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• Toutes les légenses sont tombés. Nous navons plus personne en qui croire, plus personne à suivre. Plus aucun modèle qui pourrait nous guider pour l'avenir. Nous sommes seuls, totalement seuls à l'abandon avec aucun but précis. Nous ne savons pas vraiment ce que nous allons faire de nos vies, si nous allions vivre, si nous allions mourir. Dans un certains abandon de nous même, on se laissait tous aller à notre manière, certains choisisaient l'alcool, d'autres le sexe, quelques un la drogue, et puis, de nombreux faisaient comme moi, ont essayaient de vivre à notre façon, à coup de poing dans la gueule pour se frayer un chemin, pour s'en sortir et montrer au monde qu'on a réussi. L'argent n'était pas le problème, mon compte était aussi gros qu'une paire de couille qui ne se serait pas vider depuis des centaines d'années. Le problème, c'était nous. Ont pouvaient s'auto détruire en un rien de temps, ont étaient pas vraiment conscient de la chance qu'ont avaient d'être en vie et de pouvoir... Rire, tout simplement. Là, maintenant, j'avais pas vraiment envie de rire, la seule chose que je désirais était de faire partir ce putain de mal de crane qui me donnait envie de me taper la tête contre les murs. ."- C'est peut être vrai.. je le buterai avec toi ! C'est peut être même le mec qui ta fait ce bleu au visage , enfin peut être que c'était une nana" Je secoue la tête de gauche à droite, oh putain même ça, j'ai mal au crâne. Bordel. "On ira le buter ensemble alors ! Mais j'pense pas que ça soit la même personne, j'ai du provoquer quelqu'un, ou alors, un connard a regardé ton cul et j'ui ai sauté dessus pour l'éclater..." Ouais, les deux solitons étaient tout à fait possible... J'allais donc en direction de la salle de bain tout en répondant à sa phrase sur le fait qu'ont allaient peut-être mourir... "Même pas en rêve on crève, on est des survivants !" Bah putain, paye ta gueule pour un survivant. Fouillant dans la trousse de pharmacie, putain, y'a que les branleurs qui ont une trousse de pharmacie, un homme, un vrai, il s'en fou, il a peur de rien, il se blesse, il prend un couteau, mais de l'alcool dessus, le fou au feu et referme sa plait comme ça, nous non, on est des chochotte... - Dès que t'arrive avec la marchandise il nous faut retrouver nos téléphones , on aura peut être des indices". Je rigole. On dirait qu'elle parle de drogue, j'ai la tête d'un camé qui planque de la drogue chez lui ? Du coup, une fois trouvé, je vais chercher des verres que je remplis d'eau, et j'vais vers la jeune femme, lui en tendant un ainsi que quelques médicaments. "Tient, maintenant on croise les doigts pour que ça fasse effet..." J'éspérais vraiment que ça allait faire effet, j'vous assure... Et, en attendant que ça passe, j'alla fouiller dans mon jean pour trouver mon portable, et, je vis celui de la jeune femme sur le sol, normal... Alors, me laissant tomber sur le lit, j'ui tendis le sien... Moment de vérité. •
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