Write with a devilish girl

S'il était aussi ouvert que toi sur la sexualité, tout allait encore mieux que tu ne l'avais jamais imaginé. Tu aimais beaucoup être contemplée de la manière dont il le faisait, c'était un coup à flatter ton ego et c'était toujours agréable. De même que la malice qu'il distillait dans ses paroles, son sourire et son regard, c'était toujours quelque chose qui t'avait plu chez un homme. avec un petit côté entreprenant également. Pour ce dernier, c'était surtout par amusement, car aucun homme ne t'avait réellement dirigé jusqu'à maintenant et ce n'était pas lui qui allait commencer, quoi qu'il en pense. Car oui, il semblait bien être du genre dirigeant, vu la manière dont il resserra ses mains sur ta taille après sa remarque sur son "ouverture d'esprit". Tu ne niais pas que c'était relativement agréable car non douloureux, mais tu n'étais pas du genre faiblarde se laissant faire, loin de là. C'était aussi pour le lui montrer que tu t'étais rapproché sensuellement de lui pour lui murmurer ta réponse à l'oreille sans que cela ne soit pourtant nécessaire. Apparemment, cela marchait parfaitement bien vu qu'il te serra tout contre lui de manière suffisamment brutale pour te faire savoir que tu l'avais titillé de manière convenable. S'il croyait également que son souffle dans mon cou allait te faire totalement succomber, c'était mal te connaître : tu frissonnas simplement, pas totalement indifférente tout de même. Après son baiser, tu tournas légèrement la tête pour le fixer droit dans les yeux, un sourire amusé aux lèvres. Bien évidemment, nous n'en serions pas là sinon... Mais je ne sais pas qui fera couler l'autre en premier. Où allons-nous ? J'habite juste à côté si tu es... pressé Le faire en public était très risqué, et tu ne faisais pas vraiment dans l'exbitionnisme pour le coup, hormis l'amusement primaire comme maintenant. Après tout, tu venais, parfaitement involontairement bien sûr, de poser ta main sur le haut de la cuisse, comme pour te retenir de tomber. Enfin, tu ne cherchais pas non plus à être crédible, vu le nouveau sourire que tu lui adressas.

Je suis si près d'elle et mon désir ne fait que grimper à force de me sentir si proche de ce corps attiré tellement fort par celui. Après tout, je suis un homme quoi de plus naturel en somme ! Je suis choqué de me sentir si vibrant disons le. je ne rêve que de la prendre la tout de suite car j'en ai marre de me contenir pour des filles qui ne veulent pas avancer : j'ai besoin de déconner. Je sens qu'elle apprécie aussi alors ça me plait. Elle me provoque du regard ne faisant que me faire monter encore et encore. Aucun touché juste des regards et des sourires qui en disent long. Par la suite, alors que je tente une provocation dans quelques paroles dites à son oreille, elle se retient à ma jambe me faisant frissonner avant de dire avec provocation ces douces et désireuses pensées. Doute elle donc de mes capacités ? Veut-elle tester ou me défier ? Je souris, un sourire pervers tout comme mon regard alors qu'elle me propose d'aller chez elle. Je ne veux pas non plus jouer les affamés alors provocateur, je répond : je ne suis pas pressé mais pourquoi pas chez toi effectivement, tu dois avoir très ... envie ! Dis-je en caressant le haut de ses fesses doucement. Je prend alors son bras, tendant le mien et la conduit hors de l'endroit. Là, je ne peux m’empêcher de laisser ma main glisser dans le creux de ses reins.

Ah, les hommes... Ils étaient bien tous pareils : dès qu'une femme qui leur plaisait un minimum les chauffait ne serait-ce qu'un peu, leur cerveau se trouvait dans leur entrejambe. Enfin, tu parlais pour les hétérosexuels, tu ne faisais pas dans l'homosexuel de ton côté. Cela dit, si tu n'étais intéressée que par les hommes, tu ne critiquais pas les lesbiennes, tu ne les comprenais juste pas, ce qui était différent. Toi, tu préférais ceux qui en avaient entre les jambes, alors... Tu sentais sa peau frissonner à son contact sur sa cuisse, et tu sus qu'il était totalement cuit déjà, prêt à t'être servi sur un plateau. Il avait beau vouloir fanfaronner, en te faisant passer pour celle qui était la plus prête à lui sauter dessus, c'était bien lui qui acceptait si vite ta proposition d'aller ailleurs et caressait déjà le haut de tes fesses. Tu avais peut-être été en manque de ce genre de choses, mais cela semblait tout autant être son cas. Nous sortîmes donc rapidement du bar, tandis que tu le guidais tranquillement vers ton appartement. Tu prenais d'ailleurs bien ton temps, histoire de le faire languir quelque peu, et ce malgré sa main dans le creux de tes reins qui te faisait frissonner et faisait également monter l'envie petit à petit. Arrivée devant ta porte, tu passas devant lui avant de le laisser entrer une fois la porte déverrouillée en un clin d’œil. Refermant derrière toi, tu repris ton sourire bien plus joueur encore qu'auparavant avant de t'appuyer contre la porte d'entrée et de parler. Alors, vas-tu réellement réussir à me faire couler, cher Emrys ?

Il semblait clairement que la demoiselle était attirée par moi mais le truc c'est que je pensais trop à Grace alors quand on sortait de la boite pour rejoindre son appartement, j'étais stressé. Je ne savais pas vraiment quoi faire sur ce coup là. On montait chez elle ma main dans son dos et plus on avançait, plus je voyais son petit sourire, plus je me sentais mal à l'aise pensant trop à Grace avec qui je commençais tout juste à renouer le contact puis à Charlie ; quand est-ce que je cesserais de faire n'importe quoi ? Elle ferma la porte et s'appuya contre celle ci avant de me demander si j'allais la faire tomber et bizarrement, j'avais le désir pour mais pas l'envie alors étrangement, sur un ton peu assuré, je reprenais : Je crois que ce n'est pas bon de baiser, pour baiser ... tu peux me jeter dehors et me dire que tu espère plus me recroiser mais je veux nous respecter je crois ... C'est bizarre mais a force de trop penser en venant ici ... ça m'a fait réfléchir ! Je baissais le regard honteux de mon comportement mais me rendant aussi compte que c'était mieux ainsi.