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Drew & Prue ❥ Hold me really tight until the stars look big

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We were born to be bad in love

Je ne contrôlais plus rien. Tout n’était qu’un trop plein de sensation et de baiser. A cet instant, il n’y avait que lui qui comptait. Mes lèvres contre les siennes, je me sentis basculer en arrière. De cette manière, je me retrouvais allonger sur son lit, complètement offerte à lui. Il ne me restait qu’un fin string en guise de tissu. Pour le reste, j’étais entièrement nu. Les yeux grands ouverts, je l’observais retirer le reste de ses vêtements pour se retrouver nu devant moi. Son sexe dressé dans toute sa splendeur m’arrachait un soupir hâtif. J’étais désespérément en manque de lui. A présent, il n’y avait qu’une chose qui comptait : qu’il ne fasse plus qu’un avec moi-même. De ses mains agiles, il m’arrachait le peu de tissu qu’il me restait, avant de plonger sa tête entre mes cuisses. Seigneur. Je crus défaillir à son contact. Mes mains s’accrochaient à ses draps pour ne pas faillir, les empoignants avec toute la force dont j’étais capable. Puis, plus rien. Il s’écartait de moi pour se frayer un chemin entre mes cuisses. D’un seul mouvement, son membre me pénétrait avec puissance. Ma première réaction, aurait dû être de lui demander s’il avait couché avec d’autre fille sans capote, car je ne voulais pas attraper de maladie. Seulement, j’étais incapable de parler et de réfléchir. J’étais en train de perdre pied. Totalement. Plantant mes ongles dans son dos, je m’agrippais à lui comme si je risquais de tomber dans un précipice. Bougeant des hanches, je lui donnais plus de facilité pour la pénétration. A chaque mouvement, je pouvais sentir son membre gonflé en moi. Je me sentais pleine et ravie. Continuant de bouger, je l’incitais à davantage.  
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Lorsque je l’avais basculée en arrière, je m’étais empressé de me dévêtir pour être finalement en tenue d’Adam et presque aussitôt, alors que mon membre était fièrement dressé et n’attendait qu’une chose, je la débarrassais de son joli string tout fin qui protégeait encore son intimité. Une fois celle-ci découverte, je m’étais frayé un chemin jusqu’à elle pour que je puisse la goûter, ça m’avait manqué, elle avait toujours un aussi bon goût mais comme je ne voulais pas trop de préliminaires actuellement, je me plaçais rapidement pour que je puisse bien la pénétrer. J’aurais dû prendre un préservatif mais mon désir était si puis-sant et de toute façon, il s’agissait de la femme que j’aimais donc je lui faisais confiance. Je m’étais introduit en elle d’un geste sec sans quitter ses yeux puis revenant à ses lèvres, je m’étais mis à bouger lentement d’abord mais j’explorais son intimité bien en profondeur tandis qu’elle s’agrippait complètement à moi. Et comme elle bougeait des hanches, je pouvais approfondir notre rapport. Dieu que cela m’avait manqué ! Ja-mais encore je n’avais ressenti autant de désir pour une de mes ex-petites amies, ce qui rendait Prue encore plus spéciale qu’elle ne l’était déjà d’ailleurs. J’accélérais mes mouvements donnant des coups de reins un peu plus puissants et profonds. Je prenais possession de ses seins avec ma bouche pour les titiller avec dé-lice, mordillant ses pointes durcies de désir et par la même occasion, j’ajoutai une de mes mains au niveau de son intimité pour que je puisse caresser doucement son clitoris sans cesser de donner de vigoureux coups de reins. Mon membre coulissait fièrement en elle comme s’il avait retrouvé son chemin après s’être perdu de-puis des années.
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Encerclant son corps de mes bras fébriles, je me perdais un instant dans cette étreinte. Savourant chaque seconde comme si c’était les dernières. Enfin, je le libérais de mes bras, lui donnant le loisir d’arpenter mon corps de ses douces lèvres. Il descendait jusqu’à ma poitrine. Y mettant tout son désir, mon corps s’arcboutait au moment où il me mordillait mes pointes. Un éclair de plaisir envahissait mon corps, me laissant des fourmillements dans tous mes membres. Soupirante, chaque mouvement de reins de sa part, m’enfonçait un peu plus dans se puit sombre. Chaque secondes me faisaient basculer dans un abandon total. Mes mains sur son torse remontaient jusqu’à son cou pour l’attirer à moi. Goulument, j’attrapais ses lèvres dans un baiser passionné. Dans l’obscurité de la pièce, les reflets de l’eau à travers la fenêtre, venaient illuminés nos deux corps, les rendant presque translucide. Déliant mes jambes, je venais encercler sa taille. De cette manière, je lui offrais plus de profondeur. Mes lèvres descendaient jusqu’à son cou avec avidité pour arriver à sa clavicule. Du peu de force qu’il me restait, j’arrivais à me hisser sur lui, le faisant basculer sous moi. Droite, j’observais son être, me perdant dans la contemplation de sa beauté. Dans l’ombre, ses yeux bleus continuaient de s’illuminer comme la lanterne qui éclaire mon chemin. Ondulant des hanches, j’entamais une danse lascive emplis d’un amour certain. Il était mon tout et il l’avait toujours été. Même lorsque nous n’étions que de simple ami qui couchaient ensemble. Même à l’époque, il avait été là. Cela était tellement évident que je ne m’en étais jamais rendu compte. Du moins, jusqu’à cette année.
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Je n’arrivais pas à croire la chance inouïe que j’avais cette nuit, en effet j’étais en train de faire l’amour avec mon ex-petite amie. Comment clôturer une si belle journée ensemble même si celle-ci avait bizarrement commencé avec cet accrochage que j’avais eu avec un type à vélo. Qu’importe, je vivais un rêve éveillé depuis quelques minutes. Qui aurait cru que Prue céderait la première à la tentation ? Pas moi alors que j’aurais plus pensé au fait que ça serait moi qui craquerait en tout premier mais il semblerait que non… J’avais souhaité montrer à Prue que j’étais prêt à attendre le jour où elle serait prête à revenir vers moi mais en fin de compte, je ne pouvais pas croire que ce qu’il se passait entre nous à l’heure actuelle, notre étreinte quoi, eh bien je ne pensais que celle-ci voudrait dire qu’elle allait revenir vers moi. Tout de même je l’espérais du fond du cœur, néanmoins j’avais balayé toutes ces pensées pour me focaliser uniquement sur la beauté de ma petite femme. M’étant frayé un chemin jusqu’à ses seins, je m’étais mis à mordiller les tétons durcis de Prue tout en allant et venant en elle avec vigueur et profondeur. Mon membre se glissait si bien en elle comme si ça avait été toujours sa place attitrée. Elle me fit basculer pour se retrouver à califourchon sur moi avant de se mettre à onduler. Elle se donnait entièrement avec fougue que je ne lui connaissais pas encore. Cette étreinte était inoubliable. Je vins mettre mes mains sur ses belles fesses que je caressais doucement avant de l’empoigner fermement et accompagner ses mouvements avec des coups de reins plus vigoureux. Je la voulais mienne pour toute la nuit et pour toujours ! Elle m’avait tant manqué
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Ce qu’on faisait était mal et j’aurais surement dû ne rien faire. Après tout, nous n’étions plus ensemble et il était bien connu que coucher avec ses ex n’apportait rien de bon. Seulement, je n’arrivais pas à me contrôler. C’était plus fort que moi. Assise sur lui, je m’empalais sur son membre fièrement dressé, bougeant des hanches pour lui donner plus de facilité. Levant les yeux vers le hublot, j’observais le mouvement des vagues. S’en était presque hypnotique. Rabaissant mon regard, je croisais celui d’Andrew. Comment se pouvait-il qu’un homme me fasse autant d’effet ? Approchant mon visage de lui, je l’embrassais dans un doux baiser, avant de me redresser. M’activant, je tâchais d’être à la hauteur de son désir. Dans les couloirs du bateau, je fus soudainement surpris par la voix de quelques hommes. Tendu par l’excitation, je ravalais le gémissement qui tentait de sortir. Être silencieuse après tant de jour sans faire l’amour à Andrew était quelque chose de plutôt difficile. Pendant un instant, j’eu peur d’être découverte dans une position compromettante par un de ses colocataires. Je n’avais certainement pas envie d’entendre parler de moi comme une vulgaire conquête.
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Coucher avec mon ex était surement la plus mauvaise idée que j’avais trouvée pendant ce foutu Summer Camp, en effet, même pour le moment nous étions en train de vivre quelque chose de très puissant et de délicieusement érotique, je savais que cela compliquerait encore plus notre relation et comment dire, nous n’avions pas vraiment besoin de complications en plus. Mais nous n’étions pas des personnes ordinaires Prudence et moi, en effet nous étions réellement au-dessus du lot. Qu’importe, j’étais en train de faire l’amour avec la femme que j’aimais et j’y prenais un pied total. Cela m’avait tant manqué que je me donnais totalement, plus que je ne le faisais déjà auparavant. C’était comme si j’allais donner ma vie cette nuit. C’était vraiment incroyable ! Même si c’était mal, ce rapport avec mon ex était aussi bien que ceux qu’on partageait tout le temps lorsque nous étions un couple. Et il y avait autre chose dans cette étreinte comme si braver l’interdit donnait encore plus de désir et augmenter le plaisir qu’on partageait ensemble. Elle m’embrassait tendrement sans cesser d’onduler sur moi mais je la vis soudain ravaler ce qui semblait être un puissant gémissement comme si elle craignait que les voix qu’on venait d’entendre allait subitement rentrer dans ma cabine. « Ne t’inquiète pas, nous sommes seuls et personne n’entrera ici. » murmurai-je tout en venant caresser l’un de ses seins avec une de mes mains tandis que l’autre continuait de caresser les fesses de ma belle. Je me soulevai légèrement avant de la porter dans mes bras pour aller la plaquer contre le mur avant de donner des coups de reins plus vigoureux. Le sexe en douceur, c’était bon mais le sexe très torride était encore mieux ! Quoiqu’avec Prudence tout était parfait !
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« Ne t’inquiète pas, nous sommes seuls et personne n’entrera ici. » Andrew essayait de me rassurer et cela fonctionnait. Continuant mes mouvements avec assiduité, je rejetais la tête en arrière, alors qu’une de ses mains avaient trouvés un chemin jusqu’à ma poitrine. Je n’eue pas le temps de réaliser, que je fus emporter contre le mur. M’accrochant fermement à Andrew, je plantais mes ongles dans son dos, alors qu’il me labourait de coups de reins. Je ne saurais décrire la multitude de sensations qui m’assaillaient. Mes jambes encerclaient sa taille avec plus de force, tandis que mon corps répondait aux attaques de Drew. Puis, l’arrêtant subitement, je le forçais à se retirer de moi pour pouvoir redescendre. Même debout, j’avais l’impression de l’avoir encore en moi. Puis, lui tournant le dos, je galbais mon corps comme une parfaite soumise. Mes mains appuyées sur le mur, je m’offrais totalement à lui. Au plus vite, je le voulais en moi. En amour, j’étais rarement douce, mais seul Andrew avait le droit à ce privilège. Seulement, il me connaissait et il avait eu la preuve dans son bureau à New-York, que le sexe vanille n’était pas forcément ce que je préférais.
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Qu’étais-je en train de vivre avec mon ex en réalité ? Etions-nous en train de faire l’amour comme si nous retrouvions les bases de notre couple détruit ou était-ce uniquement du sexe pour satisfaire nos envies respectives ? Je crois bien que c’était une question qui méritait amplement des réflexions parce qu’elle était bien compliquée à répondre puisque ma relation actuelle avec Prue était bien trop indécise et très compliquée. Je ne vais pas refaire le même refrain comme quoi je ne pouvais m’en prendre qu’à moi-même puisque je l’avais perdue par ma faute tout de même ! Néanmoins il semblerait que nous allions vers une certaine amélioration de notre relation, cette journée au zoo avait été assez déterminante tout comme cette nuit qu’on était en train de partager ensemble finalement. Mais assez pensé à tout cela, il fallait que je ne pense qu’à une chose : donner du plaisir à celle que j’aime autant que j’en recevais d’elle. Bref après l’avoir rassurée sur le fait que nous étions bien seuls et que personne ne viendrait nous embêter dans ma cabine – ben ouais j’étais dans une cabine personnelle que je partageais avec ma fille qui dormait dans la pièce d’à-côté d’ailleurs – je m’étais relevé et sans quitter son intimité une seule fois, je l’avais prise contre le mur avec bien plus de vigueur d’ailleurs elle y répondait en me plantant clairement ses ongles dans ma peau mais cela ne me faisait rien. J’aimais quand elle plantait ses griffes dans ma peau, cela me donnait la satisfaction de savoir qu’elle y prenait énormément de plaisir. Soudain elle m’arrêta pour que je me retire d’elle, j’eus donc pendant un court instant un sentiment de déception mais vite balayé par le fait qu’elle se mettait dos à moi tout en plaçant ses mains contre le mur. Je ne me fis pas prier pour revenir d’un coup sec en elle tout en embrassant son cou, je la prenais plus vigoureusement ainsi. Je mis ma main sur son cou et doucement, je l’attirais vers moi pour pouvoir l’embrasser sans cesser de lui donner de coups de reins puissants allant et venant en elle profondément.
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D’un coup sec, il me pénétrait une nouvelle fois sans me laisser le temps de reprendre mon souffle. C’est donc le souffle court que je savourais la sensation de son sexe en moi. Fermant les yeux, je me mordillais les lèvres. De son corps puissant, il me labourait sans relâche. Sa main venait encercler mon cou, avant de m’attirer contre lui. Avec force, il m’embrassait, mêlant sa langue à la mienne avec ardeur. Lui répondant avec passion, je remontais une main jusqu’à sa nuque, l’attirant un peu plus à moi. En même temps que ses coups de reins, je poussais mes fesses à sa rencontre, prenant son membre dans sa totalité. Prenant une de ses mains libre, je venais la poser sur ma poitrine. Il me donnait tellement de plaisir que j’avais l’impression de ne plus sentir mon corps. J’étais entièrement à lui comme si nous ne faisions plus qu’un. Je savais que mon orgasme n’allait pas tarder et qu’après cela, j’allais commencer à réfléchir à ce qu’il venait de se passer. Je regrettais presque le moment qui allait arriver. Après cela, notre bulle d’intimité exploserait et ce serait un retour cuisant à la réalité.
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C’était si bon comme à chaque fois qu’on faisait l’amour ensemble et même si j’aimais bien le sexe en douceur, je savais que tout comme moi, Prue préférait que ça soit beaucoup plus hot que cela par conséquent on avait rapidement changé de position pour se retrouver désormais contre le mur. Lorsqu’elle s’était retournée pour faire face au mur tout en cambrant bien ses fesses magnifiques, je ne m’étais fait prié pour la pénétrer d’un coup sec parce que je ne pouvais pas me permettre d’être loin de son sexe une minute de plus. Putain elle m’avait tellement manqué que je la voulais uniquement pour moi ! Peu importait les con-séquences de cette nuit qu’on était en train de partager ensemble, je comptais en profiter au maximum tout comme ma délicieuse petite amie devenue récemment mon ex… Mais elle restait ma copine même si je ne pouvais plus utiliser ce terme ! Fin bref, je la besognais sans relâche tout en mêlant nos langues ensemble dans un baiser des plus fougueux et passionnés tandis qu’elle me mettait la main sur sa généreuse poitrine que je me mis à caresser avec sensualité. Je ne voulais pas que ce moment d’intimité se finisse mais je savais que tout comme elle, je n’allais plus faire long feu là. Mais je continuais tout de même de lui donner de puis-sants coups de reins… Jouis pour moi mon cœur… Redeviens mienne ! Voilà ce que je tentais de lui trans-mettre dans mes coups de reins qui la besognaient avec une force et une vigueur impression-nantes.
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