TG Cabot&Mather ☆ Course culotte

Alors que je venais de dire à Jasmine qu'elle perdait un sein, voilà que le mien sortait aussi et c'est Elia qui me le faisait remarqué en utilisant un retournant un peu ma remarque de tout à l'heure. Je ne pus m'empêcher de rire. Touchée ! Oh c'est pas vrai, de vraies nudistes ! On en était pas loin. Quoique pour Swan, il ne manquait plus que le bas. Audric lui avait déjà tout enlever et c'était plutôt agréable à regarder pour être honnête. Mais je ne m'attardais pas la dessus. Je remis plutôt mon soutif en place, posant ensuite ma main sur ma poitrine pour les tenir fermement à dans leur lieu de détente et pas à l'air libre. Nan, ça te ferai trop plaisir qu'on fasse comme Swan ! J'exhibais déjà mon petit ventre rond alors c'était déjà bien assez. Mais c'était vraiment dur de courir correctement, sans trébucher ou penser à autre chose que la course. Puis, il faut dire que le spectacle que nous offrait Motya était tellement beau. Je n'en pouvais plus de rire. J'vais accoucher avant l'heure avec vos conneries ! Si j'accouchais maintenant euh... comment dire ? C'était juste physiquement impossible que ça se produise aussi tôt.

Douche à la vodka, s'était bien la première fois que je faisais ça, et s'était comment dire très, hum, désinfectant et ça piquait aussi Autant dire que 'j'allais devoir prendre une douche avant de rejoindre tout le monde chez les cabot pour l'after. Je sais même plus ou j'en étais, je commençais à fatiguer, entre la mather sur mon dos et la diva qui s'était fait chier dessus, j'étais au bout, mais il fallait que je la finisse cette course. "Bah oui ça me ferai plaisir, tu m'as bien tripoté le cul et pas qu'une fois il me semble. Ca t'as as dérangé." Fis je en trottinant à côté d'elle, fallait qu'on se calme là, et qu'on reprenne à zéro mais s'était une chose bien plus facile à dire qu'a faire sachant qu'on était loin d'être arrivé, et qu'on allait certainement avoir d'autre mésaventure.

A en juger par ce que le Mather disait, il n'était pas contre me toucher les seins, tout ça parce que j'avais osé lui mettre la main au cul. Nan mais je croyais rêver là ! Laisse moi toucher ton pénis et tu pourras PEUT-ETRE avoir le droit de regarder ma poitrine ! Genre le truc vachement pas équitable. A m'entendre, on pourrait croire que j'ai bu. C'est tellement pas dans mes habitudes de parler ainsi. Je riais intérieurement. Je me lâchais totalement aujourd'hui. Mais cette stupide chauve-souris était de retour et elle me fit arrêter de rire sur le champ. AAAAAAAAH ELLE EST REVENUE !!!! Je m'éloignais de lui. Sait-on jamais si cette stupide bête voulait de nouveau s'en prendre à moi. 

J'en pouvais plus de cette course. Nan mais franchement ça partait bien, tout le monde riait ... Enfin surtout moi, alors pourquoi fallait qu'un putain de pigeon vienne se vider sur mes cheveux ? Je passais d'un état d'esprit gosse de 5 ans dans un cirque, au mec de massacre à la tronçonneuse. En tout cas, j'étais ravi que ça fasse rire les autres, au moins j'étais encore le centre d'attention dans l'histoire, comme quoi tout n'était pas si négatif. Bon après ça de nouvelles choses se passaient, à croire qu'on était les victimes d'un scénario comique. Peut-être qu'on est en train de nous filmer ! Peut-être que je deviendrai UNE STAR ! Non Motya, calme toi. Heureusement pour moi j'avais toujours Aaliyah ou Audric pour me consoler, parce que pour le coup, c'était eux les rois des emmerdes ce soir. Entre l'attaque de la chauve souris, l'attaque de la chauve-souris 2 - Le retour, et le vagin libéré délivré de la biatch, c'était digne d'une soirée cinéma, quoi. Biatch remonte moi ça ! On a déjà une Lune ce soir, on en a pas besoin d'une deuxième ! Je commence à me demander si on voue pas un culte à la nudité ici.

Cette course était des plus comiques. Mais quand je me rendis compte que je perdais une chaussure je trouvais ça moins drôle. Un imbécile m'avait écrasé le pied, enlevant ainsi ma chaussure. Non mais je rêve quoi, il pouvait pas regarder où il court celui là ? M'arrêtant en plein chemin je comptais pas continuer la course avec une seule chaussure et galérer ou avoir la malchance de marcher dans une crotte de chien. Oui j'avais bien eu droit à un sein à l'air, un caleçon et un soutif sur la tronche, une chauve souris qui me poursuit, une main au cul et la je perdais ma chaussure. Alors oui j'avais toutes les raisons de craindre de marcher dans une crotte et ayant aucune chaussette non merci mais j'avais pas envie que ça arrive. Reprenant ma chaussure je la remettais en vitesse et me chargea de rattraper Aaliyah qui criait elle est revenue comme si elle avait peur. Je ne captais pas que c'était la chauve souris qui était visé et non moi. Merci de l'accueil lui dis je alors que j'entendis les bruits de la bestiole juste après mes paroles. Biatch remonte moi ça ! On a déjà une Lune ce soir, on en a pas besoin d'une deuxième ! Je regarde Motya qui s'adresse à ma cousine et qui a le bas de son sous vêtement descendu. Ah ben bravo. Ca te va pas de rester avec Audric ma chérie. Entre son sein puis là ses fesses, ça va oui !

J'étais revenue vers Léonora pour parler un peu, parce que tout à l'heure, je ne lui avais pas répondu, j'avais pensé préférable de parler avec mon copain parce qu'il s'était passé des trucs. Enfin bon, et là, elle m'envoyait clairement chier, j'haussais les sourcils en lui répondant "Ouais t'as raison, ça m'apprendra à être aimable..." secouant la tête, je ne répondais même pas à ses questions, fallait pas me prendre pour un truc qu'on jette, qu'on reprend. Donc je reprenais la course, mon dieu c'était pas croyable..

J'avais soit un bas qui ne tenait pas la roue, soit je maigrissais à vue d'oeil à force de courir car je venais de le perdre et ça m'empêchait de courir correctement et Elia me fit d'ailleurs la remarque. Bon, là c'était peut-être la tuile de trop et je n'allai pas continuer la course si il m'arrivait encore ce genre de pépin. Je remontais rapidement mon bas, continuant de courir mais moins vite. Je lançais un regard assez provocant à Audric. Ca t'a pas déplu que je te tripote les fesses ! Et au passage, je fis une grimace à ma cousine pour se remarque. N'empêche que Motya ne me ratait pas avec toutes les phrases mal placées qu'il me lançait aujourd'hui. Tu sens à des kilomètres, fiente de pigeon va ! Tu me cherches, tu me trouves.