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Dixie&Misha - King of the fall

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Dixie & Misha
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• En réalité, j'suis pas le genre de gars à être tout le temps souriant, à vouloir m'amuser et à faire la fête. J'suis plutôt calme, froid, le gars qu'on arrive pas à cerner au premier coup d’œil. Et, j'voulais pas que ça change, j'étais très bien comme je suis, le petit con, l'enculé, le connard, le gars pas vraiment fréquentable. J'sais pas vraiment ce que j'étais en réalité, j'étais peut-être moi, mais j'étais aussi mon frère. Pas que ça soit un problème de schizophrénie, mais, ça pourrait l'être, on pourrait y croire par moment. Un coup j'suis cool, et le coup d'après j'ai envie de te casser les dents, le gars super sympa quoi tu vois. J'étais étrange, j'le sais, pas bipolaire, juste... Impulsif, rien de plus, du moins, j'pense. J'étais pas un connard avec les gens que j'appréciais vraiment, et, il n'y en avait pas des masses. J'étais plutôt le bon pote, le gars qui sait déconner et s'amuser, j'étais pas ce battard qui va t'enfoncer des putains de couteau de la taille d'un avant bras dans le dos, j'étais pas celui qui faisait tout pour gagner ta confiance pour ensuite te trahir, j'étais pas cette petite merde qui va te faire croire qu'il aime passer du temps avec toi, tout ça pour te baiser, non, ça, c'était pas moi, quand j'aimais pas quelqu'un, je lui faisais savoir, quand quelque chose m'énervait, j'le faisais savoir, et, si j'ai envie de te casser les dents, j'te le ferais savoir, ne t'inquiète pas. Combien de fois je m'étais retrouvé dans des situations plus absurdes les unes que les autres ? Combien de fois je m'étais retrouvé au milieu d'une vieille baguarre dans un bar, que j'avais évidement déclenché. Combien de fois j'ai failli finir à l'hopital mais ma bonne étoile a eu pitié de moi ? J'sais pas si c'est la mort qui me cherche et me frôle, jouant avec moi depuis ma naissance, ou si au contraire, c'est moi qui m'amuse à la provoquer jusqu'au jour où elle prendra le dessus et m'emporta avec elle, me plaçant bien au chaud sous son bras. Ce matin, je ne savais rien, je ne pensais à rien, je profitais juste de ce moment de tendresse que je partageais avec Dixie. C'est d'ailleurs la première fois que ça arrivait, la première fois qu'on était aussi proche. Bizarrement, ça me plaisait, bizarrement, je ne me posais aucune question, pour le moment, j'avais pas envie de l'envoyer chier, j'y pensais même pas en fait. " Tu vas t'rendormir? Ou j'continue?" Venait-elle de me demander tout en caressant ma jambe avec la sienne et en laissant sa main se balader sur mon torse. "Hmm... Tu peux continuer..." Lui avais-je répondu, laissant une main caresser son dos tandis que l'autre alla se perdre dans ces cheveux et que mes jambes passèrent autour des siennes comme pour la bloquer contre moi. •
   
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Ça m'avait fait rigoler un peu de l'entendre me dire qu'je devrais le complimenter plus souvent. Ah! Parce qu'il aimait ça? Peut-être jouait-il seulement un rôle pour t'faire chier quand ça lui chantait, aussi? Peut-être était-il doux comme un agneau, mais n'le laissait pas paraître. Parce qu'agir en belle p'tite bête toute douce et mignonne, ça rendait à peu près n'importe qui vulnérable. C'fou comment on pouvait passer de la bête sauvage à un animal sans défense en l'espace d'un instant. Ça arrivait à tout l'monde, et bien que certains soient plus vulnérables et sans défenses que d'autres, ces mêmes autres personnes avaient leurs moyens de défenses propres à eux et ça changeait d'une personne à une autre. J'avais les miens, et Misha devait certainement avoir les siens. Pour lui faire plaisir un peu, puisqu'il trouvait ça plaisant, qu'il m'avait dit, mes lèvres s'approchèrent de ses oreilles, et j'm'aidais de mes mains pour me remonter un peu vers son visage, afin de murmurer : " Et t'es bien foutu, aussi. Tu f'rais rêver n'importe quelle fille. Enfin, t'as pas à t'plaindre, quoi! " C'vrai que la nature l'avait bien équipé. Du moins... de ce que je pouvais voir. J'cherchais pas non plus à aller voir sous son boxer, hein! C'était qu'une constatation! J'me repositionnai comme je l'étais il y a quelques secondes, alors que je l'observe un instant, fronçant les sourcils sans une raison bien particulière, puis je me laisse aller, je le laisse aller aussi, et j'me pose quelques questions secrètes. Pourquoi a-t-il l'air si mystérieux, et si vulnérable, d'un coup? C'est le réveil, c'est ça? C'est sa vulnérabilité du matin? Il est sans défense, mais tu ne vas pas en profiter, ce serait de l'égoïsme et même si t'avais un sale caractère, t'étais pas aussi méchante. Non, t'étais pas méchante, t'étais juste parfois bien forte dans ce que tu pouvais balancer. Le jeune homme me serra un peu plus contre lui en m'emprisonnant de ses jambes et en passant l'une de ses mains dans ma longue crinière presque blonde. Je souris, en déposant cette fois-ci un baiser contre son torse, puis un deuxième, et un troisième... Remontant vers son cou, en stoppant un instant. Tu te d'mandais ce qu'il vous prenait à vous deux, tout d'un coup. Tu serras doucement tes jambes en appuyant tes mains sur son torse afin de t'aider à te remonter, te retrouvant à moitié à califourchon et tu l'analysas un instant du regard. " J'trouve que ces cernes sous tes yeux, ça t'donne un air sauvage. T'as jamais r'marqué? " Enfin, c'était la première fois qu'tu voyais ça, aussi parce que tu t'étais jamais retrouvée dans son lit un matin ; jamais tout court d'ailleurs, et que c'est pas comme si vous vous voyiez tous les jours, hein! C'était une remarque, une constatation toute banale, mais vraie. Un air sauvage et agréable à regarder, qu'ça lui donnait.
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• J'étais toujours prêt à m'amuser, à prendre du bon temps et à faire la fête, sauf que j'étais pas comme les Mather, j'étais pas le genre de gars à vouloir me rentrer des seringues de je ne sais quelle merde dans le cul pour planer et me prendre pour un oiseau. J'étais un aigle royale bande d'enculé. J'sais que j'ai p'tête une mauvaise image des Mathers, mais, j'suis pas un Eliot pour rien hein. J'voulais pas devenir une mauvaise personne, j'savais même pas si j'étais une bonne personne en fait, j'crois que le pire, c'est ça, pas savoir si tu fais le bien, ou si tu fais le mal. J'sais faire la différence, j'suis pas un putain d'attardé qui se tape la tête contre des tables juste parcequ'il trouve ça drôle, mais, j'sais pas, au fond, j'pense que j'suis quelqu'un de bien, c'est pas parceque j'suis impulsif et que j'agis sur des coups de tête que j'suis une petite merde. Ouais, j'suis quelqu'un de bien, et tu peux être bien, mais être froid parfois, c'est pour garder une part de mystère les gars, c'est tout ! En réalité, si on y pense bien, j'ai pas vraiment d'excuse d'agir comme je le fais. Bon, d'accord, j'ai pas eu un passé facile et je sais que si quelqu'un m'en parle alors que j'en ai aucune envie, j'vais m'emporter et j'vais m'énerver, mais, est-ce qu'agir mal est la solution ? J'en sais rien, vraiment, j'en ai aucune idée. " Et t'es bien foutu, aussi. Tu f'rais rêver n'importe quelle fille. Enfin, t'as pas à t'plaindre, quoi! " J'hausse un sourcil. Elle vient vraiment de dire ça ? Disons que j'suis pas habitué, mais vraiment pas habitué à ce qu'elle me sorte ce genre de phrase, à vrai dire, j'ai plutôt droit à des insultes... Et, disons que j'ui rend plutôt bien. Je me contente de sourire, faisant un petit signe de la tête pour la remercier, et, là, je sent ces lèvres se plaquer contre mon torse, puis remonter doucement pour ensuite se stoper et se redresser légèrement, se retrouvant pour le coup presque à califourchon sur moi. Bordel, j'sais pas ce qui m'arrive, j'ai tellement bien dormi que j'ai pas envie de l'envoyer chier, de la repousser, de lui dire d'aller se faire foutre, non, là, j'ai envie de continuer, j'ai envie de profiter de ce moment de tendresse qu'on échange... " J'trouve que ces cernes sous tes yeux, ça t'donne un air sauvage. T'as jamais r'marqué? " Hein ? J'aurais eu quelque chose pour pouvoir me voir, je l'aurais fait, mais là, j'étais tellement bien dans mon lit que j'avais aucune envie d'en bouger. "Heu non... Pas trop..." Puis, je remarqua quelque chose, la vue que j'avais... J'vous assure que habituellement je l'aurais dégagé, mais là, comme j'vous ai dit, j'étais tellement bien que j'en avais aucune envie. "Ce que j'suis en train de remarquer c'est que j'aime vraiment la vue que j'ai en ce moment..." J'aurais pu rester comme ça pendant longtemps encore. Laissant mes mains venir se poser sur ces cuisses, je redressa légèrement mon visage pour venir déposer plusieurs baisés dans sa nuque... Bordel, on fait quoi là ? •
   
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"Heu non... Pas trop..." J'hausse légèrement les épaules comme quoi c'tait pas bien grave, mais que je persistais à dire qu'il était beau, bien fait et qu'il avait un air bien à lui. C'pas parce que je pouvais l'haïr par moments que ça voulait dire qu'il m'attirait pas, c'était bien tout le contraire. J'ressentais une attirance pour lui, mais dès qu'on l'pouvait, on se picossait, on se piquait au vif jusqu'à s'faire chier sans trop de gêne, comme deux gamins à l'école primaire qui ne se supportent pas. "Grandis un peu". C'est ce que je me répétais à moi-même, à l'occasion et pas que pour cette situation, mais pour bien d'autres, en fait. "Ce que j'suis en train de remarquer c'est que j'aime vraiment la vue que j'ai en ce moment..." Tu souris, c'est comme un automatisme. À qui ça déplairait, aussi, de recevoir des compliments dans le genre? Ça voulait dire qu'il m'trouvait quand même un minimum jolie, et qu'd'me voir dans cette position et dans cet accoutrement n'était pas pour lui déplaire. " Ça fait plaisir à entendre, ça... ", dis-je juste avant de pousser un léger soupir, comme Misha venait d'se relever un peu pour poser ses lèvres une nouvelle fois sur ma nuque. Qu'est-ce que c'était agréable. Et qu'est-ce que c'était idiot, à la fois. On était cons, et tous les deux, d'ailleurs! " C'dommage.. Si j'tais pas aussi bien, j'te ferai profiter de la vue toute entière. ", dis-tu avec une pointe de malice dans la voix. C'était bien moi, ça. J'étais comme ça. Pas vicieuse, mais malicieuse, taquine, un peu chiante sur les bords, provocante - j'avais appris que si on m'avait élue " La plus provocante " au bal de cette année, c'était bien pour une raison, non? Enfin bref, j'vivais bien avec ma personne, même si j'm'attirais plus des attirances que des relations sérieuses ; visiblement l'amour c'était pas mon domaine, et j'm'en protégeais, maintenant. J'préférais m'amuser, mais plus en couchant à gauche et à droite. Juste de profiter de bons moment, ça s'faisait, non? Je prends sa main avec délicatesse et la remonte doucement contre moi, de sorte à ce qu'elle se positionne à moitié sur mes hanches, à moitié sur mon ventre.
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• Quoi qu'on fasse, le passé finira toujours pas nous rattraper un jour ou l'autre. Peut-être pas demain, ni dans un an, peut-être même que ça sera pas avant une dizaine d'années, ou bien encore le jour de votre putain de mort, vous savez, là où pour les plus chanceux vous serez paisiblement endormi sur votre lit, là ou toute votre famille sera autour de vous pour vous soutenir dans cet épreuve. Pas une mort de merde, pas emporté par un cancer ou suite à un accident causé par un enfant de salope qui c'est cru plus fort que Dieu. Tôt ou tard, le passé nous rattrapera tous, et, ce jour là, on sera dans tous une sacrée merde, et si on s'en sort, c'est qu'on aura vraiment, mais vraiment galéré à le faire, j'vous assure, croyez moi. Pour ma part, j'pense avoir déjà assez donné, j'veux dire, qu'est-ce qui pourrait m'arriver de pire ? Franchement, j'vois pas, j'arrive pas à savoir quelle chose en rapport avec mon passé pourrait faire surface un jour, après tout, j'ai pas fait tant de mauvaises choses que ça, j'suis quelqu'un d'assez froid habituellement, mais, j'suis pas non plus méchant, p'tête que j'me prends la tête pour des trucs merdiques, p'tête que je dégueule un peu trop souvent tout ce que j'ai sur le cœur, mais, après tout, c'est normal non ? C'est juste mon caractère. Sauf que pour le coup, je ne pensais pas à tout ça, aujourd'hui, j'avais abstraction de toutes ces merdes qui pourraient venir vouloir me niquer mon réveil, et, j'étais devenu peut-être un peu trop affectif, en fait, je ne savais pas trop, j'étais pas totalement conscient de ce que j'étais en train de faire, j'savais pas vraiment si c'était bien, ou si au contraire, c'était mal. Pour le moment, j'évitais de me poser trop de questions, j'savais pas comment tout ça allait finir, mais, lorsque j'ai ouvert les yeux, je n'avais plus autant de haine en vers la jeune femme. Après tout, elle m'a jamais rien fait, c'est juste que c'est une Mather, rien de plus, et, j'veux dire, elle me rend bien toutes ces méchancetés que j'peux lui dire. " C'dommage.. Si j'tais pas aussi bien, j'te ferai profiter de la vue toute entière. " J'hausse un sourcil après avoir déposé un baisé dans sa nuque et avoir entendu cette phrase. C'est que madame est joueuse à ce que je vois ? Hm, ça tombe bien, j'le suis aussi. "Ah ouais ? C'est dommage pour moi alors..." Avais-je doucement lâché. Je sentis ensuite sa main attraper doucement la sienne pour la déposer à moitié sur ces hanches et son ventre. Putain, est-ce que je vais me réveiller ? Est-ce qu'on va continuer comme ça encore longtemps ? Je ne sais pas, je ne sais plus rien. J'me contentais de profiter de ce moment qu'on partageait, pour une fois qu'il n'y avait aucune haine. Alors, doucement, je remonta ma main libre jusque dans ces cheveux que je caressais. "Vraiment dommage même..." Avais-je lâché, ne lâchant pas du regarde sa poitrine. J'savais pas qu'elle était aussi bien foutu vous savez, c'est limite troublant... •
   
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"Ah ouais ? C'est dommage pour moi alors..." Ton passé de stripteaseuse te revenait soudain d'un coup en tête. T'avais toujours été douée avec ton corps, tu savais l'utiliser et en faire un art que peu de gens arrivaient à maîtriser. Oui, beaucoup de filles avaient du talent, mais qui seulement pouvait rendre dingue tous les hommes rien que d'un coup de hanche? Certes, il n'y avait pas nécessairement de quoi s'en vanter : tu savais peut-être faire bander un homme, t'arrivais pourtant pas à leur donner envie de prendre ton coeur et de le garder. L'amour ne voulait pas de toi, alors il te fallait trouver ailleurs un soutien et un intérêt que les gens auraient pour toi. On aurait dit que l'être humain avait constamment besoin d'amour, bien que peu de gens se l'avouent sincèrement. Parfois, tu te morfondais avec cette réalité qui t'étais propre, mais d'autres fois, comme actuellement, en compagnie d'un beau et séduisant garçon aux allures de badboy qui te caressait les hanches et te regardait avec désir, tu avais d'autres choses à penser. "Vraiment dommage même..." Il avait ce regard sauvage planté directement sur ta poitrine ce qui était loin de te déranger. Pourtant, tu venais attraper son menton pour relever sa tête, l'empêchant ainsi de profiter plus longtemps de la vue. " Oh mais je sais que c'est dommage... Malheureusement, j'peux rien y faire! " En fait, bien sûr que j'aurais pu m'lever et lui faire mon p'tit show, lui faire profiter de la vue, mais un côté de moi cherchait toujours à l'faire chier un peu, pour avoir le dessus ou pour l'enrager, au moins le frustrer, pourquoi pas? Tu jouais les provocantes et t'étais plutôt douée à ça. " T'as faim? ", demandes-tu out of nowhere, comme ça, avec toujours ce sourire malicieux collé aux lèvres. Faim de quoi? Telle était la question!
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• Vous êtes seul dans votre petit appartement luxueux, vos belles voitures, les prostitué que vous ramenez chez vous pour vous faire plaisir un soir de temps en temps. Vos seules compagnies sont vos billets qui vous sortent du trou du cul le matin en vous levant tellement vous êtes riche. Vous n’avez pas d’ami, juste de simple connaissance qui se moque de vous et de votre misérable existence. Pourquoi devraient-ont s’intéresser à vous alors que votre seul préoccupation est le luxe et rien d’autre ? Vous ne voyez rien d’autre que votre argent qui vous brule les doigts et que vous dépensez sans cesse. Vous aimez cette vie de solitaire, mais à la longue, ça vous pèse, vous commencez à en avoir marre, à vouloir rencontrer des personnes avec qui vous pourriez avoir un discours, car oui, la prostitué du jeudi soir vous lasse petit à petit. Alors vous sortez, vous vivez votre vie de beau mâle en chaleur constante, et puis un jour, vous vous faites plomber, t'es le pigeon qui a avaler un chewing gum. Est-ce que mon chewing-gum était Dixie ? Aucune idée, honnêtement, j'en avais aucune idée. Moi qui aimait me prendre la tête avec elle, moi qui aimait passer mes journées à l'envoyer chier et à attendre ces reproches, ces insultes. Sauf que ce matin, je m'étais reveillé, et, comme si j'étais encore dans un rêve, je me retrouvais à apprécier la chaleur de son corps, à apprécier son corps contre le mien, ces sourires, tout... J'aurais pu la pousser, la faire tomber du lit juste pour lui montrer que c'était moi, Misha, mais, je ne voulais pas, tout ce que je voulais... Et bien, je ne le savais même pas moi même, j'voulais juste profiter de ce moment de tendresse, de calme avec elle. " Oh mais je sais que c'est dommage... Malheureusement, j'peux rien y faire! " [...] " T'as faim? " Je ne répond pas à sa deuxième phrase et je plonge mon regard dans le sien. Ouais, j'ai faim, attrocement faim, mais pas de nourriture, non... J'ai faim d'autre chose... Je peux sentir son corps contre le mien, à califourchon sur moi, je ne pouvais qu'apprécier. "Ouais, j'ai faim..." Avais-je répondu tout en laissant mes mains venir se glisser sur ces hanches et remonter doucement jusqu'à son visage que j'approcha délicatement du mien. "...De toi..." Et puis nique sa mère, j'suis bien, j'suis calme, alors pourquoi ne pas en profiter ? J'ai jamais eu un réveil aussi bon je crois. Du coup, approchant son visage du mien, je laissa lentement mes lèvres se poser contre les siennes. Et, je termina par l'embrasser pendant quelques secondes. "Tu peux vraiment rien y faire ?" Ouais, j'en voulais toujours plus, toujours... •

   
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Tes frères t'avaient toujours empêchée d'être ce genre de fille provocante que tous les mecs voulaient s'taper. Ils te protégeaient, dans le temps et tu en avais toujours été très reconnaissante, faisant des promesses ici et là, innocemment puisque tu te faisais croire à toi-ême que tu ne serait jamais c'te fille là. Mais aujourd'hui, tu te rendais compte que la voie que t'avais décidé de prendre te menait directement là vers où tes deux grands frères avaient voulu t'éviter d'aller. Par precaution. Par mesure de sécurité. Par amour. Mais trop tard ; t'étais prise dans ton proper labyrinthe et étrangement, tu n'avais pas envie d'en ressortir. Car tu avais tout ce que tu voulais, relativement. Sauf l'amour. Mais ça, si t'y pensais trop, ça t'ferait te morfondre, alors tu n'y pensais plus. Tu n'y pensais pas. T'avais l'impression d'être trop conne, trop stupide, pas assez bien pour avoir droit à un peu d'amour. Oui, t'en recevais quand on te caressait le corps, quand on couchait avec toi, quand on te regardait avec envie. Mais c'étai pas de l'amour pur, c'était l'amour du sexe. T'aimais faire profiter, mais tu aimais tout autant en profiter. Tu ne te laisserais pas en reste, non mais oh. Si un mec était mauvais au lit, tu ne restais pas là à simuler ; tu l'foutais par terre en lui balançant ses vêtements et il partait. Comme ça. Simplement. Du moins, c'est comme ça que tu fonctionnais avant. Avant tout ça. Avant ta "nouvelle vie". Avant ton nouveau toi. Avant l'accident qui t'avais coûté la vue, puis celui qui t'avais presque coûté la vie, puis ta rupture difficile avec un con, un connard qui n'avait que fait semblant du début jusqu'à la fin. Bref, t'étais avec Misha là, tu faisais ce que tu avais envie et il semblait en avoir envie lui aussi. Tu l'voyais dans son regard, rien de bien compliqué à voir... "Ouais, j'ai faim..." Tu souris, le regardes, attendant la suite. Il ne semblait pas avoir fini, on aurait dit qu'il voulait ajouter quelque chose. Et ce qu'il ajouta par la suite te fit le plus grand plaisir. Allez, profites-en Dix, te répétais-tu. C'pas tous les jours que tu partages un moment comme ça avec ce con que t'apprécie malgré tout. Vous vous engueulez toujous, il vous faudrait bien une petite compensation pour tout ça, non? Un peu de plaisir partagé? Au lieu des insultes habituelles. "...De toi..." Et là, mine de rien, il te surprends comme jamais. Tu ne t'y attendais pas, à celle-là. L'Eliot, il vient chercher ton visage pour le rapprocher du sien et pour t'embrasser. Tu l'laisses faire, tu y mets du tiens ; quoi faire d'autre, sinon que d'participer et d'apprécier? T'as pas envie de t'arrêter, maintenant."Tu peux vraiment rien y faire ?" Ok, t'es conne si tu faisais rien, hein! Tu lui souris une nouvelle fois, posant une main sur son torse pour faire un point d'appui, mais ton visage reste à proximité du tiens. "J'peux voir ce que je peux faire... ", finis-tu par murmurer d'une voix plus que sensuelle. Tu viens chercher sa lèvre inférieure entre tes dents pour la mordre doucement, puis tu finis par t'relever, te glissant sur le côté afin d'te metre debout, sur tes deux longues pattes de femme fatale, et tu te diriges devant le lit. Tu réfléchis pas, t'agis juste. C'est tout. " T'es prêt à baver? " Immédiatement, ton corps se met à mouver. Y'a pas de musique comme quand tu travaillais au Nirvana, mais t'en a pas besoin, et puis ça va pas durer une demi-heure, juste une minute ou deux, de quoi lui donner plus faim encore... Tes fesses bougent, c'est c'qu'il faut. Tes hanches vont et viennent, de gauche à droite, tu te penches vers l'avant pour faire ressortir la beauté de ton corps. Tu veux qu'il apprécie la vue. Déjà que t'es en sous-vêtements, Misha ne pourrait être déçu. Tu continues, tu danses avec sensualité, tu as toujours bien aimé ça. Puis, au final, tu lui lances un regard dans le lit, tu te retournes, de sorte à être dos à lui, et tu glisses l'une de tes mains dans ton dos, de sorte à dégraffer l'agraffe de ton soutif, mais tu l'fais pas. Tu fais que semblant. Qu'est-ce qu'il allait dire de ça, hein?
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• J'sais pas ce qui ce passait dans ma tête, je n'avais aucune idée du pourquoi du comment la jeune femme me faisait cet effet là. J'veux dire, c'était vachement étrange, elle était belle, putain ouais elle était super belle, un beau sourire, des yeux parfaits, des formes parfaites, et puis, elle n'était pas conne, elle était intelligente. Elle avait tout pour elle, tout pour réussir, tout pour plaire, tout pour me plaire... Sauf qu'étrangement, dans ma tête c'était pas comme ça que ça se passait. Non, c'était autre chose. Mon petit plaisir c'était me prendre la tête avec elle, l'envoyer chier, l'insulter, la descendre, mais malgré tout ça, malgré le fait qu'elle me rendait bien mes méchancetés, je l'appréciais, j'sais que ça peu parraitre étrange, bizarre et complètement débile, sans aucun sens même, mais, c'était le cas. J'avais beau avoir envie de l'envoyer chier, au fond, je l'aimais bien, j'aimais passer du temps avec elle, j'aimais nos prises de tête, j'aimais nos engueulades qui ne se termine jamais. C'est vachement bizarre je sais, mais, je fais avec. Sauf que ce matin, j'avais eu envie d'autre chose, de laisser tout ça derrière moi pour le moment, de reprendre plus tard, demain peut-être, je ne sais pas trop, j'voulais juste profiter de ce réveil, d'ailleurs, je ne sais même plus comment elle a attérit dans mon lit, et, pour ne pas vous mentir, je n'y pense même pas. Peut-être que tout ça est simplement un rêve, rien de plus, peut-être que tout ça n'est que le fruit de mon imagination et que jamais dans la réalité, ça n'ira plus loin. Peut-être aussi que j'vais me réveiller, qu'elle sera à côté de moi, mais qu'elle va me foutre une grosse claque car j'ai ronflé cette nuit, j'sais pas trop, j'ai aucune idée, mais j'm'en moque. Je la provoquais ouvertement en lui disant que ouais, j'avais faim, que j'voulais en voir plus, et, surtout quand j'me mis à l'embrasser. Sauf qu'elle ne me repoussa pas, qu'elle prolongea ce baisé. Je serrais son visage entre mes mains comme pour me persuadé que c'était la réalité, et, je laissa mes lèvres profiter des siennes un instant. " T'es prêt à baver? " J'hausse la tête de haut en bas. Ouais, j'étais prêt à baver, j'étais prêt à voir ce qu'elle pouvait faire, prêt à la regarder se dévoiler à moi. "Surprend moi..." Lui avais-je simplement répondu. J'voulais être surpris, et, j'vous jure que ce petit spectacle qu'elle m'offra me surpris. Je la regardais se déhancher sensuellement au pied du lit, je la regardais se pencher face à moi, mettant en valeur ces belles formes qu'elle avait. Puis, elle se retourna, bougeant un peu plus lentement, et, je la vis passer une main dans son dos pour dégrafer son soutien gorge, sauf qu'elle ne le fit pas. Qu'est-ce qu'elle attendait ? J'en voulais plus... "Pas mal... Vraiment pas mal... J'ai droit à la suite ou j'dois faire avec ça ?" Car bon, si j'dois faire avec ça, j'vais pas me gêner pour l'attirer dans le lit et lui enlever le peu de vêtement qui lui reste moi même vous savez... •

   
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"Surprend moi..." C’est bien ce que tu comptais faire. Sans regrets, avec un peu d’incompréhension et pourtant, bien du plaisir, ça s’annonçait comme tel. Ça te plaisait d’être là, dans le même lit que Misha, ou bien actuellement devant lui, à lui faire ton petit show, ta danse sensuelle qui ne servirait qu’à lui faire plaisir, à lui. Tu ne savais pas exactement pourquoi tu agissais ainsi. Peut-être qu’au fond, c’est parce que tu en avais envie. Tu souhaitais arrêter de penser à tes soucis, laisser tomber tes problèmes l’espace d’un moment, arrêter de te prendre la tête pour rien, surtout avec Misha. Tu cherchais à le faire profiter de cette soudaine envie et volonté de ta part, ce qui expliquait cette petite danse, puis ce moment intime, cette vue plongeante que tu avais décidé de lui offrir, sans pour autant la lui donner… Eh non, t’étais taquine, malicieuse, tu cherchais à le faire languir, à te donner un peu de pouvoir sur lui. C’était toujours plaisant avoir ce genre de dessus sur un homme. Les atouts féminins d’une femme faisaient bien rapidement, souvent, succomber la gente masculine. Et Misha était sur le point de craquer. "Pas mal... Vraiment pas mal... J'ai droit à la suite ou j'dois faire avec ça ?" Tu te retournes complètement vers lui, de sorte à te retrouver en sous-vêtements face à ce regard affamé. Oui, il avait fin. Et c’était d’une évidence rare et particulièrement…apparente. ‘’ Je crois que… le mieux pour toi serait de faire avec ça. ‘’ Tu souris, t’approchant du lit, en cherchant du regard tes vêtements qui… se trouvaient par terre, du côté du lit dans lequel tu avais dormi. Tu ramassas ton chandail et t’apprêtas à l’enfiler, un sourire en coin suspendu aux lèvres, rien que pour voir la réaction du beau Eliot. Tu faisais vraiment subir ça à un bleu? Quelle cruauté… Surtout que celui-là, ce beau bonhomme que t’avais devant toi et qui te faisais craquer aussi – l’attirance physique, ça s’explique pas -, faisait bien pitié (ou pas) de souffrir de la sorte par ta faute. Tu te mords la lèvre en passant ton chandail par-dessus ta tête, de sorte à ce qu’il se trouve au niveau de ton cou et de tes épaules. Tu n’disais rien. Tu n’étais que trop impatiente de voir ce que Misha ferait. T’arracherait-il enfin ce soutien-gorge? Enfin, oui. Il serait bien temps, car… t’avais envie de caresses. De délicieuses caresses. Et tu savais qu’il pourrait combler ces envies, puisque tu pourrais combler les siennes aussi. À l’occasion, tu lui lançais des regards, tantôt réprobateur, tantôt envieux, et puis là, pressé, ou bien malicieux, peut-être pour lui faire passer l’message…?
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