WYATT ♦ I was hungry until you come

Je gardais mon sourire aux lèvres l'approchant alors un peu plus de moi, je venais alors déposer un baiser sur le coin de ses lèvres sans pour autant l'embrasser attendant sa réponse, réponse qui fut loin de me déplaire, il voulait voir ma façon de procéder ? Monsieur allait être servi. Tant mieux dans ce cas là. lui dis-je doucement avant de venir frôler ses lèvres pour finalement venir mordiller sa lèvre inférieure doucement laissant mes mains caresser sensuellement son torse, cette fois-ci j'en était sûre et certaines on allait aller jusqu'au bout, enfin on a avait déjà pas mal flirter auparavant mais cette fois ci nous étions beaucoup plus... proche j'ai envie de dire, et puis cela faisait des mois qu'on s'approcher du but mais que nous ne finissions jamais ce que nous commencions. Je lâchais après quelques secondes sa lèvre pour finalement déposer mes lèvres sur les siennes langoureusement histoire de lui montrer ce qu'il avait rater depuis plusieurs moi. Tu voudrais-pas retirer ce tissu ? Il me gêne un peu en fait. murmurais-je proche de ses lèvres jouant avec son t-shirt, je faisais allusion à son haut c'était flagrant mais bon c'était l'une des techniques que j'avais trouvé afin d'avoir amplement accès à son torse, je restais alors proche de lui enroulant mes mains autour de sa nuque avant de venir déposer quelques baisers sensuels sur son cou.

« Tant mieux dans ce cas là. » Rapprochant ses lèvres des miennes, elle les frôlait en douceur, avant de me mordiller la lèvre inférieure. Retenant mon souffle, je laissais un frisson envahir mon corps. Ses mains parcouraient mon corps lascivement, tandis qu’elle capturait mes lèvres dans un baiser. Me laissant faire, je prolongeais ce dernier, passant ma main sur sa fine taille. « Tu voudrais-pas retirer ce tissu ? Il me gêne un peu en fait. » Un sourire venait naitre sur mes lèvres. Ainsi dont, madame ne voulait rien faire. Me reculant légèrement d’elle, je passais mon t-shirt par-dessus mon visage sans la quitter des yeux. « C’est mieux comme ça » lui demandais-je. Face à elle, j’attendais qu’elle fasse un mouvement pour me rapprocher d’elle. Je sentais bien qu’elle voulait avoir le contrôle. Je n’allais pas lui dire non, alors qu’elle me montrait clairement ses intentions. Inutile de vexé une dame. Mon corps bronzé était marqué par la musculature de mon torse. Mon visage aux traits dur était adouci par le bleu de mes yeux. Seule trace de ce que j’étais intérieurement.