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i want to reconcile the violence in your heart ▽ ponix

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Un appartement c'est bien, une villa c'est mieux. Quand j'ai acheté mon appartement lors de mon arrivée à Cambridge je ne pensais pas qu'un jour j'allais m''ennuyer à mourir, c'est pourquoi j'ai décidé d'acheter une villa. J'ai déjà tout en tête, je vais pouvoir installer mon bureau, avoir une salle avec home cinéma, une grande cuisine pour que mes futures gouvernantes me fassent à manger, et une grande chambre avec une vue magnifique. Tout est prévu dans ma tête, c'est pourquoi j'ai pris contact avec une agence immobilière afin qu'elle me présente ses meilleures demeures. Hier j'en ai déjà visité une, mais n'étant pas convaincu j'ai demandé, ou plutôt exigé à en voir une autre, c'est pourquoi j'attends devant la nouvelle villa en question, dont l'extérieur me fait déjà de l'oeil. Assez surpris cependant, de voir qu'une voiture est déjà là, quelqu'un veut acheter cette villa, or si elle me plait c'est moi qui l'aurait. J'ai toujours eu ce que je veux, et en l’occurrence je sais que cette villa sera en ma possession d'ici quelques instants. Mon agent immobilier, le cliché par excellence, grande blonde aux yeux bleus, chic et vêtue d'une jupe noire à mi-genoux et d'une chemise blanche arrive vers moi. Les lunettes qu'elle a sur son nez lui donne ce petit sexy que j'aime tant chez une femme, bien que je n'aime pas particulièrement les blondes, et ce n'est pas par rapport à ma soeur Leevy.. Enfin si peut-être un peu. Je lui sers la main alors qu'elle s'excuse pour son retard, je fais un sourire forcé qui témoigne tout de même de mon mécontentement. Je la suis à l'intérieur de la grande villa, qui a des allures de manoir malgré tout. Et là j'ai le coup de coeur. Alors que la femme d'affaires m'explique les lieux, et en fait les éloges, je regarde tout autour de moi, les yeux qui étincellent tant j'ai le coup de coeur pour cette maison. « Je la veux ! » dis-je en lui coupant la chic, me fichant royalement que la cuisine soit une « moderne, américaine avec un bar aux couleurs originales » ou qu'il y ait autant de chambres. J'ai vu cette villa, et je la veux. Cependant pour respecter le travail de cette charmante dame, nous faisons le tour des pièces du bas et je suis toujours aussi certain de la prendre. Nous montons les escaliers, et dans une pièce nous entendons des voix, sûrement le crétin qui veut acheter ma maison. Nous entrons dans la pièce qui pourrait faire office de chambre, et je suis nez à nez avec Poppy. Perturbé, j'en perds mes mots.
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Cela faisait plusieurs années que je vivais à la Dunster House et j'avais ce besoin de changer d'air, de prendre un logement à moi, où je pourrais être bien, sans complexes et avec lequel je pourrais facilement m'épanouir et recevoir mes amis. Un appartement spacieux aurait suffit mais cette fois je voyais plus large. Après tout, j'avais de l'argent, pourquoi je ne pouvais pas m'acheter une villa et profiter de tout les bienfaits qu'un lieu aussi immense pouvait me procurer ? J'avais alors pris contact avec une agence afin de visiter plusieurs grandes maisons qui ferait mon bonheur et m'aiderait à mon épanouissement. Aujourd'hui je visitais ma première villa et autant dire que j'étais excité comme une puce. Ces derniers temps autant j'avais décidé de me reprendre en main, de mettre tout les éléments perturbants de ma vie de côté et de retrouver cette joie de vivre que j'avais toujours eu dans le passé. C'est un homme qui me faisait visiter les lieux, il semblait avoir des penchants gays et c'était parfaitement bien habillé, ce qui dans un sens me faisait rire. Nous visitions simplement une maison, nous n'allions pas à la maison blanche. Quoi qu'il en soit, il me fit visiter tout d'abord les extérieurs de la maison, le terrain était gigantesque, perturbant et réellement magnifique, sans doute entretenu par un jardinier hors pair. Puis vint la visite de l'intérieur de la maison, j'observais les lieux avec fascination et admiration. Cette villa était tout ce dont je rêvais, et je me voyais déjà dans la salle de sport à faire de la gym, me vider les idées, ou à regarder un film dans la grande salle de cinéma et me baigner dans la piscine. Puis l'homme qui me faisait visiter, m'emmena à l'étage et me fit entrer dans une chambre particulièrement spacieuse. J'aimais l'endroit et je n'hésitais pas une seule seconde à m'asseoir sur le lit pour l'essayer et orienter mon regard noisette sur le jeune homme en face de moi. Cette maison est meublé ou les meubles seront bientôt enlevés ? Je l'observais un instant puis j'entendis des bruits de voix et tourna instantanément mon regard vers Phoenix et la jeune blonde qui l'accompagnait, mon corps se raidit alors puis je me relevais du lit. Je déglutit légèrement et sans rien dire, je passais à quelques centimètres de Phoenix pour pouvoir sortir de la chambre et me rediriger à l'étage du bas. Me suivait-il ? Ou voulait-il simplement acheter cette villa comme je le voulais ?
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Je ne m'attendais pas à voir Poppy dans ma future maison. Je la fixe et croise brièvement son regard alors qu'elle quitte la pièce le regard posé sur le sol. Je comprends sa réaction, notre dernière rencontre ne s'est pas très bien passée, elle a découvert que je suis mafieux, je ne peux pas lui en vouloir. Après je ne voulais pas non plus qu'elle me saute dans les bras, les câlins tout ça je n'aime pas ça. Les deux agents immobiliers se regardent comme deux crétins, en même temps ils sont débiles donc, et me regardent ensuite en même temps comme s'ils s'étaient donnés le mot. « Excusez la elle est un peu perturbée. Je vais la voir. » Alors je laisse en plan mon agente immobilière sexy avec celui de Poppy aux allures d'homosexuel, ce qui me donne des nausées mais je ne vais pas le tuer après tout ce n'est pas de sa faute s'il préfère passer par derrière. D'ailleurs je fais en sorte, en tournant les talons de passer vite je ne veux pas qu'il s'imagine des choses bizarres. Je descends à l'étage du bas, sachant que Poppy y ait et la cherche dans une pièce. Je la trouve enfin et m'avance vers elle, ne sachant pas sa réaction. « Poppy, fais pas la gamine. » Je sais que ma réplique ne va pas lui plaire, mais comme on dit il n'y a que la vérité qui blesse. Je m'approche toujours un peu plus vers elle, et l'oblige à me regarder en lui prenant le menton. Je plante mon regard dans le siens, et sens mon coeur s'emballer, je tente de me calmer et ne laisse rien paraitre comme je le fais si bien. De ma voix glaciale et méprisante qui demeure habituelle, je lui dis « Quand je ne suis pas là il t'arrive que des emmerdes, alors si on habitait ensembles hein ? Je te vois venir avec tes arguments mais écoutes les miens ! » Je la relâche croise les bras sur mon torse, et reprends « Je vais te le dire : je suis mafieux. J'aime tuer des gens, et j'aurai bien pu te tuer mais je ne l'ai pas fait, tu dois savoir pourquoi. Il y a tellement de choses que tu dois savoir sur moi, et pour ça vis chez moi, qui sera aussi chez toi. T'auras des gouvernantes, des bons petits plats, et je te donne même la plus grande chambre de la villa. » Je ne sais pas ce qui me pousse à vouloir habiter avec elle, mais j'avoue que l'idée est plutôt tentante.
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Revoir Phoenix après les récents évènements qui avaient pu se produire dans nos vies, ne me mettait sérieusement mal à l'aise. A croire que c'était devenu une habitude à chaque fois que je le croisais. A priori, il voulait acheter la villa et je le voulais aussi. Sincèrement. Cependant je ne voulais pas me battre avec lui et encore moins devoir lui parler pour négocier la maison. S'il la voulait autant que moi, il n'avait qu'à la prendre. Je ne voulais pas être difficile et j'étais bien trop terrifié par la personne qu'il était, la personne qui été apparu à mes yeux, récemment. Je m'isolais alors dans une salle à côté de la cuisine, je respirais profondément et passais mes deux mains dans mes cheveux. Et j'entendis sa voix, j'entendis sa voix se dégager dans les airs et j'eu des frissons. Sa voix avait beau être envoutante, il n'en restait pas moins une mauvaise personne. Je ne répondis pas à sa première pique, le laissant parler puisque c'est ce qu'il voulait. Je restais de dos à lui, bien décidé à ne pas le regarder dans les yeux, cependant je sentis ses mains se poser sur mes épaules, me retourner et son regard se plonger dans le miens. Je déglutit alors difficilement puis secouais négativement la tête, m'éloignant de lui. Vivre ensemble ? Avait-il simplement perdu la tête, était-il devenu fou ou l'avait-il toujours été ? J'arquais un sourcils suites à ses paroles, je n'avais pas envie de lui répondre, mais soudainement une rage s'empara de moins et me donna le courage nécessaire pour faire ce qui était juste. Vivre avec toi ? Tu rigoles j'espère ? Jamais je ne vivrais sous le même toit d'un tueur, qui prends plaisir à tuer ses victimes. J'avais même le courage de m'approcher de lui et de le regarder droit dans les yeux. Je me demande sérieusement pourquoi tu ne m'as pas encore tué. Quoi ? T'essaye de faire bonne figure peut-être ? Laisse moi rire, tu n'as pas de coeur. Je soutenais son regard, et j'étais tout aussi impassible que lui. Puis me rendant compte de la faible proximité entre nous, je repris mes esprits et recula de nouveau avant de lâcher. Je te laisse la maison, fait tout ce bon il te semblera. Je ne vivrais jamais avec toi. Je tournais les talons, me remettant de dos à lui, signant la fin de la conversation et je l'espérais, son départ de cette pièce.
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J'étais pourtant sûr qu'elle accepterait et je ne comprends pas pourquoi elle passe autant de temps à me repousser, je lui fais autant peur que ça ? Pourtant elle sait que Leevy est mafieuse, et d'après mes sources elle lui parle toujours, alors pourquoi autant de haine à mon égard ? Heureusement qu'elle ne sait pas que je suis le frère de Leevy sinon elle me détesterait encore plus. Ces paroles sont comme un coup de couteau dans le coeur, mais je ne réponds pas, mais je ne peux pas non plus la laisser me filer entre les doigts. Je sais l'effet que je lui fais, comme je sais l'effet qu'elle me fait. Je ne suis pas le genre à aimer quelqu'un, je suis encore moins le genre à m'attacher et pourtant je n'arrive pas à sortir cette future Dunster de ma tête, idiot je sais, je le vis assez mal comme ça. Elle quitte la pièce, je sais qu'elle ne veut pas que je la suive, mais je m'en fiche bien de ce qu'elle veut. Je l'attrape par le poignet et l'oblige à me faire face, elle se débat sans grand étonnement mais je reste de marbre. « J'aurais pu te tuer depuis longtemps t'as raison mais je ne l'ai pas fait à savoir pourquoi.. » Je soupire alors, et détourne rapidement les yeux, les posant ainsi sur l'horizon qui donne sur mon futur jardin. Je suis incertain, et surtout incohérent dans mes propos et mes pensées, je suis lunatique c'est vrai. « Tu veux jouer les femmes fortes, mais tout ce que tu arrives à prouver c'est ta faiblesse. J'aime tuer des gens ouais, comme plusieurs personnes sur cette terre dont tu ignores même l'existence. Alors au lieu de t'enfuir comme une victime grandis ! » Je lui adresse un dernier regard et quitte la pièce dans laquelle nous nous trouvions, montant à l'étage rejoindre les deux agents immobiliers laissés comme deux imbéciles dans une chambre. Ils n'ont pas bougé de leurs places respectives et ressemblent encore plus à deux abrutis finis. Je secoue la tête pour ôter mes mauvaises pensées et dis « J'achète la villa. Vous pouvez commencer à chercher une nouvelle demeure pour votre cliente. » J'avais prononcé cette dernière phrase à l'égard de l'homosexuel. Ce dernier me fait un sourire, que je ne lui rends pas, je manque de politesse et ça ne date pas d'hier. « Très bien allons signer les papiers. » dit mademoiselle blondasse.
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N'importe où je pouvais me rendre, j'avais l'impression de ne jamais échapper à ces histoires de mafieux. J'étais constamment suivit par mes démons et peut-être qu'au fond c'est ce qui me faisait le plus peur. Phoenix me terrifiait bien entendu, mais ce qui faisait me faisait d'avantage peur, je n'avais pas envie d'être mélangé à toutes ces histoires, même si dans un sens je l'étais déjà. Peut-être un peu moins depuis que j'avais légèrement pris mes distances avec Leevy et de toutes les personnes que je connaissais, mais je sentais tout de même que j'avais un pieds dedans, et ça me fichait la chair de poule. J'écoutais alors les mots que le jeune homme avait à me dire. C'est ce qu'il pensait vraiment de moi ? Que j'étais une faible, une bonne à rien qui n'est là que pour se faire passer pour une victime ? Si je ne m'étais pas contrôlé, je lui aurais volontiers mis la main au visage, mais je n'en fis rien. Sans nulle doute qu'il ne valait mieux pas que je fasse quelque chose dans le genre. Je ne m'éloigne pas comme une victime. Je m'éloigne de toi ! Je le laisse alors tourner les talons puis je sers les dents, à bout de nerfs, je décide finalement de sortir de la maison, légèrement rageuse alors que lui se dirigeait à l'étage. Sans nulle doute pour dire qu'il achetait la maison. Je monta alors dans ma voiture et démarra en trombe, j'allais rentrer à la Dunster House, et rester dans ma chambre étudiante s'il le fallait, mais jamais ô grand jamais, je ne vivrais avec Phoenix. Cependant même si je pensais sincèrement ça, le destin en avait visiblement décidé autrement. Lorsque je me garais en face de la maison étudiante dans laquelle je me trouvais, j'y vis de grandes flammes. Des flammes terribles qui dansaient avec le vent qui s'engouffrait dans la pièce. Le spectacle été macabre et beaucoup d'élèves me criaient de faire demi-tour, mais je devais être sûre. Je m'engouffrais dans le bâtiment et me rendit compte que la chambre qui était en feu, c'était la mienne.
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Les papiers ont été vite signés, en même temps j'ai mis une légère pression à mademoiselle blondasse pour pouvoir occupé cette magnifique villa meublée ayant par le passé appartenu à un riche milliardaire. Je ne vous cache pas non plus que j'ai passé une excellente nuit en compagnie de la blonde, son tailleur n'a pas fait long feu, encore moins sa petite chemise, ses lunettes et ses sous-vêtements. Bref, je ne vais pas m'attarder sur elle, surtout que je ne me souviens même plus de son prénom.. Mary..Mathilde..Maryse.. Oh et puis zut, je m'en fiche. Au petit matin je lui propose juste un café et la mets presque à la porte, elle s'attendait sûrement à une nouvelle nuit, ou bien passer la journée avec moi mais je m'en fiche royalement je n'ai pas de temps à lui accorder. Mes hommes viennent à 10 heures tapantes m'apporter mes affaires, et mes nouvelles gouvernantes se pointent une demi-heure plus tard afin de tout ranger, ce qui me réchauffe le coeur. Pour prouver que j'ai quand même bon coeur, je leur ai réservé une chambre à l'étage, c'est la plus petite de la villa, d'autant plus pour deux personnes, mais elles ont leur lavabo rien qu'à elles, qu'elles s'estiment heureuses. A midi je commande chinois et déguste mon repas en lisant le journal, surpris de voir que la maison des Dunster a brûlé, je me dis alors que c'est bien fait pour Poppy, à tel point qu'un sourire se dessine sur mes lèvres. Douée comme elle est, elle a sûrement dû se perdre dans la montagne, ouais après les bois il faut viser plus grand, et cette fois c'est une gorille qui a essayé de la violer. Comme un con je souris de façon sarcastique. Alors que j'apporte à mes lèvres une nouvelle bouchée, en sonne à la porte. Je me lève de mon haut tabouret, sachant parfaitement que mes gouvernantes ne vont pas ouvrir, les ordres sont clairs : moi seul ouvre la porte. J'ouvre donc cette dernière et suis face à Poppy. Je ne sais pas où elle a dormi mais..elle est jolie. Je hoche de la tête pour me forcer à arrêter de la complimenter et lui fait un sourire narquois « T'es chez moi ici. Dégages. »
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Une partie de la Dunster House de brûlé et me voilà à la rue. J'avais du m'arranger et j'avais finalement dormi dans ma voiture. J'avais les cheveux en bataille, j'étais dépité et j'avais perdue la moitié de mes affaires dans l'incendie. Encore une anecdote de plus de merde dans ma vie, une à rajouter à ma longue liste. A huit heures du matin j'étais déjà réveillé, j'avais froid et j'avais surtout super faim. J'aurais finalement du me battre pour vivre dans cette somptueuse villa que j'avais décidé de laisser à l'Eliot. J'attrapais alors mon téléphone et contactais toute les personnes qui pourrait éventuellement m'héberger en attendant la réparation de la Dunster House. Mais aucun n'était disposé à me recevoir, probablement parce que j'avais pris des distances avec chacun d'entre eux. Une dernière solution me vint alors à l'esprit, mais je trouvais moi-même que c'était une mauvaise idée. Tant pis, il fallait que je tente. J'allumais alors le moteur de ma voiture puis je me dirigeais jusqu'à la villa que j'avais visiter la veille. Après l'altercation avec Phoenix, je doutais fort qu'il accepte de m'héberger et encore moins que je veuille vivre sous le même toit que lui. Mais je n'avais pas d'autres solutions et même si ça me faisait chier, je n'avais pas envie de dormir dans ma voiture tout les soirs. Une fois arrivé sur la propriété, j'inspirais profondément puis je me contempla un instant dans le rétroviseur. J'étais affreuse, je rajustais un peu mes cheveux et passa un coup de brillant sur mes lèvres puis je sortis de ma voiture et vint toquer à la porte du jeune homme. Pas surprenant, il m'envoya balader, et pas de la meilleure des manières qui soit, je levais alors les yeux aux ciels, dépité par son comportement. J'avais assez de courage pour lui dire que j'avais besoin de son aide, même si ça faisait mal à mon orgueil. Je suppose que tu es au courant de ce qui s'est passé. Ecoute j'demande pas la lune, juste que tu m'héberges quelques nuits chez toi, je partirais aussi rapidement que possible. Je le regardais de mes yeux noisettes, plongeant mon regard dans le sien et mordant légèrement ma lèvre inférieure. J'avais besoin d'un toit et il était tout à fait apte à m'en fournir un. Je ne lâcherais pas le morceau, j'étais déterminé et l'air qui été placardé à mon visage le montrait parfaitement.
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Face à Poppy, je me demande si elle me prend pour un idiot, en ce moment c'est le comble. Elle m'explique sa situation et je la fixe, regard noir et un sourire dessiné sur mes lèvres, sourire bien entendu sarcastique. Dans un sens heureusement que mon animal de compagnie n'est pas là, et qu'il est parti faire une promenade avec l'une de mes femmes de ménage, sinon je suis certain qu'il aurait déjà attaqué la brunette, sous mes ordres bien entendu. Je suis pourtant admiratif de son courage, effectivement elle ose m'affronter, ose me demander de l'héberger après la crise digne d'une gamine de cinq ans qu'elle m'a faite la veille. Je hoche négativement de la tête et croise les bras sur mon torse. Je sens une présence dans mon dos et lorsque je me retourne, je suis face à ma seconde gouvernante qui me signale de son absence étant donné qu'elle va rejoindre sa soeur et qu'ensembles elles vont faire les courses. En guise de réponse je lui dis « Faites attention à Apocalypse. » J'attends qu'elle monte dans le taxi et que ce dernier s'en aille pour reposer mon regard sur Poppy. « Donc la réponse est non. Ta demande est plus que la lune vue le cinéma que tu m'as fait hier. » Je marque une pause, et alors qu'elle veut répondre je la coupe net dans son élan et rajoute « Vas vivre sous un pont, je suis sûr que les clochards seront heureux de voir une aussi jolie fille parmi eux. Fais attention par contre qu'ils ne te baissent pas la culotte, je ne serais plus là pour te sauver. » De ce fait, je lui avoue mes actes de la dernière fois, c'est à dire le fait que je l'ai sauvé des griffes de cet énergumène. Je lui lance un regard de défi, elle ne va rien me faire et je ne veux même plus lui adresser la parole. Je voulais faire souffrir Leevy, mais je trouverais autre chose pour que ça soit le cas.
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J'avais fais un sacré effort pour mettre mon orgueil de côté et pour prendre mon courage à deux mains et venir demander l'aumône à un homme qui me terrifiait autant que le métier qu'il exerçait. Je le regardais, de la manière la plus inexpressive que possible, le regard froid, la mâchoire serré. Et aussi surprenant que ça ne le soit pas, il m'envoya bouler, juste après m'avoir ignorer totalement pour répondre à sa femme de ménage ou je ne sais quoi. Encore une nana qu'il allait probablement se faire, soit, tant mieux pour lui. J'avais mes mains posés sur mes hanches et j'observais Phoenix de mon regard noir. Jusqu'à ce qu'il dise des mots en trop. Il avait été blessant et ses paroles avait eu l'effet de plusieurs coups de couteaux. Mon visage se décomposa petit à petit et je baissais mon visage vers le sol. J'inspirais profondément, les mains légèrement tremblantes, j'avais la tête qui tournait et j'aurais aisément pu tomber dans les vapes. Trop de stress et pas assez de nourritures dans mon organisme ne faisait pas bon ménage. J'étais toujours aussi maigre depuis cet été, et j'avais souvent des pertes de régimes. Mais qu'importe, ce n'était pas ça le problème. Le problème c'était les mots que le bleu avait dit à mon propos. Je le savais cruel et sans coeur mais j'avais tout de même eut une once d'espoir pour lui, je savais désormais que ce n'était plus le cas. Je redressais alors mon regard noisette après plusieurs minutes de silence, sans avoir parler. Je savais maintenant que c'était lui qui m'avait aidé dans la forêt, et rien qu'à l'énoncé de cette pensée, je me sentais mal. Je n'allais pas le remercier, il pouvait toujours rêver. J'inspirais alors profondément, le regard dénudé de toutes émotions, j'essayais de contrôler ma colère et je savais que Phoenix se doutait que je ne tenterais rien de dangereux avec lui. Il fallait croire qu'il se trompait amèrement. D'un coup, sans crier garde, je m'approchais de lui, légèrement menaçante puis après un long moment de silence, je laissais mon poing s'écraser en plein dans son nez avec une grande force dont je ne m'en croyais même pas capable. Je restais un moment silencieuse face aux mots " doux " qu'il pouvait déblatérer, puis je grimaçais et secouais ma main dans le vide. PUTAIN ! J'avais terriblement mal à cette dernière, mais qu'importe, je lui donnais un nouveau coup de poing dans la face. ESPECE DE DEBILE ! Je me contenais encore dans mes paroles.
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