, maintenant tout de suite. Ses paroles n'arrangeaient pas mon agacement de la journée, ni même cette fichue panne de courant. D'ailleurs, j'étais bien trop énervée pour laisser ma claustrophobie prendre le dessus. Je me retenais fermement de lui sauter dessus, et non pas parce qu'il est divinement irrésistible, mais bien parce qu'il a le don de me mettre sur les nerfs. Je ne pouvais pas avoir une journée plus pourrie que ça. Et comme une conne, je tentais encore d'apaiser les tensions et éviter que l'on se bouffe la gueule mais il ne semblait pas vouloir faire cet effort. A croire que si on était arrivés là, c'était entièrement de me faute. Pourtant on y était tous les deux, autant l'un que l'autre, mais ça semblait plus facile pour lui d'éviter cette option. Vraiment pathétique. "Et alors on a tord tous les deux de toute façon depuis le début. Depuis que ça a commencé à se dégrader, tu es aussi fautive que moi, je le sais bien. Mais …" Ah, ça y est, monsieur le reconnaît enfin. J'avais presque envie de crier victoire, et même d'applaudir en l'entendant prononcer ces mots. "Je suis aussi fautive que toi oui, je le reconnais. On a tous les deux nos parts de responsabilité, et c'est un choix qu'on avait fait tous les deux." Un choix qui aurait mieux fait d'être éviter à en voir notre situation actuelle. Mais s'il attendait que je fasse des excuses, il pouvait rêver. Je n'allais surement pas être la première à le faire, bien qu'au fond je l'étais, et qu'il me manquait atrocement. "Je n'arrive même pas à comprendre comment on a fait pour en arriver là." Et par le "là", j'entendais rien. On était devenu rien, l'un pour l'autre. Juste des passants, un rivage tel qu'un l'autre alors qu'avant on était tout ce qu'il y a de plus fusionnel avec une amitié à en faire jalouser plus d'un.
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Le brunet bouillonnait intérieurement. Il avait beau tourner le problème dans tous les sens, remettre en cause ce qu'il avait pu faire, peut-être atténuer la faute d'Orlane dans cette affaire, rien n'y faisait, il voulait juste sortir de cet ascenseur et reprendre sa fuite, fuir toujours plus la jeune femme quitte à en devenir ridicule. Le plus simple serait de changer de confrérie, de ville, de pays peut-être même, non il ne voulait pas en arriver là. Il voudrait presque agir comme un adulte, même s'il ne savait pas trop comment on s'y prenait justement. La Mather avait été un de ses piliers, la personne incontournable de sa vie, et c'était elle-même qu'il essayer de contourner chaque jour. Elle avait était quasiment une âme sœur, c'était SA meilleure amie, SA Orlane, Orleo c'est les plus beaux, mes fesses oui, c'était à peine s'ils pouvaient se regarder droit dans les yeux maintenant. Foutu choix. Comme s'ils avaient eu besoin de ça pour prouver à quel point ils étaient proches, vaste connerie, ah c'est sur à l'époque c'était génial, le truc parfait, Orlane occupait alors une encore plus grande place dans la vie de Leo, puis du jour au lendemain, plus rien, le néant total. Si elle lui manquait ? Il ne se l'avouait pas, il ne voulait pas y penser, pourtant c'était évident. C'était bien beau de vouloir remplacer la jeune femme dans sa vie, cela en était une autre d'y arriver. Il avait lamentablement échoué, finissant toujours par se rappeler de la brunette. Celle qui lui manquait, celle des débuts, pas celle avec qui il passait ses nuits solitaires sans parfois même échanger un mot, celle qu'il ne supportait pas de voir ailleurs qu'avec lui. « On aurait jamais du faire ça, aussi bien que cela nous paraissait à l'époque. » souffla-t-il avant de relever le regard vers elle. Ce qu'ils avaient fait pour en arriver là ? Leo fit un reniflement moqueur avant de secouer la tête négativement. « Tu sais très bien comment on en est arrivés là. On a été bien trop naïfs de penser qu'on saurait faire la part des choses. »
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Fuir en faisant comme si de rien n'était avait toujours été plus facile. Mais cette fois, aucune issue, aucune sortie. Nous étions coincés dans cet ascenseur pour je ne sais combien de temps, et mieux valait faire un effort avant de s'entretuer. Aucune explication n'avait été accordée. On avait jamais pris la peine d'en parler, non, s'éviter avait été notre seule option. Du jour au lendemain, celui que je considérais comme indispensable à ma vie était devenu un inconnu.  "On aurait jamais du faire ça, aussi bien que cela nous paraissait à l'époque." A en voir les répercussion présentes, cet acte aurait mieux fait d'être évité, mais on n'était pas censé savoir que ça nous ferait toujours le fond plutôt que le ciel. "Non, on n'aurait jamais du, mais on l'a fait. Et on ne peut rien y changer." Impossible de revenir en arrière. Si cet acte paraissait anodin, partager mon lit avec mon meilleur ami avait apporter plus de peines que de plaisir. Je soupirais faiblement, nostalgique de tous ces moments partagés et ratés avec lui. Le temps nous avait beaucoup enlevé, et j'avais toujours eu ce vide quelque part dans mon coeur depuis que sa présence ne faisait plus partie de ma vie. "Tu sais très bien comment on en est arrivés là. On a été bien trop naïfs de penser qu'on saurait faire la part des choses." Non je ne savais pas. Tout avait été si vite, devenu si naturel. S'en était presque devenue une routine de coucher avec lui, sans se soucier de rien, jusqu'à ce que la réalité nous rattrape. "On a essayé, et on s'est planté." C'était le cas de le dire, mais ni lui ni moi n'avait prévu cette chute. Et si l'envie de lui crier à quel point il me manquait me brûler la gorge et la langue, aucun mot ne sortait pour autant. "Je trouve ça dommage.... Dommage de devoir se parler comme ça, et de ne même plus pouvoir supporter la présence de l'autre." Mon regard se plongea dans le sien alors que mon visage se tournait à la déception. Je n'avais même plus envie de me mettre en colère, ça ne servait à rien.
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Leo la regardait, essayant de ne pas être trop amer, tout en gardant une certaine retenue, une certaine distance entre eux. Il mourrait d'envie de lui dire qu'il fallait cesser ces bêtises, peut-être qu'ils ne retrouveraient jamais leur complicité d'antan, et vu où ça les avait mené, peut-être qu'il ne valait mieux pas qu'ils redeviennent si proches. Néanmoins, le jeune homme ne pouvait plus concevoir d'oublier une personne qui avait été si chère à ses yeux, malgré tout le mal qu'ils avaient pu se faire, malgré leurs longs mois d'ignorance, Leo voulait savoir que d'une manière ou d'une autre elle faisait toujours partie de sa vie. Il préférait autant l'avoir comme simple amie, il saurait même se contenter de quelques mots échangés par semaine, ne serait-ce que pour se remémorer le temps qu'ils avaient passé ensemble. Parfois, le Mather avait l'impression d'Orlane et lui s'appliquaient soigneusement à avoir honte d'avoir été amis. « On peut au moins se féliciter que c'était pas trop trop mal. » dit-il avec humour, bien qu'il ne soit pas convaincu qu'elle comprendrait la vanne, il ne savait même plus comment la faire rire, ils n'avaient pas seulement perdu leur complicité, ils avaient comme perdu le mode d'emploi l'un de l'autre. Pourtant quand il regardait son jolie visage de poupée, il voyait la même fille qu'avant, exactement la même. Ils s'étaient plantés ça c'est sur, oh ils avaient pris leur pied, bien des fois, mais au bout du compte, Halberstam se demandait si le bonheur qu'elle lui avait procuré comme ça était aussi important pour lui que celui qu'elle lui donnait simplement en passant le voir chaque jour. Orlane finit par mettre des mots sur la situation. Youpi à quelque chose près ce serait la fête. « Bravo, je croyais que c'était moi le mec en psycho. Je … Je suis d'accord en fait. »
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Je détestais cette situation. J'avais tellement envie de le prendre dans mes bras, comme si jamais rien ne nous avait éloigné, mais je savais que ce serait trop facile. Il me manquait, atrocement, mais je ne comptais pas lui faire cet avoeux. Je ne savais pas s'il le méritait, ou si c'était une bonne idée. On avait fait des actes désormais considérées comme des erreurs à en voir où tout ça nous avait mené. C'était triste à die, et pourtant c'était vrai. "On peut au moins se féliciter que c'était pas trop trop mal." Je reconnaissais son humour. Il m'arracha d'ailleurs un fin sourire plaisantin des lèvres. Le premier depuis bien longtemps. Je n'aurais jamais considéré nos coucheries comme des erreurs si tout ça ne nous avait pas gâché notre amitié. C'est vrai, c'est pas comme si avoir une partie de jambes en l'air avec lui avait été un supplice, loin de là. "Je ne dirais pas le contraire." Ce qui était juste dur à avaler, c'était de se dire qu'on était passé à des personnes insérables à des inconnus. Je sautais ensuite le cap, avouant que notre éloignement soudain été plus un poids qu'un soulagement. Une certaine façon de dire qu'il manquait à mon quotidien. "Bravo, je croyais que c'était moi le mec en psycho. Je … Je suis d'accord en fait." Je m'avançais vers lui, supprimant cette distance bien tri présente qui nous séparait. C'était même bizarre de me trouver si proche de lui, le regard plongé dans le sien. "On est de parfaits imbéciles. Non pas parce qu'on s'est permis de coucher ensemble, mais parce qu'on a laissé ça nous entraver." Peut-être que finalement cette panne d'ascenseur allait être bénéfique pour nous. Il était temps de mettre tout à plat. C'est fou de se dire qu'il nous a fallu ce petit problème technique pour qu'on s'adresse la parole, dans un premier temps sur des tons désagréables pour finalement en venir à des explications. J'en avais besoin. J'avais besoin de savoir comment notre amitié avait pu s'envolé à cause de bêtises si anodines.
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Leo ne captait pas trop comment quelque chose de bien avait pu détruire à ce point leur amitié. Encore, s'ils s'étaient découverts une incompatibilité physique, que ça avait été awkward, mais là non. Dans ses souvenirs, il semblait au jeune homme que tout avait été parfaitement naturel. Ça s'était fait, ça leur avait semblé être la suite logique. C'était presque logique, mais non, maintenant ils se retrouvaient enfermés dans un ascenseur, à se regarder en chiens de faïences, cherchant l'un en l'autre, les amis qu'ils avaient été. Ça lui donnait envie de soupirer. De vraiment soupirer, un bon gros long soupir, rien ne pouvait mieux exprimer l'état d'esprit du Mather face à la situation. Il remerciait intérieurement sa Orlane d'avoir surgit, reprit un instant sa place dans son corps pour briser la glace. Il voulait bien qu'elle reste un moment, qu'elle ne laisse pas trop facilement place à la Orlane froide et distante des derniers mois. Il avait réussi à la faire sourire, ce qui lui arracha à son tour un léger sourire, un peu rêveur, nostalgique aussi peut-être. « On aurait du prendre des photos. Ou pas. » Fallait prendre ça en terme de souvenir rohlala faut pas s'exciter. La jeune femme finit par casser la distance entre eux de manière physique, s'approchant de lui, la première fois qu'il la regardait dans les yeux depuis une éternité, les yeux sont le reflet de l'âme, comme si pendant tout ce temps il avait refusé de voir Orlane toujours là, et que le problème n'était pas une jumelle maléfique qui avait prit possession du corps de la jolie brune mais plutôt que le problème venait de lui. Ce qui n'aurait pas été étonnant. Il hocha la tête face aux sages paroles de la jeune femme. « Ça aurait jamais du prendre ces proportions, je regrette qu'on ait laissé les choses s'envenimer comme ça. » Puis un sourire en coin sur les lèvres, il demanda de nouveau. « Je reformule la question, tu vas bien ? On est enfermé dans un ascenseur je te rappelle, c'est pas ton trip d'habitude. »
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"On aurait du prendre des photos. Ou pas." C'était bien la première fois qu'on se permettait de tourner cette histoire à l'humour. Ses paroles avaient réussi à m'arracher un sourire, et ce depuis bien trop longtemps. Les regards foudroyants, où même l'indifférence avait toujours été privilégiés lorsque l'on se croisait. "Et tu les aurais mises dans ton album photos souvenirs, c'est ça?" Si nos retrouvailles avaient été électriques dans un premier temps, la tension semblait être tombée petit à petit pour laisser une réconciliation éventuelle. C'est tout ce que je voulais. Trop de temps nous avait séparé, laissant ce goût amer à notre amitié qui était devenue hors de contrôle. Et malgré ma fierté, je décidais de faire un premier pas en supprimant cette trop grande distance qui nous séparait. Je venais me place à ses côtés, laissant mon dos glisser contre la parois de l'ascenseur pour finalement poser mes fesses sur le sol. Mon regard croisait le sien, plus près que tout à l'heure et ce ressentis me mettait presque mal à l'aise, mais dans un bon sens. "Ça aurait jamais du prendre ces proportions, je regrette qu'on ait laissé les choses s'envenimer comme ça." Oh que non, ça n'aurait jamais dû, mais ni lui, ni moi n'avait prévu cette évolution. "On n'a rien vu venir." C'était regrettable, mais on ne pouvait pas non plus s'en vouloir pour autant. Ce qui était le plus décevant, c'était d'avoir laissé cette histoire mettre une distante trop importante entre nous. "Je reformule la question, tu vas bien ? On est enfermé dans un ascenseur je te rappelle, c'est pas ton trip d'habitude." Je souriais finement, ne lâchant plus son regard alors que l'envie de le prendre dans mes bras me démangeait. Sauf qu'il me semble qu'il était encore trop tôt pour agir de la sorte. "Hum, pas vraiment. Je n'ai jamais aimé les ascenseurs, et encore moins lorsque je me retrouve coincée et qu'on ne s'est rien faire à part patienter." Cette fois-ci, ma réponse avait été dite d'une voix calme et posée. Plus la peine d'être agressive. "Et toi, ça va? Ma présence ne t'étouffe pas de trop?" Cette question avait été détournée avec ironie.
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Ô le doux rêve, ô la belle consolation ! Halberstam bénissait grandement cet ascenseur et sa mécanique défaillante. Ok, maintenant il avait compris le truc, quand il aurait besoin de se réconcilier ou d'avoir des explications de la part de quelqu'un, il provoquerait le destin et se démerderait pour rester bloqué dans un ascenseur. Ou une pièce en tout genre, tout allait. Ils étaient en train de se bouffer, ils avaient failli passer le restant de leur vie à s'ignorer comme si c'était parfaitement normal, les voilà en pleine crise-catastrophe, et ce qui avait été une entrave entre eux pendant autant de temps devenait sujet de rigolade. Le Mather n'allait pas s'en plaindre, Orlane le suivait dans son délire, comme ils auraient pu le faire avant. Bien sur, les deux étudiants étaient hésitants, peut-être bien qu'il subsistait une légère tension, une gêne, le contraire aurait étonnant. Mais ils avaient fait un grand pas en avant, il en faudrait du temps avant de retrouver une situation dite normale à leurs yeux, mais le résultat de leurs premiers efforts était bel et bien là. « Oui ! J'aurais customisé mon propre album photo sur monalbumphoto.com ! Mais pas sur un cloud on sait jamais on aurait peut-être été les nouveaux Kim Kardashian et Kanye West. » Le jeune homme avait posé de nouveau sa question de plus tôt à la brune désormais assise à côté de lui. Il avait vu juste, elle était pas très à l'aise enfermée dans cette boîte pendue dans le vide. Il sourit lorsqu'elle lui demanda si elle ne l'étouffait pas. « Non c'est supportable je t'assure ! » Il se leva, s'appuyant sur le sol, vieux papé qu'il était avant de rappuyer une nouvelle fois sur le bouton d'urgence. Il n'était pas censé y avoir une équipe pour les urgences ?
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Une fois la tension retombée, la conversation avait déviée vers la rigolade, laissant toute haine et rancune derrière nous pour le première fois. C'était soulageant, et même presque rassurant de pouvoir parler normalement avec lui, comme on pouvait si bien le faire avant que la fatalité ne vienne pourrir nous amitié. "Oui ! J'aurais customisé mon propre album photo sur monalbumphoto.com ! Mais pas sur un cloud on sait jamais on aurait peut-être été les nouveaux Kim Kardashian et Kanye West." Je haussais les sourcils, le regardant en questionnement avant de rigoler. Je pourrais rester là des heures à l'écouter dire des choses insensées tellement que ça m'avait manqué qu'il me fasse rigoler. "Je pense pas avoir les formes de Kim Kardashian pour être comparée à elle." rétorquais-je d'un grand sourire, considérant mes fesses bien plus petites que les siennes. J'avais eu la sensation, à cet instant précis, que rien n'avait changé, qu'on ne s'était jamais éloigné, mais la réalité me rattrapa aussi tôt. Si ce moment avait gagné un peu de clarté, ça n'effaçait pas pour autant tout ce temps à s'éviter comme la peste, et le temps allait surement être notre guérison. Il avait cependant réussi à me faire oublier ma claustrophobie. Il manquait plus que ça: que je fasse une crise de panique. "Non c'est supportable je t'assure !" Ce n'est surement pas ce qu'il aurait répondu si la question lui avait été posée en début de situation. Et sur ces mots, il s'était mis debout, tentant tant bien que mal d'appuyer de nouveau sur le bouton dans l'espoir d'avoir un retour. "J'ai l'impression qu'ils s'en foutent qu'on soit coincés ici." Aucun retour, aucun signalement. C'est comme si nous étions complètement seuls et que personne n'avait remarqué cette défaillance. Si j'avais été seule dans l'ascenseur, je ne sais pas ce que j'aurais fait. La présence de Léo m'aidait pas mal, surtout que ça nous avait permis de nous parler sans forcément devoir se bouffer le nez. C'était un grand pas vers la réconciliation, et c'est tout ce que je demandais. Il manquait trop à ma vie pour rester indéfiniment en froid avec lui.
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Le crime dans l'histoire, ce n'était pas qu'ils soient restés fâchés aussi longtemps, non le vrai problème c'était que Leo avait osé comparer Orlane à la Kardashian. Ouuuuuh le crime ultime, ouuuh la grosse bêtise, quel vilain garçon il faisait là. Non il est clair que les deux brunes n'étaient pas comparables, la Mather avait beaucoup plus à offrir, beaucoup plus de classe, de beauté, de grâce que l'autre dindonne n'aurait jamais. « Non les tiennes sont beaucoup plus … poétiques ? » dit-il en fronçant les sourcils. C'est clair qu'en terme de dessin du corps, il la trouvait beaucoup plus bombasse que toutes les autres, si ce n'est sa petite chouchoute du moment, au fond cette fille restait sa meilleure amie, la femme de sa vie quoi, alors oui, ils s'étaient éloignés mais ce n'était pas une raison. Puis de toute façon, Leo baignait dans un bain tout chaud d'amour et de réconciliation, il n'avait jamais apprécié autant un problème technique et il était bien content de rater les cours si c'était pour rester bloquer dans cet ascenseur. Il restait néanmoins prudent, ne pas aller trop vite, il ne voulait pas faire un faux-pas, retourner à zéro, mais il voulait la mettre à l'aise. Ils étaient grands, ils devraient en avoir fini avec les boudinages, les engueulades à deux balles. Ils tenaient plus l'un à l'autre que ça non ? Alors il prenait le risque d'essayer d'être de nouveau proche d'elle, elle était nécessaire à son équilibre mental cette fille. Ils avaient beau appuyer sur le bouton d'urgence, il n'eut le droit de parler qu'à une femme pas très chaleureuse qui n'avait pas l'air pressée d'envoyer les secours. « Ouais tu vas voir s'ils vont s'en foutre longtemps. » dit-il avant d'appuyer une nouvelle fois et cette fois-ci la meuf avait l'air de comprendre que si elle tenait à sa vie, elle devrait mieux se bouger les fesses.
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