i want to reconcile the violence in your heart ▽ ponix

Je ne comprends pas pourquoi je suis là, à la serrer dans mes bras, à ne plus vouloir la lâcher, à vouloir ne faire qu'un avec elle. Elle enroule ses jambes autour de mes hanches, et je sens le désir m'envahir. Mon coeur bat la chamade, mes papillons volent dans tous les sens. Je me suis toujours obligé à ne rien éprouver, n'aimer personne d'autre que moi. J'ai coupé mes sentiments, avec Poppy je me sens plus vivant, elle fait parti de moi et c'est la meilleure chose qu'il me soit arrivé. D'ailleurs je ne me savais pas capable de dire cela et pourtant même les mots ne sont pas assez puissants pour expliquer mon ressenti. Je la sers plus contre moi, et l'embrasse dans le cou avec passion, et fougue. Je me dirige vers les escaliers, et la porte en montant les marches. Mes lèvres ne lâchent sa peau qu'un court instant, comme si la quitter trop longtemps pouvait me tuer. Je pousse la porte de ma chambre et pose Poppy sur mon lit. Je m'allonge sur elle, doucement et entremêle ma langue à la sienne. Je passe mes mains sous son haut, et avec douceur le lui ôte. Je fais glisser mes lèvres, le long de son ventre, n'enlevant pas pour autant son soutiens-gorge. Elle est plus belle que dans mon imagination.. Je remonte rapidement ma bouche, et déboutonne son bouton de jean, et attrape ses lèvres. Ma respiration se fait déjà plus rapide, mais je me dis que c'est mal. Poppy est gentille, c'est un ange tombé du ciel et moi je suis le diable sorti des flammes, je m'arrête un instant pose mes prunelles vertes-grises dans les siennes noisettes « On...on ne devrait pas. » J'ai murmuré.. Je ne lâche pas son regard, me mords la lèvre inférieure. Ses yeux me donnent l'impression qu'elle m'implore, alors sans hésitation je repose mes lèvres contre les siennes, une main enlaçant sa côte, et une autre sur le sommet de sa tête s’agrippant à ses cheveux. C'est vrai, on ne devrait pas, mais l'interdit est excitant.

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J'avais sauté sur Phoenix comme pas possible, je ne savais même pas que j'en étais capable, capable d'autant de fougue et de passion. Mes mains glissant dans les cheveux du jeune homme, je ne lâchais pas ses lèvres, je n'en étais pas capable. En réalité, j'étais si omnibulé par ses lippes, que la seule chose qui m'obsédait s'était de rester éternellement coller à ces dernières et à les savourer comme-ci ma vie en dépendait. Je le laissais me transporter, montant les escaliers avec son élégance légendaire malgré le fait que j'étais accroché à lui comme une arapède. Il me déposa, bizarrement avec légèreté et douceur sur son lit et m'enleva par la volée, mon t-shirt qui était encore humide des minutes précédentes où j'avais fais un tour dans la douche et où Phoenix m'avait torturé. La tension sexuelle était à son comble, je frémissais dans les bras musclés du jeune homme, moi qui ne pensait ne jamais faire quelque chose de la sorte avec un mafieux sadique et sans coeur dans son genre. Je posais une de mes mains sur son torse, et je sentais son coeur battre la chamade, il devait être aussi perturbé que moi. C'est à ce moment qu'il descendit une de ses mains jusqu'à ma ceinture et qu'il entreprit de retirer le bouton de mon jean. Il relâcha mes lèvres, au bord de la suffocation, mon visage cherchant d'abord à reprendre ses lèvres en otage, lorsqu'il m'avoua qu'on ne devait pas, je secouais négativement la tête. Je... J'étais frustrée oui. Nous nous regardions un instant sans prononcer le moindre mots, mais le désir qui était présent en moi était toujours aussi intense. Je l'attirais alors de nouveau vers moi, reprenant ses lèvres en otage, arquant légèrement mon buste lorsqu'il me prit par les côtes, et basculant légèrement la tête en arrière lorsque la prise qu'il avait sur mes cheveux se voulait fougueuse. Je passais mes mains sur son dos remontant son t-shirt par la même occasion, puis je me redressais, le faisant faire la même chose dans mon mouvement. Il fallait que je lui enlève son t-shirt et que je sente sa peau contre la mienne, ça devenait vital.

Le désir monte en moi, l'adrénaline monte aussi, la seule question toujours sans réponse est : pourquoi ? Je mets peu de temps à l'emmener dans ma chambre, à la poser sur mon lit avec une délicatesse qui ne me ressemble pas, tout comme mes baisers chauds et passionnels. Je sais déjà que j'ai un problème psychologique avec ma mafia, mais là j'en ai un autre avec ces foutus sentiments. Je lui ai enlevé son T-Shirt et j'ai déjà commencé à lui déboutonner son pantalon. Poppy a sa main sur mon coeur, et sent de source sûre mes battements acharnés. Elle ôte mon T-Shirt et bien entendu je l'aide. Pour la première fois, elle voit mon torse musclé, elle peut constater que sous mes T-Shirts il y a bien quelque chose et que toute ma force est bel et bien présente. Je lui souris alors entre deux baisers et lui mordille la langue avec coquinerie. Tant c'est une pierre précieuse, un morceau de sucre que l'on ne peut toucher, je n'ose pas la toucher. Je fais remonter ma main dans son dos, et lui désagrafe son soutiens-gorge, ne pouvant plus attendre l'admiration de son corps d'ange. Et c'est vrai, elle est magnifique. Elle fait si femme fatale, et si fragile à la fois que c'est impossible de ne pas tomber amoureux de ce corps. Je relâche ses lèvres pour l'admirer davantage, et me mords la lèvre tellement j'en ai envie. Je me colle à elle, afin de sentir sa peau caressant la mienne, sa chaleur réchauffant mon corps glacial, surtout mon coeur. J'attrape ses lèvres de nouveau et les fait glisser dans son cou, entre ses deux seins, et jusqu'à son nombril, je trouve ça mignon j'avoue, ça ne me ressemble pas par contre. Je refais glisser mes lèvres le long de son corps, et reprends possession de ses lèvres. Je ne sais pas comment faire, j'ai peur de mal faire, moi qui d'habitude me fiche bien de ce que peut penser la jeune femme, avec Poppy tout est différent.