andrew & alexia vs cody & niels - Entretiens, attention c'est sérieux.

Non mais non mais non mais … C'est bon les clins d'oeil ? C'est bon les compliments ? Stop stop stop. Bleeker comprit aussitôt qu'il n'avait aucune chance. Andrew semblait avoir fait son choix et Alexia rougissait dès que Niels ouvrait la bouche. On aurait dit un écran radar quand un avion ennemi entre dans le champ de vision. Du coup, s'il pouvait sembler stressé à l'approche d'un entretien, il se détendit rien qu'en voyant ce qui se cheminait autour de lui. Il n'avait aucune chance d'être choisi, pure question d'affinité. Alors autant en jouer ? Très bien, il allait en jouer. Il se décontracta légèrement – encore plus qu'il ne le montrait avec le port de sa chemise Hawaïenne – et s'adossa à sa chaise, un petit sourire en coin. Il se redressa, joignit ses mains pour prendre une posture plus professionnelle, plus confiant. « Ce que je sais de Tecwave ? » Rien. Franchement, rien de rien de rien de rien. Ahah, ça commençait à être drôle. « Que cette start-up est au top de la technologie, qu'elle est implantée sur une niche en perpétuel mouvement, qu'elle est réactive, qu'elle se doit d'être autonome face aux transformations du marché, et gérée par une brillante entrepreneuse dans le vent, qui ne démordrait pas pour emmener sa boîte toujours plus haut, toujours plus loin. » Petit silence. Cody fixait Alexia, toisant le degré de rougissement de ses joues. Merde, il n'allait pas battre Niels comme ça. Alors que Cody passait son temps à draguer Alex. Du coup, Cody commençait à croire qu'avec Niels, c'était plus sérieux, du moins, c'était aller plus loin. Il ria intérieurement. Il continua à broder, comptant beaucoup sur sa tchatche naturelle. « … Qu'il ne faut pas oublier qu'Apple a commencé dans le petit garage de Steve Jobs avant d'être la FMN que l'on connaît aujourd'hui. Alors, on me demande ce que je sais de Tecwave ? Tout ce que je sais, c'est ce que je vois ... » Moment philo du jour, bonjouuuur. « … Un avenir. Un avenir brillamment mené par Alexia Dickins, le charme anglais en plus. » Et par Andrew Ken... Truc. Le seul Ken qu'il connaissait, c'était celui de Barbie. Bref, il n'avait qu'à continuer à faire des clins d'oeil à Niels, lui.

Alexia pensait honnêtement que Cody ne connaissait pas grand chose à son entreprise, ils n'en avaient jamais clairement parlé, en fait il devait ignorer qu'elle était pdg de Tecwave jusqu'à son entrée dans la salle, mais elle savait que de toute façon, avec son humour décalé unique au monde, il allait faire une petite glissade et s'en sortir. Sauf que ce n'était pas exactement le genre de glissage auquel elle s'attendait. D'abord elle mit deux minutes à réaliser que c'était elle, la brillante entrepreneuse dans le vent évoquée par Cody. Là, elle ne put retenir un sourire, ça faisait toujours plaisir un compliment, même si elle se doutait bien que c'était comme les toasts à l'ananas, juste pour la flatter et avoir le job. Technique classique, soudoyer le jury. Mais Cody reprit son discours, et là elle eut carrément droit à la comparaison avec Steve Jobs, idole absolu de beaucoup de jeunes entrepreneurs, mais surtout, elle s'entendit dire qu'elle avait le charme anglais en plus. Wow, le rouge lui monta aux joues. C'était dit d'une manière super romantique. Mais si. Alexia en était super perturbée. Elle resta bouche bée à regarder Bleeker dans sa chemise hawaïenne. Ils allaient lui faire un concours de drague à la place de l'entretien d'embauche ou quoi ? Non parce qu'elle n'avait strictement rien retenu de ce qu'il avait dit à propos de l'entreprise, mais par contre à propos d'elle, elle ne risquait de l'oublier. Elle était super gênée. Déjà bien rouge. Ca promettait. Elle se souvint tout à coup qu'Andrew était là et venait d'assister à la scène. Elle attendit dans l'espoir qu'il vole à son secours et dise quelque chose, mais rien ne vint. "Euh ... merci beaucoup Cody ..." Reste professionnelle Alexia. "Merci beaucoup pour cette réponse très ..." Très quoi ? Romantique ? Dynamique ? Passionnée ? "Documentée." Pour essayer de retrouver de l'air, elle passa à Niels. "A votre tour, Niels, quelle est votre expérience en entreprise jusqu'à maintenant ?" Elle savait qu'il avait une super expérience. Tant qu'il ne parlait pas de la fin, évidemment.

Alexia demande à Cody de lui dire ce qu'il savait de son entreprise. Très franchement, je sais juste que c'est une start-up qui bosse sur des applis. Alors que j'écoute le jeune homme, je me dis WHAT THE HELL IS THAT ?? Nan mais sérieusement ? Le gars est parti en cacahuète là, que quelqu'un l'arrête ! En fait, on dirait qu'il essaie de rendre Alexia toute rouge et le pire c'est que ça marche. Elle commence à devenir pivoine et gênée en plus. Quoi ? C'est comme ça qu'il espère avoir le job ? En réalité, je suis un pue blessé, je pensais avoir le monopole des joues rouges d'Alexia... Et puis cette allusion à Apple et Steve Jobs... C'est tellement cliché... C'est clair qu'il en sait pas beaucoup sur Tecwave. Bref, mon tour arrive et la question est parfaite. Sauf qu'il vaut mieux oublier la fin de mon expérience, vous savez, celle où je finis en garde à vue ? Dérape pas Johanson ! "Eh bien, j'ai toujours côtoyé le monde des affaires, mon père possède une entreprise de hareng en Suède et depuis mon adolescence, j'ai accompagné mon père dans beaucoup de ses démarches dans son entreprise. Il voulait que je reprenne l'affaire, mais je me sens plus ambitieux, je veux avoir mon projet, ou participer à quelque chose qui me tient plus à coeur que des harengs, vous comprenez ? Alors, j'ai lancé mon entreprise avec mon frère l'an dernier, dans l'import-export." Terrain glissant Niels... L'import de fric sur mon compte, ouais... "Grâce à nos nombreuses relations, nous avons réussi à réunir le capital nécessaire pour faire marcher notre affaire, mais un de nos associé nous a lâché." En gros c'est ça. Puis j'ajoute avec un sourire enjôleur et mon ton mielleux, destiné à faire fondre la blonde : "En fait, j'ai toujours travaillé en famille, dans la confiance. C'est pourquoi je me suis présenté à cet entretien." Sous-entendu, je tiens à vous les gars. Mais ce qui est sous-entendu se trouve surtout dans mon regard et ma manière de ne pas lâcher les yeux d'Alexia et de lui lancer un message mental du genre : "tu te souviens de notre nuit ensemble ?" Parce que moi, oui.

Je n’intervenais pas encore dans cet entretien parce que ce n’était pas vraiment à moi de poser des questions, je me contentais d’étudier les deux postulants actuels comme si j’étais un profiler. En fait non, c’était juste une habitude chelou que j’avais lorsque j’assistais à une semi-réunion. Je jaugeais toujours mes interlocuteurs afin que je puisse savoir à qui avais-je à faire. C’était donc ce que je faisais actuellement tandis qu’Alexia posait ses questions aux deux postulants. Le pre-mier à parler avait été Cody qui nous faisait un joli petit speech tout en prenant l’exemple d’Apple Inc de Steve Jobs pour expliquer qu’une société naissait de nulle part parfois. Je ne le contredirais pas mais je trouvais qu’il en faisait un peu trop. Néanmoins, il avait gagné pas mal de points et cela me faisait inté-rieurement ce que je voyais dans ses yeux. Il devait certainement penser qu’Alex et moi-même avions déjà choisi Niels pour le job mais il se trompait lourdement. D’ailleurs c’était le tour de Niels de parler. Je l’écoutais d’une demi-oreille parce que je savais déjà tout cela mais le regard qu’il jeta à Alexia me fit bizarre. Non Niels ! Tu n’as pas fait ça ?! Les regardant discrètement, je pus quasiment deviner le fait qu’ils avaient eu une aventure ensemble ces deux-là. Purée ça faisait vraiment bizarre quoi ! Alexia était comme ma sœur et Niels était mon meilleur ami… J’avais envie de dire : Bros before hoes ! J’inspirais longuement avant de fixer les deux postulants avant de dire : « Bien vos réponses font forte impression je l’avoue » les fixant à tour de rôle avec un regard inquisiteur je poursuivis : « Je voudrais savoir une chose : vos motivations sont-elles intrinsèques ou extrin-sèques ? » cette question était primordiale parce que je ne comptais pas laisser entre les mains d’un type animé de l’appât du gain les milliards que j’investissais pour l’association KW Indus-tries/Tecwave.

Dollars, Dollars, Dollars, trois fois le signe $, JACKPOT Cody Bleeker. L'alerte rouge était sonnée, elle se lisait au travers de la figure d'Alexia. Il se tourna vers son concurrent, grand sourire aux lèvres, l'air de dire 'un partout balle au centre' mais vous pensez bien qu'il n'allait pas en rester là. Sans paraître prétentieux, son discours avait plus de panache que monsieur avec son expérience du hareng. En plus, le hareng ça pue, c'est ancestral, rien à voir Tecwave. Du moins, il le supputait puisque Cody n'avait absolument aucuuuuune idée de ce que faisait son entreprise. Enfin bref, Niels pouvait lancer tous les yeux revolver qu'il voulait, Cody aurait Alexia par son éloquence. Ça allait se finir en concours de drague cet entretien. Andrew souhaitait en savoir plus sur les motivations de chacun. Bleeker jeta un coup d'oeil à Niels puis se jeta lui-même dans le bas. À prendre la parole en premier, il se disait que c'était gage de quelqu'un qui n'avait pas peur d'y aller, qu'il n'était pas un bête mouton. « Je suis de ces gars qui s'épanouissent pleinement par ce qu'ils font et pour cela, j'ai besoin d'avoir l'impression de faire quelque chose d'utile, de nécessaire, pas forcément qui entraîne la reconnaissance de mes pairs mais qui me donne la sensation de grandir. Cela passe par le cheminement de la vie, les aventures ... » Regards appuyés de Niels à Alexia. « … Et particulièrement le travail. Comme dirait un grand homme ; 'le travail c'est la santé' » Ne rien faire c'est la conserver lalalala. Passer de Steve Jobs à Henri Salvador ? Cody avait traversé le Grand Canyon en deux minutes. « Mais pour être tout à fait honnête, le poste en lui-même est particulièrement intéressant. Je comprends que l'idée de travailler avec un brillant PDG à la tête d'une firme basée sur un crédo aussi luxueux que le vôtre et une jeune entrepreneuse dans le vent puisse attirer les requins qui seraient prêt à tout pour ce poste … » Nouveaux regards appuyés d'Alexia à Niels. « L'épanouissement personnel et mon goût pour l'aventure sont mes principales motivations. » À ton tour, Johanson.

Niels avait un charisme digne d'un homme d'affaires mélangé à un serial lover quand il s'exprimait. Surtout quand il la regardait droit dans les yeux. Et ses joues restaient roses. Parce que franchement, entre la drague de Cody, et maintenant ce regard complice de Niels, qui lui rappelait la dernière nuit - fantastique - passée tous les deux, il y avait de quoi. En plus il avait un cv super intéressant et il le savait, formé pour reprendre l'entreprise familiale qui était un empire monopolistique, puis fondateur de sa propre entreprise. Certes, elle savait parfaitement, tout comme Andrew, qu'il avait fraudé et qu'il avait fait des choses plus qu'illégales. Mais Cody ne le savait pas, et elle voulait croire que Niels avait changé. Elle avait envie de lui faire confiance. Il aurait su négocier n'importe que accord, tellement il émanait de l'assurance quand il entrait dans une pièce. Troublée, elle ne savait plus trop où elle en était dans l'entretien et heureusement Drew reprit la main avec panache. La question était plus que pertinente et pouvait sérieusement mettre en difficulté les deux garçons, en plus. Alexia était curieuse d'entendre leurs réponses, donc elle croisa les bras et écouta attentivement. Cody sortit une phrase du talentueux Henri Salvador, paix à son âme, et forcément il lui arracha un sourire amusé. Et hop, un nouveau compliment pour elle et pour Andrew aussi au passage. Son regard passa désormais de Cody à Niels, pour entendre ce que le sexy Winthrop avait à dire.  

La pauvre Alexia est complètement dépassée par Cody et moi. Lui et ses compliments... Bizarres. Et moi et mes coup d'oeil complices. On peut dire qu'on est sur la même longueur d'onde pour ce qui est de faire rougir notre Alexia. Quant à Drew, il joue son rôle à fond. Il prend les rênes de l'entretien quand il sent que la blonde est dépassée. Ca m'étonne tellement qu'on se soient pas connus avant grâce à lui d'ailleurs. Apparemment, ils passaient leur enfance ensemble, et Drew et moi on se connait depuis hyper longtemps aussi, donc on aurait dû se croiser. J'aimerai bien leur demander, mais je suis pas là pour ça. Il semblerait que le but de cet entretien soit de me faire écouter le baratin de Cody. Supeeeeer. Et c'est quoi ces coups d'oeils merde ? Son goût pour l'aventure, maaaaais oui. En chemise à fleur ? Laissez-moi rire. "Personnellement, ce qui me motive, c'est l'adrénaline que procure tout nouveau projet. On peut dire que Tecwave commence à avoir le vent en poupe, et l'équipe dirigeante est tellement investie... Ça me donne envie de bosser jour et nuit sérieusement. Je suis le genre de mec qui laisse pas tomber et qui sait tout donner." N'est-ce pas Alexia ? Nouveau regard sans équivoque.

Et une nouvelle flopée de compliments. A se demander si on assistait à un entretien d'embauche ou à un entretien de flatterie professionnelle. Alexia n'allait plus savoir où se mettre à la fin de l'entretien, ça en tout cas c'était sur. Elle ne savait pas garder son sang froid devant autant de compliments. Elle n'y pouvait rien, c'était plus fort qu'elle, elle était sensible la dunster mine de rien. Envie de bosser jour et nuit. Si Niels bossait avec elle la nuit comme les deux nuits qu'ils avaient passé ensemble, elle voulait bien l'engager immédiatement. Mais je m'égare, voyons. Nouvelle allusion, et le rouge sur les pommettes de la jeune femme s'intensifia. Elle allait ressembler à l'intérieur d'une pastèque d'ici peu. Et Andrew qui ne disait rien, qui n'enchaînait pas sur la question suivante. C'était à son tour de prendre le relais. Comment rebondir après un truc pareil ? "Que pensez vous d'une éventuelle entrée en bourse de Tecwave et seriez vous capable de vous en occuper ?" Oui, c'était dans les cartons, une jolie petite entrée au Nasdaq de préférence, Camryn avait commencé à s'y atteler avant de partir, mais il restait beaucoup à faire, évaluer le nombre d'actions à mettre en vente, fixer le prix de l'action pour l'entrée en bourse, etc. Autant de calculs que seul un type doué en économie et en finance pouvait faire. La question s'adressait donc à tous les deux.  

Il est hors de question que je loupe cette occasion de montrer ce que je vaux à mon père. Est-ce qu'il serait fier de moi ? Non, aucune chance : il veut à toit prix que je reprenne le business des poissons ou des hôtels... C'est justement ce que je cherche à éviter, c'est pour ça que je suis sur ce bateau en ce moment. Je me suis fixé comme ligne de conduite de ne plus faire de manigances illégales, Alexia peut être raison rassurée, je n'enverrai pas son entreprise dans les orties ! Par contre, madame a des projets pour son bijou : une entrée en bourse ! Ca c'est chouette comme idée. Ca m'intéresse fortement car ça fait un bour de temps maintenant que j'étudie l'économie. Je vais entamer ma huitième année, je suis un pro en la matière. Eh ouais, on croit toujours que je suis pas le genre de mec qui bosse ses cours, et qui continue ses études pour être couvé par Papa Johanson. Mais en fait, je suis un étudiant appliqué et intéressé. "Je trouve que c'est une idée intéressante qui donnerait plus de crédibilité à l'entreprise. Et oui, je pourrais m'en occuper si nécessaire car j'étudie l'éco depuis un bout de temps maintenant et je pensais soutenir une thèse sur le sujet. Donc je suis apte pour ce genre d'opération !" Vlam ! Prends ça Bleeker ! Je souris sincèrement et observe mon meilleur pote et Alexia en attendant leur réaction.

Bleeker était gavé de les voir se lancer des petits sourires, des yeux doux, des sous-entendus par-ci par-là … C’EST BON. On a compris ! Merde à la fin. Alexia posa une question plus technique et cette fois-ci, Cody sécha un peu. Il ne s’y connaissait pas trop en matière d’introduction en bourse, tout ça, bref, ça donnait un avantage considérable à Niels sur le sujet qui n’hésita pas à en rajouter des caisses. Comme si on pouvait être passionné par ça au point d’en faire une thèse. Tsss. Il allait lui en foutre une de thèse, et en travers de la figure. Vint le tour de Cody qui était resté en retrait, légèrement avachi sur sa chaise. Pourquoi sentait-il tous les regards braqués sur lui ? Peut-être juste de la parano. « Ah, c’est à mon tour ? » fit-il en se redressant, tentant de reprendre un minimum d’allure. « C’est un projet intéressant. » lâcha-t-il avec une moue perplexe. Vous le sentez arriver, le ’mais’ ? « Mais avant d’entamer une telle démarche, il faut étudier les acteurs sur le marché. Par exemple, imaginons que nous ayons un PDG prêt à acheter des actions, une start-up en pleine expansion et deux PME offrant toutes les deux le même service à la start-up. Elles sont donc en concurrence. » Toute ressemblance avec la situation actuelle est totalement voulue. Il reprit son souffle et continua ; « On pourrait croire que la concurrence est parfaite, qu’il n’y aucun handicap eeeeeet pourtant, le grand PDG est pote avec le patron de la première PME donc forcément, ça va entrer en compte dans son choix. Les actions que va détenir le PDG dans la start-up lui donnent un pouvoir de décision et la balance va pencher en faveur de la PME 1. En plus, il faut prendre en compte le fait que la patronne de la start-up a couché avec le patron de cette même PME et qu’elle se transforme en feu tricolore chaque fois qu’elle le voit. » Regards appuyés sur les deux tourtereaux. Il conclut ; « Donc pour l’entrée en bourse, je sais vraiment pas. Je sais juste que si j’étais la PME 2, je me retirerais bien vite car, de toute évidence, c’est une perte de temps. J'ai peut-être pas le CV de Mister Hareng 2014, mais je sais reconnaître quand j'ai aucune chance sur un projet ET donc économiser mon temps. Au lieu d'être ici, j'pourrais lambiner sur la plage ou j'pourrais passer du temps avec ma petite amie et au final, j’me retrouve coincé dans un entretien fake avec machin ami avec machin qui couche avec machin. » Et parce qu’il est Lowell et qu’il a la comédie dans la peau, il se leva de sa chaise à ce moment-là.