billander ☆ 'tow' you turn twenty-two ♪

Billander ★
happy birthday to you sweetheart

On était un peu des experts en disputes, que ce soit pour rigoler, bon enfant, ou alors sérieux, ce qui peut nous foutre le doute bien sévèrement. On était des experts et je pense pas que ça puisse s'arrêter un jour. Pour preuve, Billie jouait encore cette carte pour me déstabiliser dans ce jeu qu'est Mario Kart. Enfin, c'était quand même étrange puisque nous étions dans la même équipe et elle trouvait encore le moyen de rendre ça de façon compétitive. Bon, je suis pareil aussi donc je n'ai pas grand chose à dire, mais quand même. De toute façon, elle pouvait parler, elle venait de perdre trois pièces, merci à Luigi de l'équipe adverse de les lui avoir piqué pour appuyer ma théorie qu'on ne doit suivre que SON écran et pas celui du voisin. « Fair enough. Mais tu mérites que j'te balance une carapace pour avoir osé me parler comme ça. Viens ici ! » J'ai pas eu le temps de dire quoique ce soit que je me retrouvais avec une main sur les yeux. Dafuck !? « Mais bouge de lààààà ! » Je continuais de conduire mais je ne voyais pas où j'allais malheureusement, et c'était un problème dans ce genre de jeu. « Laisse moi ! » Et puis dans un moment de lucidité - je ne sais pas pourquoi je n'y ai pas pensé plus tôt - je mettais pause rapidement avant de me jeter sur elle pour capturer ses lèvres. « Désolé, mais là y'avait trop d'excitation pour que je puisse continuer normalement. » Eh, ouais, bah ouais.

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pop your confetti, pop your pérignon

Ouais, j'agissais comme une gamine insolente depuis tout à l'heure mais c'était pas parce que je prenais un an de plus que j'allais soudain toucher la raison du bout du doigt. Puis j'avais un été tellement sérieux avec toutes ces conneries que provoquait ma mère et le fait d'avoir perdu la garde de Robyn sans parler de la pression que je ressentais pour le projet Disney, que ça me faisait du bien de me défouler un peu en faisant la con avec mon mari. Alors oui, je l'emmerdais jusqu'à la moelle actuellement, mais s'il m'aimait vraiment, il devrait le supporter. J'étais intenable, à lui foutre ma main sur les yeux pour l'empêcher de voir mais il se débattait à peine et moi je continuais d'essayer de naviguer mon Mario d'une main, le plus maladroitement du monde. « Mais bouge de lààààà ! » Je rigolai en balançant un petit « Nope, » alors que je manquais de me prendre un ravin. « Laisse moi ! » Sourire plaqué sur la tronche, je secouai la tête en continuant de le titiller. « T'as pas dit s'il te plaît. » Mais avant que je me rende compte de quoi que ce soit, il se jetait sur moi et j'entendis le son du jeu qui se mettait en pause. Oh le fourbe. Ses lèvres clamèrent les miennes et je me mis à sourire contre sa bouche, me sentant m'enfoncer dans les coussins qui étaient dans mon dos. « Désolé, mais là y'avait trop d'excitation pour que je puisse continuer normalement. » Meh, j'crois que je pourrais m'y faire. J'enveloppai mes jambes autour de ses hanches et le rapprochai de moi éhontément. « Coucou hubby, » déclarai-je avec un sourire taquin, tout près de son visage avant de reprendre ses lèvres quelques secondes. « C'était pas du tout l'effet recherché, » lui assurai-je avec un air qui en disait long sur mon mensonge.

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happy birthday to you sweetheart

Rigoler avec elle comme ça, sans insouciance, ça faisait vraiment du bien. Parce que bordel, j'avais l'impression qu'on se prenait clairement trop au sérieux depuis que nous étions à New York, avec le procès de sa mère, nos projets professionnels respectifs et le fait que nous devions tout faire pour gagner de nouveau la garde de ma fille. Mais ce soir, on mettait tout ça de côté, vraiment de côté, pour pouvoir décompresser et fêter ses vingt-deux ans comme il se devait. Mais elle trouvait que c'était plus fun de me cacher la vue de la télévision en mettant sa main devant mes yeux, pour que je me retrouve dans un ravin, à tous les coups. « Nope, » Elle voulait pas bouger ? Qu'elle ne bouge pas, moi je bougerai à sa place. Je tentais des petites feintes en me décalant mais sa main bougeait elle aussi avec mes yeux, ce qui m'ennuyait fortement et.. bizarrement, m'excitait. En même temps, elle n'avait pas grand chose à faire pour m'exciter en même temps alors bon. « T'as pas dit s'il te plaît. » Et finalement, je décidais de laisser aller mes pulsions. Mettant rapidement pause à notre jeu, je me jetais littéralement sur elle pour capturer ses lèvres et l'embrasser en la planquant dans le canapé. « Coucou hubby » avouait-elle, ses jambes s'enroulant autour de mes hanches. Sourire sur les lèvres, je répondais « Hello wife » Nos lèvres se rejoignaient une nouvelle fois avant qu'elle ne reprenne la parole « C'était pas du tout l'effet recherché » Faisant une moue, je secouais négativement la tête avant de frotter mon nez contre le sien. « Du tout. » Je me remis à l'embrasser alors, bien plus fougueusement que tout à l'heure et je laissais ma main venir se promener le long de son flanc, trouvant alors une entrée pour un aller simple vers sa peau dénudée. « Puisque c'est ton anniversaire, je dois te donner un cadeau, n'est-ce pas ? Et je me suis dit.. puisque tu m'aimes, autant m'offrir à toi. Alors voilà, mon cadeau, c'est moi ! » disais-je avec un grand sourire sur les lèvres.

Billander ★
pop your confetti, pop your pérignon

Depuis que nous étions arrivés à New York, c'était comme si on avait pris dix ans de maturité dans les dents. On avait des projets professionnels sérieux sur lesquels on s'acharnait pour offrir le meilleur de nous-même. Bon d'accord, je dessinais et j'animais des personnages d'un dessin animé, mais c'était un boulot sérieux quand même, pour l'une des plus grosses compagnies au monde. Entre ça, le procès de ma mère et le fait qu'on cherche un centre de désintoxication des plus réputés pour nous reprendre en mains tous les deux, on avait tendance à en oublier qu'on était que deux jeunes cons, qui essayaient toujours de profiter de la vie. Ce soir était fait pour nous rappeler ça, nous rappeler qu'on avait encore le droit de se montrer immatures, de s'amuser ensemble. « Hello wife, » dit-il avant que je ne l'embrasse à nouveau et lui rappelle d'une façon détournée que sa réaction était ce que je cherchais depuis le début. « Du tout. » J'embrassai le bout de son nez et il choppa à nouveau mes lèvres avec bien plus de passion qu'avant. Je grognai et mon bruit se perdit sur sa bouche. Sa main se baladait sur mon corps et enfin il sembla trouver ce qu'il cherchait lorsqu'il passa sa main sous mon débardeur. Sa peau contre la mienne était une sensation délicieuse. « Puisque c'est ton anniversaire, je dois te donner un cadeau, n'est-ce pas ? Et je me suis dit.. puisque tu m'aimes, autant m'offrir à toi. Alors voilà, mon cadeau, c'est moi ! » Au vu de son grand sourire sur son visage, je ne pus m'empêcher de rire parce qu'il était trop fier de sa trouvaille. « Donc je t'offre un grand appartement avec terrasse et vue sur Manhattan en plein cœur de l'Upper West Side et tu m'offres un câlin ? » Je passai délicatement mes mains le long de ses avant-bras plusieurs fois, me mordant la lèvre inférieure en le regardant. « C'est le plus beau cadeau que j'puisse avoir. » Je passai mon bras derrière sa nuque et l'emprisonnai au creux de mon coude en l'embrassant avec toute la fougue que j'avais.

Billander ★
happy birthday to you sweetheart

Notre vie à New York pour l'été n'était pas vraiment comme j'avais pu l'imaginer. Moi qui suit un petit con qui aime faire des conneries, je m'étais pris au sérieux tout le long du procès mais également depuis que Robyn était avec nous. Je devais me montrer irréprochable, ça pourrait être utilisé dans mon dossier pour récupérer mon droit de garde de la petite. Mais ce soir, j'avais perdu tout ce sérieux rien qu'en jouant à Mario Kart avec la femme que j'aime. Autant dire tout de suite, ça faisait un bien fou. Surtout quand j'avais décidé de mettre pause et de m'emparer de ses lèvres afin de l'attirer avec moi sur le canapé. C'était son anniversaire et tout ce que je voulais, c'était qu'elle soit bien, heureuse. Après tout, c'est tout ce qui compte. « Donc je t'offre un grand appartement avec terrasse et vue sur Manhattan en plein cœur de l'Upper West Side et tu m'offres un câlin ? » Je la regardais avec le même grand sourire sur les lèvres et je hochais la tête. Bah ouais, même si j'avais une mastercard, je lui faisais plaisir avec des choses inestimables, c'est tout. « C'est le plus beau cadeau que j'puisse avoir. » Son bras me plaquant contre elle, je la laissais mener ce baiser langoureux, bien que mon bras qui se trouvait sous son t-shirt s'enroulait autour d'elle pour la coller contre moi. « Mh, mh » disais-je en stoppant le baiser. « Attends, j'ai un vrai cadeau pour toi en fait, bouge pas je reviens. » Je me redressais, déposant une nouvelle fois mes lèvres sur les siennes assez rapidement avant d'aller dans notre chambre, dans ma table de nuit. J'y retrouvais l'écrin que j'avais soigneusement choisi pour l'occasion et, sourire en coin, je revenais vers elle pour me mettre à califourchon sur elle, sur le canapé. « Tiens, cadeau » Il s'agissait d'un pendentif en or blanc, avec deux anneaux l'un dans l'autre avec des gravures dessus. "Alex" et "Billie". Hell yes honey, toi et moi c'est fait pour tenir.

Billander ★
pop your confetti, pop your pérignon

J'avais envie de retrouver mon mari ce soir, celui avec qui déconner était un de nos passe-temps favoris. Bon .. en dehors du sexe, quoi. Oui parce que si on ne le savait pas déjà, on était tous les deux extrêmement portés sur la chose. D'ailleurs, il était positionné contre moi, entre mes jambes qui plus est et son corps contre le mien commençait à me faire un sérieux effet. Je n'allais pas rechigner contre la direction que prenait notre soirée, nope. C'est pourquoi je grimaçai un peu en le sentant s'éloigner de moi à nouveau. « Attends, j'ai un vrai cadeau pour toi en fait, bouge pas je reviens. » Je tentai de le retenir, attrapant son poignet. « Non, reste contre moi, » pleurnichai-je en le sentant s'échapper quand même. Le seul cadeau que je voulais, c'était qu'il reste avec moi. Mes bras retombèrent mollement de chaque côtés de mon corps tandis qu'il quittait la pièce et j'attendis qu'il revienne, fixant le dernier endroit où je l'avais vu. « Aleeeeex. » Une vraie gamine. Enfin il revint et je le regardai avec un sourire charmeur pour le faire revenir plus vite. Il s'installa sur mes hanches, m'empêchant de me redresser alors j'attrapai l'écrin qu'il me tendait sans rien dire. « Tiens, cadeau. » Je l'ouvris maladroitement, attrapant délicatement le collier à l'intérieur pour l'observer de plus près. Je remarquai que c'était de l'or blanc, comme nos alliances et qu'il s'agissait de deux bagues entrelacées. Déjà là, je sentis mon cœur se mettre à battre plus fort. Et en l'examinant de plus près, je vis que nos deux prénoms étaient gravés dessus. Je me mordis la lèvre et relevai un regard brillant sur mon mari. « C'est magnifique. J'sais pas quoi dire .. » J'crois que même 'merci' ne conviendrait pas. Alors en guise de remerciement, je tirai doucement son visage au mien pour l'embrasser avec douceur. « Tu me le mets ? » lui demandai-je en lui tendant la chaîne.

Billander ★
happy birthday to you sweetheart

« Non, reste contre moi » Trop tard, je m'étais défait d'elle pour aller dans notre chambre. Ouais bon, moi comme cadeau était un beau cadeau je l'avoue, mais j'en avais quand même trouvé un autre l'autre joue quand je me baladais dans les rues de Manhattan. Il y avait cette petite bijouterie qui faisait des trucs pas mal et j'avais cédé, j'avais trouvé un beau collier qui, je suis sûr, lui plairait. Il était sobre et à notre image, rien de très pimpant. « Aleeeeex. » l'entendais-je m'appeler. Finalement, l'écrin en main je revenais vers elle pour m'installer à califourchon, sourire sur les lèvres, évidemment. Je lui tendais la petite boite qu'elle attrapait avec timidité et j'attendais patiemment sa réaction. En fait, j'appréhendais et je venais à me pincer les lèvres en la regardant découvrir le cadeau. Enfin, son regard venait croiser le mien et je comprenais rapidement qu'elle était heureuse de cette petite attention, ce qui me faisait sourire d'avantage. « C'est magnifique. J'sais pas quoi dire .. » Je la laisse atteindre mes lèvres pour m'embrasser doucement, avec plein d'amour. « Tu me le mets ? » Je hochais la tête et j'attrapais le collier et je me reculais pour la laisser se redresser. Ses cheveux relevés, je plaçais le bijou autour de son cou et je l'accrochais minutieusement. Une fois fait, je prenais son visage entre mes mains et je la dévorais du regard, sourire en coin. « T'es belle, je t'aime. » Je déposais mes lèvres sur les siennes, la faisant se rallonger en restant sur elle.

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pop your confetti, pop your pérignon

Mon cœur battait à fond, c'était dingue un tel sentiment alors que je n'étais pas en proie à la panique ou sur le point de me faire descendre, c'était un truc auquel je n'avais absolument pas l'habitude et pourtant, ça m'arrivait désormais très souvent avec Alex. Cette impression que je ne contrôlais plus rien, mais c'était quand même malgré tout un sentiment agréable. Je n'aurais jamais cru dire ça un jour. Depuis qu'il m'avait souhaité mon anniversaire à minuit, j'étais dans un état de bonheur que moi-même je ne comprenais pas, comme si je ne réussirais jamais à redescendre de mon nuage, comme si éprouver de la tristesse ou de la colère me semblait physiquement impossible. Le collier qu'il m'offrait ne faisait que renforcer tout ça et quand il bougea pour me le passer, mon sourire ne se décollait plus de mon visage. « T'es belle, je t'aime. » Il prit mes lèvres, me rallongea et tout s'enchaîna bien vite ; je m'amusais à lui montrer avec mon corps ce que ma voix était bien souvent incapable de formuler : comme je l'aimais, à quel point il me comblait de bonheur, qu'il était une part de moi. Je m'endormis en travers de son corps, à même le sol et tout mon être repu. Mais je me réveillai au milieu de la nuit et je me levai en le traînant derrière moi, les yeux à moitié fermés pour retourner jusqu'à notre lit où finalement, je me laissai bouffer par l'envie alors que la moitié de mon corps refusait de me répondre. Mais je ne pus me rendormir qu'une fois ce besoin soudain satisfait. Et ce fut comme ça tout au long de la nuit : plusieurs fois je le tirai à moi, réclamant qu'il m'aime à nouveau et ce ne fut qu'une fois le jour levé que je m'endormis assez profondément pour ne plus me réveiller sans cesse. Le réveil fut douloureux, sur tous les plans possibles mais j'eus un mal de chien à ouvrir mes paupières quand il me réveilla avec le petit déjeuner au lit.
On se retrouvait donc à Central Park, on était au beau milieu de l'après-midi, lui assis sur le drap sous nos fesses et moi semi-allongée, dos contre lui avec Robyn à cheval sur mon ventre qui me regardait lui faire des grimaces comme si je débarquais d'une autre planète. Je lui chatouillai la joue de mon index, provoquant un joli sourire avec ses deux petites dents qui avaient commencé à percer. « Regarde ça, elle fait un sourire rien que pour moi. » dis-je d'un air pompeux, petit sourire en coin avant de faire semblant de manger ses petites mains.

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happy birthday to you sweetheart

Elle était belle, c'était un fait. Je l'aimais et pour moi, elle restait la femme la plus belle que j'avais pu rencontrer. Evidemment, l'amour que j'éprouvais pour elle l'embellissait à mes yeux. Mais de façon très objective, oui, elle était belle et la voir heureuse était une fierté. J'étais fier ouais de pouvoir être celui qui la faisait sourire, qui faisait que ses yeux pétillaient de bonheur. Son collier mit en place, je venais l'embrasser et c'est à ce moment là que la nuit n'a fait que commencer. A plusieurs reprises, nos corps se sont liés dans des ébats amoureux. Ce n'était qu'au petit matin que finalement nous nous endormions. Enfin, c'était vite dit. Billie n'a pas eu tant de mal que ça, mais pour ma part j'ai du m'occuper de Robyn qui s'était mise à pleurer pas plus d'une heure après que je me sois endormi. Me levant difficilement, je suis allé dans sa chambre et je me suis occupé de lui préparer son biberon ainsi que son espace de jeu qui avait été compromis la veille quand ma femme et moi avions commencé à jouer à la Wii. J'en avais profité pour prendre deux bons cafés. J'ai fait la toilette à ma fille et puis je l'ai laissé de nouveau jouer. Au bout d'un moment, je me suis dit qu'il était temps de réveiller la femme de la journée. J'avais préparé le petit déjeuner, gardant un oeil sur la petite et une fois que tout était sur le plateau, j'avais pris soin de déposer Robyn sur le lit qui s'était mise à aller jusqu'au visage de Billie pour jouer avec en prodiguant quelques petites caresses. Ses yeux ouverts, je lui présentais la petite surprise que je venais de lui faire et son sourire valait tout, vraiment.
L'après-midi se présentait vraiment bien. La journée était ensoleillée et pour cette raison, nous avions décidé de passer un bon moment à Central Park. Drap disposé sur l'herbe, nous étions tous les trois en train de passer un agréable moment. J'avais Billie qui était calée contre moi, ma fille sur elle et elles étaient toutes les deux en train de jouer. J'appréciais ce que je voyais parce que ma femme était heureuse et ma fille était tout simplement en train de lui sourire. « Regarde ça, elle fait un sourire rien que pour moi. » Je me mis à sourire, posant mes lèvres sur le haut de son crâne. « J'vois ça ouais, je vois ça. » Je ne voulais pas gâcher le moment en parlant inutilement. Ca me faisait plaisir de voir qu'elle acceptait enfin ma fille dans notre vie. Je calais mon visage dans son cou, déposant un baiser avant de les regarder de nouveau jouer ensemble.