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Encore une journée de merde, depuis que j'étais revenue à Harvard je n'avais repris contact avec personne. A vrai dire pendant un mois j'avais fais comme ci je n'existais pas. Je l'avais déjà fais une fois avec Dorian alors pourquoi pas le refaire une deuxième fois ? Sauf que là ça a duré moins longtemps, un seul mois, personne n'a dû remarquer que j'étais partie de toute façon. J'étais partie comme ça sans rien dire et je suis revenue sans rien dire non plus. Encore une soirée dans un bar, j'avais bu encore et encore sans me soucier de comment j'allais rentrer. Je payerais le taxi ? Problème je n'avais pas de thune, j'étais ruinée, mon père m'avait renié et désormais j'étais seule au monde. Et c'était mieux comme ça, je n'avais plus à avoir un fiancé, j'étais libre comme l'air. Mais en même temps quand j'étais fiancée j'étais également libre comme l'air. Enfin bref, je décidais de sortir du bar, il faisait nuit, j'avais froid, je marchais dans le noir sans savoir où j'allais. Heureusement je pouvais encore marcher, j'avais juste les idées embrouillées. Mais tout à coup je me fis plaquer sur un mur, il faisait sombre il n'y avait personne. Je me demandais ce qu'il se passait, c'était un homme, il devait avoir la quarantaine, son regard était noir et terrifiant. Il avait l'air d'avoir bu lui aussi, mais sauf que moi je savais quand même ce que je faisais. Lui semblait hors de contrôle. « Alors ma jolie. Qu'est-ce qui te prends de te promener seule à une heure si tardive. » dit-il avec une voix presque menaçante. Je n'osais pas le regarder dans les yeux, sauf qu'avec ses doigts il me prit me menton pour que je le regarde bien droit dans les yeux. Je tentais de me débattre, mais je n'avais pas assez de force. « Si je serais toi je ne me débattrais pas, tu vas me suivre comme une gentille fille maintenant si tu ne veux pas avoir des ennuis. » dit-il toujours de sa voix menaçante. J'avais peur, je ne savais pas quoi dire, ni faire, puis je me rendis vite compte qu'il fallait que j'appelle à l'aise.« Aidez-moi ! S'il vous plait. Arrêtez, vous me faites mal ! AU SECOURS ! » criais-je de toute mes forces. Sans m'y attendre je sentis sa main se claquer contre ma joue, le choc me fit tomber par terre. « Ferme là ! Maintenant tu vas te taire et me suivre sinon je te tabasse jusqu'à temps que tu me dises d'arrêter. » dit-il en m'observant avec son regard de pervers. Je tremblais désormais, j'étais vraiment en état de choc et je n'arrivais pas à bouger ni à fuir. J'étais totalement paralysé face à mon agresseur et il n'y avait personne qui semblait vouloir venir m'aider.
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