EVERYBODY'S LOOKING FOR SOMETHING ❋ LEANDRO

Rendre Leandro accro, vaste et ambitieux projet pour la jeune femme, même si paraît-il, elle avait de grandes chances d'y arriver. Simple flatterie ou bien véritable enjeu, la brune ne se posait pas trop la question. Le contact de ses lèvres, sa présence toute proche, tout était bien trop agréable pour qu'elle n'assombrisse le tableau en se posant des questions bien trop philosophiques pour l'heure et la conteneur en alcool de son sang. Même si pour l'instant, ce n'était pas les deux verres qu'elle avait pu boire qui faisaient tourner la tête de Joan. Les deux jeunes gens se dirigèrent finalement vers la Lowell House, Lindley appréciait le contact de la main du Dunster, même si franchement elle espérait plus. L'objectif pour l'instant était de ne pas s'arrêter tous les mètres pour l'embrasser, où ne serait-ce que pour le regarder. Il était vraiment très regardable. La jeune femme sourit à la remarque du brunet avant de lui répondre. « Je ne serai même pas étonnée que tu la connaisses mieux que moi la Lowell House. » C'est clair qu'on peut pas dire qu'elle ait passé énormément de temps à la Lowell House, deux mois à peine, et avant ça elle ne connaissait que la pièce commune. Elle se demandait quand même comment il en était arrivé à connaître la LH. Une fois arrivée devant l'entrée, elle plongea un instant son regard dans celui de Leandro, la réponse était toute prête bien sur. Ses lèvres se posèrent une nouvelle fois sur celles du jeune homme, puis elle se détacha lentement avant de répondre à mi-voix. « T'as pas fais ce chemin pour rien ce serait dommage. Monte. » Elle ouvrit la porte dans un état second, rattrapant ensuite sa main, pour l'inviter à entrer, elle persista à garder leurs mains liées même dans les escaliers, même si elle se retournait les trois quarts du temps. Devant la porte, c'était le moment de vérité, elle vit avec soulagement que sa coloc' devait être une nouvelle fois occupée avec son petit ami, pour une fois qu'elle ne déplorait pas d'avoir la chambre pour elle toute seule. « Après toi ! » dit-elle en souriant en ouvrant la porte.

Contrairement à ce qu'elle pense j'ai rarement mis les pieds dans sa confrérie, peut-être trois fois tout au plus, une fois pour June et deux fois pour chercher ma fille chez sa tante. Oh je pense pas, j'évite de mettre trop souvent les pieds la-bas au risque de tomber sur ma petite sœur et son sale caractère. Disais-je en rigolant sans lâcher sa main. Oh oui j'osais espérer que Nat ne soit pas sa colocataire, j'espérais même qu'elle n'ait aucune colocataire qui risquait de débarquer d'un moment à l'autre. Je suivais donc sans broncher la belle jeune femme jusqu'à l'entrée de la Lowell House, lui demandant ce que j'étais censé faire et dès lors que ses lèvres venaient une nouvelle fois caresser les miennes, un petit sourire naquit sur mon visage. Elle n'a pas tort ça aurait été dommage de faire tout ce chemin pour repartir de suite, car soyons francs Joan me plaît énormément et même si j'aurais accepté de me prendre en quelque sorte un vent, j'aurais été légèrement frustré. Cependant cela n'arriva pas puisqu'elle empoigna toujours ma main pour qu'on monte main dans la main jusqu'à sa chambre universitaire. Elle me fit entrer en premier et mon premier réflexe fut d'examiner la chambre qui ne ressemble absolument pas à celle de ma chère petite sœur. D'un petit soupir de soulagement je me retournais vers la porte, voyant Joan dos à cette dernière en train de me regarder, cette femme est tellement belle c'est inhumain. D'un petit sourire je m'approchais d'elle, plaquant doucement ma main sur ses fesses et collant son dos à la porte pour venir kidnapper une nouvelle fois ses lèvres pour un baiser rempli de fougue. Deux lits ? C'est dommage j'aurais espéré faire lit commun ce soir. Murmurais-je en souriant entre deux baisers, pendant ce temps l'une de mes mains venait doucement glisser sous ses vêtements afin de caresser son dos et sa peau brûlante. En plus je suis du genre frileux, ça m'aurait arrangé qu'une belle jeune femme dorme dans mes bras, tu penses que ça peut s'arranger ? Lui demandais-je en détachant mes lèvres des siennes avec ce sourire bien franc sur mon visage.

La jeune femme le regarda un peu surprise, enfin il avait totalement le droit d'être le grand frère de quelqu'un là n'était pas le problème, mais c'était assez troublant de savoir qu'il avait sa sœur dans la même confrérie qu'elle. Pas qu'elle connaisse absolument tous les Lowells, c'était mission impossible, mais elle était tout de même amusée qu'elle puisse éventuellement connaître sa sœur. « Elle doit pas être si terrible que ça si elle ressemble à son frère. » C'est pas qu'elle n'aimait pas sa sœur, mais c'était pas vraiment le moment de parler liens de parenté et tout ce qui s'en suit. Ils avaient enfin atteint sa chambre, Joan verrouillant la porte derrière elle c'était pas le moment d'être dérangée. Les mains de Leandro se baladèrent, il captura ses lèvres, laissant la jeune femme dans un état pas possible. La brune passa ses doigts dans les cheveux du jeune homme avant de poser ses mains sur sa nuque, appuyant leur baiser, sentant tout son corps vibrer sous les mains du Dunster. Il s'arrêta un instant, faisant une remarque sur les lits, ce qui fit sourire Lindley. « On se serrera c'est pas un soucis. » Elle sentit ses mains en contact direct dans son dos, frissonnante elle quitta comme elle put la veste prêtée un peu plus tôt par le jeune homme, la jetant à ses pieds, attirant Leandro tout contre elle. Elle rompit leur baiser un instant, le temps de lui répondre, le regard malicieux. « Je devrais pas avoir de problème pour arranger ça. » Elle l'embrassa une nouvelle fois, fougueusement, puis elle débarrassa finalement le brunet de son haut, plaquant ses mains contre son torse, ne quittant que rarement le contact de ses lèvres. Le peu de temps où elle le laissait libre de ses mouvements, elle profitait pour le regarder, il cumulait les atouts. Ses mains remontèrent dans le cou du jeune homme, Joan toujours à moitié en transe.

Je préférais simplement sourire à sa remarque sur ma sœur, parler de ma famille n'est pas une si bonne chose que ça, je serais malheureusement obligé d'évoquer ma fille et j'en ai aucune envie .. Une fois dans sa chambre, l'envie montait de plus en plus, je sentais son regard de braise sur moi et rien que ça me faisait faiblir devant sa beauté. Je venais donc embrasser les douces lèvres de la belle lowell qui visiblement semblait avoir trouvé la solution parfaite pour mon problème, je ne doute pas une seule seconde que son corps de déesse allait pouvoir me réchauffer ce soir. Peu à peu elle enleva mon haut, laissant ainsi apparaître mon buste et sentant ses mains glisser dessus. La chaleur de ses doigts réchauffait soudainement mon corps, je ne saurais décrire dans quel état j'étais actuellement, certes je faisais en sorte de passer pour le mec normal qui allait certainement passer une très bonne soirée avec une magnifique jeune femme, mais dans chaque partie de mon corps c'était la fête. Tout en restant encore quelques temps debout devant son lit, je laissais glisser mes doigts jusqu'à la fermeture de sa robe de soirée, quittant quelques instants ses lèvres afin de pouvoir faire tomber sa robe le long de ses belles et fines jambes. L'espace de quelques instants je dévorais la belle de la tête aux pieds, simplement en sous-vêtements et une seule petite phrase quitte mes lèvres. T'es magnifique. murmurais-je avant de revenir aussi proche que possible de son corps, collant son corps presque nu contre mon corps pour attraper ses jambes et faire décoller la belle du sol. T'es certaine que t'as coloc ne va pas entrer d'un instant à l'autre ? murmurais-je entre deux baisers avant de faire tomber Joan sur son lit, remontant peu à peu sur elle, glissant l'une de mes mains le long de sa jambe. Parce que là j'ai bien trop envie de toi pour faire marche arrière. Non j'ai bien trop envie d'elle pour tout arrêter maintenant, c'est pour cette raison que j'espérais que personne allait nous déranger, que ce soit sa coloc ou bien la mère de ma fille qui pourrait m'appeler d'un instant à l'autre.

La jeune femme sentit sa robe tomber à ses chevilles. Gênée elle ? Pas le moins du monde, moins de tissus il y avait, mieux c'était, plus elle sentait le brunet proche, mieux elle se sentait. Joan sentait son cœur palpiter, elle avait définitivement fini de réfléchir, la seule chose au monde qui importait, la seule chose, la seule personne qu'elle voulait ce soir c'était Leandro. La Lowell sourit sous le compliment du jeune homme, flattée, même si l'état dans lequel elle se mettait l'empêchait assez de réfléchir à un remerciement recevable. Il était canon, beau gosse, mais ça il devait le savoir. « T'es pas mal non plus dans le genre bouclé. » Elle haussa les sourcils, bien sur que oui il était pas mal, pas mal du tout, il n'y avait qu'à voir dans quel état il mettait la pauvre Lindley qui en pouvait plus, elle frissonnait, elle tremblait presque sous ses mains, ses lèvres redemandant toujours plus d'être en contact avec les siennes. Elle se sentit quitter le sol, elle s'appliqua quand même à ne pas tomber en arrière, c'était totalement le genre de choses qui pouvaient se produire avec elle, tellement douée la fille, capable de se retrouver les quatre fers en l'air alors qu'elle avait ramené un séduisant italien dans sa chambre – même si tous les italiens sont séduisants, c'est évident. Joan secoua la tête négativement. « Sure et certaine, 95 % de chances qu'elle passe la nuit ailleurs. » Restait à prier pour que Juliett ne profite pas des 5 % restant pour réduire à néant l'ambiance de la soirée, qu'elle fasse fuir le brunet et tout le toutim. Elle récupéra les lèvres de Leandro dans un nouveau baiser, glissant ses mains contre son dos dénudé, stimulée par ce que lui soufflait le Dunster. « Pas de marche arrière promis. » Elle repassa ses mains devant pour défaire le jean de Leandro, tout le monde serait bien assez gentil pour les laisser faire quand même !

Une fois sur son lit tout était parfait, du moins tout sauf l'arrivée à l'improviste de sa colocataire. Ce soir je veux Joan entièrement pour moi et seulement pour moi, fort heureusement la belle brune me rassura en m'expliquant qu'on avait seulement 5% de chance que sa coloc nous dérange et détruise l'ambiance forte agréable de nos retrouvailles. Alors ce soir c'est juste toi et moi .. murmurais-je entre ses lèvres le temps qu'elle retire mon jean. Une fois sur mes genoux je l'aidais à retirer mon pantalon une bonne fois pour toute, jetant cet objet bien trop encombrant aussi loin que possible. Rapidement mon t-shirt ne fit pas non plus loin feu, à présent seul nos sous-vêtements masquaient nos corps. Mes lèvres rejoignaient bien rapidement celles de la jeune femme pour un échange toujours plus passionnel, toujours plus fougueux. Seulement ses derniers vêtements me dérangeaient beaucoup trop à mon goût, pour cette raison ma main glissa le long de son corps pour rejoindre doucement mais sûrement son dos et ainsi dégrafer son soutien-gorge, j'en profitais alors pour rompre le contact de nos lèvres et ainsi admirer sa poitrine qui n'a de toute évidence aucun défaut. Le soutien-gorge retiré, ne reste plus que sa culotte et autant se l'avouer, ce dernier bout de tissa n'allait pas non plus rester encore très longtemps sur sa peau. Je me mettais doucement à genoux, laissant mes mains caresser ses belles et fines jambes pour pouvoir défaire peu à peu son sous-vêtement, laissant apparaître Joan entièrement nue face à mes yeux admiratifs par sa beauté. Je me mordais doucement la lèvre, revenant m'allonger sur la lowell, ma main parcourait ses jambes, puis sa poitrine avant de se nicher derrière sa nuque pour un énième baiser. À présent seul mon boxeur dérangeait mais aussi un autre petit détail .. J'ai pas de protection avec moi .. lui fis-je savoir entre deux baisers et le cœur battant la chamade. Personnellement le faire sans ne me dérangeait pas, bien que la dernière fois qu'une telle chose soit arrivé je me suis retrouvé avec une gamine neuf mois plus tard mais sait-on jamais, avec un peu de chance Joan en avait dans sa chambre ou tout du moins prenait la pilule.

Un vague sourire flotta sur ses lèvres un court instant. C'était parfait, ils étaient coupés du monde, hors du temps, elle en oubliait même sa chambre, toute son attention portée sur le jeune homme. Joan se moquait de tout, sauf de lui et de la sensation que lui procuraient ses mains, sa peau contre la sienne. « Juste toi et moi. » souffla-t-elle, presque plus pour elle-même que pour lui, tandis que chacun de leur côté ils s'activaient à se déshabiller mutuellement. À aucun moment elle hésita, à aucun moment elle ne voulut faire marche arrière, au contraire, plus ça allait, plus Lindley ressentait le besoin de toucher sa peau presque entièrement nue, d'embrasser ses lèvres, de le sentir contre elle. Plus le temps passait, plus elle le désirait tout simplement. Son soutient-gorge voltigea, sa culotte aussi, elle sentit le regard du jeune homme parcourir son corps, au lieu d'être gênée et intimidée, elle se sentait au contraire bien, comme si le simple pouvoir de ses yeux avait un effet réparateur sur son âme en peine. Il revint finalement s'allonger sur elle, reprenant ses lèvres en otage, sauf que Joan était clairement atteinte du syndrome de Stockholm, elle commençait à franchement apprécier son ravisseur. Ses doigts glissèrent le long de la colonne vertébrale du brunet, s'arrêtèrent dans sa nuque qu'elle caressa doucement. Évidement problème de protection, Joan était parée contre toutes les attaques, cependant elle n'était pas contre doubler la protection, l'avantage d'arriver un lendemain de rupture c'est qu'elle avait encore du stock. Héhé tout de suite ça casse le charme de la situation. Elle se pencha, quittant un peu le contact de leurs deux corps pour chercher la fameuse boîte magique, puis elle la posa à côté d'eux. Sans un mot, elle reprit le baiser là où elle l'avait laissé, glissant cette fois-ci ses mains en bas du dos du jeune homme, entreprenant la dangereuse descente de son boxer.

Ce soir c'est juste elle et moi, pas d'Ornella, pas de Malvina, pas de colocataire pouvant arriver à l'improviste et gâcher notre fin de soirée mémorable, non seulement nous. Sauf que le problème de la protection vit le jour. Elle me plaisait tellement et je me sentais tout bonnement incapable de faire marche arrière que j'aurais pu courir à moitié nu dans Cambridge pour chercher le distributeur le plus proche, sauf que j'en ai pas eu le besoin puisque la belle extirpa une boîte de sa commode. Un petit sourire soulagé apparut sur mon visage lorsqu'elle posa la boîte de préservatifs à côté de nous, ouf je vais échapper au triste destin de finir une deuxième fois père, j'ai déjà beaucoup de mal à gérer ma petite princesse, manquerait plus que je lui fasse un frère ou une sœur avec Joan. Doucement je prolongeais ce doux baiser laissant la belle descendre mon boxer jusqu'à mes genoux, j'enlevais mon dernier vêtement pour me retrouver à mon tour entièrement nu, habillé tel Adam et Eve lors de la création du monde. Peu à peu je rallongeais délicatement mon corps aussi peu vêtu que le sien contre elle, sentant la chaleur de sa peau brûler encore plus mon corps en ébullition. Sans rompre le contact de nos lèvres j'attrapais la boîte à côté de nous, arrachant l'emballage pour préparer mon soldat à entrer en guerre, certes cette imagine n'est pas très glamour, comparer mon pénis à un soldat et notre échange charnel à une guerre mais soit .. Une fois fin prêt, j'attrapais doucement les jambes de la belle lowell pour les écarter et les enrouler autour de ma taille, laissant ainsi plus de faciliter d'accès à son corps de rêve. Peu à peu j'entrais doucement dans son être, sentant mille et une sensations parcourir mon corps. Je fermais quelques instants les yeux, profitant de ce contact à la fois électrique et si bon, allant nicher mes lèvres dans le cou de Joan le temps de commencer de doux et tendre va-et-viens.

Le dernier bout de tissus entre eux avait voltigé à travers la pièce, ne laissant plus qu'une alternative aux deux jeunes gens. De toute façon c'est pas comme s'ils avaient commencé à se déshabiller pour le plaisir d'exploiter le côté naturiste de leur personnalité. Si elle le voulait ? Oui et pas qu'un peu. La jeune femme le regarda se préparer pour la parade militaire – continuons dans ce champ lexical là c'est génial (a) – avant de venir se rallonger sur elle. Leandro attrapa ses jambes que Joan s'empressa d'enserrer autour du bassin du brunet avant qu'il ne commence la bataille. Presque aussitôt les poils sur ses bras se hérissèrent, son corps se courba, vibrant au rythme de celui du beau brun. Elle sentit ses lèvres contre son cou et remonta ses mains le long de son dos pour les placer dans la nuque du jeune homme, contenant plus que mal le désir qu'elle éprouvait à l'égard de monsieur le bouclé. Finalement, peut-être qu'elle avait bien fait de l'éconduire tout de suite lorsqu'il lui avait parlé cet été, Dieu sait le bazar qu'il aurait pu mettre, Lindley qui se plaignait toujours de son mauvais timing commençait à croire que la roue tournait, le temps était de son côté pour une fois. Qu'est-ce qu'elle aurait raté si elle n'était pas sorti de ce soir-là, les baisers du brun, ses mains sur sa peau nue, son regard, la fusion des corps, elle descendit ses mains en haut du dos de Leandro, s'agrippant légèrement, sentant son souffle s'accélérer au fur et à mesure des mouvements du jeune homme. Aucune envie que ça s'arrête, et elle remerciait franchement sa colocataire de ne pas rentrer.

Fort heureusement lorsque j'ai vu Joan à mes côtés il y a quelques minutes dans cette boîte de nuit j'ai laissé de côté la mini rancœur quasi inexistante que j'avais en travers de la gorge suite au pseudo vent qu'elle m'avait mit en pleine figure quelques mois auparavant au Summer Camp. Sans quoi je serais passé à côté de tout cela, à côté de ses lèvres si douces, son corps dessiné à la perfection, ses mains chaudes glissant le long de mon dos et par-dessus tout je serais passé à côté d'un échange charnel incroyable. Il n'y avait pas d'autre mot pour décrire cet échange avec Joan, elle est tout simplement parfaite et aucun homme sur terre ne pourrait prétendre le contraire. Durant l'acte je lâchais sa nuque pour venir récupérer ses belles et douces lèvres entre deux soupirs de plaisir. J'aimais tellement ce contact que je pourrais rester pendant des heures contre elle, sur elle, à l'embrasser et plus encore, malheureusement je suis humain c'est donc après quelques longues minutes de pures passions que j'ai atteint le stade de non-retour, atteignant mon orgasme accompagné d'un soupire rauque que j'essayais d'étouffer une nouvelle fois contre le cou de la magnifique lowell. Une fois notre affaire terminée, je m'extirpais de son corps en restant tout de même quelques instants sur elle, essoufflé et à bout de souffle pour déposer un dernier baiser sur ses lèvres, me laissant tomber à ses côtés tentant de reprendre mon souffle avec un petit sourire heureux sur les lèvres. Tu regrettes rien j'espère ? murmurais-je en reprenant mon souffle, tournant mon regard vers Joan sans lâcher mon sourire des lèvres. Parce que moi je regrette absolument rien. Oh non, je suis bien heureux d'avoir cédé devant la beauté et les atouts de Joan, je passais doucement ma main dans mes cheveux bouclés sans lâcher la belle du regard.