Write with a devilish girl

A little game never bored nobody

Enfin, les partiels étaient terminés. Pas que tu n'aimais pas les études dont ces examens marquaient une coupure, au contraire : tu adorais apprendre de nouvelles choses et être en compétition avec les autres pour leur apprentissage. Non, tu n'appréciais juste pas les partiels parce qu'ils te mettaient une pression encore plus forte qu'habituellement. Tu savais très bien t'en mettre, il te fallait bien ça pour toujours te dépasser et assouvir au moins un peu ton ambition, mais tu avais toujours eu besoin de décompresser lorsque tout cela se terminait. Et quoi de mieux qu'une boîte de nuit pour te détendre au mieux ? Tu avais passé du temps pour préparer cette première soirée depuis deux bonnes semaines, te maquillant avec soin et te décidant pour une petite robe à franger aux volutes grises absolument charmante et qui te mettait en valeur. Tu savais que tu serais belle ce soir, désirable sûrement, et peut-être ne repartiras-tu pas seule, si le prétendant du jour était à ton goût. Mais cela était un peu trop s'avancer pour le moment, tu n'étais même pas encore en train de faire la fête. Tu faisais tranquillement la queue, même si tu aurais préféré avoir un passe-droit comme certains. Oh, cela t'arrivait encore, à New-York, de faire valoir ton nom comme entrée directe, mais cela marchait beaucoup moins bien ici, dommage... ou alors tu devais verser quelques pots de vins que tu préférais réserver à des causes bien plus intéressantes. Mais ton tour était venu, et on te laissa passer sans aucune difficulté, normal pour une personne comme toi. A l'intérieur, la fête battait déjà son plein, mais tu te faufilas vers le bar où tu commandas une vodka-citron vert pour commencer. Tu tenais plutôt bien la boisson, ce n'était pas ça qui te fera danser sur le bar. De beaux hommes étaient déjà là, mais tu savais que tu n'avais qu'à attendre... et ton tour viendrait rapidement, comme toujours.

lumos maxima

Fin d'année, fin de partiel, quoi de mieux d'oublier les cours pour carrément commencer les festivités de l'été. Je ne sais pas ce que je vais faire ni avec qui mais j'improvise carrément. Début de soirée, je ne pense qu'à trouver une tenue sobre, classe mais bien sympathique pour enchanter ma soirée si l'envie de draguer me vient. Inutile de dire que je me sens désespéré vis à vis de Charlie Lestwood en ce moment donc bon. J'enfile donc une chemise blanche à moitié ouverte, un pantalon noir, une veste noire et de belles chaussures très mecs a vrai dire avant de partir à pieds dans un bar pas trop loin de chez moi. Un verre, un seul avant d'aller trouver des amis ? Surement que ce serait pas mal. Je rentre dans le bar laissant glisser mon regard sur les gens qui se trouvent là, cherchant surement une perle rare ou un ami mais rien ... sauf cette fille là-bas qui boit un verre, si jolie. Je m'avance et m'assoit à ses cotés en disant : J'espère que cela ne vous dérange pas ? Sourire charmeur, je joue les séducteurs timides pourtant.

A little game never bored nobody

L'ambiance semblait plutôt bonne du côté bar, un peu chaude par endroits aussi. Tu risquais sans nul doute d'avoir quelques... prétendants, mais de là à ce qu'ils te correspondent, cela allait être délicat. Tu étais assez difficile en la matière, pas question de passer ne serait-ce qu'un moment avec une personne pas à ton goût physiquement déjà. Oui, cela sonnait très superficielle, mais draguer n'était-il pas superficiel en soi ? Tu avais une réputation à tenir, et celle-ci s'éliminait bizarrement très rapidement en ne respectant pas des critères de ce genre d'ailleurs... Tu sirotais donc ton verre tranquillement, observant le monde autour, lorsqu'une voix à ta droite se fit entendre. Tournant un regard curieux, tu fus plutôt satisfaite de ce que tu vis : un jeune homme plutôt pas mal, bien habillé et surtout... seul. Dès le premier essai cela semblait concluant en tout cas. En plus, il semblait décidé à s'amuser aussi, autant dire que cela semblait être le jackpot à tes yeux, et tu lui rends son sourire charmeur. Bien sûr que non, vous êtes le bienvenu. Vous êtes ?

lumos maxima

La brunette sirotait son verre, solitaire ce qui attira mon regard sans vraiment savoir pourquoi. Quand je m'approchais, la belle me regardait comme détaillant la marchandise qui s'approchait dangereusement : il fallait dire que je montrais de mon regard de braise que c'était elle que je venais voir. Un regard simple qui en disait pourtant long à son adresse, je marchais d'un pas classe et décidé sans vraiment d'arrière pensée, juste la pensée simple de venir discuter avec une belle damoiselle. Je demandais promptement si la possibilité de m'assoir m'était accordé et ce fut un point positif pour moi. Je me posais donc sans plus de cérémonie en souriant à la belle lui demandant alors : Je vous offre votre prochain verre Mademoiselle ! Un sourire charmeur, un regard en coin, je regardais son cou doucement tordu par le choix de sa position donnant envie de lui lâcher un baiser. Je me raclais alors la gorge, poli, proposant ma main en me présentant : Emrys ... Zacharias ! Les yeux brillants, je gardais le sourire.

A little game never bored nobody

Le jeu semblait pouvoir commencer maintenant. Tout dans son attitude indiquait qu’il était venu pour la même chose que toi, c’était… parfait. En suivant cette logique, il était évident que tu ne pouvais qu’accepter sa proposition de s’asseoir à côté de toi, ce que tu fis. Il avait en plus déjà le bon sens des affaires, vu qu’il affirma te payer la prochaine boisson que tu prendras. J’espère bien. Tu avais arboré ton sourire plus séducteur et coquin maintenant, le laissant tranquillement t’observer. Tu savais comment te mettre en valeur, et tu sentais son regard se poser dans ton cou à la peau si blanche, si pure… Oh oui, tu savais très bien ce que tu faisais, il ne fallait pas en douter. Pour l’instant, tu le laissais mener la danse, car cela te permettait de le juger bien plus facilement qu’il ne pourrait te juger toi-même. Tu lui tendis donc également ta main lorsqu’il le fit. Ely Summers, enchantée. Ce nom ne t’était pas inconnu d’ailleurs, cela ressemblait à celui de ce journaliste et romancier, même si ce n’était pas exactement le même. Un rapport avec ce romancier à succès ?

lumos maxima

Je faisais mine que je voulais draguer mais je ne savais pas totalement ce que je voulais en réalité alors devrais-je rester là ? Je ne sais guère. Je souriais gentiement à la demoiselle proposant que la tournée suivant soit pour moi en bon gentleman offrant un de mes plus beau regard puis très vite, je venais à me présentant remarquant un certain étonnement dans son regard comme si elle me connaissait ou l'avait déjà entendu. Je la regardais avec étonnement alors qu'elle prononçait le sien. Je souriais à nouveau et l'écouta prouver son étonnement en me demandant si j'avais un rapport avec un romancier et journaliste, écrivain ... je la regardas, étonné, les yeux grands ouverts tant c'était surprenant avant de lui dire tremblant mais le contrôlant ; Euh de quel écrivain parler vous ? je ne vois pas ... C'est la première fois que quelqu'un faisait le rapport car il était pourtant dur mais avait-elle simplement une bonne audition ou avait-elle eu des indices par de amis communs ?

A little game never bored nobody

Oui, c'était tout de même une drôle de coïncidence à tes yeux. Cela n'avait peut-être rien à voir du tout, mais tu t'étais toujours dit que "Alexander Sairachaz" sonnait plus comme un pseudonyme que comme un véritable nom. Et là, comme par hasard, tu tombais sur quelqu'un dont le nom de famille était... Zacharias, l'exact inverse de ce nom d'auteur. Bon, lui s'appelait Emrys, pas Alexander, mais rien ne disait que le prénom n'était pas faux non plus. Alexander Sairachaz. Tu souriais toujours innocemment, même si tu t'amusais bien de la situation. Tu n'avais pas prévu ce genre de situations en venant ici, mais cela n'en était que plus plaisant pour cette fois. Sairachaz est l'inverse de Zacharias, mais cela doit être une coïncidence, n'est-ce pas ?. Oh oui, tu allais bien t'amuser ce soir, et tu sirotais ta boisson en attendant sa réponse.

lumos maxima

Je ne sais pas si comment je dois être, comment je dois la regarder parce que j'ai peur qu'elle lise que tout ça me déstabilise. Je suis choquée que la femme est fait le rapprochement mais d'un autre coté, je sais aussi que bientôt, tout le monde sera que j'écris en lisant le livret scolaire alors devrais-je dire ? Pour l'instant, je ne suis pas prête et elle confirme mes craintes en disant le nom de l'écrivain, mon nom en effet. Je souris pour faire naturel surtout qu'elle me rajouta derrière en analysant bien que c'était l'inverse mais en disant que c'était une coïncidence. Je souriais et nerveusement, tapotant sur le bar, je répondais : Surement ! Je rigolais doucement tout en reprenant : Ne seriez vous pas enfin n'auriez pas un lien avec l'écrivain conseillère en beauté Suzanne Summers ? Je rigolais de ce contre pieds que je venais de prendre.

Il n'était pas du tout à l'aise, ce n'était pas la réaction qu'aurait eu quelqu'un non concerné. Avais-tu, sans le vouloir, touché juste ? Possible, et cela pouvait d'être utile, si tu arrivais à le lui faire avouer. C'est fou ce que les gens pouvaient faire lorsqu'on avait un de leurs petits secrets en main pour ne pas qu'il soit dévoilé à la face du monde. Là, c'était un pseudonyme d'auteur, rien de si important que cela, mais cela avait du potentiel apparemment. Tu continuais ton petit jeu cependant, faisant celle qui voyait juste cela comme une simple coïncidence, et il plongea directement dans ton ouverture, preuve supplémentaire qu'il cachait quelque chose. Mais il semblait plus malin que ce que tu avais pensé de prime abord : il te retourna la question, au sujet d'une... écrivain conseillère en beauté. Pouah. Heureusement que non. Vous étiez quand même dans des domaines bien plus sérieux dans la famille. Tu ne montras cependant pas que cela te gênait, habituée que tu étais à tout cacher et à jouer toute conversation, car cela risquait de le faire fuir. Non, tu préféras faire comme si cela t'amusait, lâchant même un fin rire. Oh, non, je ne la connais absolument pas. C'est votre cas ? Tu enchaînas rapidement en tout cas, historie de toujours mener cette conversation. Je parierais que vous êtes... étudiant, je me trompe ?

La demoiselle du nom de Summers semblait ne pas vouloir décrocher de son idée selon laquelle j'étais ce fameux écrivain à croire qu'elle avait parle à certains de mes proches. Je ne voulais pas vraiment que des gens inconnus puissent l'apprendre avant des amis quoi parce que autant certains étaient au courant mais d'autres ne le savaient pas quoique je commençais à l'assumer et clairement je sentais que cette dame était persuadée de ces dires et allait chercher à en avoir le cœur net. Un sourire assez fin ; je n'osais trop montrer de choses de peur qu'elle imagine que j'avais envie d'avouer quelques choses. Quelle inconnue troublante ! Elle ne pipa pas un mot retournant ni une ni deux à son investigation sur ma potentielle identité secrète  expliquant qu'elle n'avait aucun lien avec la conseillère dont je lui parlais pour éviter la conversation. Je grimaçais ; c'était donc raté ! Sûrement pour me piéger, elle demanda si je la connaissais avant de faire quelques suppositions sur mon cas w; étais-je étudiant ? Un sourire plus franc, j'étais satisfait de l'avoir berner sur mon identité et je m'empressais de répondre imaginant déjà de quoi flatter la belle femme ; oui en Histoire et quelques cours de journalisme par ci par la mais je suppose que vous ... Vous êtes une femme du monde ? Je grimaçais comprenant mon erreur en parlant de journalisme. 

HJ; désolé pour les fautes de frappes premier essaie de rp sur un iPad XD