My life be Like - Romavina

Davina suivait le mouvement, silencieuse et toujours attentive à tout ce qu'il se passait. Quand Adama lui porta de l'attention elle prenait soin de rester polie même si je voyais clair dans son regard le fond de sa pensée ce qui ne manqua pas de me faire sourire même si je me retenais bien d'en rire ouvertement. Oui Adama était connu pour être un sacré porc pervers... Les jeunes filles étaient de loin ses proies préférées et c'était clairement dégueulasse autant le dire. Mais bon, temps qu'il m'achetait mon matériel, perso' je n'en avais rien à secouer de sa vie. Enfin bref, elle jouait le jeu ajoutant même un sourire à ses paroles « Le plaisir est pour moi voyons, mais merci, vos compliments sont très appréciés. », et une fois tous assis, on détendait un peu l'atmosphère pour se mettre à l'aise sur une pointe d'humour, bien que le fond de la blague était clair. Il était ignoble et l'assumait. Mais trêve de parlote, on passait bien vite à la suite et surtout au vif du sujet, sortant nos contrats qu'il posait sur la table et qu'un de mes gars m'apportait pour que j'en face de même. je lui faisais un topo sur les filles que je lui vendais, mettant au clair les closes que ça impliquait. Discrétion, traitance des demoiselles, prix selon les modèles, que se soit pour la qualités mais aussi les compétences (et oui, true story), mais aussi ses obligations bien qu'une fois vendues, elles étaient toutes à lui et je n'avais plus de droit sur elles. Il semblait être d'accord "Faut dire ce qui est mon ami, tu as de la marchandise de qualité!" je souriais répondant tout de même sérieusement "Je n'aime pas le bas de gamme et mes clients non plus." petit clin d’œil discret pour lui faire songer à ses prix quand à ses propres produits. Mais avant ça les armes! Deux de mes filles apportaient les valises contenant les mitraillettes G36, les Thompson et Beretta que Monsieur m'avait commandé. Me levant, je prenait les modèles qu'on me sortait, lui faisant une petite démonstration de chargement et de visée à vide, tout en lui exposant les qualités et performances de chaque modèle en détail avant de reposer le tout sur la table dans un "Alors, satisfait?" me fixant après quelques blabla avec ses associés, il hochait la tête pour répondre "C'est parfait, marché conclu, où dois-je signer?" me rasseyant, je poussais la feuille vers lui, tapotant la zone de mon doigt d'un sourire "Ici très cher." on allait pouvoir passer à la suite et j'en lançais d'ailleurs un regard à Davina pour le lui faire comprendre.

Les voir parler ainsi des filles que Romane lui vendait me mettait définitivement mal à l’aise. Je savais que c’était le genre de chose qui arrivait dans notre société depuis des millénaires, mais ça ne rendait toujours pas ça correct à mes yeux. J’aurais voulu toutes les sauvé, mais je savais bien que c’était impossible. D’ailleurs, certaines d’entre elles étaient probablement là par choix alors… Je restai silencieuse une fois de plus, apprenant le vocabulaire et détectant les subtilités de leur échange. "Faut dire ce qui est mon ami, tu as de la marchandise de qualité!" Romane demeura sérieux, lui répondant rapidement : "Je n'aime pas le bas de gamme et mes clients non plus." Certes. Vous m’avez vu? Je déconne, c’est pas le moment. J’observai la réaction d’Adama, il semblait satisfait par une telle remarque. Après les filles vint le moment de parler des armes. Je ne m’attendais cependant pas à les voir juste sous mon nez. Romane les lui présentait comme un chef et on pouvait voir qu’il les avait tous déjà manipulé, qu’il avait appris à s’en servir depuis des années déjà et je ne pus que l’en admirer d’avantage. Tant de chose que je ne savais pas sur lui, chose dont je ne pouvais que me douter. Et putin, je ne pouvais que l’en aimer d’avantage aussi! Tout ceci était assez impressionnant, je gardai tout de même mon sang froid, ne montrant jamais mes réactions demeurant de marbre avec ce petit sourire à l’intention d’Adama histoire de le mettre en confiance. "Alors, satisfait?" "C'est parfait, marché conclu, où dois-je signer?" Je suivis Romane du regard alors qu’il se rasseyait, posant la feuille devant l’homme d’affaire bedonnant. "Ici très cher." J’interceptai son regard et compris que ce serait bientôt à moi de jouer. Adama allait lui présenter sa came et j’allais devoir faire en sorte qu’il baisse ses prix. Je reportai mon attention sur ce dernier, lui offrant un sourire charmeur en attendant la suite.

J'me demandais intérieurement ce que pouvait penser Davina de mes affaires, surtout de mes "marchandises" et plus particulièrement mes prostituées. Car elle était une femme avant tout alors parler de ses "congénères" comme ça bien ça pouvait lui déplaire ou lui laisser un gout amère. Je ne pu d'ailleurs pas m'empêcher de la regarder en coin durant mes débats. Mais elle semblait rester de marbre du moins prendre sur elle. Et Adama qui disait que j'avais des gouts de luxe. Carrément même! Suffisait de regarder la rousse à côté de moi. Je lui lançais d'ailleurs un regard accompagné d'un sourire en coin et d'un petit clin d’œil. Et en avant les armes! Durant la présentation, Davina toujours propre sur elle m'admirait en silence faire ma démo' sans oublier notre client auquel elle glissait des petits sourires de temps en temps, ce qui semblait lui plaire au gros! D'ailleurs en parlant de ça, il avait signé et c'était maintenant à lui de nous convaincre, bien que je savais déjà ce qui m'attendait et que le prix me convenait pas. Il sortait donc un gros sachet de poudre blanche qu'il posa sur la table en me débalant le poids que j'en avais demandé, les contenants utilisés et le mode de livraison avant de me proposer "Elle est très bonne, tu veux y gouter?" d'une moue je secouais la tête négativement "Non merci, je n'en prends pas et je n'en prendrais jamais d'ailleurs. Je laisse ça volontiers à ma clientèle." et ouais, j'avais mes principes. Il me souriait bien que moi je me mordais la lèvre me tournant vers Davina pour lui faire comprendre que c'était à elle de jouer maintenant. Vas-y ma belle, montre moi ce don tu es capable.

C’était maintenant au tour d’Adama et je savais grâce à Romane ce qu’il avait à vendre : de la cocaïne. Franchement, j’en avais souvent entendu parlé, mais lorsqu’il sortit ce sac, je ne m’attendais pas à en voir autant au même endroit pour la première fois. Je pris sur moi, ne montrant toujours rien de mes émotions me contentant de sourire à Adama et à Romane comme la bonne femme que j’étais. Enfin, c’était ce que je voulais laisser croire. Je voulais faire plaisir à Romane, qu’il soit fier de moi, qu’il ait envie de revenir ici avec moi et envie de m’emmener n’importe où avec lui d’ailleurs. "Elle est très bonne, tu veux y gouter?" Je me crispai légèrement. Le sujet n’était jamais venu sur le tapis, du coup, je ne savais même pas si Romane se droguait. Seigneur. Comment n’avais-je jamais pensé demander? Peut-être simplement parce que je prenais pour acquis qu’il ne trempait pas là-dedans. "Non merci, je n'en prends pas et je n'en prendrais jamais d'ailleurs. Je laisse ça volontiers à ma clientèle." Et je me félicitai d’avoir raison. Lui jetant un coup d’œil, je compris que c’était maintenant ou jamais. Me relevant lentement, je m’approchai d’Adama en surveillant sa réaction et celle de ses gorilles de garde du corps. « Monsieur Adama… » commençais-je en jetant un regard vers lui, battant des cils alors qu’il levait simplement la main pour faire signe à ses hommes de me laisser venir à lui. « Que puis-je pour vous mademoiselle Romanova? » J’avalai difficilement, mais aussi discrètement que possible ma salive avant de poursuivre, tournant autour de lui en posant une main sur son épaule que je laissai courir sur son cou. « Ne croyez-vous pas que vous pourriez nous faire disons… un prix d’ami? » Je m’arrêtai une fois de l’autre côté, jetant un regard à Romane avant de me pencher vers son oreille où je susurrai : « Avec toute cette belle marchandise que monsieur Morgan vous vend, nous pourrions certainement trouver… » je m’approchai un peu plus de son oreille et de son cou plissé de bourrelet. « .. un terrain d’entente. »

Et ça y était, maintenant c'était à Davina de jouer pour me montrer ses cartes et placide, elle prenait les choses en main d'un petit sourire tout en se levant doucement pour s'approcher de notre escroc du tarif. Lui évidemment, il avait les yeux rivés sur elle et surtout son corps ce qui ne manqua pas de me faire serrer les dents bien que je souriais en coin à le voir si... Captivé par ma belle qui du coup en profitait pour attaquer gentiment « Monsieur Adama… », surveillant ce qu'il se passait, j'étais confiant en voyant ses hommes reculer à son signe de main et restais donc calme et silencieux à fixer la scène attentif quand il lui répondait « Que puis-je pour vous mademoiselle Romanova? », jouant la carte de sa séduction fatale, Davina lui tournait autour tel un prédateur en chasse, glissant ses doigts de son épaule vers son cou en reprenant « Ne croyez-vous pas que vous pourriez nous faire disons… un prix d’ami? », là mes yeux se figeaient sur lui, sur ses expressions faciales, le mentalist en moi reprenait vie dans ces moments là, je voulais savoir sa réaction, à quoi il pensait. Dav' s'était d'ailleurs arrêtée, me jetant un regard avant de se pencher vers son oreille pour enchainer dans un murmure « Avec toute cette belle marchandise que monsieur Morgan vous vend, nous pourrions certainement trouver… » pour se rapprocher toujours plus ce qui me rendait presque jaloux bien que j'étais agréablement surpris de son jeu « .. un terrain d’entente. ». Avalant grossièrement sa salive en ayant visiblement chaud face à la situation, Adama me fixait l'air un peu gêné et envieux à la fois pour répondre hésitant "Hum et bien, c'est à dire que ça risque d'être un peu compliqué voyez vous..." puis son regard vint se poser sur elle, puis moi qui le fixait froidement cette fois, pour lui faire comprendre qu'il avait intérêt à faire attention à la suite de sa réponse "Mais...." reposant ses yeux sur ma belle pour baver toujours plus, il fini d'un sourire aussi pervers qu'hypocrite car pas rassuré du tout "Pour un si joli minois et d'aussi bons amis, je ne peux pas vraiment refuser." sa façon à lui de dire que je lui mettais le couteau sous la gorge et il avait raison. Je ne rigolais pas en affaires et si un truc n'allait pas dans mon sens, alors l'alliance en elle même battait de l'aile et ça il le savait! À croire qu'il avait bien trop besoin de moi pour me refuser un rabais. Sans compter que Davina lui faisait bien trop tourner la tête pour qu'il réfléchisse sagement. Bien joué ma belle. Souriant alors en coin, je le fixais toujours avant de répondre calme "Voilà qui me fait plaisir, c'est très professionnel de ta pars." ou plutôt prudent mais il avait compris.

J’avais du mal à croire que j’étais en train de faire ça. Que j’avais toute cette assurance et cette répartie qui semblait m’être soufflé de la part du petit démon sur mon épaule. Au lieu de quoi, force m’était d’admettre que tout ça venait bel et bien de moi. J’avais toujours eu ça en moi, je ne l’avais simplement jamais utilisé. Et là, pour Romane, j’étais prête à tout. Oui, franchement, j’aurais pu lui décrocher la lune si ça pouvait lui prouver à quel point j’avais envie d’être avec lui. C’est donc très ravie que j’aperçus la satisfaction sur son visage. "Hum et bien, c'est à dire que ça risque d'être un peu compliqué voyez-vous..." Je fronçai légèrement les sourcils en me redressant, regardant Adama et attendant la suite. Il me regarda à nouveau, hésitant avant de regarder Romane et de reprendre : "Mais...." Mais? Son regard retrouva mon corps et je me sentis plus nue que si je ne l’avais réellement été. Je forçai un sourire mielleux à son égard l’encourageant à continuer. "Pour un si joli minois et d'aussi bons amis, je ne peux pas vraiment refuser." Je souris franchement cette fois, hochant la tête en caressant doucement son épaule d’homme d’affaire. "Voilà qui me fait plaisir, c'est très professionnel de ta pars." Romane était un requin en affaire et il n’y avait personne qui puisse en douter. Il savait ce qu’il voulait et comment l’obtenir, voilà tout. Pas surprenant qu’il ait réussi à me faire tomber sous son charme même si tous les deux on s’est rencontré dans des circonstances des plus…. Peu communes dirons-nous. « Alors nous sommes d’accord, quel sera donc votre nouveau prix monsieur Adama? » Mon sourire charmeur ne me quittait plus, ma main sur son épaule non plus. Le contact était important pour le garder sous le charme. Plus je le touchais, moins il arrivait à penser clairement. Ça se voyait sur son visage. Je jetai un regard à Romane, attentive à ses directives silencieuses.

Sur le coup? Adama ne semblait pas suuuper emballé mais vu nos tête, car oui Davina lui exprima aussi gentiment d'un froncement de sourcils que ça lui plaisait moyen, il se mis à réfléchir un peu avant... de se plier à notre demande bien sagement. Un grand sourire sur le visage de ma belle et je souriais à mon tour, le félicitant à ma façon de sa décision avant que Dav' ne reprenne, lui demandant curieuse « Alors nous sommes d’accord, quel sera donc votre nouveau prix monsieur Adama? » sans lâcher son épaule, comme pour garder son emprise sur lui. Le regard du gros cochon dansait entre la main de ma rousse et son visage avant de se poser dans mon regard. Avalant sa salive, il répondit "Je vais baisser de 10 milles je pense, car vous le méritez bien." je voyais clair dans ses yeux que c'est parce qu'il se sentait oppressé plus que par accord qu'il se soumettait ainsi mais ça m'allait très bien, ça instaurait bien le fait que c'est moi qui commandait ici et j'avoue que... J'aimais ça. Je lui souriais alors à nouveau en l'invitant d'un levé de verre à trinquer du coup à notre affaire conclue sans remous "Je valide." lançant un regard satisfait à ma belle pour son magnifique travail, l'invitant d'un petit signe de tête à venir me rejoindre. Adama quand à lui, signait les papiers, concluant bel et bien l'affaire officiellement.

Adama sembla hésiter encore un moment, pesant le poids de ma main sur son épaule et mentalement celui de l’argent qu’il allait nous faire économiser. Nous? Oui, j’aimais bien penser comme ça déjà. "Je vais baisser de 10 milles je pense, car vous le méritez bien." Je souris, satisfaite en sachant pourtant très bien qu’il ne le faisait pas parce que nous le méritions. Mais qu’importe, le résultat était le même. Romane leva son verre à son intention, trinquant à cette entente bien plus raisonnable. "Je valide." Son petit regard fut suffisant à ce que je reprenne ma place à ses côtés. Ça, mais aussi l’envie pressante de m’éloigner de ce gros porc. Seigneur, il me répugnait, le toucher avait été un supplice, imaginez lorsque je lui avais murmuré à l’oreille. Je m’assis à nouveau à côté de Romane, prenant mon verre pour le lever à la santé de cet échange moi aussi, sirotant bien la vodka pour la sentir couler dans ma gorge. J’espérais franchement que Romane serait fier de moi, mais il m’en devrait une sur ce coup!

Voilà qui était fait et sans fausse note! Je levais donc mon verre pour "fêter" ce beau contrat avant que ma belle ne suive le mouvement puis, après signature de la paperasse, Adama à son tour. Il souriait mais je le sentais clairement contrarié au fond d'avoir dû baisser ses prix. Tant pis! J'avais gagné, c'est tout ce qui comptait. Mon assistante vint chercher les documents alors que deux de mes danseuses entraient pour venir entourer mon client alors que je commentais "Après l'effort le réconfort! Puis c'est bien mérité pour un ami si généreux." rien de tel que des courbes sexy et dénudées pour lui faire oublier tout tracas à celui là... À peine étaient-elles arrivées en se trémoussant qu'il avait déjà les yeux rivés sur elles un grand sourires aux lèvres "Merci mon ami, ça j'apprécie beaucoup." mais de rien gros porc... De rien. C'est de bonne guerre. moi je venais regarder ma belle un sourire charmeur aux lèvres avant de passer mon bras dans son dos pour rapprocher mon visage du sien et l'embrasser langoureusement avant de lui susurrer "Tu as été parfaite, bravo." ouais je confirmais qu'elle avait ça dans le sang, comme quoi ça se transmettait réellement ce genre de choses, bien qu'elle l'ignorait. Me levant mon verre à la main, je buvais cul sec et tirais la main de Davina pour dire "Maintenant, faisons la fête!" m'adressant à tout le monde, Adama compris pour qu'il profite du club. Attirant ma belle vers moi je me reculais un peu la tirant pour qu'elle me suive jusqu'à la piste de danse "Dansons, j'veux te voir bouger.".

Voilà, les papiers étaient signés, Adama était contrarié, mais encore plus ou moins sous le charme et moi j’étais fière d’avoir réussi à plaire à mon homme. Que demander de plus? Oh oui, bien entendu, des filles pour distraire Adama un peu plus. J’esquissai un sourire en les voyant entrer, entourant ce gros porc en dansant, lui arrachant un large sourire et sûrement un excès de salive. "Après l'effort le réconfort! Puis c'est bien mérité pour un ami si généreux." "Merci mon ami, ça j'apprécie beaucoup." Je souris en les regardant, me retenant pour ne pas avoir l’air trop dégoûté. Et dire que le monde dans lequel je venais de mettre les pieds était bourré d’homme comme lui. Avare et… bedonnant pour ne pas en dire d’avantage. Romane se tourna vers moi et je posai mon regard sur lui. Tout pour ne plus regarder l’autre. Il souriait et m’embrassa avant même que je ne puisse passer un commentaire. Non pas que ça me déplaise, au contraire. Je répondis à son baiser, me foutant royalement des gens présents dans la pièce avec nous. "Tu as été parfaite, bravo." Je souris de plus belle, hochant simplement la tête. Il faudrait que je le remercie plus tard. Romane se leva ensuite, verre en main avant de le descendre d’un trait, me tirant avec lui. Je le suivis dans le mouvement, buvant mon verre cul sec aussi je me sentais pousser des ailes là. "Maintenant, faisons la fête!" Oh oui! Avec plaisir! Il m’entraina sur la piste de danse et je ris en avançant dans la foule qui se poussait un peu pour nous laisser passer. C’était ça d’être le propriétaire de la place je suppose. Je pourrais facilement m’y faire je crois. "Dansons, j'veux te voir bouger." Oh il n’aurait pas à me le dire deux fois. Je passai mes mains autour de son cou et collai mon corps au sien, bougeant mes hanches contre lui dans des mouvements très suggestifs tout en le fixant bien. À quand remontait la dernière fois où nous nous étions lâché comme ça tous les deux? Je souris, aguicheuse avant de reculer d’un coup, exécutant quelques pas de danse devant lui juste assez loin pour qu’il ne puisse plus me toucher.