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i want to reconcile the violence in your heart ▽ ponix

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Tout le monde sait que je ne suis pas réputé pour être gentil, et c'est pour cela que quand je vois Poppy sur le pallier de ma porte je ne veux pas d'elle. J'aime mes moments de solitudes, mes moments sereins, sans personne pour venir m'embêter, clairement. Et puis avec la comédie qu'elle m'a fait hier je n'ai pas non plus envie de l'inviter chez moi, c'est l'hôpital qui se fout de la charité. Donc je l'ignore avec finesse, pendant que je parle à l'une de mes gouvernantes qui va rejoindre mon autre gouvernante qui elle promène Apo. Je lui lance alors ces odieuses phrases, que je pense et que je ne regrette pas bien entendu. Mais je ne m'attendais pas à une telle réaction de sa part. Pourtant quand elle baisse les yeux, attristée, et que je sens son corps et son être qui se décompense je m'attends à ce qu'elle s'en aille, mais non elle lève les yeux vers moi, s'approche même de ma personne sans scrupule, et me frappe. Enfin frapper est un bien grand mot. Les coups j'en ai reçu et ceux de Poppy sont l'équivalent des coups d'une mouche..du moins c'est que je pouvais penser. Car elle a une force que je ne lui reconnais pas, alors je grimace, pose la main sur mon nez, et essuie le filet de sang qui coule. Dans un grognement je relève la tête, et elle me donne un autre coup, dans l'oeil. Demain le coquard m'attend. Je grogne encore plus, l'attrape par le côté de ses épaules et la soulève du sol. Je la jette ensuite sur le sol de façon à ce qu'elle se retrouve sur les fesses. Avant qu'elle ne se relève, je la mets sur mon épaule comme un sac à patates et la porte jusque l'intérieur de ma maison. « Tiens je vais te faire visiter ! » Elle se débat, me met des coups mais qu'importe je passe outre la douleur. Je claque la porte à l'aide de mon pied et commence la visite. « Là tu as le salon. » Mots à peine prononcés que je l'attrape par les jambes qui retombent le long de mon torse et la claque contre le carrelage tout en la relâchant. Elle est déjà faible mais là elle l'est encore plus. Je me fiche que ça soit une femme, qu'elle ait été traumatisé par le passé à cause des Russes dans la capitale française. Moi je vis le moment présent, et en ce moment elle m'énerve, à tel point que je suis obligé de riposter à ses premiers coups. Je sais que c'est gamin, mais c'est elle qui a commencé.
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Je ne savais pas quelle genre de relation j'entretenais avec Phoenix. Notre relation était assez bizarre et surtout électrique. C'était un mafieux, un grand méchant monsieur qui adorait le dire dès que l'occasion se présentait, et j'avais bien compris ça. Il ne voulait pas montrer la meilleure partie de lui et pourtant je savais qu'il en avait une, même s'il ne voulait pas l'assumer. Enfin du moins je savais qu'il en avait eu une dans le passé, peut-être n'était-ce plus le cas ? Je l'avais vu torturer, détruire, briser des personnes sans scrupules et dans un sens j'avais été terrifiée et je suis sûre qu'il le savait aussi bien que moi. Aussi quand décida de me briser, je ne fus presque pas choqué de cette initiative. Bien sur ça faisait mal d'entendre des mots de la sorte, d'autant plus que c'est lui qui m'avait fait sortir des bois et qui avait bousculé mon ravisseur. Et lorsque mon poing s'écrasa sur son visage, je ne pouvais dire à quel point je m'étais bien sentie et à quel point je me sentais libéré. Bon, frapper les gens ce n'était pas dans mes habitudes mais il l'avait bien cherché et puis ça faisait un moment que j'avais envie de faire ça. Je savais néanmoins que je n'étais pas à la hauteur, c'était un mafieux et je n'étais que moi. Que Poppy. Je ne ferais jamais le poids face à sa technique de combat, mais au moins je m'étais défoulé. Et je pensais que nous allions en rester là, mais apparemment ce n'était pas le cas.  Il me poussa violemment sur le sol et je lui lançais un de mes regards noirs, dégoûtée puis il me souleva et me balança sur son épaule comme-ci je ne pesais rien et comme-ci je n'étais même pas une personne vivante. Je serrais les dents, me retenant par la même occasion de l'insulter puis je plissa le nez, d'humeur désagréable. C'est à ce moment là qu'il me plaqua beaucoup plus fort sur son sol, je grimaçais alors en le percutant, fermant les yeux un court instant pas réflexe. Puis lorsque je reposais mes yeux noisette sur le jeune homme et que je me trouvais toujours au sol, avec mon pieds je vins le frapper entre l'entrejambe avec une puissance que je ne me connaissais pas. Magnifique pièce que le salon. Je me relevais alors rapidement, je ne voulais pas rester vulnérable allongée par terre. Je m'approchais de lui et avec mon talon je vins lui écraser le pied, enfonçant ce dernier profondément puis en l'attrapant, je le fis légèrement se pencher en avant et dans ma foulé avec mon genou je vins lui frapper dans l'abdomen. J'aimerais bien voir la cuisine. Je souriais faussement et avant qu'il ne se remette des coups que j'avais pu lui donner je couru en direction de la cuisine, attrapant un couteau au passage, j'avais ouï dire qu'on pouvait mieux se défendre avec une arme blanche.
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C'est fou le plaisir que je prends à torturer Poppy. L'atterrissage qu'elle fait lorsque je la jette résonne dans un bruit énorme dans toute la pièce, je jubile et je n'ai qu'une seule envie la remettre sur mon épaule, et lui présenter le carrelage blanc de ma merveilleuse cuisine, qui aurait pu être la notre, je l'avoue. Cependant, je ne m'attends pas à son coup de talon dans mon entre-jambes. « Ouuuuh mes boules putain ! » Parce que oui ce n'est pas le sexe qui nous fait mal à nous les hommes mais notre paire de noix de cocos. Je mets les mains sur mon entre-jambe pour appuyer au niveau de la douleur, parce que croyez le ou non un coup de talon là où il ne faut pas fait toujours mal peu importe l'intensité. Le fait qu'elle m'écrase le pied ne me fait pas mal, enfin rien comparé à mon autre douleur. Mais son coup de genou dans l'abdomen me fait légèrement souffrir, je grogne alors et me sers le ventre pour reprendre mon souffle. Elle veut visiter la cuisine, or c'est exactement mon idée, je souris alors en la voyant courir comme une gamine, je sais qu'elle a peur, qu'elle sait ce dont je suis capable mais ça ne sert à rien de courir, je l'ai bien retrouvé dans les bois alors qu'elle jouait à la belle au bois dormant. Je pousse un long soupire et d'un coup me remet droit, et marche d'un passe assuré dans ma belle et spacieuse cuisine. Poppy a attrapé un couteau ça me fait sourire vraiment, davantage puisqu'une arme blanche n'a aucun effet face à une arme à feu, or elle doit savoir que j'en ai toujours une sur moi. Je m'approche d'elle, me fichant bien du couteau qu'elle tient dans sa main, elle le tend dans ma direction, mais peu importe. Je l'attrape au niveau de la gorge que je sers, et la claque contre le mur, la soulevant de sa hauteur, elle me laisse une égratignure avec son couteau, mais j'attrape ce dernier et le jette sur le sol. « Oh, mais ce n'est pas très gentil ça ! » Il me suffit de serrer un peu plus sa gorge pour lui couper la respiration, l'envie est tentante, à tel point que je fais une dernière pression puis la jette le long du couloir qui mène jusqu'aux escaliers. La brunette est au sol, et mon bras légèrement coupé ne me fait même pas mal. Je sors mon flingue, et le tends dans sa direction. Je tire deux balles, une à sa gauche, et une autre à sa droite afin de lui faire peur. Je cours à sa hauteur, me met accroupi et met l'arme en dessous de son menton prêt à appuyer sur la gâchette. « Je peux te tuer Pop'. » Je fais un sourire machiavélique, et jette mon arme loin de nous deux. « En fait je ne peux pas, je n'ai plus de balles dans ce flingue. » Dans un haussement d'épaule je la relâche, et quitte le couloir pour faire mine de me rendre dans la cuisine afin de laver mon bras ensanglanté, avant de rentrer dans la pièce je me retourne au dernier moment et fonce vers Poppy, la prenant comme toute à l'heure, comme un sac à patates. Je monte les escaliers en direction de la salle de bain. Et une fois arrivés, je la mets dans la douche et fait couler de l'eau glacée sur sa peau, pour ensuite lui infliger de l'eau brûlante. Mais je reviens à l'eau glacée, je ne veux pas qu'elle meurt non plus.
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Je n'avais pas l'habitude de me battre, et j'étais médiocre dans les combats au corps à corps, ça n'avait absolument rien à voir avec un mafieux qui exercé ce métier depuis des lustres. Leevy m'avait un peu appris les bases, les coups bas qui peuvent faire mal, mais on ne pouvais vraiment pas dire que j'avais du talents dans ce genre de choses. J'étais bien plus douée à réviser, tranquillement chez moi. Alors que je frappais Phoenix à l'entre-jambe, je profitais de ce petit moment de faiblesse de sa part, pour me redresser rapidement et m'enfuir loin de lui en direction de la cuisine. Bien que mes répliques été du genre à montrer que j'avais confiance en moi, ce n'était pas du tout le cas. Et je me doutais qu'il savait que j'étais terrifiée, mais que je faisais tout pour ne pas le montrer. J'étais sereine, j'essayais d'être calme et faire preuve de panache, d'assurance et de confiance en moi. Chose qui n'était pas vraiment aisé, il fallait l'avouer. Lorsque j'arrivais alors dans la cuisine, j'attrapais rapidement un couteau, et observait les meubles autour de moi. Zen, soit zen et concentre toi, Poppy. Je déglutit alors lorsque le jeune homme me retrouva bien rapidement. Il plaisanta du couteau lamentable de cuisine que j'avais dans les mains et ne mit que quelques secondes à sortir son arme à feu. J'eu alors un mouvement de recul, défiant Phoenix du regard, voyant s'il allait me tirer dessus. Puis il vint serrer mon cou, tout en me soulevant du sol, comme-ci je ne pesais rien. J'agrandis alors mon port de cou, mes yeux noisettes fixant ses yeux sombre de haine, suffoquant légèrement à la prise qu'il avait sur moi. Je ne dirais rien et avec mon couteau, du mieux que je pouvais je lui entaillais le bras afin de le faire vaciller. Mais rien ne se passa, c'est comme-ci je ne l'avais même pas touché. Il me balança alors de nouveau au sol et tira deux balles particulièrement proches de mon visage. Je fermais alors les yeux par réflexe. J'étais épuisé, et je me sentais faible, et je détestais ça. Je suis sûre que tu trouveras quelque chose. Je l'observais avec toute la méchanceté qu'il m'était possible d'avoir puis il me relança sur son épaule et m'amena à l'étage où une douche bien glacé puis bien brulante m'attendit. Je grimaçais, c'était une torture, c'était affreux. AAAAHHH Lâche moi ! Je griffe son bras, je ne vois pas ce que je pouvais faire contre lui. il avait la carrure d'une armoire à glace et moi j'étais... Moi.
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Les coups que Poppy me met, ne me font rien pour ainsi dire. Même si j'avoue que celui dans l'entre-jambe ne m'a pas fait du bien. En revanche je ne sens pas mon bras ensanglanté, et je suis plutôt content que l'eau de la douche, dont je change la température au gré des mes envies, le désinfecte. Elle griffe mon bras et je me mords la lèvre inférieure, parce que oui je trouve cela sexy malgré tout, même si ça ne me procure aucune douleur. Je ne veux pas tuer Poppy, ah ça non ! Je ne veux pas non plus trop la blesser car dans un sens je me ferais du mal à moi-même. J'avoue que c'est bizarre et que je me sens ridicule, mais mes ailes de diable ont fini par brûler même si normalement les enfers et le feu ne font qu'un.. Enfin.. Je coupe l'eau et souris en voyant la brunette trempée jusqu'aux os, elle doit avoir chaud, ou froid je ne sais même plus à force d'avoir joué avec l'eau. Je la remets sur mon épaule comme un sac à patates et dis en quittant la pièce « Là tu viens de visiter l'une de mes salles de bain » Elle me met toujours des coups mais je passe outre. J'ouvre la porte juste à côté et lance « Là c'est mon dressing. J'ai pleins d'habits t'as vu. » Je tourne sur moi doucement espérant lui donner légèrement le vertige, à supposer qu'elle regarde le sol. Je quitte la pièce, et en fermant la porte je fais en sorte que cette dernière frappe le sommet de la tête de Poppy. Je marche dans le long couloir, ouvre une porte et suis dans mon bureau mais ce n'est pas intéressant, alors je ne m'attarde pas. Ensuite je lui montre la plus petite chambre de la villa avec sa douche et son vasque malgré tout. « Le coin coin de mes domestiques. Charmant ? » Et tout aussi rapidement que je suis entré je quitte la pièce, je ne veux pas briser leur intimité. Je lui présente alors les dernières pièces de la maison tout en passant vite, et je termine par ma magnifique chambre située à côté de mon dressing. Je la jette sur le lit en la faisant passer par l'avant, elle rebondit sur le matelas mais ne tombe pas pour autant. Je souris, débilement. « Et ça, c'est ma chambre. » Je ne lui laisse pas le temps de se relever que je me mets à califourchon sur son ventre et attrape son visage que je sers avec..un mélange d'affection et de méchanceté. Je la relâche aussi tôt, et lui dis « Elle te plait, Pop ? »
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J'étais exaspérée, à bout de souffle, j'avais envie de tout lâcher, de crier, bref de tout péter quoi. Il me trimbalait sur son épaule, me balançait comme si je n'étais rien et mine de rien c'était plutôt fatiguant. Ce garçon me fatiguait, son boulot me fatiguait, sa conduite me fatiguait, en faite j'en pouvais clairement plus de lui. Mais qu'elle idée m'était passé par la tête lorsque je lui avais fichu mon poing dans la figure ? C'était évident qu'il allait riposter puissance 20 000. Il s'amusait à me brûler la peau et à me la refroidir, quel genre de psychopathe pensait à faire ça ? Je lui criais de me lâcher même si je savais que ça ne servait à rien de lutter contre cette armoire. Jm'en fou de ta salle de bain ! Lâche moi ! Je le voyais me reprendre sur son épaule pour me balader de nouveau comme-ci j'avais un poids plume. A force d'être baissé, la tête pendue dans le vide, le sang commençait à me monter à la tête et autant dire que ce n'était pas agréable du tout. Il me transporta dans toute sa maison de la sorte, me montrait les nombreuses pièces que cette immense villa pouvait contenir, ça me dépitait un peu plus à chaque secondes, le fait de tourner en rond de la sorte me mettait encore plus mal à l'aise et je lui aurais volontiers dit FERME LA ! Chose que je fis bien évidemment. Il me frappa la tête contre un mur, me gardant sur son épaule, et quand vint la dernière pièce, il me balança sur son lit, ce qui me fit rebondir. Tu sais vraiment pas décorer une maison, c'est affligeant. Je le fixais de mon regard noir, prête à me redresser pour mieux partir en courant, chose que je n'avais pas le temps de faire puisqu'il se plaça à califourchon au dessus de moi. Je grimaçais, j'avais juste envie de m'enfuir et de ne jamais revenir. Il me serrait encore le visage, je secouais alors violemment mes jambes, essayant de lui donner des coups. J'étais trempée, mes cheveux été plaqué contre mon visage, mes vêtements tiède collé à ma peau, je me sentais de plus en plus mal. Lorsque je compris qu'il ne servait à rien que je me débatte alors qu'il ne bougeait pas d'un pouce, je posais mes iris foncés dans les siennes, la mâchoire crispé, le regard un peu plus sombre à chaque instants. Tout portait à croire que je voulais qu'il me relâche immédiatement.
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Poppy n'a pas apprécié le petit tour gratuit de ma magnifique villa. En même temps c'était le but, je ne veux pas d'elle dans ma demeure, qui voudrait en fait ? Je n'ai même pas écouté ses remarques quand elle me les as dites, ni sa vulgarité qui de façon plus polie voulait dire que je devais me taire. Bien sûr je n'ai rien fait de tout cela, je n'ai d'ordre à recevoir de personne, encore moins d'une crevette, aussi mignonne soit-elle, comme la jeune Silver. Elle critique mon goût de décor, alors que théoriquement la villa était déjà décorée avant l'achat, j'ai juste ajouté ma touche personnelle. Comme un gamin je lui tire une mèche de cheveux « Ce n'est pas très gentil de dire ça. » Elle me rue de coups avec ses jambes, ses genoux claquent dans mon dos et à force ça me fait mal. Je pose mes mains sur ses épaules et appuie pour l'enfoncer dans le lit et lui faire comprendre qu'elle doit arrêter. Mais elle ne fait rien, et pose son regard noisette dans le miens gris-vert. Aucun de nous deux ne parlent. Nous restons figés, et j'entends mon coeur échapper un battement, et battre de plus en plus vite. J'ai des électrochocs dans le ventre qui me prédisent que quelque chose de mauvais est entrain de se produire. De part mon contact avec la demoiselle, j'arrive à sentir ses pulsations qui sont tout comme moi, plus intenses. Soit parce qu'elle a peur, soit parce qu'elle..je ne veux même pas y penser. Je fais une quinte de toux, détourne les yeux et lâche Poppy en me posant sur le bord du lit. Tête haute, malgré la gêne qui s'empare de moi je lui lance « C'est bon tu peux partir, j'en ai finis avec toi. » Bien sûr dans un sens c'est vrai, la pauvre est tellement brisée que si je continue de la battre je vais vraiment finir par la tuer. C'est l'une des raisons. Simplement avec la scène qui vient de se produire je préfère qu'elle quitte les lieux, même si j'avoue que lorsque j'étais à califourchon sur elle, je n'avais qu'une seule envie : l'embrasser. Et rien que d'y repenser ça me fout le moral à plat, je ne peux pas éprouver ça pour une fille, j'ai déjà une haine sans limite pour ma soeur, je ne peux pas m'autoriser à éprouver quelconque sentiment pour sa meilleure amie. Je croise les bras sur mon torse musclé, attendant que Poppy quitte enfin les lieux.
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Je ne pouvais plus me battre avec Phoenix, je n'en avais tout simplement plus la force. La bouche tordue en une drôle de moue, j'observais le jeune homme qui été à califourchon au dessus de moi et qui me maintenait fortement. Comment voulez-vous vous échappez d'une emprise pareille ? Soupirant alors de manière désagréable, j'arrêtais de secouer mes jambes lorsque je me rendis compte que ça ne servait à rien de me débattre de la sorte. Je suis réaliste. J'affichais alors un de mes plus faux sourire tout en continuant à le regarder de mes yeux pénétrant. Je sentais que quelque chose était entrain de se passer, que les papillons qui venaient d'élire domicile dans mon ventre été là uniquement à cause de Phoenix. Je grimaçais alors légèrement, le teint devenant un peu plus blafard à chaque secondes qui s'écroulait. L'alchimie passait et c'était comme quelque chose qu'on pourrait décrire " d'inévitable ". Ses yeux qui été plongés dans les miens me donnait des frissons, ses lèvres tremblantes m'obsédé et m'attirait irrévocablement. Et je me rendis compte à cet instant qu'il était plutôt pas mal et que si je ne le détestais pas, comme ça pouvait être le cas maintenant, j'aurais probablement pu tomber amoureuse de lui. Mais il n'en était rien, tout ce que je ressentais, en plus des papillons désagréables que je pouvais avoir, c'était que je lui portais une haine sans pareille. Il m'avait fait souffrir, et avait prit plaisir à le faire, ce genre d'attitude me perturbait, et me mettait dans tout mes états, bien que je n'osais pas l'avouer. Bien ! Je l'observais alors attentivement un court instants, puis je me redressais rapidement du lit, en position assise. Je l'observais une dernière fois, bien qu'il me tournait le dos, puis je secouais négativement la tête et je quitta rapidement la chambre. Courant dans ses longs couloirs, je pris la direction de l'escalier principal qui me permettrait de rejoindre la porte de sortie.
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Je lui demande de quitter les lieux, d'une part à cause de la scène qui vient de se produire et d'autre part parce que mes gouvernantes vont rentrer. Non en fait, je sais qu'elles seront là seulement dans la soirée, alors je n'ai pas à les attendre. Poppy se lève, quitte ma chambre et je l'entends descendre les escaliers. Je ne sais pas ce qui me pousse à agir ainsi, ni quels démons me propulsent à me lever de mon lit, et à dévaler les escaliers comme si je menais une course contre la montre. Mais je le fais, et me précipite vers Poppy. Cette dernière était sur le point d'ouvrir la porte, de quitter pour un long moment ma villa, et aurait dormi je ne sais où avec je ne sais qui et bizarrement je ne veux pas le concevoir. Je sens l'adrénaline monter en moi, mon coeur bat la chamade, mes pulsations se font plus rapides, et je sens les papillons qui volent dans tous les sens dans mon ventre. J'attrape Poppy par le poignet l'obligeant à me regarder, je pose une main sur sa joue froide, et mon autre main dans son dos afin de coller son corps en sucre contre le mieux en béton armé et m'autorise à poser mes lèvres contre les siennes. Je suis parcouru de frissons, l'adrénaline monte davantage, mon coeur va s'arrêter tant il bat vite, mes pulsations vont faire éclater mes veines et mon ventre va exploser à cause de ces foutus papillons qui volent dans tous les sens. Je ne sais pas ce qui m'arrive, ni le pourquoi du comment cette jeune femme me fait autant d'effet. Je suis supposé la détester, comme je déteste tout le monde, elle encore plus puisqu'elle côtoie  Leevy.. Mais voilà qu'elle fait naitre en moi cet homme que je ne reconnais pas, qui n'est pas moi ou peut-être mon moi profond, mais celui que je ne voudrais jamais être. Je ne lâche pas ses lèvres, et elle ne m'a même pas repoussée, à croire qu'elle aussi voulait ce baiser, voulait que l'on franchisse le pas, même si ça ne devait pas être écrit dans notre destin. J'entremêle ma langue à la sienne, lui mordille de temps à autre la langue, puis la lèvre. Mon baiser se veut fougueux, tendre et passionnel. Nous n'avons même pas le temps de reprendre nos respirations, tellement nos désirs prennent le dessus.
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Quelque chose d'inhabituel se passait en moi, quelque chose que j'avais ressenti il n'y a pas si longtemps que ça pour un autre garçon. Je ne savais pas ce qu'il m'arrivait, on aurait dit que je n'étais plus maîtresse de mes gestes, que je faisais quelque chose sans vraiment savoir pourquoi je le faisais. C'était une réaction inexplicable, et pourtant lorsque je m'étais dirigée en courant jusqu'à ma porte de sortie définitive, j'avais senti une main dur encercler mon poignet. Ca ne pouvait être que lui. Je ne vois pas qui d'autres aurait pu se propulser comme-ça sur moi, après tout nous étions tout seuls dans son immense villa. Il me colla contre son corps musclé, corps qui était dans mes pensées, je frémissais légèrement tremblante et osait quand même redressé mon regard noisette sur sa personne. Je mordis ma lèvre inférieur un court instant où nos regards s'échangèrent, scrutant l'autre comme-ci notre vie en dépendait. Je déglutis alors légèrement puis quelques secondes plus tard, nos lèvres s'étaient entremêlés et le désir qui montait en moi, était quelque chose que je n'avais pas ressenti depuis des lustres. Je ne me détachais pas de lui, bien trop omnibulée par le goût de ses lippes qui me firent me coller d'avantage contre lui. Mes mains montèrent jusqu'à sa nuque puis dans ses cheveux, je manquais probablement de souffle mais je m'en fichais, le premier baisé que je partageais avec Phoenix, valait plus que le coup. Je me laisse alors - dans ce que je sais -, être mes ténèbres, puis pris d'un désir irrésistible, je prends de nouvelles initiatives. Dans la folie de nos bouches qui ne font plus qu'un, je saute sur lui, enroulant promptement mes jambes autour de sa taille, rendant le baisé un peu plus fougueux au fur et à mesure que les secondes s'écoulaient.
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