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THÉXYS ❥ Eat me up like wild fire !

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Parfois, j'aurai bien aimé être une bouteille qu'on jette à la mer et qui vogue parmi les vagues sur les côtes de toutes les régions d'Amérique et du monde, trouvant un sens à la solitude et pouvant admirer le plus de paysage possible. Et je pensais cela car maintenant que je me confiais à la jeune femme face à moi, je me rendais compte du à quel point je me sentais seul et limite abandonné dans ce monde et que oui en effet, la perspective de partir faire médecin sans frontière me semblait comme étant la meilleure solution pour donner un sens minime à ma vie. « Tu l'as appris quand ? Que tu avais un demi-frère ? » Faisant tourner un verre vide entre mes doigts, je relevais mon visage vers le sien afin de rencontrer son regard tout en me mettant à réfléchir. « Il y a deux mois à peu près. Étant sportif, j'ai du repasser des tests pour évaluer mon aptitude au sport et après une prise de sang j'ai appris que j'avais une anomalie sanguine non grave mais rare qu'un autre étudiant d'Harvard possédait aussi. Le truc étant que cet anomalie se transmettait de façon héréditaire, on a voulu savoir si par hasard nous avions quelque chose à voir l'un avec l'autre et après des recherches plus poussé la révélation est tombée. » Levant les yeux au ciel avec un sourire, je soupirais. « Combien il y avait-il de chances, sérieux, pour que je tombe sur mon demi-frère à Harvard ? Évidemment, les choses ce sont éclairées suite aux révélations de mon père et voilà. Toi tu as découvert pour ta demi-sœur après la mort de père c'est ça ? » Mais cela n'arrangeait en rien ma solitude et je le savais pertinemment. Puis après qu'elle m'eut demandé de danser, je l'avais entraîné sur la piste de danse avant de la faire tourner sur elle-même et de lui demander s'il elle se sentait seule, lui avouant que c'était très souvent mon cas. « T'es plutôt du genre solitaire ? En tout cas ce soir, tu vas pas te sentir seul. » Croisant à nouveau son regard, un sourire étira mes lèvres, savait-elle à quel point sa phrase avait un sens ambiguë ? « Ah, tu me vends du rêve. » Puis alors que je la remerciais pour m'avoir dit que je dansais bien, j'avais penché mon visage vers le sien et j'avais déposé mes lèvres contre les siennes. Je n'étais pas réellement sur de savoir ce que je faisais mais j'aimais et c'était le principal. Comme la jeune femme ne me repoussait pas, j'en concluais qu'elle aussi aimait ça et la preuve, elle prolongea le baiser, me faisant ressentir de drôles de frisson là où il devait y en avoir. Je me demandais même à présent si l'étape touche mon corps avec ta peau que l'amour prenne le contrôle sur moi allait arriver, ou si je devais tout simplement arrêter de penser ou voir même stopper les choses avant qu'elles ne dérapent plus loin. Néanmoins, je n'en fis rien, posant une main sur la joue de la jeune femme comme pour encore plus approfondir la chose. Cependant, lorsque la musique termina, je reculais mon visage, croisant son regard tout en me passant la langue sur les lèvres. « Viens.. » Attrapant sa main, je l’entraînais vers le comptoir là où je déposais une généreuse somme après l'avoir attrapé depuis l'arrière de la poche de mon pantalon, avant de sortir dehors avec elle. L'air était chaud et humide de la ville dans laquelle nous nous trouvions transformait encore plus mes sens et marchant un peu, je trouvais un endroit presque désert et uniquement éclairé par le clair de lune. Je serrais alors la jeune femme dans mes bras. « J'sais pas ce que je fais, mais j'aime ça. » Puis j'embrassais de nouveau ses lèvres.
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Pour moi, quand on parlait famille, je voyais tout de suite Jeno, Septembre et mes amis. Mes parents ? Non, pas vraiment. Ma grand-mère oui. Je l'aimais plus que tout ma grand-mère, elle avait été comme une seconde maman pour nous. C'est elle qui me consolait après les ruptures douloureuses, elle qui me faisait des gâteaux, qui prenait ma défense quand Jeno m'embêtait et puis, c'était grâce à elle qu'on était à Harvard tous les deux. Bref, elle était vraiment top ma grand-mère. Il fallait d'ailleurs que je la présente à Sept. « Il y a deux mois à peu près. Étant sportif, j'ai du repasser des tests pour évaluer mon aptitude au sport et après une prise de sang j'ai appris que j'avais une anomalie sanguine non grave mais rare qu'un autre étudiant d'Harvard possédait aussi. Le truc étant que cet anomalie se transmettait de façon héréditaire, on a voulu savoir si par hasard nous avions quelque chose à voir l'un avec l'autre et après des recherches plus poussé la révélation est tombée. » A croire qu'on apprenait tous qu'on avait un frère ou une soeur dans des moments pareil et surtout à Harvard. C'était un truc de dingue et Théophy le fit remarquer. « Combien il y avait-il de chances, sérieux, pour que je tombe sur mon demi-frère à Harvard ? Évidemment, les choses ce sont éclairées suite aux révélations de mon père et voilà. Toi tu as découvert pour ta demi-sœur après la mort de père c'est ça ? » Moi aussi j'avais connu ma soeur à Harvard. Enfin en quelque sorte puisque je n'étais pas sur Cambridge personnellement lorsque l'annonce est tombée. Je décidais de lui faire un rapide résumé comme ça, histoire de répondre à sa question. J'étais à Toronto à l'époque. Jeno était à Harvard et c'est le Doyen qui lui a appris la mort de notre père. Il l'a fait convoqué à son bureau... En même temps que Septembre. Ils ont très vite compris qui ils étaient l'un pour l'autre et aussi la personne qu'était notre père. Je l'ai rencontré peu de temps après. Jeno m'avait beaucoup parlé d'elle mais, j'avais pas très envie de la connaître. Pour moi, c'était à cause de Septembre. C'était à cause d'elle que mon père avait été absent, à cause d'elle que ma mère avait été malheureuse et à cause d'elle que mon père ne faisait plus partie de ce monde. Voilà pourquoi j'avais eu du mal à l'accepter dans la famille mais finalement, j'avais assez rapidement changé d'avis. Bon aller, assez parler, j'avais envie de danser. Il fallait qu'on s'amuse, qu'on arrête de penser et qu'on profite. Théo semblait solitaire, seul et j'aimais pas tellement ça surtout qu'il avait l'air de quelqu'un de génial. Voilà pourquoi je lui dis qu'il ne serait pas seul ce soir même si c'était vachement ambiguë, c'est vrai. « Ah, tu me vends du rêve. » Je me mis à rire en replaçant rapidement mes cheveux. Je pris un air des plus sérieux en ajoutant : Ma plus grande qualité. Bah quoi ? C'est vrai. Je vendais du rêve. Non ? Bon ok, j'avais les chevilles qui gonflaient légèrement là. Il prit finalement le contrôle des choses en posant ses lèvres contre les miennes et au lieu de prendre la fuir, de tout stopper ou encore de lui mettre une claque -parce que oui, j'en étais capable- et bien, je me contentais de répondre à son baiser. C'était vraiment étrange mais, j'aimais ça. La chanson prit fin et il s'écarta pour me prendre la main. « Viens.. » Ok, ok je suis. Je le suivais jusqu'au comptoir où il déposa plusieurs billets comme ça, sans pression. T'es quoi ? Un millionnaire ? Un mafieux ? Un dealeur..? Je me mis à rire. Non seulement parce que c'était peut-être pas le cas, ensuite parce que ça ne me regardait pas et surtout parce que je dealais. Ouais, ça faisais des années mais, seuls la plupart des mathers et mes clients étaient au courant. C'est pas un truc qu'on crie sur tous les toits. En tout cas en ce moment, j'étais complètement ruinée donc...! Je lui suivis ensuite vers l'intérieur, marchais à ses côtés vers je ne sais où puis finalement, il s'arrêta dans une petite rue, déserte et peu éclairée. « J'sais pas ce que je fais, mais j'aime ça. » Il me prit dans ses bras et m'embrassa de nouveau. Je passais instinctivement mes mains derrière sa nuque, fermant les yeux pour profiter de cet instant avant de me décaler de quelques millimètres seulement dans le but de murmurer contre ses lèvres : C'est l'alcool. Je lui adressais un léger sourire avant d'attraper de nouveau ses lèvres. Damn, je devrais pas faire ça si ? Ouais si, on s'en fout.
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La famille...Un sujet véritablement important, enfin, quand on en avait une. Et certes, j'en avais aussi une mais pas aussi proche que celle que possédait Alexys et je devais bien avouer que j'amais bien lorsqu'elle me parlait de ses histoires, que ce soit de cœur, de famille ou de je ne sais pas quoi faire plus tard. Durant cette soirée, j'avais juste l'impression de servir à quelque chose pour le capitaine de mon équipe. «  J'étais à Toronto à l'époque. Jeno était à Harvard et c'est le Doyen qui lui a appris la mort de notre père. Il l'a fait convoqué à son bureau... En même temps que Septembre. Ils ont très vite compris qui ils étaient l'un pour l'autre et aussi la personne qu'était notre père. Je l'ai rencontré peu de temps après. Jeno m'avait beaucoup parlé d'elle mais, j'avais pas très envie de la connaître. » Je fronçais les sourcils face à cette dernière remarque. « Je peux te demander pourquoi ? » Pour ma part lorsque j'avais appris que j'avais un demi-frère, j'avais tout de suite chercher à en savoir un peu plus sur la personne en question. Puis, je terminais sur la piste de danse en compagnie de la jeune femme et je lui avouais avec un sourire qu'elle me vendait littéralement du rêve après m'avoir dit que ce soir je ne serais pas le partenaire de la solitude. Avait-elle seulement conscience de l’ambiguïté de ses paroles ? Je n'en étais pas certain. «  Ma plus grande qualité. » L'entendre rire provoqua un sourire sur mon visage et alors qu'elle me complimentait, je la remerciais avec un baiser. Que ce soit alcool qui me poussait ou le fait que je la trouvais très jolie, je profitais juste de l'instant constatant que la jeune femme ne me repoussait pas du tout. Puis quand la musique s'acheva, je l'attrapais par la main avant d'aller payer nos boissons. « T'es quoi ? Un millionnaire ? Un mafieux ? Un dealeur..? » J'explosais alors littéralement de rire, ne m'attendant certainement pas à ce genre de réflexion de la part de la jeune femme. « Un peu des trois à vrai dire. » Réalisant un clin d’œil, je lui fis un mouvement de tête en direction de ma personne. « Mais attention, pas de mouvements brusques, je cache très bien mon arme. » M'esclaffant à nouveau, je l’entraînais dehors car je n'allais pas lui raconter que je roulais sur l'argent et que je venais d'une bonne famille bien aisée et que je bossais de temps en temps pour mon père. Quand on termina dans une petite ruelle assez sombre, je pris Aleyxs dans mes bras avant de l'embrasser à nouveau sans vraiment savoir ce que je faisais. « C'est l'alcool. » Elle avait alors placé ses mains derrière ma nuque et je souriais contre ses lèvres alors qu'elle m'embrassait à son tour. Elle avait raison et je le savais mais tant pis, je me laissais juste avoir par l'instant. « Je sais pas s'que c'est mais je te trouve très attirante... » Depuis le début de la soirée même. Reculant alors doucement toujours collé à ses lèvres, je vins à plaquer la jeune femme contre un mur derrière, glissant mes mains sur sa taille et mes lèvres de sa bouche jusqu'à son cou, mordillant parfois la peau qui s'y trouvait. « Si tu ne me dis pas d'arrêter tout de suite, je n'aurais jamais la volonté de le faire. » Et je comptais bien ne pas m'arrêter et je comptais bien aussi sur le fait qu'elle ne me repousse pas car, alcool ou pas, j'avais à présent envie d'elle.
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Je n'avais jamais parlé de ça dans les moindres détails. Seul Jeno était au courant du fait que j'avais eu énormément de mal à accepter Septembre parmi nous et plus particulièrement des raisons pour lesquelles ça c'est passé comme ça entre nous. « Je peux te demander pourquoi ? » J'hésitais un instant avant d'hocher la tête positivement. Bien sûr qu'il en avait le droit d'ailleurs, il venait de le faire. Tu vois pendant tout ce temps, je savais que mon père avait une maitresse. Il ne rendait jamais à la maison, il ne donnait que très peu de détails sur ce qu'il faisait mais, je pensais pas qu'il nous avait abandonné pour refaire sa vie ailleurs. Je pensais pas qu'il pouvait nous faire ça surtout à ma mère mais, il l'a fait et je tenais Septembre pour responsable. C'est comme s'il fallait que mon père soit mort pour quelque chose... Il me fallait un coupable et j'ai pris Septembre. J'avais toujours été une garce, une vraie méchante lorsque je le voulais or, jamais je n'aurais cru être capable de faire une telle chose. Je marquais une pause avant de reprendre doucement : Et j'avais peur de partager Jeno. C'est vrai, c'était mon frère, mon modèle, mon protecteur. Je voulais pas le partager et encore moins qu'on mele vole. C'était nul mais, j'avais fonctionner de cette façon. Enfin bref, la famille ça va deux minutes, nous décidions d'aller danser. Ce fut assez rapide puisqu'il finit par 'embrasser puis, me traîner jusqu'à l'extérieur. J'avais remarqué tous les billets qu'il avait laissé au barman du coup, je me demandais ce qu'il cachait mais en réalité, je m'en foutais pas mal de savoir d'où venait tout ce fric. Je n'étais moi-même pas réglo étant donné que je dealais avec mon frère alors...! « Mais attention, pas de mouvements brusques, je cache très bien mon arme. » Je levais les bras d'un air innocent en riant avant de le suivre dans une petite rue peu éclairée et à l'abri des regards indiscrets. Il déposa de nouveau ses lèvres contre les miennes en se demandant pourquoi il faisait ça. Je lu donnais mon hypothèse mais, il avait une toute autre vision des choses : « Je sais pas s'que c'est mais je te trouve très attirante... » Inutile de dire que je préférais sa version. En tout cas, ça m'allait droit au coeur. C'était toujours agréable de savoir qu'on plaisait. Tu sais, t'es pas mal non plus... Répondis-je en me mordant légèrement la lèvre inférieure avant de capturer ses lèvres. Toujours lèvres contre lèvres, il se mit reculer jusqu'à ce que mon dos se retrouve plaqué contre le mur. Ses mains contre ma taille, ses lèvres contre ma peau. Je frissonnais légèrement face à ce contact. « Si tu ne me dis pas d'arrêter tout de suite, je n'aurais jamais la volonté de le faire. » Qu'est-ce que j'avais vraiment envie qu'il s'arrête ? Ce n'était peut-être pa super raisonnable mais, ce n'était pas mon genre de l'être. Je fermais les yeux tandis que je sentais mon coeur battre un peu plus fort dans ma cage thoracique. T'arrêtes pas... Murmurais-je. Je sais, je l'aide pas tellement et alors ? On s'en fout, c'est les vacances.
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Je me montrais trop curieux, ça c'était certain. Mais dans un certain sens, si jamais je me retrouvais là ce soir en compagnie de la jeune femme dans ce pub, c'était pour apprendre à la connaître et sa complexité m’intéressait grandement. Et puisqu'elle semblait bien partante pour me raconter certaine chose sur elle, je n'allais pas me priver de lui poser plusieurs questions. «  Tu vois pendant tout ce temps, je savais que mon père avait une maitresse. Il ne rendait jamais à la maison, il ne donnait que très peu de détails sur ce qu'il faisait mais, je pensais pas qu'il nous avait abandonné pour refaire sa vie ailleurs. Je pensais pas qu'il pouvait nous faire ça surtout à ma mère mais, il l'a fait et je tenais Septembre pour responsable. C'est comme s'il fallait que mon père soit mort pour quelque chose... Il me fallait un coupable et j'ai pris Septembre. Et j'avais peur de partager Jeno. » Fronçant les sourcils, je me rendais compte que je captais totalement ce qu'elle venait de m'expliquer. « Je comprends... » Marquant une pause, je me passais la main derrière la nuque en réfléchissant. « Mais d'un autre côté ta mère a refait sa vie non ? Tu n'as donc jamais été proche de ton beau-père je suppose ? » Ces histoires de membre de famille que l'on découvre comme de par hasard pouvait parfois être assez étranges, vu que moi aussi je venais de vivre le cas avec Emmett, mon demi-frère. Je fixais toujours la jeune femme jusqu'à ce qu'elle me propose d'aller danser et que peu après cette danse je ne décide de lui voler un baiser. Quand je la pris par la main afin d'aller régler nos boissons avant de nous enfuir dehors, le commentaire que réalisa la jeune femme à mon attention me fit littéralement exploser de rire. Je n'étais ni un dealer, ni un mafieux ni rien de tout ça mais lorsque je lui parlais de mon arme qui était bien cachée, ses bras se levèrent en l'air et je souriais de toute mes dents. Une fois ensemble dans une ruelle peu éclairée et à l'abri du regard des autres, je prenais la jeune femme dans mes bras avant de déposer mes lèvres à nouveau sur les siennes. C'était si bon que j'avais en cet instant même, terriblement envie de plus. « Tu sais, t'es pas mal non plus... » Un sourire se dessina tout contre ses lèvres alors que ses mains étaient venues agripper l'arrière de ma nuque et que je faisais en sorte que la jeune femme ne recule jusqu'à buter contre le mur de derrière. « Chut. Tu es bien mieux. » De là, ce fut comme un feu d'artifice qui commençait à démarrer très lentement. Mes lèvres parcouraient déjà la peau de son cou et remontaient tranquillement jusqu'à ses propres lèvres. L'alcool me guidait probablement mais apparemment je n'étais pas le seul à me faire avoir par ce type de breuvage. « T'arrêtes pas... » Parfait, c'était tout ce que j'avais besoin d'entendre. Me reculant avec un sourire, je lui volais un dernier baiser avant de lui prendre la main. « Viens on rentres sur le bateau. » Je songeais d'ailleurs en marchant que j'avais une bouteille de vodka dans ma cabine et que ce serait pas mal d'aller la chercher afin de la boire avec la Mather. J'enroulais d'ailleurs un bras autour de la taille de la capitaine comme si elle avait été ma petite-amie de toujours et j'en profitais même pour faire le pitre alors que nous rentrions vers le port. Je levais donc la tête vers le ciel, en pointant avec l'index et en riant, une chose blanche qui volait dans celui-ci. « Une mouette Alexyyyys ! » Mais le truc était qu'à présent, j'avais très envie de passer du bon temps avec elle.
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Ralala la famille, c'est toute une histoire. « Je comprends... » Je souris légèrement. Je l'aimais bien Théophyl. Il essayait de me comprendre, il ne me jugeait pas et essayait de trouver des solutions. Je n'aimais pas parler de moi et pourtant, c'était tellement facile avec lui. « Mais d'un autre côté ta mère a refait sa vie non ? Tu n'as donc jamais été proche de ton beau-père je suppose ? » De mon beau-père ? Ted n'était rien à mes yeux. Avocat ou je ne sais quoi, snobe, un ex Eliot c'est certain. Il avait mis mon frère à la porte et tout ça parce qu'il avait fait une connerie. Il n'avait pas fait exprès de se faire choper aussi, c'était à cause de Skylar qu'il fut renvoyé. Ok, dealer c'était interdit mais, il était qui pour dire quoique ce soit ? Il essayait de remplacer papa, il essayait de se montrer autoritaire sauf que Jeno, il n'écoutait que lui donc... Bref, c'était parti en couilles cette histoire. Je savais pas qu'elle était remariée avant que Jeno me l'apprenne quand il s'est fait renvoyé d'Harvard. Je... Je l'aime pas ce type. Il est trop gentil, trop riche, trop parfait, trop faux en plus, il a demandé à mon frère de ne plus remettre les pieds à la maison donc... Donc je n'y allais plus non plus. C'était logique, c'était mon frère et moi ou personne et puis, je l'avais tout de même menacé Ted alors, vaut mieux pas que je me repointe. De plus, je n'étais apparemment pas assez importante aux yeux de ma mère pour qu'elle m'invite à son super mariage. Nous partions ensuite vers l'extérieur où notre conversation pris une toute autre ampleur. Lèvres contre lèvres, son souffle contre ma peau, c'était loin d'être désagréable, au contraire. « Chut. Tu es bien mieux. » Cette phrase, je l'entendais souvent mais généralement, c'était des personnes qui ne me connaissaient pas. En vrai, j'étais une garce, j'étais intelligente mais, je ne le montrais pas tellement, j'étais qu'une droguée, une grande gueule, une pure mather sans coeur. En tout cas, c'est comme ça qu'on me voyait, je n'étais pas mieux, même physiquement. En parlant de physique, Théo était vraiment, vraiment parfait. Il se détacha légèrement, je le regardais en souriant. « Viens on rentres sur le bateau. » Il déposa un dernier baiser sur mes lèvres, me prit la main puis, entoura ma taille de son bras. Je ne dis rien, je me contentais de ravaler ma salive. Ce n'était pas dans mes habitudes ce genre de choses, des petites attentions trop mignonnes mais apparemment, pas pour une fille comme moi puisque personne ne prenait la peine de me donner un minimum d'affection. Ah oui, c'est parce que je suis sans coeur ! « Une mouette Alexyyyys ! » Je le questionnais du regard avant de lever la tête et me mit à rire en fronçant les sourcils. T'es sûr que c'est une mouette ?
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