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In family, there is a lot in common... or not ?!

Anonymous

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veritas
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Le sang ne saurait mentir, normalement.

Non, tu ne critiquais pas son éducation, loin de là. Il n'était pas malpoli ou autre, juste très contradictoire, et cela ne venait pas de son éducation à ton avis. Non, il n'avait pas vraiment le profil de l'enfant doré comme tu disais, tu n'avais parlé d'enfant gâté que pour souligner sa contradiction affichée... et il t'attaquait, encore. Cela en était lassant à la fin, surtout qu'il te retournait l'attaque sur tes parents. C'était bas, plus bas que ce dont tu te serais attendu de sa part. Si tu veux tout savoir, ce n'était pas du genre dévoué envers sa progéniture, tout comme ma mère. Mange ça Cody, et qu'il ravale ses sarcasmes à la noix qui ne t'atteignaient pas... ou du moins, plus. A une époque peut-être, quand tu étais plus jeune et que tu en souffrais, mais plus maintenant. Pour tout dire, quitte à passer pour un monstre, tu ne les avais jamais pleuré. Se faire qualifier de frigidaire n'était pas mal non plus, même si c'était plus amusant qu'autre chose alors que tu pris un air faussement ennuyé. On me l'a déjà faite celle-là, innove un peu veux-tu. Tu aurais bien ovulu lui poser des questions un peu, sur lui et sa vie, et lui faire remarquer que tu ne pouvais pas à cause de lui ne semblait lui faire ni chaud ni froid.Au contraire, il te suggéra de lui en poser d'un ton sarcastique en t'annonçant presque ne pas avoir tellement envie d'y répondre. S'il croyait que cela allait te démonter... Calme tes nerfs Cody un peu. Si tu crois que tu me fais peur... Tu soupiras cependant, tout en cherchant la première que tu pourrais lui poser : tu savais que le choix allait être crucial. Cela fait longtemps que tu es à Harvard ? Et d'où étais-tu avant ?

lumos maxima
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Avait-il raté quelque chose en ne vivant pas sous la tutelle de son père ? Bonne question. Ely lui certifiait que non puisque de son côté, elle ne connut pas vraiment l'amour de ses parents. Un peu de chaleur embauma le cœur de Cody. Il était bien le fils de sa mère, bercé dans un petit cocon qu'il peinait à quitter. Peu de gens comprenaient réellement ce qui le liait autant à sa mère et pourtant, c'était si facile à expliquer ; elle était la seule à ne jamais l'avoir laissé tomber. La famille – du moins, sa famille proche – était essentielle pour Cody. Sa mère, sa fille, même Maggie (qu'il considérait comme un membre Bleeker à part entière, sans l'affection qui va avec) … Ces personnes comptaient énormément pour Cody. Il n'était pas convaincu qu'il y ait de la place pour Ely dans ce groupe déjà formé. Il espérait qu'elle ne cherchait pas ça. « Comme c'est triste … Si tu veux tout savoir, j'ai pas d'amour à te donner. Il faudra aller voir quelqu'un d'autre. » Elle devait avoir les moyens de se payer un escort boy. Il se retint ; elle allait encore se plaindre en le priant d'innover. « J'suis à Harvard depuis un an, Cambridge cinq ans et demi, j'étais à Toronto avant. » Ses traits s'adoucirent un peu. Un tout petit peu. Il sentait arrivé la remarque sur sa première année à Harvard, à son âge. Il renvoya la question. « Et toi, alors ? »
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Le sang ne saurait mentir, normalement.

Cody semblait avoir bien du mal à te comprendre, alors que tu cherchais à être la plus limpide possible. Tes efforts rendaient-ils ton comportement encore plus cryptique finalement ? Apparemment. Non, tu ne cherchais pas forcément à entrer dans sa vie de force, tu ne recherchais rien de lui à la base. Son amour ? Ce n'était pas quelque chose dont tu te souciais vraiment pour le moment, tu ne le connaissais que trop peu pour pouvoir le souhaiter. Je ne cherche même pas cela, je te le laisse. Aller voir quelqu'un d'autre... mais qui ? Les liens et toi, cela ne fonctionnait pas très bien, et tu avais l'impression de vivre bien mieux sans eux. Peut-être cela changerait-il avec le temps, mais tu ne te sentais pas attirée par cela de base. Tu souhaitais réellement juste apprendre à le connaître, rien de plus pour le moment, et tu ne voyais pas en quoi cela semblait si inconcevable. Tu étais prévenue au moins, tu allais y aller doucement avec lui sur les questions, histoire de ne pas le braquer... et apparemment la première que tu posas ne lui causait pas de soucis. Il était canadien donc, tu ne l'aurais pas pensé. Tu n'as pas d'accent que cela. Rien de méchant là-dessous, tu étais plus amusée par cette constatation. Tu l'avais pensé totalement américain après tout, à la base. 5 ans et demi à Cambridge, un an à Harvard... Rien de bizarre en somme à tes yeux. Peut-être juste le fait qu'il ait pris des études si tard, mais tu étais bien mal placée pour faire la moindre remarquer là-dessus. Il semblait même un peu moins sur ses gardes maintenant, te retournant même la question sans que cela ne semble être une contrainte. Bien, il y avait du progrès dans les airs. New-York depuis ma naissance... et Harvard depuis 6 mois. Je reprends les études, avec un nouveau cursus. Je peux me le permettre, je ne vais pas m'en priver. Au pire, si cela finit par m'ennuyer, j'ai de quoi me trouver du travail derrière. Je suis en psychologie, j'ai étudié les neurosciences Oui, tu avais un beau bagage derrière toi, mais tu avais 30 ans aussi, cela aidait. Donc non, je ne jugerai pas le fait que tu ne fasses des études que depuis un an.

lumos maxima
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Wow, Ely s'était même attardée sur Cody pour juger de son accent (ou non-accent en l'occurrence) canadien, ce qui étonna le jeune homme. Il avait l'impression qu'elle l'analysait, qu'à la place de ses yeux il y avait des espèces de rayon X passaient et repassaient au crible son visage, ses mouvements, le moindre geste comme si elle cherchait à les interpréter d'une quelconque manière. Elle ne lui disait rien, certes, mais maintenant qu'elle annonçait la couleur concernant ses études, tout devenait plus clair. Une psychologue, c'est donc ça ? Il vint poser ses mains autour de sa tasse pour juger la température puis la porta à ses lèvres. « Tu peux te le permettre ? Allez, dis-moi tout, à quel point es-tu riche ? » Oui parce que pour que la meuf reprenne ses études dans une université comme Harvard en sachant qu'elle avait déjà un diplôme, sa famille avait dû lui laisser un sacré pactole. Il était curieux de savoir à côté de combien il était passé, lui qui bénéficiait des bourses et des pauvres ressources de sa mère, et forcé de trouver un job par derrière. Il fit un petit sourire ; « Rien que le fait que tu soulignes que tu ne juges pas ma situation est, en soi, une manière de juger. Sinon tu n'aurais même pas fait la remarque. Tu trouves quand même ça assez inhabituel. » Il aurait dû faire psy lui aussi, il avait un certain bagage.
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Oui, tu avais de grande tendances à tout analyser, et ce de manière presque machinale maintenant. Après tout, tu savais que repérer le moindre signe digne d'intérêt chez l'autre pouvait te sortir d'affaires gênantes, tu l'avais déjà expérimenté plusieurs fois. Cody en semblait surpris, mais cela ne t'étonnait pas vraiment : ce n'était pas la première fois que cela arrivait, et ce ne sera sûrement pas la dernière. Je croyais que cela ne t'intéressait pas. Connaître ton train de vie n'avait pas semblé l'intéresser jusque là, il s'était même montré détachée de tout ce qui te concernait : pourquoi avoir changé d'avis maintenant ? Disons que je peux payer mes études et avoir un bon train de vie sans travailler à côté et garder de l'argent pour la suite. C'était la triste vérité, et tu n'auras pas su donner de chiffres précis : après, un tel exemple valait mieux que des chiffres, surtout pour quelqu'un qui, comme lui, ne semblait pas être particulièrement dans le même cas, loin de là. Tu n'étais pas forcément du genre à l'étaler cela dit, ni vivre dans un luxe opulent, tu n'étais très "bling-bling" comme tu disais souvent. Ce fut cependant à ton tour d'être réellement surprise, lorsqu'il t'annonça que oui, tu jugeais sa situation vu que tu la commentas. Il n'avait pas tort, loin de là, mais tu ne t'attendais pas vraiment à ce qu'une telle phrase sorte de sa bouche. Esquissant un léger sourire, tu pris ensuite le temps de réfléchir avant de lui répondre tout en reposant ta tasse. Tout être humain juge, même inconsciemment, tout ce que les autres font, sans pour autant s'en rendre compte ou l'énoncer à voix haute. C'est inhabituel en effet, de commencer si tard, mais l'essentiel est de commencer. Il n'y a pas d'âge pour les études... et je serai malavisée de te critiquer là-dessus, si tu préfères que je le formule ainsi. Qu'est-ce qui t'a décidé à le faire ?


lumos maxima
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Ouais OK, conclusion ; j’suis tellement pétée de tunes que j’peux étudier à Harvard, me loger, manger, faire du shopping et placer mon fric tout en vivant comme une pacha jusqu’à la fin de mes jours. Pourtant, madame B. n’était pas du genre à cracher sur un peu d’argent, il était donc étonné qu’elle n’ait pas demandé à ce Jack Summers une pension alimentaire plutôt que de trimer toute sa vie pour élever un enfant, puis l’enfant de l’enfant. Peut-être que cet homme était toxique, finalement. Il n’osait pas le demander à Ely, ça restait son père. Celui de Cody aussi, certes, mais seulement depuis quelques minutes. Pas trente ans comme elle. « Tu n’aimes peut-être pas tes parents mais tu n’as pas dit non à leur argent. » fit remarquer Cody, uniquement pour la déstabiliser. Il aimait bien la tester, jauger ses réactions sans chercher pour autant à obtenir quelque chose d’elle. Elle était psychologue, il était simplement joueur. D’ailleurs, dans son blabla, elle le perdit légèrement. Il fronça les sourcils. « Oula … économise ta salive pour quand tu seras en thérapie, moi je comprends rien. » En fait, ce qu’elle racontait n’était pas bien compliqué mais Cody avait la flemme de se concentrer pour mettre ses phrases dans l’ordre. « J’avais quelque chose à prouver à quelqu’un … » répondit timidement le jeune homme. Il n’allait pas lui raconter sa vie, de ses ex tyranniques à la garde retirée de sa fille, en passant par sa phase de dépression et le retour à la case départ. Comme si ça l’intéressait vraiment. 
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Décidément, plus le temps passait et plus Cody te surprenait, mais dans le bon sens du terme. Toi qui l'avais pris pour un gamin écervelé, tu le découvrais un peu plus observateur et réfléchi, c'était toujours intéressant à savoir, tout n'était peut-être pas perdu. Peut-être que, finalement, tu allais réussir à te trouver des points communs avec lui, s'il voulait bien se dévoiler un peu plus que son image de clown casseur. Maintenant, même sa remarque qui aurait pu être cassante ne sonnait pas comme telle à tes oreilles, il semblait plus calme, moins dans le rejet. Peut-être tout simplement parce qu'il avait accepté tout cela ? Non, cela avait été trop rapide, il allait sûrement mettre du temps à digérer tout ceci vu sa première réaction. Effectivement, j'ai toujours pris l'argent, vu qu'ils ne donnaient que cela. Ce n'était qu'une simple constatation, un peu amère certes, mais tu n'étais pas là pour te faire plaindre ou autre. Ils n'avaient jamais été vraiment là pour toi, hormis pour te payer ce dont tu avais besoin, tu n'allais pas en plus rejeter cela, non ? Cela te semblait évident, mais ce n'était apparemment pas le cas de Cody, le même qui faisait celui qui ne comprenait pas ce que tu disais alors que tu n'avais pas utilisé de mots si compliqués. En gros, on juge tous tout ce que les autres font, et je ne peux pas mal te juger pour ta reprise d'études vu que je fais pareil. Une longue phrase, cela devrait être plus simple à comprendre, plus percutant, non ? En vrai, il semblait plus avoir fait cela pour t'embêter, mais cela n'était pas vraiment le cas. Non, en vérité, tu étais bien plus intéressée par sa réponse à ta question. Il avait semblé plus hésitant à te répondre. [olor=plum]A ta mère ? Ou à quelqu'un d'autre ?[/color] Reprendre des études pour satisfaire quelqu'un... C'était un concept plutôt étrange, peut-être pour prouver qu'il pouvait être intelligent et travailleur ?

lumos maxima
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Plus Ely évoquait cet argent que ses parents lui donnaient en guise d'amour, plus Cody se complaisait dans sa situation. Il était peut-être fauché, peut-être qu'il vivait encore chez sa mère, peut-être qu'il avait foiré sa première année d'étude à Harvard et peut-être qu'il n'avait pas la maturité pour élever un enfant, il n'empêche qu'il était heureux. Qu'il n'avait jamais manqué de rien, contrairement à ce que sa situation pouvait laisser penser. « J'imagine que ça doit être dur d'avoir toujours eu autant d'argent ... » ironisa-t-il. Oui, il se foutait légèrement de sa gueule. Il faut dire qu'elle n'était pas tant que ça à plaindre ; si elle culpabilisait autant d'avoir cet argent, elle se serait arrangée pour les donner aux plus démunis et aurait choisi la voie des Quincy. « Merci prof ! » fit-il en posant sa main sur son front, tel un soldat au garde-à-vous. Il aurait aimé qu'ils continuent à parler de son fric et même de sa psychologie à deux balles. Là, évoquer les raisons qui avaient poussé Cody Bleeker à se tuer à la tâche pour rejoindre les bancs de Harvard n'était pas la meilleure des conversations. Il n'aimait pas ressasser son passé, même s'il faisait de lui ce qu'il était aujourd'hui. On ne dirait pas comme ça mais ce joyeux luron avait fait une dépression pendant quelques mois avant de se reprendre pleinement en mains. Difficilement, mais sûrement. Voyez le résultat. Ce qu'elle voyait était presque la version neuve du Cody Bleeker. L'emballage était juste légèrement cabossé et le jouet présentait peut-être quelques défauts techniques. « Non, quelqu'un d'autre … Bref, Cambridge ça doit pas mal te dépayser de New York ? » Professionnel du changement de sujet, bonjour !
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Bon, en fait, tu avais cru trop vite qu'il avait arrêté de vouloir te critiquer à chacune de tes paroles. Cela aurait été trop beau aussi, et tu avais eu de la chance, d'être restée sur tes gardes au cas où il recommencerait. S'il pensait en tout cas te faire culpabiliser d'avoir tant d'argent, c'était plutôt loupé dans tous les cas : non pas que tu étais égoïste mais... si en fait, tu l'étais, et tu n'étais pas forcément du genre à partager ton argent sans avoir une excellente raison. Oh mais je suis très contente d'en avoir autant et de le garder bien au chaud tu sais. Tu n'allais pas non plus te gêner pour te moquer de lui après tout, il ne s'en privait pas lui-même... même si tu eus un léger sourire lorsqu'il t'appela prof. Bien sûr qu'il ne le pensait pas et que tu n'en étais pas une, c'était clairement évident : tu ne pourrais pas supporter enseigner à des jeunes comme ça, en permanence, surtout s'ils étaient aussi impertinents que lui. Mais tu avais trouvé un de ses points sensibles apparemment, en la raison de sa présence ici. C'était pour prouver quelque chose à quelqu'un qui n'était pas sa mère, apparemment le fait qu'il savait travailler vu qu'il n'avait pas démenti cette partie. Une petite-amie peut-être ? Bien sûr qu'il voulait détourner la conversation, il semblait gêné d'en parler, mais ton côté psy était toujours un peu fouineur sur les bords... surtout qu'il n'était pas très doué pour changer de sujet. Cela aurait été plus subtil s'il t'avait posé une question dans le même domaine... mais même pas. Cela ne t'empêcherait pas de répondre cela dit. Cambridge est beaucoup plus petit disons, et pas aussi... citadin peut-être. Mais les deux villes ont leurs avantages.
lumos maxima
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Ah, le côté 'près de ses sous', Cody le tenait visiblement du père Summers. Ely semblait partager ce défaut, à la différence qu'elle, elle avait de l'argent. Contrairement à Bleeker qui bataillait avec mille et une combines pour ne pas payer le restaurant quand il sort avec une fille, ne pas payer les verres qu'il consomme dans les bars, frauder dans les bus, métro, etc … Parce qu'il n'avait pas d'argent. Ce qui n'était pas le cas d'Ely. « Oh, tu pourrais même t'amuser à rembourrer les coussins chez toi avec tes billets, il paraît que ça tient chaud l'hiver. » Autant pousser le vice jusqu'au bout, s'adonner à des délires à la Picsou. Qu'elle n'ait rien à craindre ; Cody n'avait rien d'un Rapetou. Il n'avait pas l'intention de copiner avec elle pour lui extorquer quoique ce soit. Il n'en avait pas la foi ; rien que copiner avec cette personne lui demanderait un effort considérable. En plus, elle tenait absolument à savoir pourquoi Cody avait commencé si tardivement ses études. La vérité, c'est qu'il refusait d'en parler. Le passé ? C'est le passé ? « Oui c'est ça, une petite amie. » admit-il finalement en pensant qu'elle le lâcherait. Ce n'était évidemment pas le cas, vous pensez bien. Mais si elle pensait avoir raison, elle arrêterait de le saouler. « Si j'étais toi, j'pense que je retournerais à New York. » Comme ça, ça éviterait peut-être à Cody d'avoir une fouine de plus dans sa vie.
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