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Miami here we come ! ◆ Evanna & Dante

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J'avais quelque chose de spécial à demander à Evanna et quoi de mieux que de le faire pendant un petit weekend organisé. Nous nous étions très peu vu après que je sois sortit de l'hôpital et avec sa grossesse ça ne devait pas être simple. Je ne voulais pas qu'elle se sente abandonnée, elle ne m'avait pas abandonnée lorsque j'avais été amnésique alors désormais c'était mon tour. Je voulais que nous passions quelques jours loin de l'agitation de Cambridge et de tout ce que ça implique, rien que nous deux loin de tout ça. J'avais décidé que nous irions à Miami, Evanna n'était pas au courant de la destination. Je comptais bien lui faire la surprise. Nous n'avions pas passé nos vacances ensembles et encore moins au soleil alors quoi de mieux que de rattraper se retard et oublier nos problèmes pour aller à Miami. Ce petit weekend improvisé allait nous faire du bien à tout les deux. J'avais hâte de voir sa réaction.

ALASKA
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Je venais de recevoir les messages de Dante. Que de mystères! Je m'étais un peu inquiétée au début, mais il était toujours aussi joyeux, aussi je me détendis quelques peu. Ce n’était pas grave dans ce cas. Je préparais rapidement une valise de voyage, avec ordinateur (vital !), strings en tout genre (c’était le minimum syndical), et quelques vêtements triés sur le volet (quelques étant un euphémisme), dont une robe noire moulante, sexy et chic, outrageusement courte et au décolleté prononcé. Avec si peu de tissus, je m’étonnais que le pris soit si élevé. Mais bon, je ne savais pas ce qui pouvait arriver. J’allais dans ma salle de bain, m’emparais de ma boîte de maquillage, le gel douche, le shampoing, ma brosse à dent, celle pour mes cheveux, et attrapais tout ce qui me tombait sous la main en produits de beauté. Ma valise refusait presque de fermer. Je dus m’asseoir dessus. Dans un sac à part, je mis quelques cinq paires de chaussures (talons hauts, talons moyens, baskets (eh oui, il m’arrivait d’être sportive et je ne savais pas du tout où j’allais), tongs et sandales à talons). Je m’emparais de mon passeport et fis les 100 pas dans la pièce en attendant que mon cher Dante sonne à ma porte.
ALASKA
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Le chauffeur venait de me déposer devant chez Evanna, un chauffeur oui, j'avais appris il y a de cela une semaine que j'avais un chauffeur personnel. Etant donné que je n'avais plus de voiture je me rendais toujours avec lui, d'autant plus de ce qu'il m'avait dit il était aussi là pour ma sécurité. Dans un sens c'était logique puisqu'on avait tenté de me tuer mais ça faisait bizarre quand même. J'avais déjà été choqué lorsque j'avais appris que j'étais riche comme Crésus alors en plus avoir un chauffeur qui était mon garde du corps ça faisait d'autant plus bizarre. Je montais les marches deux par deux. J'avais tellement hâte de l'a voir. On aurait dit un enfant qui venait de recevoir son cadeau de Noël. Je frappais à sa porte et j'attendais qu'elle m'ouvre en m'appuyant sur le chambranle. Lorsqu'elle ouvrit la porte je lui fit un sourire éclatant. Bonjour ma princesse.
ALASKA
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Ma valise faite, je n’attendais plus que Dante. Mais j’avais l’impression qu’il tardait à venir. Ou alors j’avais été trop vite pour préparer mes affaires… Je rongeais l’ongle de mon pouce en faisant les cent pas dans la pièce. Je ne tenais pas en place. Cette « surprise » me mettait dans tous mes états ! C’était grotesque, je réagissais comme une enfant, mais je ne pouvais m’en empêcher. Enfin, on sonna à la porte. Je me précipitais sur la poignée pour ouvrir. Il était là, devant moi, appuyé nonchalamment dans l’encadrement de la porte. Il sourit et me dis bonjour. Je ne lui répondis pas, mais je lui sautais au cou. J’étais tellement heureuse de le voir ! Je fis quelques pas en avant, le forant à reculer, et nous vînmes butter contre le mur du couloir. Je glissai mes mains dans ses cheveux, m’emparais de sa bouche fiévreusement. Je l’embrassai comme si c’était vital pour moi, remontant une cuisse contre sa jambe.

-Tu m’as manqué… soufflai-je entre deux baisers. Je pense trop à toi je crois…

Je finis par reculer un peu pour respirer. Les yeux pétillants, j’invitais Dante à entrer d’un geste théâtral, avec une légère courbette. Je lui tirai la langue lorsqu’il passa devant.

-J’ai fait soft pour une fois ! Juste la grosse valise là. Dis, dis, où est-ce qu’on va ?

Je le suppliais littéralement de dévoiler son secret, comme une gosse à qui on avait promis des bonbons si elle était sage.
ALASKA
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J'étais appuyé contre le chambranle de la porte lorsqu'Evanna ouvrit la porte. Je lui fis un grand sourire et elle se jette sur moi pour m'embrasser. Je ne pensais pas avoir un tel accueil et que ça lui ferait autant plaisir de me voir. Je sentais mon dos butter contre le mur alors qu'elle mit fin au baiser avant de dire que je lui avait manquer et qu'elle pensait trop à moi. Je l'a serrais plus fort dans mes bras et elle m'embrassa à nouveau. J'adorais l'embrasser et surtout un baiser fougueux comme celui ci, c'était comme une bouffée d'oxygen pour moi. Alors qu'elle mit fin au baiser je lui fis un sourire éclatant avant de lui dire: Moi aussi je suis contente de te voir ma belle. D'un geste théâtral elle m'indiqua d'entrer et me tira la langue lorsque je passais devant elle. Je lui tirais à mon tour avant de l'embrasser sur la joue. Elle était tellement mignonne. Lorsque j'entrais je vis sa grosse valise, qui selon elle était soft. Je me mis à rire. Je me doutais bien qu'elle allait prendre sa maison avec. Elle me suppliait pour que je lui dise où nous allions mais je ne craquerais pas. Je voulais qu'elle est la surprise complète. Tu es sûre de ne pas vouloir prendre ta maison avec ?-dis-je pour la taquiner Désolé mon coeur mais le principe d'une surprise c'est que ça reste une surprise. J'aimerais bien te le dire mais je suis tenu par le secret professionnel. Je lui fis un lien d'oeil avant de lui faire un sourire éclatant.
ALASKA
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Je lui avais sauté dessus avec sans doute un peu trop d’enthousiasme ! Mais il m’avait pris dans ses bras, et toute crainte m’avait quitté. Je me sentais en sécurité. Je l’embrassai passionnément, et il n’était pas en reste. C’était magique et tellement apaisant… Il déclara qu’il était également content de me voir. Un grand sourire aux lèvres, je lu fis signe d’entée, et lui tirai la langue. Il me rendit la pareille et m’embrassa sur la joue avant de me précéder. Couleur rouge pivoine ! Bizarrement, lorsque je lui annonçais que j’avais fait soft, il se mit à rire en contemplant ma valise. Bah quoi ? Je ne prenais là-dedans que le strict minimum ! Il me demanda si je ne voulais pas prendre ma maison en plus. J’adoptais un air faussement vexé, la bouche grande ouverte en signe de protestation.

-J’ai bien essayé, mais mon lit, même en pièces détachées, ne veut pas rentrer. Et mes casseroles sont trop hautes ! Enfin, ce n’est pas une maison mais une chambre d’étudiante de la Eliot House ! fis en abandonnant ma moue pour lui sourire.

Je plaisantais bien entendu. Mais j’aimais bien le taquiner et renchérir sur ses bêtises ! En revanche, lorsqu’il m’expliqua le principe de la surprise, j’hésitais à vraiment bouder pour de bon. Tant pis !

-Eh bah puisque c’est comme ça, tu sais quoi ? Tu vas la porter ma valise ! Nah !

Je mis mes talons et passai l’encadrement de la porte. Bon, je devais l’avouer, j’avais bien prévu à la base de ne pas porter ma valise, mais il venait de me donner le prétexte idéal, je n’aurais pas à minauder ! Une fois dehors, je me tournai vers lui.

-AU fait, c’est laquelle ta voiture ?

Il me semblait ne jamais l’avoir vu… La seule qu’il avait prise était une limousine le soir du bal, mais je le soupçonnais de l’avoir emprunté ou loué. J’avais tellement hâte de partir, et qu’on se retrouve rien que tous les deux, pour que je lui rappelle les bons moments !
ALASKA
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Elle parut faussement choquée par ce que je lui avais dit. Je ris doucement lorsqu'elle se moqua en disant que ça ne rentrait pas dans sa valise. Je m'approchais d'elle et l'embrassais sur le coin des lèvres. Je te taquine bébé. Comme je ne voulais pas lui dire où nous allions elle me dit que j'étais de corvée pour prendre sa valise. Comme si j'allais l'a laisser porter cette valise qui semblait si lourde. Je secouais la tête le sourire aux lèvres et pris sa valise. Je l'a suivais jusqu'à la sortie de son appartement la valise à la main. Arrivé en bas elle me demandait qu'elle était ma voiture. Il est possible que j'avais changé de voiture entre temps. Sans doute était-elle partie en fumée avec le reste de mes affaires. C'est la Maserati blanche bébé. Je lui ouvris la portière pour qu'elle rentre. Pendant ce temps je mis sa valise dans le coffre et montais à mon tour. Mon nouveau chauffeur démarra en direction de l'aéroport. Alors qu'est-ce que tu as fais cette semaine ma princesse ? luis dis-je en souriant. Je pris sa main dans la mienne et caressais le dos de sa main avec son pouce. J'avais tellement hâte qu'on passe ce weekend ensembles.
ALASKA
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Lorsqu’il m’indiqua la couleur de sa Maserati, je fis la moue. Pourquoi les gens prenaient toujours des couleurs passe-partout ? Au moins, j’étais sûre d’une chose : il n’y avait qu’une Lamborghini jaune à Cambridge : la mienne. Il m’ouvrit la portière tel le gentleman qu’il était et je m’installai sur la banquette arrière alors qu’il chargeait ma valise dans le coffre. Son chauffeur n’avait pas bougé le petit doigt. Personnellement, je serais restée planté derrière jusqu’à ce qu’il la mette lui-même ! Enfin j’étais une femme, la valise était lourde, donc j’aurais eu besoin d’un coup de main. Mais un détail résolvait tout le problème : je n’avais pas de chauffeur. Bon, je ne m’éloignais que rarement de Cambridge aussi, juste pour aller voir ma fille avant, quand elle était encore à Londres, mais j’avais d’autres affaires là-bas.

La voiture s’ébranla, et Dante me demanda ce que j’avais fait cette semaine. Il s’empara de ma main et caressa doucement ma peau, me faisant frissonner de plaisir. Je vins me coller un peu plus contre lui, profiter de sa chaleur et, je devais bien l’avouer, de son corps. Comme la ceinture me gênait dans mes mouvements, je tirai dessus pour l’étendre au maximum. Techniquement, elle ne servait plus à grand-chose, mais qu’avais-je à craindre dans les bras de mon homme ?

-Eh bien… J’ai repris les cours, mais je n’étais pas franchement dedans. Je pensais à toi. Tout le temps. J’avais hâte qu’on se retrouve. Dommage qu’on ne soit plus dans la même maison… J’aimerais tellement qu’on soit plus proches toi et moi, que chaque soir je puisse me blottir dans tes bras pour m’endormir et…

Je laissai ma phrase en suspens. En fait, je craignais que le chauffeur ne nous entendit. J’aurais voulu être seule avec Dante, mais il aurait dû conduire… Je devais me résoudre à attedre que nous ne soyons plus que tous les deux pour me pendre à son cou et l’embrasser à pleine bouche ! Charmant programme !

-J’ai tellement hâte qu’on arrive ! On va loin ? On prend l’avion ? Le train ?
ALASKA
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Moi aussi j'aurais tellement voulu ça, que nous ne soyons pas si loin l'un de l'autre. C'est en partie pourquoi j'avais voulu organisé ce voyage à Miami. Je voulais lui demander de vivre avec moi, que nous prenions un appartement ensembles, de cette manière je serais plus proche d'elle et je pourrais l'aider dans sa grossesse. La savoir seule m'inquiétais énormément je dois dire, j'avais, toujours cette peur que quelque chose lui arrive. Moi aussi tu m'as tellement manqué mon coeur. Ca a été dure aussi pour moi, j'aurais tellement voulu que tu sois avec moi. Son enthousiasme me faisait plaisir, j'avais tellement hâte qu'elle voit où je l'emmenais. Pour le weekend j'avais loué une villa sur la côte à Miami, j'avais hâte qu'elle l'a voit. Oui c'est assez loin de Cambridge. C'est à trois heures d'avions d'ici mais en jet on devrait y être sans doute un peu plus tôt.
ALASKA
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3h de vol ? Un jet ? Je le regardais avec des yeux ronds. D’où le passeport en fait ! J’essayais de deviner quelle pourrait être notre destination mais je n’en avais aucune idée. La seule chose que je savais, c’était que je voulais Dante avec moi au plus vite. Nous arrivâmes à l’aéroport. J’étais tellement excitée et dissipée que je ne tenais plus en place. En fait, je n’avais rien suivi de ce qui se passait dans le bâtiment, je regardais les avions passer et je suivais Dante à la trace. Nous montâmes dans son petit avion. L’intérieur était assez luxueux, ce qui m’étonnait. Dante avait donc fini par retrouver son argent avant sa mémoire du coup. A peine fut-il assis, je me mis sur ses genoux et plongeais mon nez dans son coup. Il sentait… mon homme. J’aimais cette odeur ; elle était gravée au plus profond de ma mémoire.

-Dante… soufflai-je.

Je ne voulais plus me séparer de lui, je ne voulais plus être seule. Son contact sur ma peau ne devait plus jamais cesser. J’aurais pu rester ainsi dans ses bras jusqu’à la fin de mes jours. J’embrassai son cou, remontais jusqu’à sa mâchoire, déposai un baiser sur le coin de sa lèvre, et je finis par m’en emparer.

-Ne me laisse plus seule… Plus jamais !

Je ne lui laissai pas le temps de répondre, je l’embrassai à pleine bouche en oubliant de respirer. Si je pouvais me fondre en lui, je le ferais instantanément. Pourquoi ce désir était-il si… impérieux ? Parce que les deux mois d’été quasiment sans le voir et son amnésie me faisaient me sentir très seule ? Je voulais un appui sûr, et Dante était le seul qui pouvait me le donner. Mon ange…

Je repris ma respiration, mon visage à moins de deux centimètres du sien, et le regardais dans les yeux. Les yeux sont la fenêtre de l’âme, et en l’occurrence, j’y voyais beaucoup… d’affection ? De tendresse ? … d’amour ?

ALASKA
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