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One year ago ► Nevalek

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  Exprimer ses sentiments n'est pas la chose la plus aisée qui soit du moins c'était toujours difficile pour toi. Tu es peut être une des filles les plus sociables qui soit mais t'ouvrir aux autres est loin d'être ce que tu fais facilement. A vrai dire t'as toujours eu peur que les gens lisent en toi, t'as l'impression que s'ils te connaissent tu deviendras faible. Alors t'as toujours préféré garder cette part de mystère en toi. Tu préfères largement être une oreille attentive pour tes amis que parler de toi. Quel paradoxe quand on y pense, t'es bavarde mais pas quand il s'agit de mettre des mots sur tes émotions, tu préfère les garder pour toi et il faut bien creuser pour les trouver. Néanmoins, il y a bien avec une personne avec qui tu n'as pas peur de me montrer à découvert, te mettre à nue. Il est bien l'un des rares envers qui tu as une confiance aveugle. Et le mieux dans tout ça, c'est qu'en sa compagnie, tu explores les plus belles sensations au monde qui soit. Tu te souviens très bien de cette sensation de résurrection qui t'avais envahi à votre premier baiser et qui ne t'avais jamais quitté. Bien sûr tout avait évolué mais jamais cette petite flamme qui s'était allumé un jour ne s'était éteinte malgré les hauts et les bas que vous aviez pu vivre. Pour toi c'était parfait de cette manière, il n'y avait rien à changer, à enlever, à rajouter. Une symbiose parfaite, le Nirvana auquel tu n'aurais jamais rêvé et pourtant il était bel et bien à ta portée." Buvons alors, buvons à nous, buvons à la femme parfaite que t'es ! " Bon ben s'il lui faut une raison pour boire, soit, même si t'es trop modeste pour dire que cette raison est vraie. Bien évidemment il en profite pour remplir vos verres, lui qui disait ne pas vouloir te voir bourrée ben il ne pourra s'en prendre qu'à lui même si tel est le cas. Tu n'endosseras pas cette responsabilité. Après avoir bu une bonne moitié de ta coupe, t'avais tenu à lui exprimer qu'il était ton addiction et que cela ne changera pas de sitôt. T'étais la plus heureuse des femmes et des mères alors oui tu voulais continuer à vivre ainsi durant longtemps encore." On emmerde la fin du monde... " Pour le coup tu n'aurais pas mieux répondu et tu n'en attendais pas moins de sa part. Assise devant ton assiette, tu te retrouvas bien vite dans ses bras, en ayant le droit en prime à un des plus doux baisers que vous ayez pu partagés." Tu sais que je t'aime... Mais n’oublie pas une chose, t'es la femme de ma vie, et tant que j'pourrais encore respirer, ça changera pas... " A ces mots, tes yeux devaient encore plus pétiller qu'à leur habitudes. Ouais aussi étrange que cela puisse paraître ce gigolo arrive quand même à te rendre guimauve. Qui l'eut cru il y a quelques années ? Pas toi mais l'évolution a du bon n'est ce pas." Bon t'as intérêt à respirer encore longtemps. Je te conseille d'arrêter de fumer pour le coup. " Ben quoi ? C'est l'occasion de gagner encore quelques années de vie, quelques années avec toi... " Bon ben je crois que je vais faire l'impasse sur le dessert, et puis le jacuzzi fera très bien l'affaire pour la fin du repas. " admetais tu en levant les yeux au ciel. Pour le coup ce soir, il t'en faut vraiment peu de sa part pour devenir faible.
 
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  • Hier soir avant de me coucher j’ai fait un détour par la salle de bain, et j’ai croisé mon regard dans un des miroirs. J’me suis planté face à moi-même pendant plusieurs minutes, et j’me suis mis à réfléchir, à réfléchir à ma vie, à la tournure qu’elle avait pris. J’ai réfléchis à tout, à rien. J’me suis revu y’a un peu plus de deux ans, moi, ce gros branleur de base, qui passait son temps à baiser n’importe qui juste pour réussir des paris, j’me suis vu moi, ce petit étudiant totalement con qui ne vivait que pour les soirées, un jeune parmi tant d’autres, un pion, un pure produit de consommation de cette société. Rien de concret, rien qui existait vraiment, aucune innovation, rien, j’étais rien pour ne pas vous mentir, j’étais juste un jeune comme on en trouve un peu partout. Le clone d'un clone d'un clone d'un clone. Ma vie se résumait aux soirées, j'étais ce gars que l'ont étaient sur de croiser à une fête, complètement décalqué. J'ai bien aimé cette période de ma vie, on va pas se mentir hein, j'vais pas vous dire "oh non baiser une meuf différente tous les soirs c'était emerdant." Mon cul ouais tête de noeud. A l'époque, c'était bien, à l'époque, j'aimais ça, mais, aujourd'hui, tout est différent, je suis amoureux, amoureux comme jamais je n'aurais pensé l'être. J'étais marié, et le seul cul que mes yeux se permettait de regarder était celui de ma femme. Les seules lèvres que je me permettait d'effleurer étaient les siennes. Je n'avais plus du tout envie d'une autre fille dans mon lit, elle était la seule qui me satisfaisait, qui me comblait comme jamais personne auparavant n'avait réussi à le faire. Alors, c'est vrai que ma vie a prit un tournant différent, que p'tête bien que tous les chemins ne mènent pas à Rome, car au final, ma route c'est écarté de celle de plusieurs personnes, mais, j'm'en branle, Rome et moi, on a rien en commun. Et puis, les personnes qui comptent réellement pour moi le savent, elles sont toujours-là, à mes côtés, et j'suis toujours prêt à les aider si il faut. J'aimais ma nouvelle vie, j'avais enfin réussit à atteindre ce rêve que j'avais toujours eu, jamais je n'aurais pu juste penser mieux, jamais. Buvant une autre gorgée de mon verre, je manqua de m'éttoufer quand j'entendis sa phrase. " Bon t'as intérêt à respirer encore longtemps. Je te conseille d'arrêter de fumer pour le coup. " Elle peu pas m'avoir à mon propre jeux, elle peu pas retourner mes phrases contre moi. C'est pas du jeu, vous êtes d'accord ? "J'ai déjà vachement diminué ! J'arrête petit à petit, c'est pas aussi facile que ça... Et puis toute façon j'suis invincible !" Ouais, fallait bien que je me défende un peu quand même non ? Je m'étais ensuite lêvé pour l'embrasser, et, je ne pû m'empêcher d'avoir le sourire du gars qui vient de réussir sa journée lorsque je l'entendis me donner en quelque sorte raison. " Bon ben je crois que je vais faire l'impasse sur le dessert, et puis le jacuzzi fera très bien l'affaire pour la fin du repas. " J'vais tout de même faire le gars normal, pas celui qui saute de joie car il a réussit, non. Du coup, j'hausse les épaules, comme si j'étais pas pressé, alors qu'au contraire, je l'étais... J'aggripe la bouteille de champagne pour me resservir un verre et remplir celui de ma femme, avant de reprendre la parole. "Hm... J'pense que ça me convient aussi... J'ai déjà un bon dessert devant les yeux, pas besoin d'un autre... Je te suis très chère, montrez moi l'endroit où je vais pouvoir vous plantez mes crocs !" Oh putain, j'crois que l'alcool commence doucement à monter... J'me souviens la dernière fois où j'ai voulu la manger, je lui ai croqué les fesses... •
 
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 La solitude, ça vous pèse, c'est ennuyant, ça t'exclue du monde extérieur, en fait ça n'apporte rien de bon sauf dans ces moments où on a besoin de retrouver avec soi même. Parfois c'est nécessaire pour ceux qui n'agissent pas impulsivement qui ont besoin d'un temps de réflexion pour peser le pour et le contre. Choisir le coeur ou la raison, il n'y a rien de plus difficile que ça. Mais toi t'es pas du genre à réfléchir, à prendre n bout de papier pour faire un tableau sur les avantages et les inconvénients de tel choix parce qu'au bout du compte tu sais pertinemment que le coeur l'emportera et ce même si la t'apporte des ennuis. Tu réfléchis pas avec ta tête mais avec ton coeur, cet organe beaucoup trop complexe que tu as abandonné pour comprendre son fonctionnement. Ce n'est peut être pas toujours la meilleure solution que de suivre ce que te dictes tes émotions mais au moins comme ça t'es sûre de ne pas le regretter et ça t'évite d'avoir à te triturer le cerveau durant des heures et des heures. Tu agis sans réfléchir mais jusque là ça n'a été que bénéfique pour toi alors pourquoi changer de tactique. Ce sont tes choix qui t'ont amené jusqu'à cette plage des Caraïbes pour célébrer tes un an de mariage, là encore un choix impulsif qui a laissé certaines personnes dubitatives mais quelle belle récompense est ce que de leur prouver à quel point ils ont eu tort. De toute manière, tu n'as pas de compte à rendre à qui que ce soit. Tes choix t'appartiennent à toi seule, que ça plaise ou non, tu le fais pour toi. Le seule égoïsme qu'on pourrait te reprocher serait celui de penser à ton bonheur et à celui de ta famille avant celui des autres, et c'est tout à fait légitime. C'est d'ailleurs pour ça que tu t'es permis de faire remarquer à Alek qu'il serait préférable pour lui de ne pas se pourrir la santé en fumant clopes sur clopes, puis bon l'industrie du tabac est assez riche comme ça." J'ai déjà vachement diminué ! J'arrête petit à petit, c'est pas aussi facile que ça... Et puis toute façon j'suis invincible ! " Ouais ouais, dixit le mec qui a frôlé la mort cette année et qui s'est retrouvé en quarantaine à cause d'un putain de virus. Mais, il est préférable de ne pas évoquer cet épisode peu glorieux. Tu lui proposes de se passer de dessert et passer direct à l'étape du jacuzzi et monsieur se contente simplement de jouer les indifférents et de vous resservir en Champagne." Tu sais que t'as pas besoin de me saouler pour m'avoir dans ton lit. " Des fois qu'il serait toujours pas au courant !" Hm... J'pense que ça me convient aussi... J'ai déjà un bon dessert devant les yeux, pas besoin d'un autre... Je te suis très chère, montrez moi l'endroit où je vais pouvoir vous plantez mes crocs ! Tu manques de recracher ton Champagne à sa demande. Non il n'allait pas oser, pas aujourd'hui." Alors là n'y penses même pas. Je te signale que la dernière fois, j'ai gardé la marque une semaine. Je sais que toi ça te ferais plaisir que je morde tes bijoux de famille mais laisses mes fesses en paix. Elles vont considérablement perdre de leur valeur si tu les massacres encore. " Il a de ces envies parfois, ça fait vraiment peur. Et pourtant ça t'empêches pas de l'aimer, du coup on pourrait croire que c'est toi la plus timbrée des deux, d'avoir dit oui pour le supporter pendant encore de nombreuses années. Reposant ton verre sur la table, avant de lui donner la clé de la chambre " Numéro 104, si ça t’intéresses d'avoir un aperçu avant l'heure, du paradis. " annonces-tu avant de commencer à quitter la plage dans le but de rejoindre l'hôtel.
 
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  • Aucun bruit, le calme absolue. Tout est calme, j'suis apaisé, sans aucune envie, sans aucun besoin. J'suis bien, tout simplement bien. Je ne sais pas dans quel monde je suis, je ne le connais pas, mais, tout est beau, aucun bruit plus haut que l'autre, et, j'ai l'impression d'être au Paradis, plus j'avance, et plus les paysages que je rencontre son magnifique. Le problème, c'est que je suis seul, complètement seul, à l'abandon dans ce putain de monde qui n'abrite aucune vie à part la mienne. J'crois que tout ça est un rêve, car plus j'avance, et plus je suis perdu, plus j'ai l'impression de ne pas contrôler mes mouvements, mes gestes. Je suis un spectateur, un simple spectateur de tout ça, comme si j'étais assis bien confortablement dans un canapé et que je regardais ce film, cette scène ou ce jeune homme marche sans aucun but précis, calmement, comme si il savait où il allait. Il était bien le seul à le savoir d'ailleurs. Ouais, c'est ça, je rêve, je m'en souviens maintenant, j'me souviens n'avoir jamais mis les pieds ici, le cul dans ce canapé, j'comprends maintenant, tout est s'éclairci rapidement. J'me souviens maintenant, j'suis dans mon lit, dans la réalité, j'suis en train de dormir. Tout ça est trop beau pour être vrai, ça ne peu pas être la réalité, ça ne peu pas être ma vie. Tout est trop parfait pour moi. Comment j'en suis arrivé là ? Comment j'ai réussi à construire tout ça ? A avoir la plus belle femme du monde, un enfant magnifique et une vie parfaite ? Comment ? Tout ça est un rêve, il n'y a pas d'autre solution. J'vais finir par me réveiller dans ma chambre d'étudiant, avec la gueule de bois et une inconnue à mes côtés, j'me rendrais compte que ma vie est toujours aussi merdique et que rien a changé, que dans ce rêve, ce paradis que j'ai pu toucher du bout des doigts n'est pas encore arrivé. Ma vie est tellement belle que j'me demande comment c'est possible, malgré tous les petits inconvéniants qui peut y avoir, je ne retiens que les points positifs. " Tu sais que t'as pas besoin de me saouler pour m'avoir dans ton lit. " Des fois, j'pourrais rester debout comme ça, à ne rien dire et à la regarder, et ça, pendant des heures. Cette soirée était parfaite, j'vous assure, tout était parfait, elle dans sa belle robe blanche, elle et se repas qu'elle avait soit disant préparé chez un traiteur, elle et son sourire, elle et ce paysage, tout, absolument tout était parfait ce soir. "Je sais... Mais p'tête qu'une fois alcoolisé tu vas vouloir faire des trucs de fou, comme... Comme j'sais pas en fait !" Ouais, ma réponse était vraiment bidon, car au final, j'voulais pas non plus qu'elle soit totalement déchiré et qu'une fois arrivé à l'hotel, elle s'endorme, non merci. " Alors là n'y penses même pas. Je te signale que la dernière fois, j'ai gardé la marque une semaine. Je sais que toi ça te ferais plaisir que je morde tes bijoux de famille mais laisses mes fesses en paix. Elles vont considérablement perdre de leur valeur si tu les massacres encore. " J'vous jure que je me retiens de ne pas éclater de rire, et, j'crois que ça se voit quand j'essaye de lui faire des yeux de biches, qui pour le coup ressemblent plutôt à des yeux de caniche allemand ou je ne sais quelle race de chien étrange... "Juste un bisou alors ?" Genre j'essaye de négocier quoi. Assez parler, j'avais faim, et, je n'attendais qu'une seule chose, découvrir le dessert. Bon, je l'avais déjà gouté, mais, ce soir, je savais qu'il allait avoir un tout autre gout, qu'il allait être encore meilleur que les fois d'avant... " Numéro 104, si ça t’intéresses d'avoir un aperçu avant l'heure, du paradis. " J'attrape la clef que je glisse dans ma poche avant de venir attraper le visage de la jeune femme entre mes mains pour l'embrasser. "Le paradis j'le vis tous les jours à tes côtés... " Déposant un autre rapide baisé sur ces lèvres, j'finis par reprendre notre marche pour qu'après quelques minutes, on arriva enfin à l’hôtel. Who, déjà, j'peux vous assurez qu'elle a pas prit un hôtel de pd, rien que la façade elle déchire. Petit et grand palmier, de la lumière, de la couleur, classe. "Ah ouais quand même..." Bon, j'décide quand même de rentrer avec elle à l'intérieur. Maintenant, la mission c'est trouver la chambre. J'vais essayer de ne pas avoir l'air con en y passant trente ans, du coup, j'repère tout de suite l'ascenseur où je m'empresse de rentrer avec la jeune femme. Premier étage, chambre 104, donc bouton 1 non ? Logique j'pense. "T'sais que rien que l'ascenseur ça me suffirait pour un avant gout ?" M'approchant dangereusement d'elle, j'venais de lui lâcher cette phrase, laissant ma main passer dans ces cheveux et mes lèvres frôler les siennes... •
 
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Le temps, on a toujours manqué, on en manque toujours et on en manquera toujours cruellement. Des fois on souhaite qu'il passe vite pour éviter de vivre une situation gênante, terrifiante ou bien stressante. D'autres fois, on aimerai qu'il s'arrête pour profiter indéfiniment d'un moment qui nous semble des plus agréables, qui ressemble au plus parfait des bonheur. Sauf que si on venait à se contenter que d'un seul moment dans notre alors jamais on ne verrait la suite, ni d'autres instants qui au bout du compte sont encore meilleurs que le précédent. La vie est une succession de bons et de mauvais, personne ne pourra y changer quelque chose, il faut juste subir, en espérant que demain sera meilleur qu'aujourd'hui. Et si aujourd'hui est parfait, alors demain n'en sera que plus beau. Toujours tu as tenu le bonheur au creux de tes mains, faisant en sorte qu'il y reste tout bonnement parce qu'il n'existe pas vraiment de recette du bonheur. On peut penser qu'on a trouvé les bons ingrédients sauf que ça ne donne rien mais parfois une simple pincée d'inattendue suffit pour que tout change. Comme quoi être patient a parfois certains avantages et ce n'est certainement pas toi qui va dire le contraire. Si Alek ne t'avait jamais invité à ce fameux spa alors tu serais peut être en train de dormir dans ton lit entouré d'une trentaine de chats - et encore t'es gentille avec toi même - ou bien en train de parcourir les terres du monde pour sauver le monde. Mais au lieu de ça tu venais de finir de déguster le repas de ton anniversaire de mariage avec la seule personne qui te suffit dans ce monde avec votre fils bien évidemment." Je sais... Mais p'tête qu'une fois alcoolisé tu vas vouloir faire des trucs de fou, comme... Comme j'sais pas en fait ! " Comme réviser le kamasutra ! T'es certaine qu'il pense à cela, c'est obligé sinon c'est qu'un truc tourne pas rond ce soir. T'es pas contre après tout sauf s'il se met en tête de dévorer tes fesses. Et même son regard bizarre n'y changera rien." Juste un bisou alors ? " Tu écarquilles les yeux, parce que cette phrase sonne tellement bizarre venant de lui." Là tout de suite, j'ai l'impression bizarre et immonde d'avoir épousé une fille. " Franchement cette image soudaine est pire qu'horrible. T'as juste envie de l'effacer définitivement de ta tête. Et son baiser a bel et bien l'effet désiré. C'est bon il est pas possédé par une âme féminine. Ouf." Le paradis j'le vis tous les jours à tes côtés...  " Là tes yeux doivent pétillaient de mille feux c'est certain. Tu l'invitais à découvrir la suite des choses, qui au fond n'était pas tant une surprise que ça mais peu importe. Ce qui comptait c'était de passer du temps avec l'autre. Aux abords de l'hôtel, l'hôtel n'attends plus que vous." Ah ouais quand même... " Toi aussi tu peux faire les choses biens !" Ben quoi, rien n'est trop beau pour nous ! " Même si tu peux très bien te passer du luxe, mais ce serait dommage de s'en priver pour ce genre d'occasion. Une fois dans l'ascenseur, tu ne peux t'empêcher de sourire en le voyant hésiter un bref instant devant les boutons, avant que son attention ne se reporte sur toi." T'sais que rien que l'ascenseur ça me suffirait pour un avant gout ? " Et son souffle sur ta peau déclenche cette fois-ci un sourire malin." Je me disais bien qu'on avait toujours pas ajouté l'ascenseur sur notre liste des lieux publics. " T'avais pas pu t'empêcher de faire le remarque, parce que bon il t'avait un peu tendu la perche." Dommage que ce soit au 1er étage... " disais tu en te mordant la lèvre inférieure alors que les portes s'ouvraient et finalement tu appuyais sur le bouton du 6ème. Tes baisers parcouraient sa nuque avant de remonter jusqu'à ses lèvres avant que tu ne le pousses contre l'une des parois de l'ascenseur. Le goût du risque était on ne peut plus meilleur.

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  • Mes amis, nous vivons dans un monde où tout le monde se fou de la gueule de tout le monde. Pensant tous à nos gueules avant de penser à celle des autres, on est presque tous devenues des putains d'égoïstes, des enculés de base qui se moque bien qu'une personne peu se torde la cheville devant nos yeux, on ne réagira pas, on continuera de tracer notre chemin. On est tous mauvais au fond, on a tous un côté qui va nous pousser à se foutre de son prochain. Même si Dieu a dit "aide ton prochain", on entend plus les paroles de Satan qui nous dit "encule ton prochain, et bien profond." On est qu'un petit tat de merde, un tat de pourritures qui ne pensons qu'à notre bien être. On vis comme ça, et, malheureusement, qu'on le veuille ou non, le monde est en train de nous claquer entre les doigts, on va rien pouvoir faire pour l'arrêter, rien pouvoir faire pour stopper cette autodestruction que nous avons provoqués, mes amis. On pourrait tous faire quelque chose pour empêcher ça, on pourrait tous se sortir les doigts du cul et essayer de réparer ce monde que nous détruisons, mais, nous avons bien d'autres choses à faire, à penser. Comme le dernier jeux qui va sortir sur ta putain de console, la dernière pute qui t'as facturer plus de cent dollars car t'as voulu lui mettre dans le cul, ton patron qui baise avec sa secrétaire et que tu vas faire chanter pour avoir ce que tu désires, ta mère qui te dis de ranger ta chambre car elle est pourri, ton père qui essaye de savoir le nom de tes conquêtes. Tes amis qui t'invites à une soirée sur la plage, et où vous allez laisser toutes vos putains de bouteilles, vos putains de déchets dans le sable. Tu penses à ta voiture, à cette longue route que tu vas faire en roulant à une vitesse pas possible, juste pour le fun. Ce paquet de clope que tu vas jeter par terre car il est finit et que t'as aucune envie de chercher une poubelle pour le jeter. Tu penses à tout, vraiment à tout, mais pas à essayer de préserver cette planète sur laquelle tu marches, sur laquelle tu vis, car au fond, tu te dis que lorsqu'elle va décider de péter, tu seras mort depuis bien longtemps. Au fond, tu penses juste à ta gueule, tu t'en branles que ton arrière arrière arrière petit fils vive dans un monde encore plus merdique que le notre, sur cette terre qui sera complètement détraqué. T'en as rien à foutre. J'avoue ne pas être le meilleur, ne pas être un exemple, car j'fais pas que des bonnes actions pour la planète, ça m'arrive d'aider, j'ai envie parfois, mais ça, c'est quelque chose de nouveau, j'suis pas né en me disant "tient j'vais soigner la terre", pff, j'en avais rien à foutre. Neva m'a changé, elle a fait de moi un homme meilleur, et, il m'arrive de prendre ce genre d'initiative tout seul, sans qu'elle m'en parle ou me le demande. Ces un ans de mariage ont été la plus belle année de ma vie jusqu'à maintenant, j'éspère que toutes ces années qui sont devant nous seront aussi belle... ." Je me disais bien qu'on avait toujours pas ajouté l'ascenseur sur notre liste des lieux publics. " Et là, dans cet ascenseur, elle me fait lacher un rire. C'est la seule à pouvoir avoir de l'influence sur mon humeur, la seule à pouvoir me faire changer, il me suffit juste de la regarder. Si elle va bien, j'irais bien, si elle va mal, je serais mal. ." Dommage que ce soit au 1er étage... " Elle me cherche, avec son sourire, elle me cherche. J'me contente de soupirer et de lui répondre une petite phrase. "C'est pas grave... Un autre jour..." Sauf que quand lorsque je m'apprêtais de sortir de l'ascenseur, elle appuya sur le bouton du dernier étage, un sourire plein de malice sur le visage, et, sans que je puisse comprendre ce qui était en train de se passer, elle me plaqua contre une des parois de l'ascenseur, collant ces lèvres au mienne. Je ne pouvais qu'être heureux. J'avais envie d'elle, vraiment, et être dans cet ascenseur ne changerais rien. Etait-ce l'alcool ? Etait-ce le fait que ça soit nos un an de mariage ? Que ça soit ma femme ? Je ne sais pas, du moins, si, je le sais. Après deux ans de relation, j'étais toujours aussi combler avec elle, je savais que c'était la bonne, je savais que c'était elle et pas une autre et que jamais ça ne s'arrêtera. Alors, je prolongea son baisé en l'embrassant sauvagement, j'alla aggriper ces fesses, que je ne morderais pas ce soir d'après elle, pour la tirer contre moi, coller mon corps au sien et continuer nos baisés. •
 
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Parfois tu te prends à imaginer que tu es simple spectatrice de ta vie et en prenant du recul tant de questions te viennent à l'esprit. Il est quasi normal de se demander si oui ou non on a fait les bons choix dans notre vie, si on a pas emprunté des sentiers dangereux, si nos décisions ont été les bonnes ? C'est dans ces moments de rétrospectives qu'on peut avoir des regrets concernant les actes où on a pas de quoi être fiers, toi même tu en avais et ce même si la plupart des gens pensaient que tu n'oserais jamais avoir un mot déplacé envers autrui et pourtant ça t'arrive. Peut être moins que d'autres mais ça t'arrive comme tout être humain. Hélas ces quelques regrets qui peuvent t'habiter ne vont pas changer tes actions. L'acceptation de tes erreurs est ce qui te fait avancer, et t'apprends à ne pas les reproduire. Les mauvaises expériences c'est ce qui nous forge et ce qui nous rappelle également qu'on est loin de vivre dans un conte de fées, que nos parents nous ont bien menti quand ils n'ont cessé de nous répéter que la vie est le cadeau le plus précieux qui nous a été donné. Oui ça peut l'être comme ça peut devenir un vrai cauchemar, cela dépend de si on a le courage de s'accrocher même en pleine tempête ou si on laisse couler au moindre grain de sable qui vient s'immiscer dans cet engrenage qu'est notre vie. Il y aura toujours ces moments où tout va dérailler mais surtout ceux où la machine sera bien huilé et c'est bien ce dont on doit se souvenir pour laisser le passé là où il est l'est; derrière soi. Vivre le présent et construire le futur est désormais la seule de tes préoccupations." C'est pas grave... Un autre jour... " Ta décision était tout autre. Pourquoi attendre quelque chose qui s'avère être à votre portée de main. Il suffit juste de le vouloir et c'était exactement ton cas. Ce soir t'avais décidé de pas réfléchir, de faire ce qui te plaisait et puis de toute façon c'est pas comme si les conséquences étaient lourdes de conséquences. Tout ce qui pouvait t'arriver, c'était d'être encore plus amoureuse que la seconde d'avant, et autant dire que c'était loin de te déplaire. T'avais bien remarqué cette lueur de surprise au fond de ses yeux, et ça ne confortait que ton envie de profiter de ces instants quelques peu fous qui vous caractérisaient tant quand on y pense. On ne change pas les bonnes habitudes et la féline en toi était de sortie ce soir. Ta sauvagerie le plaquant contre l'une des parois alors que vos baisers se faisaient de plus fougueux. Près de deux ans de relation, un an de mariage et jamais rien ne t'avait donné envie d'aller voir ailleurs. Ton mari te suffisait amplement et ce dans tous les domaines qui soient. Collé à lui, ta main venait passer derrière sa nuque, intensifiant encore un peu plus vos baisers, tandis que ta jambe remontait lentement contre la sienne.

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  • Amour, ce mot qui peut vouloir dire différentes choses, mot utilisé n’importe quand, à n’importe quel moment, et qui nous fait plus chier qu’autre chose. On va pas se mentir, putain mais qu’est-ce qu’on en a à foutre que tu es fou amoureux d’une pauvre meuf que tu as rencontré y’a deux jours ? Tu crois quoi ? Qu’elle va être la femme de ta vie ? Que c’est avec elle que tu vas avoir des enfants, que tu vas te marier, que c’est la seule femme qui te restera fidèle tout au long de ta vie, celle qui jamais ne te lassera ? Mais putain, arrête de te foutre de notre gueule, dans deux semaines tu l’insultes de tous les noms devant tes potes car elle t’as fait savoir qu’elle aimerait bien que tu joues moins à la console et que tu passes plus de temps avec elle, et ça, en bon macho que tu es, ça t’as pas plu, en bon connard que tu es, tu l’as envoyé chié. Petite merde que tu es. L’amour, le vrai, tu ne le sais pas lorsque tu le rencontres, tu ne l’imagines même pas, tu ne sais même pas ce que c’est, quelle sensation tu éprouves, qu’est-ce que tu serais prêt à faire, t’en as aucune idée, et ça, j’peux vous l’assurer. Neva à la base c’était simplement une amie qui se confiant à moi, et j’faisais en sorte de la pousser à trouver son prince charmant, jusqu’au bout jour où mon regard a réellement croisé le sien, pas un de ces petits regards que tu lances à une fille dans la rue parce que t’as aimé sa façon de tordre son cul, le regard, le vrai, celui qui te fait quitter la terre, celui qui te fait te sentir vivant, ce regard c’est l’amour, ce regard c’est celui qui te pousse à faire n’importe quoi, celui qui te rends fidèle, qui te montre qu’à côté, les autres filles, ce n’est rien, celui qui te montre que cette personne-là est faite pour passer sa vie en ta compagnie, et lorsqu’elle accepte de se marier, c’est une concrétisation de toutes ces pensées, un geste qui montre qu’elle est engagée et que jamais elle ne partira ou fera une connerie du genre. Ma vie était celle dont j'avais toujours rêvé, ensemble, nous avions réussi à crée notre paradis, et, jamais je ne pensais y arriver aussitôt. Comme quoi, de bonnes surprises nous attendent à chaque instant de notre vie. Et, une autre surprise venait de se dévoiler à moi dans cet ascenseur. C'était pas nouveau, les lieux publics c'étaient un peu notre pêché mignon pour coucher ensemble, mais là, l'ascenseur, c'était un fantasme, alors, qu'elle soit prête à le faire ici, maintenant, je ne pouvais qu'en être heureux. Elle en avait envie, je pouvais le sentir, ces lèvres que je mordillais par moment, nos langues qui s'aventurèrent ensembles, je sentis sa jambe remonté le long de la mienne, comme si elle voulait me faire savoir qu'elle en voulait plus. Je n'allais pas non plus la mettre nue dans cet endroit, ça attendra la chambre, mais, j'allais tout de même en profiter. Mes mains descendirent le long de son dos pour venir se glisser doucement sous sa belle robe blanche, et, par dessus son string, je laissa mes doigts délicatement la caresser... Un an de mariage, c'est une fois dans une envie, alors autant en profiter, autant s'en rappeler... •
 
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Et si tout ça n'était qu'une vaste blague, si ces dernières années n'étaient qu'une vaste mise en scène et que rien n'était vrai. Si ça se trouve demain matin, tu vas te réveiller dans ton lit à Harvard ou en France, te rendant compte que tu ne faisais que rêver. C'est la pire des choses qui pourrait t'arriver de toute ta vie. Tu ne peux décemment concevoir perdre tout ce que tu as de plus cher au monde du jour au lendemain. Qu'est ce que tu serais sans ton mari, sans ton fils, sans t'es deux raisons de vivre. Pour toi c'était tout bonnement impossible de te faire à l'idée d'être une simple étudiante, débarquée à Harvard juste pour obtenir un diplôme. L'université t'avait offert beaucoup plus, et notamment un sens à ta vie, un avenir auquel tu n'aurais jamais songé parce qu'il frôlait la perfection. Si tu étais privée de ça alors rester en ce monde ne me servirait plus à rien en fait. Peut être que pendant plus de vingt ans, t'avais réussi à vivre en étant une personne simple et sans un homme à tes côtés, mais maintenant tu n'étais plus capable d'être seule, en rentrant chez toi le soir. Alors oui tu pourrais peut être avoir plus de liberté mais cela ne t’intéressait pas en fait, et puis ce n'est pas comme si t'étais tentée d'aller voir ailleurs non, la fidélité est bien une de tes qualités. Tu ne voyais aucun inconvénient à la vie de couple, sauf à la rigueur la peur de voir partir la personne qui imprègne ton coeur et ne devenir par la suite qu'une loque humaine. Les effets dévastateur de l'amour certainement ce qu'il y a de pire en ce monde. Alors même si c'est un rêve, tu vas en profiter encore et encore avant de te réveiller. Pourquoi vouloir mettre fin à ce moment alors que vous avez cet ascenseur rien que pour vous. Vos baisers t’enivraient, tu ne t'en lasserais jamais. Son corps t'appelait plus que jamais, l'effet des un an de mariage sûrement ou bien le goût du risque. Des frissons parcoururent ta peau au contact de sa main sur ton corps qui ne demandait que ça. Un sourire s'afficha sur ton visage lorsque l'ascenseur s'arrêtait." En fait c'est pas pratique l'ascenseur." disais-tu entre deux respirations avant de t'empresser de ré appuyer sur le bouton du premier. Mais très vite, ton attention se reporta sur ton mari, tes mains glissaient sous sa chemise, dessinant les lignes de son torse. Même si tu le connaissais par coeur, tu ne pouvais pas t'empêcher de le redécouvrir. Il était un véritable aimant auquel résister était impossible.

CREDIT TO KAIJI FROM ILH
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Nevalek

 
• Je me souviens que petit, on m'a enseigné que rien n'était interdit. Jadis, je pensais que cela nous permettait de faire selon nos désirs. De réaliser notre idéal quel qu'en soit le coût. Je comprends maintenant, le crédo n'est pas une permission, c'est plutôt un avertissement. Les idéaux s'effacent au profit du Dogme, et ce dernier ouvre la voie au fanatisme. Aucune puissance supérieur ne nous juge, aucun être suprême ne nous observe pour venir nous punir des pêchés qu'ont auraient pu commêtre par le passé. En y pensant, en fin de compte, nous seuls sommes à même de nous protéger de nos obsessions, nous seuls décidons si la voie que nous empruntons est trop difficile, ou au contraire, trop simple. Nous nous voyons plutôt comme des rédempteurs, des vengeurs, et même des sauveurs dans certains cas, dans certaines actions qu'on a pu mener par le passé. Nous faisons même la guerre à tout ceux qui décident de lutter contre nous, à tout ceux qui ont décidé de venir nous mettre des battons dans les roues, et ils nous combattent en retour, comme si la paix ne pouvait pas avoir lieu, comme si toutes nos actions étaient épiés avec une loupe, comme si le calme, la tranquillité n'était pas un mot de notre vocabulaire. En réalité, nous rêvons tous de marquer le monde de notre empreinte, et ça, même lorsque nous mourons pour une cause qui ne figurera jamais dans tous ces putains de livres d'histoires qu'on peu nous faire bouffer pendant toutes notre scolarité, dans tout ces documentaires qui parle de l'histoire de notre pays, de l'histoire de notre monde. Tout ce que nous faisons, tout ce que nous sommes débute et prend fin avec nous. Notre vie, votre vie, rien ne sera écrit, rien ne sera raconter. Pas de belles histoires, pas notre belle histoire. Deux jeunes personnes qui tombent fou amoureux l'un de l'autre, deux belles personnes au cœur rempli de bonnes volontés qui décident de passer leurs vies ensembles. Ces deux personnes là, qui va aller en parler ? Qui va raconter leur rencontre, leur guerre, leur façon de faire, leur amour ? Personne. Mais, je m'en moque, ma vie est mêlé à la sienne, comme si notre ADN ne faisait plus qu'un, comme si mon corps était le sien. Je lui appartenais, et elle avait le pouvoir de faire ce qu'elle veut de moi. Le pouvoir de me rendre faible, mais aussi de me donner la force d'abattre toutes ces putain de montagnes qui pourraient venir nous faire face. Elle est ma vie, mon plus grand bonheur sur cette terre. " En fait c'est pas pratique l'ascenseur." Un léger rire s'échappent d'entre mes lèvres. Je ne pourrais pas dire le contraire, mais l'envie était tellement présente que je ne voulais pas non plus faire marche arrière. Elle me devança, appuyant une fois de plus sur les boutons de l'ascenseur histoire de faire tour de plus. De léger frissons se mirent à traverser mon corps quand je sentis ces douces mains se poser sur mon torse. Continue, ne t'arrête pas. "C'est moins pratique que le sauna..." Avais-je répondu, un sourire sur le coin des lèvres. Lèvres qui quittèrent les siennes quelques minutes plus tard pour descendre dans sa nuque, puis, sur sa poitrine que je fis sortir de la robe après pris soin de la descendre légèrement pour avoir y avoir accès. Laissant mes lèvres s'emparer de ces seins que je malaxais d'une main, mon autre main qui avait commencer de légères caresses par dessus son bas se glissa lentement à travers pour venir sensuellement la caresser... Et si quelqu'un rentrait ? Si quelqu'un avait envie de prendre l'ascenseur ? Non... J'me pose plus de questions, là, c'est elle et moi, j'suis coupé du monde... •
 
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