Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibilityCARPENTER † Promenons dans... la montagne pendant que le loup n'y est pas. - Page 3
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CARPENTER † Promenons dans... la montagne pendant que le loup n'y est pas.

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Les Mathers et les Eliots, c'est déjà une chose. Les Carpenter et les Eliots, c'était encore pire. Je crois que les choses se sont amplifiées après que Skylar ait dénoncé Jeno au Doyen. A vrai dire maintenant, ce n'était plus une guerre fils à papa contre dépravés et drogués, ce n'était plus Carpenter contre Romanov, c'était bien pire encore. En gros, t'es ami avec un Eliot, ça passe pas mais, t'éprouves quelque chose ou tu sors avec un Eliot et là, t'es bonne pour la pendaison et encore, je suis gentille, je ne parle pas de la torture. Si Jeno apprenait ça, il allait clairement péter les plombs et, j'avais promis à Zakhar que je lui en parlerais. Pourquoi ? Sans doute était-ce un défi et comme je n'étais pas du genre à renoncer à la moindre difficulté, j'allais le faire au risque de me faire tuer. Après tout, Jeno, c'était on frère, il m'aimait, il ne voulait que mon bonheur alors... Parce que je vais encore plus souffrir si on ne fait pas les choses comme ça... Je soupirais et grimaçais légèrement en tournant la tête vers Septembre. En plus, t'imagines la tête de Jeno ?
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Pour le coup, tu ne comprenais vraiment pas ta soeur. Tu ne comprenais pas pourquoi elle voulait balancer son bonheur a cause de simples maison. Pour toi, cette guerre avait toujours été un peu débile. Bien sure que tu avais pris le cote des Mathers, mais cela ne t’avait jamais beaucoup empêché de passer du temps avec des eliots quand tu en trouvais l’occasion. Drake avait été eliot. Tu l’avais aimé comme pas possible et sa maison ne t’avait jamais beaucoup importe beaucoup. C’est pour cela que tu avais du mal a suivre pourquoi elle réagissait comme cela. Vous continuez a marcher le long du chemin. Tu continuais de garder ton chien en laisse. Tu avais un peu qu’il s’en aille courir et se perdre. Tu savais qu’il était bien trop excité par cette sortie. “Tu sais la souffrance fait partie de la vie.” Tu ne le savais que trop bien. “Puis pour Jeno, tu t’en fou! Tu fais ce que tu veux, t’es majeure et vaccinée!” Oui tu prenais le rôle de la grande soeur qui influençait mal la petite.
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Qu'est-ce que je pouvais lui dire à Septembre. C'est vrai, je l'aimais bien Zakhar mais, je savais que ça ne menait à rien tout ça. C'était un Eliot, j'étais une Mather. Je ne comptais pas faire un remake de la relation qu'avait Briony avec Andy. D'ailleurs, je l'avais détesté de sortir avec lui alors, peut-être que je devais me détester d'éprouver des trucs inconnus pour Zakhar. Ouais, je pouvais pas mettre de mots sur ce que je ressentais. C'était juste super étrange et je ne savais plus où donner de la tête. Est-ce que je devais lui parler de tout ça, est-ce que je devais d'abord voir Jeno ? Oui, j'avais dit à Zak que je serais capable de parler avec mon frère, de lui dire qu'on avait couché ensemble et, je comptais de faire. Non seulement parce que j'aimais les défis, parce que je l'avais également promis et que je n'étais pas du genre à dire des choses en l'air mais surtout parce que j'avais jamais rien caché à Jeno et que ce n'est pas aujourd'hui que j'allais le faire. Je sais bien Septembre mais, j'ai assez donner pour ça... pour les sentiments, les hommes, l'amour et compagnie et je crois que t'es la mieux placée pour me comprendre. Je soupirais avant de rajouter : Je lui ai toujours demandé son avis sur tout. Et j'ai toujours suivi ses choix parce que la famille, c'est important et que je sais que même si j'avais tout le monde contre moi bah, il serait là. Tout comme toi maintenant.
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Tu étais le genre de personne qui voulait un peu le bonheur de tout le monde. Ta soeur était même la première personne dont tu voulais le bonheur. Elle avait le droit aussi. Bien sure, toi tu t’en fichais pas mal de ton bonheur. C’était toujours les autres avant toi, car pour toi le bonheur il ne pouvait pas exister. Il y avait eu trop d’occasion rater pour cela. Tu préférais bien plus ta vie comme elle l’était, avec tes petits bonheurs par ci par la, comme un peu ton chien qui te rendait vraiment heureuse. Tu n’avais pas besoin de plus. Tu voulais cependant que ta soeur ait son droit aux bonheurs et qu’importe si cela voulait dire qu’elle finirait avec un Eliot. Le but c’était qu’elle soit heureuse non? Du moins c’est que tu croyais. Mais Alexys te remettait bien trop vite a ta place. Bien sure que tu étais trop bien placée pour la comprendre. Tu avais vécu un tas de chose dans ta vie aussi jeune qu’elle soit. “Je sais, mais faut pas abandonner. J’ai pas abandonné moi!” Maintenant oui, surtout avec ce connard de Julian qui t’avait lâchement abandonné et qui n’avait pas cherché a ta comprendre. Mais c’était diffèrent avec Alexys et le jeune homme Zakhar. Il était bien pour elle. La famille aussi et tu avais réussi a en retrouver une. “Bien sure que je serais la pour toi, tu le sais. Mais j’ai aussi envie que tu sois heureuse.”
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J'avais eu un peu de mal à m'attacher à Septembre mais, c'est surtout parce que je la voyais comme une petite chose fragile, une victime. En réalité, elle avait traversé beaucoup de choses et elle avait toujours garder la tête haute malgré tout. C'était un modèle à suivre cette fille et bien entendu, ses conseils et son avis comptaient énormément pour moi. C'était ma soeur, l'une des personnes les plus importantes dans ma vie. J'écoutais donc attentivement ce qu'elle avait à me dire. C'est vrai que je ne devais pas abandonner. Je n'étais pas du genre à abandonner et là dessus, elle avait surement raison. Je lui adressais un léger petit sourire en hochant la tête positivement de haut en bas. T'as raison... murmurais-je doucement alors qu'elle reprenait la parole pour me dire qu'elle serait toujours là pour moi et qu'elle souhaitait mon bonheur. Septembre, c'était vraiment la soeur parfaite et ça faisait toujours du bien de savoir que quelqu'un vous soutenez. Je la pris rapidement dans mes bras avant de déposer un baiser sur sa joue. Merci. Merci beaucoup, t'es vraiment une soeur parfaite et une amie en or. C'est vrai quoi, elle avait aucun défaut !
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