HAZEL ⊹ Il suffit d'avoir des pensées heureuses et elles t'emportent dans les airs

10/08/2012

Je suis un garçon et je suis con, voilà ce que je suis. Je pensais pas vexer Hazel. Je pensais qu'elle allait rigoler avec moi et qu'on aurait terminé par une bataille d'oreiller. Je la regardais s'activer en train de remettre ses vêtements que j'avais chiffonné. Je fronçais les sourcils, m’asseyant sur le lit. Mes yeux doublèrent de volume à sa réflexion. Pardon? Je sentais une boule dans mon ventre. Pourquoi elle prenait la fuite tout à coup? J'ai pas dit que j'avais pas envie d'elle, loin de là... j'ai juste dis que c'était une mauvaise idée. Soit elle était d'accord avec moi et ça la faisait chier, soit elle n'était pas du tout d'accord. « Quoi? Mais pourquoi? Hazel calme-toi, je... je suis désolé! » désolé de quoi? Je ne savais même pas pourquoi je m'excusais. Je bondis de mon lit lorsqu'elle claqua la porte de ma chambre. Je grognais en sortant quelques injures puis je décidais de la suivre. J'enfilais mon t-shirt tout en dévalant les escaliers. Génial, il fallait que les autres mathers assistent à cela. Je leur lançais un regard de mort alors qu'ils essayaient de comprendre l'histoire. Une fois dehors, je marchais rapidement pour rattraper Hazel. « Hazel, reviens, je comprends pas... qu'est-ce que j'ai fais de mal? » une fois à sa hauteur, je lui attrapais le bras pour qu'elle se retourne et qu'elle me regarde. Je remarquais qu'elle avait les yeux qui brillaient. « Tu... tu pleures? » je détestais voir une fille pleurer. C'était pas beau, c'était triste et j'étais vraiment pas fier de moi. Si c'était vraiment moi qui la rendait triste, c'était honteux de ma part. La brune était une amie en or pour moi, les choses commençaient à être différentes lorsqu'on s'était embrassés, mais il suffisait que j'ouvre ma bouche pour que tout parte en fumée. J'avais envie de la prendre dans mes bras mais j'avais peur de me faire rejeter.

(Ottis Heimann)

✧. ❛ love on top. i know nothing's perfect but it's worth it after fighting through my tears and finally you put me first. it's you.

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hear my beating heart one last time before daylight.

Les larmes coulèrent sur mes jouent sans que je ne puisse les arrêter. Ma douleur était tellement puissante que j'en ai le souffle coupé. Je sanglotais comme une vraie gamine au milieu du parking cherchant désespérément un endroit où m'enfuir. J'en ai marre putain. Marre qu'on se foute de ma gueule. Marre de souffrir. Marre d'être amoureuse. Je dois partir, m'éloigner de lui, de tout ce monde. J'entendis des pas se précipiter vers moi. Je n'avais pas besoin de me retourner pour savoir l'identité de cette personne. Archie. Il m'avait suivi jusqu'ici, comme-ci j'avais besoin qu'il en rajoute une couche. « Hazel, reviens, je comprends pas... qu'est-ce que j'ai fais de mal? » IL LE FASAIT EXIPRÈS OU QUOI?! « QU'EST-CE QUE T'AS FAIT DE MAL ? TU TE FICHES DE MOI ! Tu m'as brisé le coeur, voilà ce que tu as fait de mal ! » Dis-je en me retournais vers lui colérique. À quoi bon cacher ma douleur de lui, il en était la source. « Tu... tu pleures? » , « Qu'est-ce que tu crois crétin. Tu veux que je souris comme-ci rien n'était pendant que tu piétines mon coeur? C'est ça que tu veux ? Ne soit pas idiot à ce point Archie ! » Dis-je en lui crachant mon venin au visage. Jamais je ne m'étais adressé-à-lui de cette manière. Mais il avait atteint le point non-retour cette fois-ci. «Tu sais bien que j'ai des sentiments envers toi et tu t'amuses de moi tout de même ! J'en ai ma claque Archie ! J'en ai ma claque de cet amour à un sens. J'en ai marre de faire semblant avec toi. » Voilà j'ai vidé mon sac. Pourquoi me cacher maintenant ? Il fallait bien que cela arrive un jour. « Il est préférable pour nous deux de couper les ponts. J'en peux plus de cette souffrance Archie. Mon coeur» dis-je en pointant mon torse « Il a assez souffert. ». « Vas ! Vas t'amuser avec tes greluches, c'en est finit que je te laisse faire de même avec moi. Moi qui croyais valoir mieux à tes yeux. Mais tu es comme les autres. Un connard.»

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(Invité)

10/08/2012

Si je m'attendais à ce qu'elle me crie dessus, dans ce parking où les murs avaient des oreilles. La douce et gentille Hazel qui paraissait inoffensive, là voilà qui s'exprimait... avec son coeur. Je la relâchais en restant planté là comme un con. Je ne m'attendais pas du tout à cette tragique révélation. Je comprenais mieux pourquoi elle voulait encore m'embrasser, pourquoi elle était partie en furie car je l'avais arrêtée, pourquoi elle avait décidée de m'accompagner à l'activité mather alors qu'elle n'en avait pas envie. J'étais con, je vous l'avais déjà dit ou je me répète encore une fois? J'étais con, voilà. Les filles s'attachaient vite aux garçons dernièrement, elles attendaient plus qu'eux. Et c'était tombé sur Hazel et moi. Mon Hazel... Je baissais les yeux, n'osant plus trop affronter son regard. J'avais briser son coeur sans m'en rendre compte. J'étais pas un enfoiré à ce point. Si j'avais su, jamais je n'aurais fais quoi que ce soit pour la faire espérer. Je soupirais longtemps avant de dire. « Je... je ne savais pas... pourquoi ne pas me l'avoir dit? » je passais une main sur mon front et je sentis une goûte tomber sur ma paume. Il commençait à gouttiner. Mon amie pleurait et ça me faisait du mal. La quincy me connaissait mieux que personne pour savoir que je ne mentais pas, j'étais toujours honnête avec mes proches. « Je veux pas te perdre moi! Pas comme ça, c'est ridicule! » c'était impossible de couper les ponts avec elle, je ne m'en remettrais pas. Je m'avançai vers elle et j'attrapais son doux visage entre mes mains pour qu'elle me regarde bien. « Hazel Emilia Burton Fields, je te promets que jamais plus je ne te ferais du mal... mais s'il te plaît, reste près de moi. » j'essuyais une larme de mon pouce. Je ne savais pas exactement ce que je ressentais pour elle, mais elle ne me laissait pas indifférent. C'est juste que depuis ma dernière relation, j'ai beaucoup de mal avec les filles. Ma copine a été tuée tragiquement et c'était encore récent. Mais savoir que je plaisais à Hazel était très flatteur, j'avais envie de sourire comme un con, tellement ça me rendait heureux. Mais je pourrais vite devenir malheureux si elle décide de ne plus me voir.

(Ottis Heimann)

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Pourquoi ne lui avoir pas dit ? Comment il agissait avec moi était assez clair pour savoir qu'il ne voulait pas plus de son côté. De là, il avait toujours été resté polie et courtois, mais plus aujourd'hui. Rien d'y penser encore ne me laissait un arrière-gout amer. C'est qu'à moi que ce genre de connerie qui arrive. Mon ex-petit ami disparait dans la nature et le mec dont je suis amoureuse ne veut pas de moi, après quoi on me critique de ne pas vouloir m'investir dans une relation sérieuse, comme-ci cela valait vraiment le coup. Être seule t'apporte moins de problèmes qu'on le croit. Je tire mon coup quand je veux sans avoir des conséquences qui va avec. Bref la paix. J'essuyais mes yeux avec le revers de la manche de mon cardigan et au même instant Archie encercla mon visage de sa main. Il n'a pas fini de me toucher celui là ?! C'est exactement ce genre de geste qui ne m'aide pas en ce moment. J'aillais lui dire de me lâcher quand il me coupa la parole. « Hazel Emilia Burton Fields, je te promets que jamais plus je ne te ferais du mal... mais s'il te plaît, reste près de moi. »Rester auprès de lui ? Après ça ? Moi restée comme un bon petit chien quand il m'a littéralement brisé le coeur ? Je pris une bonne respiration pour ne pas éclater devant lui. Je ne devais pas répondre à cette question sans y avoir réfléchis plus longtemps. Répondre sur le coup de l'émotion n'allais pas arranger les choses. « Écoute, là en ce moment, j'ai envie d'être seule. Je ne suis pas prête à te donner ma réponse. » Voilà qui est mieux. Enfin une attitude qui est digne. « Ramène-moi chez moi s'il te plait. » lui dis-je sans trop d'émotion. Je voulais m'étendre sur mon lit et me blottir dans mes oreillers afin de laisser aller toute ma douleur.

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(Invité)

10/08/2012

Je refusais de ne plus voir Hazel. Je préférais vendre mon âme au diable que l'abandonner. C'était tellement con l'amour, les filles et les garçons. J'avais rien capté du tout, je passais pour le méchant sans coeur alors qu'en réalité, j'en avais un. Et en y pensant, cela me faisait tout bizarre de me poser la question si je pouvais avoir des sentiments pour elle ou pas. Cela me perturbait assez rapidement. Je devais reprendre mes esprits. Moi tout ce que je voulais, c'était qu'elle reste près de moi, comme avant. Et si jamais il allait y avoir du changement entre nous, elle sera la première à le savoir. Pourquoi cela me faisait si mal d'imaginer qu'elle coupe les ponts? La quincy était importante pour moi, j'aurais peut être pas du lui dire que je la considérais comme ma soeur. A vrai dire, je ne savais plus trop ce qu'elle était. On embrassait pas ses frères et soeurs et pourtant je l'avais fait. J'hochais ma tête positivement. « D'accord... j'ai un pull sec dans la voiture, je veux pas que tu tombes malade. » manquerait plus que ça. Je ramenais donc Hazel dans ma voiture en silence, et le trajet jusqu'à la quincy house fut encore plus insonore. Une fois devant la maison, je coupais le moteur et je tournais la tête vers elle en espérant qu'elle ne claque pas la porte directement en mode vénère. « Je suis maladroit avec tout ça... tu sais... depuis qu'elle est partie... » je lui en avais déjà parlé vaguement mais pas beaucoup car le sujet était vraiment tabou pour moi. Mais le fait de lui en parler maintenant pourrait lui faire comprendre que je tenais beaucoup à elle. J'étais resté en couple pendant trois ans avec la même fille, et elle a finit par y perdre la vie. Je venais à peine de faire mon deuil et voilà qu'une autre fille voulait se mêler à ma vie. « Je regrette pas de t'avoir embrassé, si ça peut te rassurer. J'en avais envie.» et j'en avais encore envie là maintenant. Mon regard se posa sur ses lèvres que je chassais automatiquement après quelques fractions de secondes. « Je veux pas que tu me considères comme un enfoiré de première qui fait souffrir les filles. Je m'y attendais pas, je ne savais pas quoi faire Hazel... et là... tu me perturbes trop. Je sais que si je te laisse, j'arrêterais pas de penser à ce qu'il s'est passé. » pour ne pas dire penser à elle. Je risquais d'effleurer la paume de sa main avec mon doigt. C'est moi où mes gestes me contredisaient? Il se passait un truc putain, je le sentais.

(Ottis Heimann)

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Si je le pouvais, je me serais enfuit. Si je le pouvais, j'aurais couru pour retrouver les miens en Ohio. C'est bien moi ça. Courir sous les jupons de maman quand tout va mal. Un vrai enfant. Pourtant, je l'aurais fait sans hésiter si j'étais au point de terminer ma session à la fac. Malheureusement, je ne pouvais pas laisser tout derrière moi après tant d'effort. Je me sentais à la fois briser et coupable. Je voyais bien que mon attitude blessaie Archie, que mes mots lui faisaient de la peine. J'en n'étais pas fière. Quel merdier on est. Même si j'y pensais ou je le disais, je ne pouvais pas couper les ponts avec lui. Il y a si peu de personnes en qui j'ai confiance en ces jours. Archie est l'une des perle rares à qui je fais empalement confiance. Même après tout ça, je ne pouvais pas osée dire qu'il ma trahi, jamais il ne l'a fait. J'ai tout de même besoin de prendre un peu de recul avec lui. Le temps de guérir mon coeur meurtri. « D'accord... j'ai un pull sec dans la voiture, je ne veux pas que tu tombes malade. » Toujours aussi attentionné, même dans ces moments. J'hochais légèrement la tête, préférant rester muette pour l'instant. Je le suivais au pas jusqu'à sa voiture et accepta sans rechigner son pull que j'enfilais dans l'immédiat tout humant au passage son parfum qui s'était imprégné dans le tissu. Je rassemblais mes cheveux , qui était dans un désordre sans nom, et me fis un chignon à a là viva-vite. Je grimpais du côté passager et resta tout le long du trajet à regarder par la fenêtre. Je ne bougeais pas d'un poil quand on fut arrivé à la maison de ma confrérie. « Je suis maladroit avec tout ça... tu sais... depuis qu'elle est partie... » je me retournais pour le regarder sans trop savoir de quoi il parlait. Ah mais oui ! Je crois que c'est l'histoire compliquer avec son ex qui s'est mal terminée. Pour une raison ou une autre, il ne s'est pas trop attardé sur le sujet. Chose que j'avais trouvé étrange. J'hochais de la tête, comprenant un peu dans quelle situation qu'il était. Je commençais à me sentir idiote d'avoir fait une telle scène. Il avait son propre désordre sentimental sans que je ne sache, on est deux maintenant. « Je regrette pas de t'avoir embrassé, si ça peut te rassurer. J'en avais envie.» Je ne pu m'empêcher de sourire. Je ne sais pas s'il mentait ou pas, mais c'était tout de même gentil de sa part. Je pris un moment pour prendre une grande respiration et souffler. Un chatouillement à ma main attira mon attention. Je regardais sa main caresser la mienne et puis l'attrapais pour la serrer. J'en avais besoin, besoin d'avoir un dernier contact, quoi que bénin, avec lui. « Arrête de te tourmenter l'esprit Archie... Ça va je t'en veux plus. J'ai besoin de rester seule quelque moment. » À quoi j'ai pensé, jamais je n'arriverais à lui en vouloir aussi longtemps.

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(Invité)

10/08/2012

Peut être qu'en parlant sincèrement de ma vie sentimentale, elle comprendrait. C'est pas comme si j'étais le mec célibataire depuis des lustres qui cherchait désespérément l'amour. Ce n'était pas facile, pour moi. Je n'ai aimé qu'une fille dans ma vie, alors en aimer une deuxième risque d'être assez compliqué. Pourtant on ne choisit pas ce que le coeur choisit et je ne savais pas si cette envie venait de mon esprit ou de mon coeur, mais je ne voulais pas la perdre. Hazel était si parfaite, si gentille, en aucuns cas je voulais brusquer les choses et sortir avec elle pour ne pas la perdre. Mais c'était encore plus risqué, si les choses ne se passaient pas comme prévues, je pouvais bien la perdre pour toujours. Est-ce qu'elle avait au moins pensé à cela? J'adorais la voir sourire. Alleluia, elle ne semblait plus en colère et ses larmes faisaient place à des yeux pétillants. Même si j'avais qu'au fond elle était triste. Je comprenais qu'elle voulait être seule, qu'il lui fallait du temps, mais j'essayais de lui expliquer que je ne lui avais pas vraiment mis un râteau, c'était comme un frein. Moi aussi je devais être seul et réfléchir à la situation. J'avais prêté mon pull à la jolie brune et ça me donnait l'impression d'être un peu avec elle lorsqu'elle le portait. J'avais posé ma main sur la sienne naturellement et elle glissa ses doigts dans les miens. « J'espère quand même vite te revoir. Tu m'envoies un texto quand tu veux, même pendant la nuit d'accord? » dès qu'elle me donne son feu vert pour qu'on se revoit, j'irais directement vers elle. Je ne savais pas combien de temps il fallait attendre, pas trop quand même. Je déposais un bisou sur la paume de sa main puis je la relâchais pour qu'elle puisse s'en aller. « Je suis désolé de t'avoir fais passer un mauvais moment avec les mathers, d'habitude ils sont moins taquins. » la pauvre, ils allaient me tirailler de questions dès mon retour.

(Ottis Heimann)

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Il était temps pour moi de partir. Partir sur une meilleure note allait surement lui rendre les choses moins compliquer. Je ne sais pas combien de temps cela me prendra pour décider de lui reparler. Je n'étais même plus capable de décrire dans l'état où je suis en ce moment tellement que je suis déboussolée. Cette nuit allait être horrible, je le sens. Chance pour moi, je n'avais aucun examen le lendemain, sinon bonjour la catastrophe. Je décidais de séparer sa main de la mienne pour la déposer sur ma cuisse. La main sur la poignée, j'étais prête à partir quand il m'adressa encore une fois la parole. « J'espère quand même vite te revoir. Tu m'envoies un texto quand tu veux, même pendant la nuit d'accord? » Encore une fois je souris, le voir si inquiet prouvait qu'il n'était pas insensible à ma douleur. Malgré ses nombreux défauts, Archie restait un humain avec un coeur, je ne sais pas ce qui lui est arrivé dans le passé, mais je suis certaine qu'il en avait souffert. Son regard, je pouvais lire dans son regard qu'il était tiraillé par je ne sais quoi. J'aurais voulu tant qu'il me dise pourquoi il ne voulait pas de moi, mais je n'étais pas encore prête à entendre quoi ce soit. « D'accord, je te promets de te contacter quand je serais prête.» et je le ferais, quand le moment sera là. « Je suis désolé de t'avoir fais passer un mauvais moment avec les mathers, d'habitude ils sont moins taquins. » , « C'est correct Archie, ne t'excuse pas pour eux. Qu'ils disent se qu'ils veulent, je m'en fiche.» C'est bien la seule chose qui me préoccupent en ce moment. « J'y vais, on se dès bientôt Archie ne t'inquiète pas.» J'allais presque oublier de rendre son pull, mais je décidais de faire comme-ci rien n'était pour le garder avec moi. Je lui souris pour une dernière fois et sortit de son auto. Sans me retourner je rentrais dans le bâtiment des quincy. Renferment la porte derrière moi, je me laissait m'éffrondre sur la porte et laisser couler mes larmes. Je mis ma main sur ma bouche pour étouffer mes sanglots et alerter personne, préférant rester seule dans le noir.

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(Invité)

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