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EMRYS † je crois que c'est mieux si je t'évite quelque temps.

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Votre échange par sms avait été assez intense pour l’un comme l’autre enfin c’est ce que tu te disais. Certes les sms d’Emrys t’avais fait énormément plaisir, énormément du bien mais tu ne savais que trop quoi en penser. Emrys était assez lunatique comme jeune homme et il n’était vraiment pas sûr de lui. Il se voyait toujours comme un virus ambulant par son entourage alors que toi tu le voyais comme un sauveur pour ta personne. Sans lui, il y a peut-être bien longtemps que tu ne serais plus à Harvard ou peut-être plus de ce monde. C’est votre rapprochement qui t’as fait réellement prendre conscience que la drogue était une merde qui te consumait à petit feu. De plus, les sentiments naissant en toi pour la personne d’Emrys te faisaient un bien énorme et tu ne pouvais pas le nier. Alors, quand il te regardait avec ses magnifiques prunelles, qu’il se rapprochait de toi tu étais obligée de fondre tu ne pouvais que te donner à lui. Votre échange de paroles mais surtout de regard et de sourire atteignait son apothéose lorsque ses lèvres brûlantes de désir venait s’unir aux tiennes. Passant une main sur sa nuque tu prolongeais un instant le baiser avant qu’il ne s’éloigne un peu de toi pour garder tes mains dans les siennes avec un sourire aux lèvres il te demandait si dès à présent vous pouviez parlez d’un vous et plus d’un Emrys et Grace. Tu souriais quelque peu timidement. « J’en ai pas envie Emrys, j’en ai besoin c’est bien plus fort que mon envie. » Tu déposais un tendre baiser sur ses lèvres avant de te recoller au mur. « Moi qui ne voulais pas être en retard ce matin. » Tu rigolais doucement, le regardant.
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Et j'avais comme l'impression de ne plus etre un monstre, dans ses bras, je me sentais homme, je me sentais bien, j'étais un homme bien et c'est aussi pour cela que je l'aimais car à son passage, tout devenait rose, tout devenait beau. Un sourire sur mes lèvres, je collais la fille de mes rêves contre ce mur froid pour embrasser ses lèvres et prendre conscience de la chose. Je sentais son envie d'etre avec moi par ses mains qui me gardaient auprès d'elle prolongeant alors notre baiser passionné et je comprenais a quel point j'aimais la demoiselle, mon coeur battait plus fort que jamais, me rendant une seconde vie puisque mon esprit semblait se libérer. Un baiser tendre et fou, nous nous reculions tout en gardant cette intense proximité alors qu'elle me rendait fou m'avouant aisément que c'était un besoin, un besoin de m'avoir près d'elle et je souriais d'une façon plus que débile, lui répondant dans un murmure : tu es mon héroïne Grace, je crois que j'ai trop longtemps voulu me le cacher ... Ouais, encore plus, ces derniers temps, j'avais compris qu'elle était comme une drogue meme dans nos disputes, je la voulais, je voulais sentir son parfum enivrant, sentir son corps sous mes mains agiles. Elle eut un sourire émouvant qui me fit presque sauter de joie intérieurement. Un doux baiser, elle recula dans une joie folle pour je suppose elle aussi réaliser en se mettant contre le mur me disant qu'elle avait décidé de ne pas etre en retard mais je m'avançais, venant me coller à elle, embrasser doucement son cou, remontant doucement, redescendant pour parsemer ce cou offert de tendre baiser puis je lui dis à l'oreille : Tu es certaines de vouloir y aller ? Dis-je en faisant une moue d'enfant tout comme dans la voix comme pour l'attendrir, prenant sa main pour montrer mon envie de passer du temps avec elle, main dans la main et profiter.
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Cet homme était une véritable drogue pour toi mais comparé à toutes les autres drogues que tu avais pu prendre jamais celle-ci ne te mettrais aussi bas. Tu savais que tu ne pouvais qu’être heureuse avec Emrys en réalité tu le savais depuis bien longtemps mais tes conneries vous aviez empêché de poursuivre votre idylle naissante mais aujourd’hui rien n’y personne ne pourrait tout faire capoter et tu en étais certaine. Alors que vous échangiez quelques baisers, tu te collais au mur afin de le regarder tout simplement. De regarder celui que tu pouvais maintenant appeler TON homme en réalité c’était pas mal jouissif. Tu souriais rien qu’à cette pensée avant de réaliser qu’il fallait que tu ailles en cours mais Emrys en avait décidé autrement et il te retenait par de délicieux baisers dans le coup auxquels tu étais totalement faible. Souriant, tu écartais doucement sa tête. « Si je suis en échec scolaire tu pourras t’en mordre les doigts. » Tu riais avant d’attraper sa taille pour venir te coller assez violemment à ton corps afin de l’embrasser une dernière fois. « Tu veux qu’on aille où ? » Tu le regardais avec un petit sourire en coin.
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Je m'étais rapproché d'elle comme pour qu'elle ne puisse fuir et partir en cours. En effet, je voulais rester ici avec elle ou surtout bouger et vivre mes premiers instants de couple avec elle surtout que j'ai trop besoin d'elle, de me rendre compte de tout ça. En rigolant, elle essaya de me faire retrouver la raison en me disant que si elle était en échec se serait de ma faute en quelques et je souriais en tripotant sa chevelure comme on le ferait à un enfant qu'on veut embêter. Là, elle vint se coller contre moi en me demandant ce que je voulais faire. Je souriais de voir qu'elle était d’accord et laissant ma main glisser dans le creux de ses reins, je nous séparais et prit sa main pour marcher. Ça faisait tout bizarre de pouvoir tenir sa main et de voir le regard de quelque personnes sur nous. Ouais, je tenais la main de Grace St-James comme au bon vieux temps ! Je lui répondais alors d'un air très romantique : Je vais te rappeler de bon souvenir en te préparant le plat que tu aimais tant que je te fasse ... en somme, allons chez moi princesse ! Dis-je en attrapant son visage pour embrasser sa joue avant de poursuivre notre marche jusqu'au parking. Là, je pris mon casque et le lui donnait ; l'avantage de la moto, tu vas pouvoir continuer à tripoter mon corps de Dieu ... dis-je en jouant les blagueurs.
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Tu étais avec lui et c’est tout ce qui comptait pour toi. De plus, tu étais fière de pouvoir marcher à son bras, Eugène allait être mort de jalousie quand il allait tout savoir et tu n’avais qu’une envie c’était de courir voir ton meilleur ami pour lui raconter ton bonheur mais avant tout tu voulais tout simplement passer du temps avec Emrys, avec TON Emrys. Tu prenais alors sa main en souriant pendant qu’il te disait ce que vous alliez faire. « Tu veux me faire grossir ? Tant fais pas dans quelques mois je le serais. » Tu riais doucement alors que vous marchiez main dans la main jusqu’à la sortie de la faculté et vu les regards de vos camarades cela paraissait assez choquant de vous voir ensemble mais rien à foutre, tu resserrais doucement tes doigts dans ceux d’Emrys pour l’avoir encore plus près de toi mais aussi pour réaliser qu’il était bel et bien là. Arrivée à sa moto, il te donnait un casque alors que tu chevauchais sa moto juste après lui. « Restes concentrés même si je te caresse je ne veux pas mourir. » Tu déposais ta tête contre son dos, tes bras entourant fortement sa taille et tu laissais ton chéri démarrait son bolide.
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Apparemment, c'était parti pour un nouveau tour; elle et moi, Grace ma beauté, ma princesse voulait à nouveau de moi pour mon plus grand bonheur et qu'était il alors que sa main venait rejoindre la mienne, immense. Je me réjouissais de cela voulant déjà la rendre folle, me rendre romantique comme surement avant j'avais eu du mal, on devait limite me forcer et je tirais la gueule en faisait les choses mais comme elle, j'avais évolué. Avec humour, elle me demanda si j'avais fait le choix de la faire grossir et je riais avant de taper sur ses fesses en disant : Peu importe comment tu es tu restes une beauté de toute façon ! Nous avions rejoins ma moto et je commençais à penser à faire un crédit et utiliser une grosse part pour payer au moins la moitié d'une voiture pour ne pas la mettre en danger et surtout, l'accompagner quand je voulais, l'emmener quoi parce que le mois prochain déjà, la moto serait encore plus dangereuse et interdite de toutes les manières. Un investissement décidé et quand elle prit le casque pour le mettre tout en montrant qu'elle voulait pas perdre pieds, je repris la parole touchant son visage : Je comptais investir dans une voiture de toute façon parce que faut le dire c'est trop dangereux pour vous la moto ... Je grimaçais, honteux d'infliger ça à la mère de mon enfant, grimper sur un engin aussi dangereux. Je grimpais avant de l'aider d'une main à monter derrière moi puis je lui disais d'une voix douce : Tiens moi quitte à me faire mal et tu me tapes l'épaule si tu te sens pas bien ok ? Une voix protectrice, montrer que j'étais là pour elle, c'est tous ce que je voulais. Je démarrais allant à une vitesse tout à fait normal mais voulant arriver rapidement. Nous arrivions devant chez moi quelques minutes plus tard.
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Emrys et toi c’était reparti pour un tour mais cette fois-ci ce n’était pas reparti pour une relation aussi furtive que la dernière fois. Cette fois-ci tu étais sûre de ce que tu faisais, tu le faisais sainement, ton esprit n’était pas obscurcit par tout un tas de conneries tel que la drogue ou tes problèmes familiaux. Lorsque tu mis ta main dans celle d’Emrys tu étais sûre que tu étais heureuse, cela te faisait un bien fou. Ton cœur battait au fond de ta poitrine et ton estomac était comme tout retourné. Sortant alors avec lui de la faculté, tu lui faisais remarquer qu’il n’avait pas besoin de t’engraisser. Il en riait et te donnait une petite fessée avant de te complimenter à nouveau. « Arrête tous ces compliments, je risquerais d’y prendre goût. » Tu lui faisais un de tes petits sourires qui t’avait rendu célèbre auprès des garçons avant qu’il ne s’excuse honteux de t’infliger de faire un tour en moto alors que tu étais enceinte. Il t’annonçait même qu’il comptait acheter une voiture. « J’ai une voiture moi Emrys. Ne fais pas des dépenses inutiles pour moi. Il suffira juste qu’on prenne ma voiture si tu veux. » Tu lui souriais en mettant ton casque avant de monter sur la moto avec son aide évidemment. T’accrochant fortement à lui, tu rigolais à sa remarque. « Pourquoi je ne me sentirais pas bien ? Je suis montée avec Maxime l’autre jour et il roulait comme un fou mais toi je te fais confiance et puis si je tombe je t’embarque avec moi. » Tu riais doucement alors que tu laissais ta tête posait sur son dos durant tout le trajet qui fût plutôt court. Vous arriviez bien vite devant chez Emrys et tu ne mis que peu de temps pour retirer ton casque.
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Je la voyais vraiment prévenante avec moi ce qui me faisait bien plaisir, ce n'était pas à sens unique ce qui était donc vraiment cool. Je me sentais bien et heureux ce qui ne me faisait que m'encourager à reprendre ma vie en main, faire des choix, repartir sur le bon pieds. Surement que plus me détacher de ce manque de maturité par la Winthrop, je pouvais enfin casser le lien, je sais pas. Je la trouvais sympathique de penser à mes dépenses mais avec les recettes de mes bouquins, de mes articles dans le célèbre New York Times, je n'étais plus le pauvre petit Emrys et une voiture en plusieurs fois, c'était un bon investissement comme le loyer qui était, pour l'instant, partagé en deux donc un peu moins exorbitant alors non,non, je voulais avoir mon carrosse pour ma princesse et ne pas vivre à ses crochets. Je souriais donc caressant sa jambe alors qu'elle se trouvait à présent derrière moi sur l'engin : Non, je le fais aussi pour moi mais je veux avoir mon carrosse pour te sortir ... et ce n'est pas discutable ! Je souriais gentiment. Je sentais ensuite ses bras m'entouraient ce qui me fit encore sourire, je pouvais sembler radieux limite je crois. Elle me rassura avant de poser sa tete sur mon dos et on démarra avant d'arriver chez moi. Je l'aidais à descendre d'une main tendue vers elle puis je suivais le mouvement et mettait ma moto en sécurité. Ainsi, je la prenais dans mes bras, passant l'un de mes bras musclé sur son épaule et l'emmenant vers l’ascenseur ; Ça me rappelle e nombreux souvenirs de t'avoir comme ça dans mes bras ... bon généralement, on allait dans une de nos chambres mais maintenant que j'ai l'appartement ... je souriais à ma belle l'embrassant au coin des lèvres puis on arrivait devant chez moi, je frappais mais ça ne répondait pas ; nous étions bien seul alors j'ouvrais avec ma clé et je lui disais : Fais comme chez toi mon cœur ! Va t'assoir, tu ne fais rien, je m'occupe de tout... Je déposais un baiser sur ses lèvres en allant vers la cuisine à petits pas.
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Tous les deux main dans la main comme au bon vieux temps. Et puis, vous étiez partis sur sa moto en direction son appartement qu’il partageait avec tu ne savais qui mais il n’était pas question qu’elle lui tourne autour sinon elle aurait de tes nouvelles. Non, non il fallait que tu te calmes, tu ne pouvais pas commencer une relation dans cet esprit-là et surtout pas avec Emrys, il ne fallait pas que ton démon du passé ; Konrad prenne le dessus et te fasse douter d’Emrys. En même temps, cela ne pourrait jamais être le cas parce qu’Emrys était tellement gentil, attentionné avec toi. Il était prêt à acheter une voiture pour te sortir comme il le disait si bien. Emrys savait faire ressortir le bon côté de ta personnalité alors que Konrad ne faisait ressortir que le mauvais en toi. Enfin bref, tu ne voulais plus penser à lui et surtout pas maintenant. Descendant de la moto une fois arrivé devant chez ton chéri, il passait un bras autour de tes épaules pour que vous montiez les étages à l’aide de l’ascenseur. Et c’est là qu’il se mettait aux confidences. « Comme avant » mais rien n’était comme avant et il le savait et heureusement. « Mais tout a changé Emrys, je ne suis plus la même qu’avant, je n’ai plus les yeux rouges et le teint pâle à longueur de journée. » Tu rigolais alors que vous arriviez à son étage, puis devant sa porte qu’il t’ouvrit avec un de ces plus beaux sourires. Entrant dans l’appartement tu regardais tout autour de toi. « C’est déjà plus propre que la dernière fois tu as bien fait de prendre une colocataire, elle fait le ménage. » Tu le taquinais avant de te diriger vers le salon pour t’asseoir quelques minutes mais tu ne tenais pas en place et tu rejoignais Emrys dans la cuisine. Sautant sur le plan de travail pour t’y asseoir, tu comptais rester posé là à le regarder comme avant quand il te faisait à manger dans la cuisine de la Winthrop house. Tu souriais avant de lui avouer quelque chose. « Bébé, tu sais que je ne suis pas malade enfin tu sais que je peux faire des trucs genre comme de l’accrobranche ou du paint-ball pour le moment. » Tu lui souriais. « Mais bon, vu que tu tiens tant à me servir j’ai soif. Je veux un truc qui pique mais sans alcool. » Tu le regardais, le taquinant une fois de plus. « En fait, c’est génial d’être enceinte je peux avoir tout ce que je désire sinon je te dis que c’est les hormones et je casse tout. » Tu riais doucement en le regardant toujours.
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Et quand Grace découvre l'appartement, elle semble épaté de le voir si bien ranger mais à la fois, je la sens presque mal ou jalouse ou bien encore dégoutée de voir que ça l'est parce que elle me dit clairement que heureusement que j'ai une colocataire mais ca sent pas tout gentil, tout mignon. Je grimace alors et ne répond pas baissant les yeux jouant les fautifs pour la provoquer un peu mais très, irrésistible, je l'invite à s'assoir, se faire servir. Je partais donc à la cuisine pour lui préparer quelques spécialités Grec dont tout mes amis raffolais mais qu'à ma grande surprise, elle avait toujours adoré ; c'était le plat qu'elle préférait que je lui prépare et j'avais toujours de quoi en faire cela me rappelant ma mère. J'entreprenais donc de couper mes légumes en lamelle comme un petit chef montrant que je savais jouer du couteau ; heureusement qu'elle 'n’était pas là car elle est si belle que je pourrais me couper. Néanmoins, la dame semblait avoir du mal à se décontracter car elle venait auprès de mois grimpant dangereusement à coté d'où je me trouvais ce qui me fit pousser un petit cris. Et elle commença par tenter de me rassurer ce qui me toucha grandement, elle tentait de m'expliquer qu'à son stade elle pouvait faire encore beaucoup de chose mais je la coupais net en la regardant droit dans les yeux laissant tomber sur le plan de travail couteaux et légumes : Ouais mais tu ne feras pas ça ... C'EST TOUT ! Je souriais tout de meme pour montrer que c'était protecteur et non méchant. Là, elle montra quand meme peu de résistance et commença à comprendre le sens du mot servir demandant à boire mais prouvant ces bonnes résolutions en demandant du sans alcools alors je lui sortais du 7 up cherry et lui servait un verre sachant qu'elle aimait ça naturellement bah ouais je la connais et alors, pensais-je rougissant presque. Je lui tendais le verre me plaçant entre ses jambes se balançant dans le vide du plan de travail avant de l'embrasser puis je retournais à mon oeuvre alors qu'elle provoqua une crise de rire en me disant qu'elle ferait jouer l'excuse des hormones si je ne me pliais pas à ses souhaits et je lui dis : ouais bah joue pas trop à ça parce que moi aussi j'ai de quoi faire pour te faire comprendre qu'il faut pas jouer ... dis-je en essuyant mes mains puis aller la chatouiller deux secondes en éclatant de rire. Je disposais les lègumes et les compléments et prépara la sauce avant de mettre tout au four, je sortais ensuite un verre où je me servais à boire avant de le poser. Je l'attrapais pour la faire descendre et je l'emmenais au salon, m'asseyant dans le canapé avant de commencer à caresser sa nuque : t'es tellement belle ! Dis-je alors en venant embrasser son cou.
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