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THÉXYS ❥ Eat me up like wild fire !

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Me retrouver en compagnie d'Alexys dans un bar, n'était pas une chose que j'aurais cru possible dans la vie de tous les jours. Après tout, je ne la connaissais pas plus que ça et lui arracher des informations sur sa personne coûtait aussi cher que l'achat d'un jet privé. Réalisant un petit sourire avachis contre le comptoir, une main contre ma joue, je l'écoutais tranquillement me raconter sa vie, me mettant même à chanter lorsqu'elle me parla du Canada, son endroit d'origine. « Et ouais, c'est exactement ça ! » Vu le ton qu'elle employait pour me dire ce genre de chose, je pouvais comprendre qu'elle était totalement à fond et fière de son pays et cela m'arracha un sourire en coin. Reprenant peu après une bonne position, je vins à lui raconter ma propre vie, en racontant très brièvement les plus grands détails et points forts de celle-ci. Je passais donc de mes études à mon amnésie sans aucune appréhension. « En médecine ? Wahou..! Tu veux te spécialiser dans quoi ? » Regardant par-dessus sa tête ce qu'il se passait derrière elle avec une mine absente, j'haussais ensuite les épaules. « Aucune idée. Tu as fait partie de la quarantaine de janvier dernier ? Car avant j'étais en médecine sportive et j'ai décidé de changer quand je me suis rendu compte que je pouvais beaucoup plus aider... » Marquant une pause, je ne sus pas vraiment si ce que je disais était cohérent ou non ou si la jeune femme me suivait le courant. « Mais...En ce moment je réfléchis pour faire médecins sans frontière. Et toi, tu aimerais faire quoi ? » Et voilà c'était dit. Elle était n'empêche la première personne à laquelle j'en parlais. Comme quoi, les gens étrangers étaient toujours ceux auxquels on se confiait le plus facilement. « Je pense qu'on peut aller loin et puis comme tu dis, ça permet de rencontre de nouvelles personnes. » Réalisant un hochement de tête pour approuver ce qu'elle disait, je levais mon verre qui venait d'arriver dans sa direction avant de le boire cul sec et de faire la grimace lorsque le liquide se répandit dans ma gorge, me la brûlant au passage. « Ça fait du bien par là ou sa passe ! » Et tandis que j'attrapais un nouveau verre, je portais mon attention sur la jeune femme, un brin ironique. « Alors Alexys qu'est-ce que les Mathers ont de si particulier ? » Savaient-ils réellement s'amuser ? Aucune idée, mais total, je buvais déjà cul sec mon deuxième verre.
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Il fallait vraiment que je passe un moment avec Théophyl. On devait apprendre à se connaître étant donné que nous devions faire équipe jusqu'à la fin du summer camp. Ce n'était pas plus mal. C'était un bon moyen de faire de nouvelles rencontres et ce même si je n'étais pas forcément avec mes amis proches. J'avais tout de même Joan et Andrew même si c'était tendu dernièrement avec ce dernier. Par contre, j'avais Skylar est ça, c'était moins bien ! Enfin bref, il voulait en savoir un peu plus du coup, je lui sortis quelques petites informations par ici et par là, ne sachant pas vraiment par où commencer. Je lui retournais la question et il m'apprit qu'il faisait médecine. Je m'intéressais donc en lui demandant s'il comptait se spécialiser. « Aucune idée. Tu as fait partie de la quarantaine de janvier dernier ? Car avant j'étais en médecine sportive et j'ai décidé de changer quand je me suis rendu compte que je pouvais beaucoup plus aider... » Je fronçais les sourcils tandis qu'il semblait ailleurs. Oui, je me souvenais parfaitement de la quarantaine, une horreur, j'ai cru que j'aillais mourir ! Oui, je faisais partie de la quarantaine. Répondis-je d'un ton indifférent comme si ça m'était complètement égal. Je ne voulais plus penser à cette période étant donnée que ça n'avait pas été facile pour moi. Surtout du fait que je ne pouvais pas voir mon frère tous les jours et comme je le voulais. J'attendais la suite avec impatience. « Mais...En ce moment je réfléchis pour faire médecins sans frontière. Et toi, tu aimerais faire quoi ? » Médecins sans frontière ? Wahou alors ça, c'était génial ! A condition qu'on avait pas d'attache, aucune famille parce que oui, c'est pas facile de partir à l'étranger et faire comme si de rien était. Wahou, c'est vraiment cool comme projet et très ambitieux. Je suis sûre que tu vas y arriver. Moi, je en sais pas encore ce que je veux faire. J'haussais les épaules en soupirant d'un air blasé. A vrai dire, je voudrais rester à Harvard jusqu'à la fin de mes jours mais bon apparemment, ce n'était pas possible ce genre de trucs. « Ça fait du bien par là ou sa passe ! » Je me mis à rire avant de reprendre un nouveau verre. C'est vrai. Il n'y avait rien de meilleur, surtout après que tant de choses se soient profites. J'avais bien besoin de décompresser. « Alors Alexys qu'est-ce que les Mathers ont de si particulier ? » Je buvais mon second verre cul sec avant de me tourner légèrement vers lui, réfléchissant à sa question. Par où pourrais-je commencer ? D'abord, ils tiennent super bien l'alcool. Ensuite, on organise les meilleures soirées du campus. On sait s'amuser mieux que personne, on a de la bonne came... Je sais pas, on est malins et solidaires. Tu sais, tout le monde pense qu'on est des camés sans cervelles mais nous, on voit pas les choses de la même manière. On ne fait que profiter de notre jeunesse et on préfère cacher nos faiblesses. Petit résumé, pas tout à fait complet mais, je dois dire que j'étais plutôt fière de moi, je savais vendre ma confrérie.
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Bon d'habitude, je n'étais pas très fortiche pour raconter ma vie. Je passais les détails les plus importants en omettant le peigne fin, comprenant petit à petit que la capitaine des Skullers m'intriguait et que j'avais très envie de la connaître. Pourquoi pas devenir amis après tout ? «  Oui, je faisais partie de la quarantaine. » Le froncement de sourcil qui passa sur son visage en provoqua un à mon tour sur mon propre visage, alors que je réfléchissais aux choix qui m'avaient poussé à devenir médecin généraliste ou lieu de médecin sportif comme j'avais prévu au début. « Tu faisais partie de quelle vague ? Je ne me souviens pas m'être occupé de ton cas, ni de ton dossier... » Réfléchissant, je me souvenais tant bien que mal de ma blouse blanche et de mes rondes à travers les étages de l'hôpital, observant les malades, avant d'être moi-même touché par la maladie lors de la dernière vague. « Ou alors, je n'avais pas ton étage à surveiller... » Haussant les épaules, je passais à un autre sujet de conversation, lui demandant ce qu'elle voulait faire pour sa part, après m'être confié sur le fait que je voulais partir faire médecin sans frontière. « Wahou, c'est vraiment cool comme projet et très ambitieux. Je suis sûre que tu vas y arriver. Moi, je en sais pas encore ce que je veux faire. » Réalisant un sourire dans sa direction, je la remerciais d'un signe de tête pour ce qu'elle avait dit à mon sujet. « Comment ça se fait que tu ne saches rien encore ? Tu n'as rien qui te passionne ? Un métier que tu aimerais faire ? J'en doute un peu quand même là. » Souriant toujours, je remerciais silencieusement le barman lorsqu'il apporta nos shoots et je m'en enfilais deux à la suite, rapidement suivis par la jeune femme pour mon plus grand étonnement. «  D'abord, ils tiennent super bien l'alcool. Ensuite, on organise les meilleures soirées du campus. On sait s'amuser mieux que personne, on a de la bonne came... Je sais pas, on est malins et solidaires. Tu sais, tout le monde pense qu'on est des camés sans cervelles mais nous, on voit pas les choses de la même manière. On ne fait que profiter de notre jeunesse et on préfère cacher nos faiblesses. » Me grattant le menton, je fis mine de réfléchir avec une expression un brin ironique. « Personnellement la came ne m'intéresse pas du tout...Mais pourquoi vouloir cacher ses faiblesses, hein ? Nous sommes humains, normal d'en avoir. Faut pas les cacher petits Mathers... » Riant, j'attrapais un nouveau verre. « Alors quelles sont tes faiblesses capitaine ? » Souriant, je le bu cul sec, avec une grimace lorsque le liquide traversa entièrement ma gorge. « Ok, faut que tu saches que moi je ne tiens pas l'alcool, mais alors pas du tout et que si jamais tu me retrouves en train de marcher à quatre pattes, ce sera tout à fait normal. »
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« Tu faisais partie de quelle vague ? Je ne me souviens pas m'être occupé de ton cas, ni de ton dossier... » Alors là, très bonne question. Je me mis à réfléchir un instant, essayant de reconstituer mes souvenirs bien que j'évitais un maximum de repenser à tout ça. J'avais vraiment pas aimé le fait d'être malade, de me rendre compte que ma mère n'était même pas foutue de venir me voir alors que j'étais mal en point et peut-être sur le point de mourir. A cet instant, je m'étais sentie mal, au plus bas et Jeno avait tout fait pour me remonter le moral. Il avait été prêt à mettre sa rancoeur de côté, à parler à maman et une fois de plus, il avait prouvé à quel point je comptais pour lui. « Ou alors, je n'avais pas ton étage à surveiller... » J'esquivais un sourire avant d'hausser les épaules en soupirant. Je suis désolée mais, je n'ai plus aucun souvenir de l'épidémie, je pourrais pas te dire... Mon cerveau avait machinalement tout effacé et c'était sans doute mieux ainsi. Nous parlions ensuite de nos études respectives. Il avait des projets, il savait exactement ce qu'il voulait et moi, j'étais au milieu de tout ça, incapable de faire un seul et unique choix. Je me sentais vraiment ridicule. « Comment ça se fait que tu ne saches rien encore ? Tu n'as rien qui te passionne ? Un métier que tu aimerais faire ? J'en doute un peu quand même là. » En fait, j'étais trop jeune pour savoir exactement ce que je voulais faire. Je ne pouvais pas choisir quelque chose comme ça, sur un coup de tête, sans savoir si j'étais capable d'aller jusqu'au bout ou non. J'aimerais bien bossé dans le marketing international... Peut-être devenir directrice des ventes internationales.. Je sais pas, j'ai l'impression que ça, c'est encore super loin et puis, je sais pas si j'en suis capable. On verra bien. Après avoir fini mon verre d'une trêve, je lui expliquer les qualités des mathers. Enfin pour moi, c'était des qualités après, aller savoir. « Personnellement la came ne m'intéresse pas du tout...Mais pourquoi vouloir cacher ses faiblesses, hein ? Nous sommes humains, normal d'en avoir. Faut pas les cacher petits Mathers... » La came n'intéressait pas grand monde jusqu'à un certain moment. Quant à cacher ses faiblesses, c'était une simple question de protection. Je me sentais en sécurité derrière une carapace et dès que quelqu'un en apprenait trop sur ma personne, je redevenais cette enfant innocente et capable d'avoir peur de certaines choses. Sa question me fit tout de même sourire et je ne pus faire autrement que de lui faire confiance et de lui réponse. La famille... Ma famille a toujours été la plus grande faiblesse. Mon frère plus particulièrement. Sinon... Je dirais l'amour. Oh oui, l'amour Ce sentiment qui te déconnecte de tout et n'importe quoi plus particulièrement de la raison. Je n'avais eu que des déceptions, mon coeur devait être en mille morceaux à l'heure actuelle or, ce n'est pas pour autant que je baissais les bras. Et toi ? Quelles sont tes faiblesses ?! Bah oui, chacun son tour ! Je finis mon second verre sans même y faire vraiment attention. « Ok, faut que tu saches que moi je ne tiens pas l'alcool, mais alors pas du tout et que si jamais tu me retrouves en train de marcher à quatre pattes, ce sera tout à fait normal. » Je me mis à rire en observant la tête qu'il venait de faire. C'est bon à savoir. Promis je vais essayer de te ramener sur le bateau en un seul et unique morceau.
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Je n'avais pas pu m'empêcher de demander à Alexys de quelle vague épidémique elle avait partie lorsque la plupart des habitants de Cambridge City avait été touchés et tous mit en quarantaine. M'étant occupé de la plupart d'entre eux avec plusieurs autres médecins, je me rendais compte que je ne me souvenais pas jamais l'avoir vu dans mes environs. « Je suis désolée mais, je n'ai plus aucun souvenir de l'épidémie, je pourrais pas te dire... » Haussant les épaules à mon tour, je lui fis comprendre avec un petit signe de tête que ce n'était pas grave et que finalement, ça n'avait aucune importance. Autant effacer cette mauvaise étape de nos mémoires. Me disant ensuite qu'elle ne savait pas ce qu'elle voulait faire plus tard, je ripostais en lui disant limite qu'à son âge c'était impossible de ne pas savoir ce que nous voulions faire avec notre vie. «  J'aimerais bien bossé dans le marketing international... Peut-être devenir directrice des ventes internationales.. Je sais pas, j'ai l'impression que ça, c'est encore super loin et puis, je sais pas si j'en suis capable. On verra bien. » Hochant de nouveau la tête, je ne pus m'empêcher d'ouvrir la bouche pour employer un ton très sur de moi. « Je suis persuadé que tu en es très capable. Avec de la volonté on peut tout faire, tu sais. » Réalisant ensuite un petit sourire encourageant, je trouvais cela normal de lui dire ce genre de chose après ce qu'elle m'avait dit par rapport à ce que je voulais faire plus tard et que j'allais y arriver. Néanmoins, malgré le fil de la discussion, j'avais déjà englouti deux verres et je portais déjà le troisième à ma bouche lorsque la jeune femme me racontait les secrets des Mathers me faisant tantôt froncer les sourcils tantôt sourire. Lui demander quelles étaient ses faiblesses ne m'avait pas fait croire qu'elle voudrait me répondre, au contraire qu'elle allait m'envoyer balader et je ne pus que me réjouir qu'elle se confie un tant soit peu à moi. « La famille... Ma famille a toujours été la plus grande faiblesse. Mon frère plus particulièrement. Sinon... Je dirais l'amour. Et toi ? Quelles sont tes faiblesses ?! » Fronçant les sourcils avec un petit sourire, je songeais qu'elle semblait proche de sa famille vu qu'elle m'avait déjà parlé de ses frères et sœurs ce qui n'était absolument pas mon cas. Cette remarque ne m'empêcha pas de lui poser la question quand même. « Tu es proche de ton frère ? De ta famille en général ? » Je marquais une pause, reprenant suite à sa question, la mine songeuse et le regard perdu. « Ma plus grande faiblesse ? Je dirais la solitude. Je crois qu'elle rejoint ma plus grande peur qui est de finir seul mes jours...L'amour aussi. Je suis un maladroit inconditionnel, aucune fille ne veut de moi. » Je me mis à soupirer avec un sourire, reposant un verre bruyamment sur la table tout en ayant une pensée pour Elia. « C'est bon à savoir. Promis je vais essayer de te ramener sur le bateau en un seul et unique morceau. » Le rire qu'elle avait laissé échapper m'arracha un propre rire et je l'observais en plissant des yeux, assez indécis sur le fait de boire un quatrième verre ou pas. « Mais une question me trotte dans la tête...Pourquoi l'amour ? Ça se passe mal avec ton copain ? » Ou peut-être n'en avait-elle pas, après tout, je ne la connaissais pas et dans un certain sens, j'étais là pour ça.
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Non, je ne savais pas exactement ce que je voulais faire de ma vie. La plupart des gens trouvaient ça inquiétant mais personnellement, ça ne me faisait trop rien. Je préférais vivre au jour le jour sans me préoccuper de ce qui pouvait se passer dans le futur. J'étais à Harvard pour le moment, c'était déjà bien non ?! « Je suis persuadé que tu en es très capable. Avec de la volonté on peut tout faire, tu sais. » Je lui adressais un léger sourire, assez touchée au fait qu'il m'encourage et croit en moi alors qu'on se ne connaissait pas plus que ça. Ca faisait toujours plaisir de savoir qu'on était pas jugée parce qu'on était mather ou encore qu'on se contrefichait un petit peu de son avenir pour se concentrer sur le présent. Et nous voilà en train de parler de nos faiblesses du moins, des miennes pour le moment. J'aurais surement dû le remballer et lui demander de s'occuper de ses affaires seulement, je le trouvais gentil et puis, on devait se faire confiance puisque nous partagions le même bateau. « Tu es proche de ton frère ? De ta famille en général ? » Les battements ne mon coeur s'accéléraient légèrement sans que je ne puisse contrôler quoique ce soit. Je me mordais légèrement la lèvre avant de répondre honnêtement : De mon frère. Mon frère, c'est toute ma vie. Je commence petit à petit à me faire à l'idée que j'ai une demi-soeur. Elle a beau être plus âgée que moi, je ressens toujours le besoin de la protéger. Elle est super fragile Septembre.... Je parle plus à ma mère... Elle s'est remariée, a demandé à mon frère de ne plus mettre les pieds à la maison alors, je n'y retourne plus non plus... Mon père est décédé il y a quelques années... C'est comme ça que j'ai connu Septembre. En gros, voilà le résumé catastrophique de ma mère. Un père absent qui a fini par passer de l'autre côté. Une mère devenue fantôme à cause d'un foutu mari trop fier et prétentieux. Une demi-soeur sur qui j'avais rejeté tous mes malheurs avant de me rendre compte qu'elle était dans la même situation que moi. Je redemandais un verre pour digérer ce que je venais de dire avant de lui demander ses propres faiblesses également. « Ma plus grande faiblesse ? Je dirais la solitude. Je crois qu'elle rejoint ma plus grande peur qui est de finir seul mes jours...L'amour aussi. Je suis un maladroit inconditionnel, aucune fille ne veut de moi. » Je ne pus m'empêcher de rire. La solitude... Non ça, je ne connaissais pas vraiment. Je savais que quoiqu'il puisse arrivait, j'aurais toujours Jeno, Septembre, Konrad, Matthéo, Charlie, Grace, Wade et même Jorden. J'avais des amis en or et ça, ça valait toutes les familles du monde. Quant à l'amour, j'étais mal placée pour dire quoique ce soit. « Mais une question me trotte dans la tête...Pourquoi l'amour ? Ça se passe mal avec ton copain ? » Je manquais de m'étouffer avec ma vodka et je prie le temps de m'en remettre avant de lui sourire. Je suis célibataire. L'amour, c'est pas vraiment mon truc. Je suis tombée amoureuse qu'une seule et unique fois dans ma vie et, ce fut un vrai désastre du coup, j'ai décidé de tirer un trait là-dessus. Il y a maintenant cinq ans. De Jorden. Et puis, j'avais essayé de lui redonner une chance après tant d'années mais, on ne faisait que se détruire mutuellement et j'en avais plus que marre de souffrir donc... Je souriais de nouveau à Théo avant de lui demander histoire de penser à autre chose de moins déprimant. Tu danses ? Damn it, j'en étais à combien de verres au juste pour demander une telle chose ?
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La discussion avec la capitaine de mon équipe prenait des tournures diront nous, un peu plus personnelles et je ne pouvais pas m'en plaindre. À vrai dire, j'étais là pour faire sa connaissance et je mentirais si jamais je disais que la connaître un peu plus ne m'intéressais pas. Après une brève introduction sur nous même, on termina par parler de nos ambitions, projets futurs et même de sa maison au cours de l'année scolaire. La jeune femme s'était même montrée très compréhensive avec moi et je n'avais pu que en faire de même lorsqu'elle m'avoua qu'elle ne savait pas encore quoi faire de sa vie. J'en vins même à lui parler de sa famille, m'attendant à ce qu'elle ne me repousse après m'avoir dit qu'elle n'était pas du genre à parler d'elle, je ne pus qu'être agréablement surpris lorsqu'elle commença à vachement bien se confier à moi. «  De mon frère. Mon frère, c'est toute ma vie. Je commence petit à petit à me faire à l'idée que j'ai une demi-soeur. Elle a beau être plus âgée que moi, je ressens toujours le besoin de la protéger. Elle est super fragile Septembre.... Je parle plus à ma mère... Elle s'est remariée, a demandé à mon frère de ne plus mettre les pieds à la maison alors, je n'y retourne plus non plus... Mon père est décédé il y a quelques années... C'est comme ça que j'ai connu Septembre. » Je réalisais alors une mimique triste dans sa direction avant de murmurer tout doucement. « Je suis désolé pour ton père...Apprendre qu'on a une demi-sœur c'est délicat..Je le sais car récemment j'ai découvert que j'avais un demi-frère donc bon... Mais ne renie pas ta mère pour autant même si dans le fond je suppose que tu lui en veux. Je ne suis pas proche de mes parents et une fois qu'ils sont plus là, on ne peut que regretter. » Après tout qu'en savais-je ? Je n'étais pas un spécialiste, loin de la et je ne voulais pas non plus la faire chier avec mes idées. Quand je lui parlais de mes propres faiblesses et lui demandais pour son copain, je n'aurais pas pu cacher ma déception si elle m'avait dit qu'elle n'était pas seule. « Je suis célibataire. L'amour, c'est pas vraiment mon truc. Je suis tombée amoureuse qu'une seule et unique fois dans ma vie et, ce fut un vrai désastre du coup, j'ai décidé de tirer un trait là-dessus. » Quoi ? Jetant un coup d’œil à nos verres j'en attrapais un cinquième et le bu d'une seule traite avant de le reposer bruyamment et de croiser son regard et le sourire qu'elle me lança. Cinq verres dans le sang, j'allais aller mal, très mal. « Tu n'aimes pas les secondes chances ? Parfois l'amour ça marche du premier coup pour les gens, parfois au bout d'un certain nombre d'essais. » J'haussais les épaules ne croyant pas un seul mot de ce que je disais. « Bah laisses tomber, c'est con l'amour. » Tournant mon visage, j’observais les gens tandis qu'une musique lente retentissait à nos alentours. « Tu danses ? » Tournant mon visage à nouveau vers celui d'Alexys, un sourire surpris s'installa lentement sur mon visage. « Avec plaisir madame la capitaine. » Me levant de mon tabouret, je lui tendais la main afin qu'elle me donne la sienne et je l'entraînais sur l'espèce de petite piste de danse aménagée. Enroulant un de ses bras autour de mon cou, j'en enroulais à mon tour un autour de sa taille. « Bon et sinon ? Tu ne te sens jamais trop seule quand même non? » Souriant, j’attrapais sa main, la décollant de mon corps et la faisant tourner sur elle-même avant de la ramener dans mes bras et de la pencher en arrière comme dans les vieilles danses des années cinquante en riant.
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Je l'aimais bien Théophyl. Je ne le connaissais pas plus que ça et pourtant, j'arrivais à lui parler et à l'écouter comme si nous nous connaissions depuis des années. Je trouvais ça juste bizarre et agréable à la fois. On parlait de tout et de rien, j'arrivais même à lui raconter mon passé, mon présent, ma famille. J'écoutais ses conseils, aussi bizarre soit-il. « Je suis désolé pour ton père...Apprendre qu'on a une demi-sœur c'est délicat..Je le sais car récemment j'ai découvert que j'avais un demi-frère donc bon... Mais ne renie pas ta mère pour autant même si dans le fond je suppose que tu lui en veux. Je ne suis pas proche de mes parents et une fois qu'ils sont plus là, on ne peut que regretter. » J'esquivais un léger sourire. C'était vraiment gentil de sa part de s'intéresser à mes problèmes de famille et puis, ça nous permettait de constater qu'on avait des points communs tous les deux. En tout cas, il n'avait pas à s'excuser, je n'avais jamais été proche de mon père, on ne s'était vu que très rarement. Il nous avait abandonné, avait créer sa vie avec une autre femme, avait eu d'autres enfants... J'en avais voulu à Septembre dans un premier temps, heureusement que Jeno avait été là pour me prouver qu'elle faisait partie de la famille, qu'elle n'y était pour rien etc. Enfin bref... On était pas proche... Il n'a jamais été présent pour moi et.. C'était un con. J'ai mon frère et ma soeur, ça me suffit amplement. Oui parce que j'en voulais à ma mère. Elle ne prenait plus de nouvelles, elle nous avait oublié et il fallait que j'en fasse autant même si ça mettait du temps. Et nous voilà en train de parler d'maour. Non, je n'avais pas de petit-ami et à ce que j'avais compris, Théo était célibataire aussi. C'était bon à savoir ! « Tu n'aimes pas les secondes chances ? Parfois l'amour ça marche du premier coup pour les gens, parfois au bout d'un certain nombre d'essais. » Il me faisait sourire. Est-ce que lui avait eu besoin de plusieurs essais avec une personne en particulier ? Peut-être qu'il disait vrai. Jorden avait eu sa chance, ses chances même. Encore une fois il fallait que je passe à autre chose. Ralala. « Bah laisses tomber, c'est con l'amour. » Mon sourire s'agrandit de plus belle.Il a déjà eu une second chance et je préfère quand tu me dis laisser tomber. Je laissais échapper un léger rire avant de me lever pour lui demander s'il voulait danser. J'avais bu du coup, je pouvais me le permettre. Théo accepta, il se leva à son tour et me tendit la main. « Avec plaisir madame la capitaine. » Je la fixais quelques secondes avant de la lu mettre et de relever la tête pour lui sourire. Il m'emmena sur la piste de danse, une main contre ma taille, la mienne autour de son cou. J'essayais de suivre ses mouvements, je me concentrais au début puis, finissais par me détendre petit à petit. « Bon et sinon ? Tu ne te sens jamais trop seule quand même non? » J'haussais légèrement les épaules, posant mon regard sur lui. Quand ? Aujourd'hui ? Tout le temps ? En ce moment ? Non, jamais. Jamais. Et toi ? Il attrapa ma main, me décolla légèrement avant de me faire tourner puis, il me ramena, me pencha légèrement en arrière. A vrai dire, tout c'était enchaîné super vite et je me mis à rire avant de me mordre la lèvre. Tu danses bien..!
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Je devais reconnaître qu'apprendre que la jeune femme n'était pas du tout proche du reste de sa famille à part de son frère, et un peu sa sœur m'attristait. Soit ça, soit l'alcool était définitivement en train de me rendre sacrément guimauve. Chose que je ne voulais absolument pas car je n'allais pas déjà me ridiculiser devant le capitaine de mon bateau quand même, hein ? Je lui disais quand même pas mal de choses sur ma personne et j'espérais bien qu'elle ne le prenne pas mal ou que justement, qu'elle trouve en moi un nouveau confident. Car écouter, ça je savais le faire sans aucun problème et je venais de bien le lui démontrer. «  On était pas proche... Il n'a jamais été présent pour moi et.. C'était un con. J'ai mon frère et ma sœur, ça me suffit amplement. » Je réalisais une petite grimace dans sa direction, songeant que ce qu'elle me disait était bien triste sur son propre père. Qu'elle pense ça de lui en était une chose, qu'il ne lui manque pas une autre. Ma main vint alors à faire un mouvement d'indifférence, comme si elle balayait l'air. « Bah, je comprends. Plus que tu ne peux l'imaginer. M'enfin, moi contrairement à toi, je n'ai personne. J'apprends à découvrir mon demi-frère, et encore. » Toussotant un peu mal à l'aise, je n'arrivais déjà plus à me souvenir comment le sujet de l'amour était entré dans notre discussion. « Il a déjà eu une second chance et je préfère quand tu me dis laisser tomber. » Le grand sourire qui s'affichait alors sur ses lèvres ne pus que me faire agrandir le mien et encore heureux, car je lui disais que l'amour c'était con et j'étais de plus, le premier à avoir fait une grosse croix bien noire dessus. Comme si genre le sujet était mission impossible et que ça ne servait plus à rien d'y plonger tête la première dedans. « Ben alors c'est un couillon d'avoir aussi peu garder sa seconde chance. » Je réalisais un clin d’œil dans sa direction, songeant que j'étais moi-même le premier couillon rien que pour avoir fait le con avec mes relations avec Leyna et Elia. Enfin, tout cela était derrière moi à présent et j'étais plus libre que l'air sous les ponts. Quand la jeune femme me demanda si je voulais danser, un sourire surpris s'était emparé de mes lèvres mais j'acceptais dans tous les cas, prenant sa main, l'emmenant sur la piste de danse, son bras autour de mon cou, ma propre main autour de sa taille et je vins à lui demander s'il lui arrivait de se sentir seule. « Jamais. Et toi ? » Réalisant un sourire en coin, je me passais ensuite la langue sur les lèvres. « Tout le temps. » On se complétait bien en étant différent non ? Et après l'avoir décoller de mon corps pour la faire tourner sur elle-même et l'avoir pencher en arrière, j'eus le droit à un petit commentaire qui me fis hausser les sourcils avec amusement. « Tu danses bien..! » Je me mis à rire. « Absolument pas. J'essaie juste de te faire croire que si. » Puis après avoir fixer son regard durant de longues secondes, je penchais mon visage vers le sien sans réellement trop savoir ce que je faisais. « Mais merci. » Puis je déposais doucement mes lèvres contre les siennes. Merde. Combien de verres j'avais dans le corps moi déjà pour faire ça ? Aucune idée.
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Parler de a famille n'avait jamais été trop facile pour moi. C'est comme si mon monde tournait autour de mon frère, tout le monde le savait, on était souvent ensemble, on était toujours en train de se défendre et ce même si on savait pertinemment que l'autre avait tort. On bossait ensemble, on passait nos vacances ensemble bref, je ne pouvais pas me passer de lui et je le suivrais jusqu'au bout du monde s'il le fallait. Pour ce qui était de Septembre, je commençais vraiment à l'apprécier. Je la considérais comme ma soeur, ma vraie soeur, je la protégeais et je lui faisais confiance. Bref, c'était assez bizarre. Tout l'amour que je n'avais plus de la part de mes parents, je le recevais d'eux. « Bah, je comprends. Plus que tu ne peux l'imaginer. M'enfin, moi contrairement à toi, je n'ai personne. J'apprends à découvrir mon demi-frère, et encore. » Je grimaçais légèrement. Il n'avait pas de parents du moins, plus et pas de frère ou soeur. Ca devait être difficile pour lui. Tu l'as appris quand ? Que tu avais un demi-frère ? Demandais-je curieusement avant que la conversation se divague sur nos amours ou plutôt mes amours. « Ben alors c'est un couillon d'avoir aussi peu garder sa seconde chance. » Je lui souris au lieu de répondre. C'était surement le cas mais, je pouvais pas l'admettre, c'était Jorden tout de même. C'était mon premier amour et quelque part, je savais qu'on était liés à vie tous les deux. Enfin bref, il était grand temps pour moi de danser. Je sais pas, une envie comme ça... Comme à chaque fois que je buvais en soirée. Sobre, j'aurais pas décoller de ma chaise mais là... Il me demanda si je me sentais seule parfois. J'avais beau réfléchir, jamais je n'étais seule. Même quand je l'étais, quand je pensais l'être, quelqu'un finissait par rappliquer. J'avais sans doute les meilleurs amis du monde. « Tout le temps. » Comment pouvait-il se sentir seul ? En tout cas, il le serait pas ce soir. T'es plutôt du genre solitaire ? En tout cas ce soir, tu vas pas te sentir seul. Bah quoi ? J'aime pas quand les gens sont tristes, seuls ou autre. Moi, je suis une vraie boule d'énergie, une bombe à retardements, toujours fourrée avec ses amis alors bien évidemment j'allais essayer de remédier à son problème. En tout cas, je trouvais qu'il dansait bien et je ne pus faire autrement que de le lui faire remarquer. Il semblait choqué que je lui dise une telle chose mais, c'était le cas. Ou alors, j'étais tellement nulle en danse que pour moi, ça, c'était la perfection. Allez savoir. « Absolument pas. J'essaie juste de te faire croire que si. » Je me mis à rire. En tout cas ça marchait plutôt bien ! Son regard était posé sur le mien, fixé, figé et je ne pouvais quitter ses beaux yeux. Un léger sourire sur les yeux, j'en oubliais presque de respirer tandis qu'il se rapprochait un peu plus. « Mais merci. » Sans que je n'eus le temps de comprendre quoique ce soit, ses lèvres se retrouvèrent contre les miennes. C'était étrange mais, loin d'être désagréable d'ailleurs, au bout de quelques secondes, je prolongeais son baiser comme si de rien était. C'était quoique ça ? L'alcool ? La solitude ? Juste l'envie ? Ouais, je crois que pour ma part, c'était l'envie. J'étais célibataire, c'était le vacances et Théophyl était plutôt canon en son genre alors, pourquoi s'en priver ?
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