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It's a good Day to die (feat. Prudence)

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Lorsque mon ex me demanda la raison pour laquelle j’avais tant besoin d’elle, j’avais commencé mon explication par le fait que je l’aimais ce qui était totalement le cas même si elle avait du mal à me croire. Mais cela était de ma faute hein, on n’allait pas revenir là-dessus ! Bref pendant que je parlais, elle avait failli me répondre qu’elle m’aimait aussi comme durant cette fameuse nuit où on avait couché ensemble. D’ailleurs je crois que c’était ce baiser qui m’avait donné le plein de courage pour que je parvienne à sauter le pas. Elle me disait qu’elle ne savait pas quoi dire, ce qui était un tant soit peu normal quoi. Je comprenais qu’elle soit complètement perdue ou autre… Elle avait été tout de même cocue par son petit ami qui n’était autre que moi-même, Andrew Kenworth. Qu’importe, j’avais poursuivi ma palabre en lui demandant si elle était au courant pour la situation entre ma sœur et son meilleur ami… Elle me répondait que oui et qu’elle ne s’y attendait pas vraiment à cette nouvelle avant de me demander si moi je tenais le coup parce que ça ne devait pas être facile pour moi de voir en ce type le père de l’enfant de Quin… La dernière phrase de Prue me fit l’effet d’un coup de couteau en plein cœur. Je baissais légèrement les yeux avant de boire une gorgée de vin puis je reportais mon attention sur mon ex. « Oui j’ai énormément du mal à accepter cela… Jamais je n’aurais pu imaginer que ma sœur tomberait enceinte et encore moins de Jorden… Cela m’a fait l’effet d’une bombe atomique surtout que je l’ai appris par une autre personne… A notre arrivée en Martinique, j’ai décidé de parler de ça avec ma sœur mais ça a fini par éclater en une dispute… » je me tus légèrement la regardant toujours avant de reprendre : « Elle m’a remis complètement les idées en place. Même si je ne porte pas Jorden dans mon cœur, je n’ai aucun droit de les juger tous les deux et peu importe ce qu’ils vont décider, je serais présent pour ma sœur… Voilà aussi pourquoi j’ai besoin de toi. Que dois-je faire ? »
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Andrew me disait avoir eu une dispute avec sa sœur à propos du bébé qu’elle attendait. Si cela avait viré en dispute, cela voulait dire qu’elle voulait garder définitivement l’enfant. Merde. Jorden était mon meilleur ami, mais je me demandais s’il avait les épaules assez lourdes pour cela. Il adorait s’amuser et il se mettait souvent dans des histoires compliqués. Seulement, il allait avoir un enfant et ce n’était pas rien. « Elle va vraiment le garder alors » murmurais-je plus à moi-même. Pourquoi maintenant ? Sérieusement, ils étaient tellement jeunes pour avoir des enfants. Puis, ils ne pouvaient pas savoir ce que leur réserverait l’avenir. Alors, pourquoi accepter cela ? « Elle m’a remis complètement les idées en place. Même si je ne porte pas Jorden dans mon cœur, je n’ai aucun droit de les juger tous les deux et peu importe ce qu’ils vont décider, je serais présent pour ma sœur… Voilà aussi pourquoi j’ai besoin de toi. Que dois-je faire ? » Il avait besoin de moi pour savoir ce qu’il devait faire ? Hébété, je restais de marbre en le regardant dans les yeux. Je ne savais pas que ma présence était à ce point-là importante. « D’accord » Reprenant mon verre, je buvais une grande gorgée, avant de reprendre la parole. « Il est évident qu’elle ne veut pas avorter, alors la seule chose que j’ai à te dire, c’est d’être là pour elle comme je serais là pour Jorden. Je sais que tu ne le porte pas dans ton cœur, mais il ne l’a pas mis enceinte volontairement. Quinn a besoin de toi et ce n’est pas en la sermonnant que tu l’aideras. Elle a déjà fait son choix et cela, quoi que tu fasses. » 
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La question épineuse était rapidement arrivée sur le tas tout de même et tout cela par ma faute, du moins il me fallait l’avis de Prudence sur ce sujet surtout que cela concernait son meilleur ami que je voulais tant débarrasser de ce monde même si je devais avouer qu’on avait préparé la grosse soirée de Wyatt quelques jours plus tôt. Qu’importe, j’avais vraiment du mal à accepter le fait que Jorden ait mis ma sœur enceinte et je n’y parviendrais jamais en fin de compte même si je faisais tous les efforts possibles et inimagi-nables. Même si elle avait parlé d’une voix comme si elle se parlait toute seule, Prue me demandait si ma jumelle allait réellement garder son bébé. « Oui elle va le garder… » murmurai-je d’une voix assez éteinte alors que je poursuivais sur le fait que j’avais vraiment besoin d’elle pour me dire ce que je devais faire dans cette histoire. En plus je craignais que si jamais il se passait un truc entre son meilleur ami et moi, je savais que ça détruirait encore plus ma relation avec Prue… Je l’écoutais me prodiguer ses conseils. Elle avait raison et j’aurais du savoir cela depuis qu’on m’avait annoncé la grossesse de ma sœur mais j’avais décidé de fermer les yeux à ce moment-là parce que j’étais trop centré sur moi et mes problèmes alors que d’autres personnes avaient besoin de moi. « Oui tu as raison… Je te remerr… » mais je ne pus terminer ma phrase parce que je sentis quelque chose pénétrer ma chair à une vitesse. [co-lor=crimson]« Prueeeee… J’ai… »[/color] essayai-je de dire lorsque j’entendis distinctement un coup de feu et instinctivement je me jetais sur Prue pour la protéger mais je fus touché au niveau de l’épaule… Je n’entendais plus rien, c’était le néant autour de moi alors qu’en réalité tout le monde criait comme des fous et c’était là que je tombais au sol. Je me mis à cracher du sang… Je tombais dans le trépas… Que m’arrivait-il bon sang ?!
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Il avait besoin de moi pour l’aider, n’est-ce pas ? Dans ce cas-là, je me devais d’être franche et c’est ce que je faisais. Avec mes propres mots, je lui disais ce que je pensais de cette grossesse et ce qu’il –selon moi- devait faire avec sa sœur. « Oui tu as raison… Je te remerr… » Il s’était soudainement arrêter de parler. La scène autour de nous semblait s’être figée. Un sifflement attirait mon attention. « Prueeeee… J’ai… » Le visage d’Andrew était devenu soudainement livide. Ses yeux bleus étaient vitreux et emplis de surprise. Durant une seconde, nos regards se croisèrent. Perdu dans l’océan de ses yeux, je ne voyais rien d’autre. Plus rien n’avait d’importance à part lui. Mon cœur s’arrêtait de battre à la minute ou j’entendis un bruit facilement identifiable. Un coup de feu brisait cette bulle de silence. Du sang traversait l’épaule d’Andrew, alors que quelque chose me frôlait la peau. C’était une brulure cuisante et indomptable. Le corps immobile, je le vis bouger pour s’approcher de moi. Avant même que je réalise ce qu’il se passait, je fus projet au sol, la masse imposante de l’homme que j’aimais sur moi. En état de choc, je n’arrivais pas à réfléchir. Mon seul reflexe était de passé mes bras autours de lui, ignorant fortement la douleur qui s’emparait de mon bras. Une giclure de sang frais venait immaculé ma joue au teint nacrée. Incapable de tourner la tête, je pouvais sentir l’odeur rouillé du sang jusque sur ma langue. Après cela, tout se passait très vite. Des hommes venaient faire barrière sur nous. La sécurité d’Andrew se retournait, alors que je me refusais à le lâcher. Me redressant en même temps que lui. Je pus voir le sang sur son corps. Il en était presque imbibé. M’arrachant Andrew des bras, ma main frôlait son épaule en passant. Du sang venait la maquillé. Le sang de mon homme. Une voiture noire s’arrêtait en face de nous, alors que la police alertée faisait son apparition. Le bruit de leur alarme était assourdissant et me donnait l’illusion d’être dans une autre réalité. Perdant pied, je regardais les hommes mettre Andrew dans la voiture. Après cela, ce ne fut que le néant. Je fus monté de force dans cette dernière, alors que nous fonctions aux urgences. Le cœur figé, je n’eue que pour seul reflexe, de prendre Andrew contre moi. Posant sa tête sur mes cuisses. Je lui tenais d’une main la sienne et de l’autre, je lui caressais le visage. « Ne ferme pas les yeux » murmurais-je. Il n’y avait aucune trace de larmes sur mon visage, si ce n’est un choc évident. Il venait de se faire tirer dessus. 
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Aurais-je deviné que cette journée serait la pire de toute mon existence ? Eh bien non lorsque j’étais venu à ce fameux bar en compagnie de Prue c’était dans le but de lui parler et surtout de la voir, parce que j’en avais tellement envie. Malheureusement ce qu’il se passait actuellement allait changer la donne. En effet je n’avais pu terminer mes remerciements parce que je venais de ressentir une violente dou-leur au bas du dos avant que je n’entende distinctement le bruit d’un coup de feu et instinctivement je m’étais jeté sur ma copine plutôt ex-petite amie pour la protéger mais j’étais de nouveau touché cette fois au niveau de l’épaule. Je me sentais inexorablement partir, j’étais en train de mourir mais je tâchais de lutter. Cependant la douleur était trop vive et j’étais horriblement faible, je saignais abondamment, tout était flou autour de moi. Je ne voyais que Prudence… Je devais survivre pour elle, pour la femme que j’aimais mais aussi pour ma fille… Mon Dieu ! Laissez-moi mourir ! J’ai trop mal ! Je voulais crier cela mais je ne pouvais qu’agoniser au sol… J’entendis au loin les sirènes de la police, signe qu’ils venaient d’être alertés mais des hommes me prirent soudainement pour me foutre dans une voiture. Mes yeux étaient vitreux, j’étais véritablement dans un état critique. Je me sentais passer dans le néant à chaque seconde. Je n’avais plus de notions de temps, d’espace et j’en passe… J’étais dans un monde tel un monde de distorsion… Je revenais tout de même à moi lorsque j’entendis la voix de ma belle, elle me caressait tendrement le visage tout en me serrant la main. Elle me disait de ne pas fermer les yeux… D’une voix presque aussi faible qu’un murmure, je me mis à parler : [co-lor=crimson]« Prue… Je… t’aime… Si je meurs, je voulais te le dire une dernière fois »[/color] une nouvelle salve de douleur m’envahit soudainement me faisant crisper. Je ne pouvais réprimer ma douleur, j’étais mal en point. « Tenez bon Monsieur » me criait le chauffer qui se révélait être le chef de ma sécurité rapprochée tandis qu’il nous conduisait le plus rapidement possible je ne savais où mais même dans cet état, je pouvais tout de même comprendre qu’on m’emmenait jusqu’à l’hôpital… Nous y arrivions rapidement et mes hommes s’étaient précipités jusqu’à des infirmiers qui me mirent dans un brancard. [co-lor=crimson]« Ne…me…laisse…pas »[/color] avais-je du mal à articuler à l’adresse de Pru-dence.
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Il y avait du sang partout. Mes yeux ne savaient plus où se poser. Il m’était impossible de réfléchir posément, alors qu’il perdait un peu plus de sang à chaque secondes. Le regard hagard, je fus sauver par un de ses hommes de mains qui me donnait une serviette blanche pour que je puisse compresser l’endroit le plus sanguilonant de son corps. Autrement dit, son épaule. Sous mes yeux, une seconde balle était venue pénétrer son corps. Je n’avais rien pu faire pour l’arrêter, car j’étais impuissante. Sur mon bras droit, le sang causé par l’éraflure d’une troisième balle, continuait de couler, brulant chaque centimètre de ma peau. Pourtant, je n’y faisais pas attention, car il n’y avait qu’Andrew qui comptait. Compressant d’une main sa blessure, je caressais ses cheveux de l’autre. Les yeux bleus du jeune homme étaient ternis par ce qui devait être la douleur. Des gouttes de sueurs froides perlaient sur son front. Tâchant de rester forte, je retenais les sanglots qui compressaient ma poitrine, me menaçant de couleur au moindre écart. Pensant qu’il allait garder ses forces, je ne m’attendais pas à ce qu’il se mette à parler. « Prue… Je… t’aime… Si je meurs, je voulais te le dire une dernière fois » Est-ce qu’il voulait vraiment me faire pleurer ? Je détestais ce genre de mots. Ils étaient pour moi, les prémices d’un adieu sans retour. « Chut…garde tes forces. Tu ne vas pas mourir » Mon regard était dur, mais cela était pour son bien. Non, il n’allait pas mourir. J’allais lui prendre les meilleurs spécialistes et il allait vivre, car il ne pouvait pas donner victoire à ceux qui lui avaient infligé cela. Devant nous, son chauffeur lui disait de tenir bon. Etait-il lui aussi attacher à son patron d’une quelconque manière ? Surement. Perdre son patron en plein service devait être égale à un échec, mais y avait-il plus que de la simple courtoisie ? Peu importe. Priant pour que la voiture aille plus vite, nous arrivions enfin à l’hôpital où il fut pris immédiatement en charge par des brancardiers et infirmiers. « Ne…me…laisse…pas » Lui serrant la main, je ne le quittais pas une seule seconde et cela malgré les protestations de certaines personnes. « Je ne te laisserais pas » Je déposais un baiser sur sa main, alors que l’on me refusait l’accès au bloc. Le cœur battant, je m’appuyais un instant au mur, avant d’être interrompus par un de ses hommes de mains qui me demandait ce que je souhaitais faire. Pendant plusieurs minutes, je restais pétrifié, échafaudant un plan. Il ne fallait pas que je perdre mon calme. Il fallait que j’agisse. Inspirant un bon coup, je trouvais enfin la force de parler. « Appeler l’aéroport, il me faut un jet privé. Il nous faut aussi une équipe de médecin qualifié. On leur payera le déplacement. Il va aussi falloir m’emmener sur le bateau pour chercher sa fille. Il faut qu’on l’emmène au plus vite en Amérique pour qu’il soit en sécurité. On part dès aujourd’hui. »
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Ainsi donc ils avaient finalement réussi à m’avoir ces connards qui étaient à mes trousses depuis tant de temps, même dans cet état, j’arrivais encore à avoir un tant soit peu de lucidité pour me dire qu’ils avaient bien trouvé leur jour. Tenter de m’assassiner alors que je buvais tranquillement du vin en compagnie de mon ex-petite amie et surtout pile au moment où on parlait de la chose qui fâchait actuelle-ment : la grossesse de ma sœur causée par l’autre con de Jorden qui ne savait pas ranger son oiseau. Enfin bref alors que nous étions sur la route de l’hôpital le plus proche dans une voiture blindée de ma sécurité, je luttais contre l’envie de plonger réellement dans le trépas. Je voyais très exactement ce que tout le monde disait lorsque nous étions proche de la mort, en l’occurrence cette fameuse lumière blanche. Cependant je ne pouvais pas l’atteindre parce que mon cœur refusait de cesser de battre alors que malgré la compression de fortune de Prudence, je perdais encore énormément de sang et je sentais que si jamais on passait encore une minute de plus dans cette voiture, j’allais me retrouver dans ce chemin de non-retour d’où le fait est que je venais de dire à Prue que je l’aimais et que je voulais qu’elle le sache avant que je ne meure. Mais elle me fit taire en m’ordonnant de garder mes forces parce que je n’allais pas mourir. Sa volonté de croire que je n’allais pas mourir me donnait la force de me battre pour survivre. Nous étions finalement arrivés aux urgences où on me prit immédiatement en charge tandis que je demandais à Prue de ne pas me laisser. Elle me promit de ne pas le faire mais malheureusement on lui refusa l’accès au bloc où on s’était mis à s’affairer autour de moi pour me maintenir en vie. Pendant ce temps la femme de ma vie donnait des ordres pour que je sois immé-diatement transféré jusqu’aux Etats-Unis où je pourrais être sous protection maximum. L’un de mes hommes répondit avec respect : « Bien Madame ça sera fait ! » il s’inclina avant de rejoindre la voiture d’où il pourrait contacter un de mes appareils basés aux Bahamas via le téléphone crypté de la société. Il revint quelques minutes plus tard avant d’annoncer Prue. « Madame, un jet de la société sera à l’aéroport d’ici deux heures grand maximum. »
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« Madame, un jet de la société sera à l’aéroport d’ici deux heures grand maximum. » Deux heures, c’était beaucoup trop long. Surtout, s’il y avait des retards. « Bien » Que dire de plus ? Je ne pouvais pas leur demander la lune. Andrew était dans le bloc opératoire et de la salle d’attente, je ne pouvais rien faire. Comment voulaient-ils que j’attende bien sagement ? C’était impossible. Laisser Andrew était difficile, mais il fallait que je bouge. Je ne tiendrais pas une minute de plus. Me tournant vers ses gardes du corps, je m’adressais à un des hommes de mains. « Il faut que j’aille chercher sa fille. » J’allais continuer à parler lorsqu’une des infirmières attiraient mon attention. Etant perturbé par la fusillade, j’avais complètement oublié que mon bras continuait de saigner. Je dû donc m’assoir sur un lit pour recevoir quelques soins. Une fois le pansement appliqué, je me débarrassais de l’infirmière. Voilà trente minutes qu’Andrew était au bloc et je n’avais toujours pas de nouvelles. « Il me faut une voiture. Une voiture basique. On va prendre un taxi. » Ignorant les protestations des hommes, je m’arrêtais sur l’homme qui m’avait aidé. « Vous. Vous venez avec moi. Être dans un taxi avec un homme passera inaperçu et c’est la sécurité de la petite qui passe avant tout le reste. » Sans plus attendre, j’allais au standard pour réclamer un taxi. Il mit une dizaine de minutes à arriver. Suite à cela, j’allais sur le bateau pour récupérer la petite, ainsi que quelques affaires, après avoir rassemblé les miennes. Je mis quelques minutes à agir, avant de repartir à l’hôpital. Durant le trajet, j’avais tenté d’expliquer ce qui se passait à la petite, mais finalement, elle finissait par s’endormir dans mes bras. La voir aussi fragile, me fendait le cœur. Que ferait-elle sans lui ?
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J’étais sur une table du bloc opératoire de l’hôpital où on m’avait emmené pour que j’y sois soigné le plus rapidement possible afin que je puisse être transférable aux Etats-Unis mais ma lucidité n’était plus de mise, en effet j’étais en train de mourir petit à petit même si je faisais de mon mieux pour me battre afin que je puisse survivre à cette horrible attaque. On m’avait finalement vaincu, je n’avais même plus la force de lutter. Les médecins et infimiers s’activaient totalement autour de moi jusqu’au moment où mon cœur s’arrêta totalement de battre. Le bip bip signalant mes battements cardiaques ne sonnaient plus, j’étais en train de mourir. Effrayés par cette scène, les médecins décidèrent de me réanimer immédiatement avec le défibrillateur. Ils me mirent deux grosses décharges mais je ne revins uniquement à la troisième tentative. Et encore je ne suis revenu qu’au bout de quelques longues secondes durant lesquelles les médecins s’étaient apprêtés à noter l’heure de mon décès. Le médecin qui était le chef alla finalement voir Prudence qui était quant à elle partie chercher ma fille. « Madame, votre mari est passé de l’autre côté pendant un quart de seconde avant de revenir à nous. Quand pensez-vous que l’avion qui doit le transporter aux USA arrivera ? Parce que je crains que d’ici là il nous quitte réellement. » il avait une tête déconfite mais il essayait d’être tout de même réconfortant. Qu’allait-il se passer maintenant ? Quelques minutes passèrent lorsqu’un homme en noir arriva pour se tourner Prudence. « L’avion arriva dans vingt minutes à l’aéroport, nous devons y aller maintenant Madame ! »
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« Madame, votre mari est passé de l’autre côté pendant un quart de seconde avant de revenir à nous. Quand pensez-vous que l’avion qui doit le transporter aux USA arrivera ? Parce que je crains que d’ici là il nous quitte réellement. » Entendre le médecin parler d’Andrew en l’appelant ‘’votre mari’’, eu le don de me donner un électrochoc. Ne préférant pas le reprendre, je restais silencieuse. Si j’avais le malheur de dire quelque chose, il risquait de ne plus rien me dire. Le plus dure fut de me rendre compte qu’Andrew avait failli mourir. Il me parlait de l’autre monde avec décontraction comme si ce n’était qu’une légère erreur. Incapable de répondre, je fus sauvé par un des hommes de mains du blond. « L’avion arriva dans vingt minutes à l’aéroport, nous devons y aller maintenant Madame ! » Aliénor était toujours dans mes bras, plongée dans un sommeil profond. « Vous avez entendu. On peut l’emmener maintenant. » Tout de suite, une ambulance fut mise à disposition à l’entrée et quelques minutes plus tard, le brancard d’Andrew sortait de la salle. Je pouvais à peine le voir, car il était caché par toute une équipe. Fixant le brancard s’éloigné, je sentis mon cœur s’affoler contre ma poitrine. Reprenant le contrôle de mes jambes, je marchais rapidement vers l’ambulance pour monter dedans, mais les infirmiers m’y empêchaient, prétextant qu’il n’y avait pas de place. Si je ne pouvais pas y aller avec Aliénor, il fallait qu’un autre homme monte. « Faite de la place. Je veux un de nos hommes dedans et c’est non-négociable » Comme homme de sécurité, je choisissais un de ses hommes de mains avec qui je l’avais souvent vu. S’il était en danger autant lui préféré quelqu’un de loyal. Quant à moi, je montais dans la voiture noire en direction de l’aéroport. « Il faut que personne nous voit » Enfermer dans cet habitacle, j’avais l’impression de devenir claustrophobe. Empoignant mon téléphone portable dans une main de libre, je m’arrêtais sur le numéro de mon père. Il venait d’être sénateur à Washington, par conséquent, il avait beaucoup de moyens en Amérique. Plus qu’avant. « Ne prévenez pas l’entreprise. Personne en dehors de nous, ne doit être au courant de cet incident. Suis-je bien claire ? Personne à part nous » Je pouvais paraitre froide, mais je n’avais pas d’autre choix que d’être ferme pour qu’ils m’obéissent.
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