Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility◘ Et trois nuits par semaine... Même sept. | PV Leandro


◘ Et trois nuits par semaine... Même sept. | PV Leandro

Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leandro&Ornella


22h00. Ça y est, Malvina est au lit. Bon, je sais, c'est tard pour un bébé d'un mois mais il faut me laisser le temps de m'organiser entre les biberons, les bains, la mise en pyjama et tout ce qui s'en suit. Elle dormait à poings fermés et je pouvais enfin apprécier ma cigarette à la fenêtre bien entendu. Un peu de détente, ça ne se refusait pas. Ce soir, ma fille dormait donc avec moi tandis que Leandro faisait je ne sais quoi. Nous n'étions pas en couple, il était donc libre de faire ce qu'il souhaitait sans me rendre de compte. Tant qu'il s'occupe de sa fille, le reste ne m'intéresse pas. Mais si je pouvais lui donner un conseil : qu'il se repose tant que Malvina n'est pas avec lui. Je dis ça mais je suis la première à sortir faire la fête lorsqu'il en a la garde. Après la clope du soir, un bain s'imposait. Je voulais me détendre et je comptais bien y rester des heures et des heures. Enfin, tant que l'eau reste chaude. À une époque, j'adorais me coucher à l'aube, au soleil levant et pourtant, maintenant, je n'attendais qu'une chose : dormir. À 21 ans, c'est assez triste comme vie mais je devais l'assumer. J'avais fais une erreur et je ne pouvais pas la rattraper. Après tout, je n'étais pas la seule à être maman à cet âge... Mais j'avoue que je suis l'une des rares à partager mon rôle de parent avec mon beau-frère. Ex beau-frère.
Passons. Il était une heure du matin lorsque je commençais à m'endormir paisiblement. Deux minutes. Cinq minutes. Vingt minutes. Ma nuit se terminait sous les pleurs du bébé. Un mauvais rêve sûrement... Ou non, Malvina pleurait réellement. Je baillais donc avant de me lever pour la prendre dans les bras. « Malvina... Qu'est-ce qui t'arrives ? » Elle avait prit un biberon juste avant de dormir et sa couche semblait propre. Franchement, vous croyez vraiment qu'elle peut réclamer son père ? Pas à son âge, si ? En attendant, je l'avais dans les bras, faisant les 100 pas dans ma chambre, enchaînant comptines, déclarations d'amour et prières. Et à chaque fois qu'elle cessait de pleurer, je tentais de la déposer dans son berceau... Et c'était reparti pour un tour.
Il était 2h30 et cela faisait plus d'une heure que les pleurs duraient. J'étais à bout de nerfs. J'avais mal au crâne et j'étais fatiguée, au bord de l'épuisement. Ne sachant plus comment réagir, ma seule solution restait Leandro. Je n'aimais pas lui montrer ma faiblesse à être mère même si au fond, il avait autant de difficultés que moi. On était mauvais et ce n'était un secret pour personne alors si j'ai besoin d'aide, il peut le faire.
J'enfilais une robe de chambre, pris Malvina dans mes bras, qui bougeait tel un asticot dans sa grenouillère. Je sortais de ma chambre afin de rejoindre celle de Leandro et au bout de quelques petites minutes, j'étais devant la porte, espérant qu'il soit là et non pas entouré d'une greluche pouffiasse comme il en a l'habitude. Je toquais alors, murmurant derrière la porte. « Leandro, c'est moi, ouvre... » L'intensité des pleurs de Malvina variait : j'avais l'impression qu'elle se calmait juste avant de reprendre de plus belle. J'en avais marre alors j'insistais en toquant à nouveau à la porte. « Puta*n Leandro... ! » Dis-je un peu plus fort que précédemment.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ornella & Leandro

Le summer camp, les vacances, les filles en bikinis, autant dire qu'ici je suis au paradis. Du moins à quelques exceptions. Même si je n'ai pas perdu de temps pour m'amuser avec d'autres femmes, mon ex a tendance à souvent me manquer, mais surtout Malvina. Je l'aime, je crois que c'est la première fois que je tombe sous le charme d'un bébé, mais j'en peux clairement plus. Elle pleure, elle chie, elle mange, elle pleure encore, bref c'est infernal. Et sans compter sur le fait que je n'arrive pas à gérer mon rôle de père, c'est tellement difficile, je ne m'attendais pas à ça. Mais peu importe ce soir je comptais bien me changer les idées, c'est Ornella qui s'occupe de la petite, je ne vais pas me faire prier pour m'amuser ce soir. Et pour cause il y a une soirée de prévue sur la plage avec d'autres étudiants d'Harvard, c'est pour moi l'occasion de me faire de nouvelles connaissances. Et surtout avec la gente féminine, bien que ce soir je ne suis pas venu pour ramener une fille dans mon lit, non je voulais juste profiter de ma soirée pour enchaîner quelques verres, rires et plaisanter. J'en revenais pas à quel point l'heure passait vite, du moins c'est la sensation que j'avais. D'habitude je reste dans les soirées jusqu'à pas d'heure, sauf qu'arrivé à presque une heure du matin, je n'avais qu'une seule et unique envie, dormir ! À contre cœur j'ai donc quitté les lieux pour retourner dans ma chambre, un peu éméché et en titubant, j'étais comme qui dirait, bourré. Heureusement malgré l'alcool dans mon sang j'ai su trouver la porte de ma chambre, une fois à l'intérieur je n'ai même pas eu le courage de prendre une douche, je me contentais de retirer mes vêtements pour rester en caleçon et rejoindre Morphée. Mes yeux se fermaient petite à petit, mais après quelques minutes tout au plus de sommeil, quelqu'un frappa à la porte. Dans un premier temps je préférais l'ignorer, jusqu'à ce que j'entende la voix d'Ornella. Je râlais tout seul, me levant du lit presque nu pour ouvrir la porte et tomber nez à nez avec la mère de ma fille et cette dernière en train de pleurer dans ses bras. Quoi ?! Disais-je sèchement en restant torse nu devant la porte de ma chambre. Pas besoin d'avoir un bac en science pour se rendre compte que j'ai fait la fête ce soir. T'as intérêt à avoir une bonne raison de me réveiller à presque 3heures du matin ! Je me décalais de quelques millimètres pour que la mère de ma fille puisse entrer dans ma chambre, ne comprenant toujours pas ce qu'elle faisait ici à cette heure-ci. D'autant plus que Malvina continuait de pleurer comme pas possible, entre ses pleurs et l'alcool dans mon sang, j'en pouvais plus. Et fait en sorte qu'elle arrête de pleurer, ma tête va exploser. Disais-je en râlant avant de fermer la porte derrière moi, m'adossant contre celle-ci en fixant Ornella du regard.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leandro&Ornella



Le Summer Camp, c'était un peu les vacances rêvées de tout étudiant et c'est vrai qu'il y a un an, j'aurai aimé y participer avec grand plaisir. Les fêtes chaque soir, l'alcool à volonté et une tonne de beaux garçons... Même s'il est vrai qu'il y a un an, j'étais en couple avec Fabio que j'aimais à la folie. Pour être honnête, j'ai encore des sentiments pour lui que j'essaie d'enfouir au plus profond de moi puisque de toute façon, je suis bien consciente que tout est terminé entre nous, et définitivement. Il aurait pu me pardonner mon infidélité, mais c'est le mensonge et la grossesse qu'il n'a pas pu accepter et je le comprends entièrement. En attendant, le Summer Camp, cette année, se résumait à en profiter quand Leandro a la garde de Malvina ou bien, à m'occuper de ma fille. Rien de très palpitant mais c'est ma vie actuellement et pour toujours. Au fond, je crois que je réalise pas pas que Leandro fait partie de ma vie et qu'il le restera indéfiniment. C'était mon beau-frère, alors me dire que c'est moi qui a une fille avec lui et non pas Elena me fait toujours beaucoup de mal. Il faisait son maximum en tant que père et on s'entendait parfois bien tous les deux, mais ça me faisait bizarre, je n'y pouvais rien. De toute façon, on pouvait seulement l'accepter.
J'étais donc devant la porte de la chambre de Leandro, Malvina dans mes bras en train de pleurer sans s'arrêter. Je toquais à plusieurs reprises, priant qu'il soit là et non pas à une de ces soirées organisées. Au bout de quelques instants, la porte s'ouvrit. Ouf ! En caleçon, la tête dans le c*l (autant être honnête), il venait de se réveiller... Mais il avait surtout l'air de rentrée de soirée. J'avais la même tête après une fête alors je savais de quoi je parlais. Au moins, l'un de nous deux avait pu s'amuser ce soir. Mais maintenant, retour à la vie réelle : il devait reprendre son costume de père.
C'est un "Quoi ?" qui me saluait, pas très ravi de me voir à priori. Avant de pouvoir répondre, l'agression continuait puisque Leandro me prévenait que j'avais intérêt à avoir une bonne raison de venir le réveiller. Il se décalait afin que je puisse rentrer, chose que je fis assez rapidement. « Ta fille, c'est une assez bonne raison ?! » Moi aussi, j'étais sur les nerfs et me faire accueillir de cette façon ne me calmait pas. La porte fermée, Leandro s'adossait contre elle tandis que j'étais à quelques pas de lui, en le regardant et continuant de bercer Malvina de gauche à droite. « C'est bien pour ça que je suis là : elle n'arrête pas de pleurer ! Elle a mangée, elle est propre, je ne sais pas quoi faire. » Je soupirais, posant mon regard sur elle comme si je la suppliais qu'elle cesse ses pleurs. Je regardais à nouveau Leandro avant de reprendre, un peu énervée. « Et arrêtes de m'agresser s'il te plaît ! Moi aussi, j'ai mal au crâne, sauf que moi, c'est dû à ses pleurs qui durent depuis deux heures. Pas à cause de l'alcool. » On ne va pas se mentir, il sentait quelque peu l'alcool, alors impossible de cacher le programme de sa soirée. Je ne le quittais pas du regard.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ornella & Leandro

Très clairement devenir père n'a jamais fait partie de mes projets de vie. Avec Elena c'était clair, un jour je l'épouserais, mais jamais je n'aurais d'enfant. Toute ma vie je n'ai jamais su m'occuper de mes frères et sœurs, comment gérer un petit bébé ? Malheureusement le destin en a voulu autrement et à présent je dois m'occuper d'une merveilleuse petite fille avec mon ex belle-sœur. Ornella est vraiment gentille, mais je sais pas, quelque chose ne va pas, peut-être sa ressemblance avec mon ex qui me perturbe, mais dans tous les cas c'était hors de question de l'abandonner et la laisser seule avec Malvina. On va élever notre fille ensemble, peu importe ce que l'avenir nous réserve encore. Quand elle arriva dans ma chambre, j'avais la gueule de bois et un mal de crâne horrible, d'où mon accueil pas très chaleureux. Et c'est à cet instant qu'elle m'expliqua le pourquoi du comment .. Malvina. Je soupirais, décidément je n'aurais jamais une soirée pour moi. Ornella se mit alors à lâcher ses nerfs sur moi, je fronçais les sourcils en la regardant. Et tu crois que je sais moi ? T'avais pas une colocataire ou une personne dans le coin pour t'aider ? Disais-je en râlant. J'avoue que j'y allais un peu fort et au fond je comprends parfaitement pourquoi elle est venue vers moi. On doit s'épauler dans cette épreuve, cette nouvelle vie qu'on doit mener à trois à présent. Rapidement j'essayais de devenir plus calme, marchant doucement vers Ornella et tendant mes bras pour qu'elle nous donne notre petite Malvina. Donne-là moi. Quand j'eus ma fille dans les bras, j'essayais de le secouer doucement pour la calmer, ses pleurs s'apaisaient quelques instants, mais ses larmes de crocodiles revenaient bien vite à la charge. Je soupirais, tournant mon regard vers Ornella. Et puis merde arrête aussi de râler toi, c'est ça qui la fait pleurer, elle sent ta mauvaise humeur. Disais-je sur un ton blasé. C'est ma sœur qui m'a appris ça, un bébé ressent nos émotions, donc peut-être que la mauvaise humeur de sa mère lui a plombé sa soirée. J'essayais du mieux que je pouvais de calmer notre progéniture, mais rien à faire, cette dernière continue encore et toujours de pleurer. D'un regard je regardais mes affaires, peut-être qu'au final elle a simplement encore faim. Regarde dans mes affaires, j'ai de quoi préparer un biberon, ça ira peut-être mieux après ça. Cette fois-ci je parlais un peu plus calmement en regardant notre fille. Cette situation m'échappe totalement, j'aime Malvina à en crever, mais je gère pas et autant dire que sa mère ne gère pas mieux que moi.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leandro&Ornella

Malvina pleurait beaucoup, c'est vrai, comme tous les bébés d'un mois. Ce que je ne comprenais pas, c'est pourquoi Leandro et moi avions autant de difficultés avec elle : tous les parents ne sont pas si mauvais la première fois, si ? Elle avait tout pour être heureuse : elle mangeait, était propre, dormait dès que possible... Et elle avait ses deux parents auprès d'elle. Quelque chose clochait dans ma façon d'être mère mais je ne savais pas quoi. Le fait d'avoir maintenant un enfant remettait en question mon caractère : j'ai toujours eu tout ce que je voulais dans ma vie, quelque peu capricieuse je sais, mais maintenant, j'avais déjà dû mal à trouver un endroit confortable où loger. Bien qu'à Cambridge, les choses allaient probablement s'améliorer. Un bébé, ça change toute une vie. Ça nous change tout court.
J'entrais donc dans la chambre de Leandro, cherchant un peu d'aide. Les pleurs d'un bébé, c'est mignon cinq minutes mais assez rapidement, c'est fatiguant et ça énerve. J'étais clairement énervée, fatiguée et triste de voir mon incapacité à gérer ma fille... Je montrais à Leandro que j'avais besoin de lui. Il était sûrement indispensable pour m'aider avec Malvina. S'il m'avait abandonné, n'assumant pas ma grossesse, je ne sais pas où je serai à l'heure actuelle. Je ne préfère pas l'imaginer.
Je lui expliquais que la raison pour laquelle je venais, c'était notre fille. Evidemment, il aurait préféré que je trouve de l'aide ailleurs. « Non, il n'y avait personne. Tout le monde sort faire la fête... Sauf ceux qui ont un bébé. Et je n'ai pas très envie de crier sur tous les toits "Hey ! J'ai besoin d'aide avec ma fille. Je n'arrive pas à la calmer, je suis une mauvaise mère !". » Je soupirais alors qu'il souhaitait la prendre dans ses bras. Bonne nouvelle, je commençais à avoir des crampes. Alors que Malvina glissa dans les bras de son père, il me demandait d'arrêter de râler. Elle sent ma mauvaise humeur. Bah bien sûr ! « Ah bah oui, c'est de ma faute si elle pleure ! Je demandais juste à dormir un peu, moi ! Et puis, si elle ne pleure jamais quand elle est avec toi, tu devrais toujours la garder. Surtout que tu as l'air d'avoir compris la psychologie des bébés. » Leandro me demandait de regarder dans un sac, il y avait sûrement de quoi préparer un biberon. Je me dirigeais donc vers le contenant, le laissant bercer Malvina. En effet, le matériel était là. Je sortais donc le biberon ainsi que le pot de poudre. Mélanger cela avec de l'eau, je ne savais pas ce qu'il y avait d'appétissant que voulez-vous. Je commençais donc à mettre de la poudre dans le biberon. Je jetai un coup d’œil sur ma fille et sur Leandro, toujours vêtu d'un simple caleçon. « Heureusement que tu étais seul. Ce serait mal passé si j'étais arrivée avec la petite dans les bras alors que tu étais accompagné... Comme quoi, le destin n'est pas complètement contre moi. » Disais-je plus calmement avant de bailler. 

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ornella & Leandro

La relation que j'entretiens avec la mère de ma fille n'aide peut-être pas non plus cette dernière à s'épanouir correctement. On aimerait tous grandir dans une famille aimante, avec un père et une mère qui s'aiment, cependant ne n'est pas notre cas. On se déteste pas pour autant, c'est vrai qu'on se prend le bec de temps en temps, mais j'apprécie tout de même Ornella, ça m'arrive de passer de bons moments de complicité avec elle, mais ce n'est pas la même chose qu'avec sa sœur, j'ai toujours vu Elena comme mon âme-sœur, la seule femme qui ferait de moi un mari exemplaire, évidemment j'ai tout foiré en couchant avec Ornella sous l'effet de l'alcool. On ne peut pas remonter en arrière, alors j'essaie de prendre mon rôle de père au sérieux, bien que je suis loin d'être le père de l'année. Et le mauvais caractère d'Ornella ne m'aidait pas à me sentir bien ce soir. Non j'ai jamais prétendu connaître la psychologie des bébés, je suis autant perdu que toi à ce sujet, c'est juste Nat qui m'a raconté ça l'autre jour. Et si ça peut te rassurer, elle n'arrête pas de pleurer aussi quand je suis seul avec elle, au départ je pensais que c'était simplement la présence de sa mère qui lui manquait, mais je commence à croire que c'est seulement notre incapacité à être de bons parents qui l'agace .. Disais-je en soupirant. Bon ce n'était peut-être pas ça, mais c'est comme ça que je voyais les choses, Malvina devait bien se rendre compte qu'on ne gérait pas avec nos rôles de parents, elle nous le faisait payer en nous empêchant de dormir le soir. Bref qu'importe je regardais Ornella s'occuper du biberon le temps que je berce notre fille et sa remarque sur une potentielle conquête m'arracha un large sourire sur les lèvres. Pourquoi parle t-elle de ça si soudainement ? Serait-elle un peu jalouse que je fréquente d'autres femmes ? Pourtant il n'y a jamais rien eu entre nous en dehors de la conception de Malvina à cause de l'alcool. Je m'avançais doucement vers elle, restant derrière son dos pendant qu'elle prépare le repas de notre petite. Je rêve ou t'es jalouse ? Depuis quand me savoir avec d'autres femmes t'énerve ? Et puis t'es pas la mieux placée pour me faire des remarques à ce sujet, la pauvre doit en voir passer des espèces de guignols dans ta chambre. Disais-je au creux de son oreille pendant que Malvina continuait de pleurer. Lorsque mon ex belle-sœur termina de préparer le biberon, je lui arrachais des mains avant de poser la tétine sur son bras .. J'allais pas non plus me brûler le bras par sa faute, autant qu'elle vérifie par elle-même. C'est pas trop chaud ça va ? Demandais-je en riant doucement.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leandro&Ornella

C'est vrai que la relation avec Leandro était complexe. On s'appréciait, on rigolait, on était parfois complices... Mais dès que Malvina pleure, on panique, on s'énerve et on finit par se disputer alors les bons moments ne durent jamais bien longtemps. Et puis, le passé nous rattrape et on continue de culpabiliser concernant notre tromperie et le mal qu'on a pu faire à Elena et à Fabio. Peut-être que le destin les a réunis... Ce serait assez ironique comme situation. Enfin, ça me dérangerait : ma sœur sort avec mon ex. C'est ce que je lui fais vivre bien que je ne sois pas Leandro, mais nous avons une fille ensemble, et c'est encore pire. Je comprends la haine qu'elle a contre moi... Et j'en suis attristée puisque nous avons toujours été proches et complices. Je lui avais volé l'homme de sa vie, elle m'en voulait, tout est logique.
Dans la chambre de Leandro, c'était panique à bord. Il tentait de calmer Malvina comme il pouvait tandis que je lui disais que si c'était moi le problème, il n'avait qu'à la garder définitivement. « Et bien elle est mal barrée parce-qu'on risque d'être ses parents pour toujours... » Evidemment, ça ne risquait pas, c'était même sûr. C'était juste une façon de parler. Je commençais donc à lui préparer son repas, alors que j'entamais le sujet des conquêtes... Je sentais la présence de Leandro juste derrière moi, ainsi que ses paroles au creux de mon oreille. Un léger rire nerveux, je me retournais alors pour le regarder droit dans les yeux. « Je ne suis pas jalouse, c'est juste que le contexte aurait était un peu ironique : tu prends du bon temps et hop ! Je viens tout casser en te mettant ta fille en pleurs dans les bras. » J'haussais les sourcils le temps d'une demi seconde, comme pour dire "et ouais, rêve pas", avant de reprendre. « Alors de un, je ne couche pas avec des guignols, j'ai un minimum de goût. De deux, ma vie sexuelle n'est pas bien active et même si elle l'était, ça ne te regarderait pas un instant. Et de trois, même si elle était bien existante, je ne me permettrais pas de faire venir mes tonnes d'amants dans ma chambre en sachant ma fille dans la pièce d'à côté. Je sais me tenir, moi. » Bien sûr, j'avais insisté sur le "moi". Je me doutais que Leandro s'était déjà bien fait plaisir depuis notre arrivée ici. Il était bel homme, il avait du charme et il aimait plaire. Des aventures, ça devait s'enchaîner et je ne pouvais pas l'en empêcher. Est-ce que j'étais jalouse ? Non... Je voulais juste le bien-être de ma fille. Ou alors un peu...
Je finissais de préparer le repas de notre fille avant de le donner à Leandro. Il mit alors la tétine sur mon bras afin de mesurer la température. Il me demandait donc si c'était trop chaud ou si ça allait. « Non, ça va. C'est bon. » Lui répondis-je avant de me retourner pour ranger la poudre et tout le reste dans le sac dans lequel j'avais tout trouvé.
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ornella & Leandro

On sera toujours ses parents c'est une certitude, donc on se doit de rester soudé, même dans des moments comme celui-là. Elle insistait bien sur le mot 'moi', chose qui me fit sourire. Je crois que l'une des choses qui me plaît le plus chez la mère de Malvina, c'est sa répartie, elle trouvait toujours les mots pour me tenir tête et par moments je dois avouer que ça fait du bien d'avoir un petit bout de femme capable de vous remettre à votre place. Cependant elle connaissait mon côté italien, charmeur avec les filles, donc elle n'avait pas tort dans un sens, je profite de mes vacances pour m'amuser et rencontrer de charmantes demoiselles, mais l'imaginer jalouse, ça me plaisait, ça me faisait sourire. Pourtant elle insistait bien sur le fait qu'elle ne l'était pas. Tout en restant près de son oreille, je me suis mis à sourire malgré notre fille qui continuait sa crise. Ça tombe bien que tu ne sois pas jalouse alors .. J'ai rencontré une fille vraiment pas mal tout à l'heure et j'ai prévu de sortir avec elle demain soir, le problème c'est que j'étais censé garder Malvina. Donc puisque ta vie sexuelle n'est pas très active et que tu n'es pas jalouse, tu ne verras aucun problème à la garder à ma place hein ? Lui demandais-je avec un large sourire sur les lèvres. En réalité je n'avais rencontré personne ce soir, mais quelques jours auparavant j'avoue que deux belles demoiselles m'ont tapé à l’œil, donc si jamais je gagne ma soirée de demain soir, je pourrais en profiter pour sortir avec l'une d'entre elles. Je restais derrière la mère de ma fille sans pour autant effacer mon sourire des lèvres, j'avoue que taquiner Ornella, ça me plaît, au moins ça me détend et j'oublie peu à peu les pleurs incessants de ma fille. Donc tu fréquentes personne en ce moment ? C'est bizarre, j'aurais cru qu'après ta grossesse tu en aurais profité pour t'amuser .. Surtout au Summer Camp. Je dois bien avouer qu'Ornella est une fille très belle, à l'instar de sa sœur. Je comprends pas comment aucun type ne peut lui tourner autour. Mais peut-être qu'au fond c'est mieux comme ça, je sais pas pourquoi mais je pense que voir un type tourner autour de la mère de ma fille, ça me fera tout de même un petit quelque chose. De la jalousie ? Non, mais dans tous les cas ça aura sûrement tendance à m'agacer. Une fois le biberon de Malvina dans les mains, je me dirigeais jusqu'à mon lit pour m'asseoir dessus, plaçant correctement ma fille dans mes bras pour lui donner son biberon. Seul petit problème, cette chipie a bel et bien décidé de nous pourrir la soirée puisqu'elle refuse catégoriquement de téter la tétine de son biberon. Je grognais d'exaspération avant de tourner mon regard vers Ornella. Et merde elle touche pas à son biberon .. Pour le coup je ne savais plus quoi faire, elle n'avait pas faim, elle était propre, qu'est-ce qu'elle voulait bon Dieu ?


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Leandro&Ornella

C'est vrai que la jalousie faisait partie de mon caractère. Les Italiens comme les Italiennes, nous sommes connus pour avoir une forte personnalité : nous n'avons pas peur de dire ce qui nous plaît ou ce qui nous plaît pas et il est vrai que nous sommes de grands charmeurs. Enfin, surtout les hommes. Les femmes sont plutôt là pour bien les remettre à leur place. J'ai toujours été assez convoitée à Capri mais étant en couple, je n'avais jamais fait un pas de travers... Jusqu'à Leandro. J'ai toujours été de nature jalouse mais naturellement, je ne voulais pas que le père de ma fille le sache pour la simple et bonne raison que je n'avais pas de raison à l'être. Nous ne sommes en couple, il peut donc faire ce qu'il veut de son corps et de son cœur. Pourtant, maintenant que Malvina nous liait à vie, j'avais peur de le perdre. Qu'il rencontre une femme et qu'il nous oublie petit à petit. J'avais peur qu'une autre femme prenne ma place puisque pour le moment, j'étais la seule à avoir porter son enfant. Clairement, on pouvait dire qu'il s'agissait uniquement de jalousie mal placée. Toujours derrière moi, Leandro me disait qu'il avait rencontrée une femme qui lui plaisait et qu'il aurait aimé la voir le lendemain soir, seulement, il devait garder Malvina. En l'écoutant, je riais nerveusement, une nouvelle fois, avant de lui répondre. « Alors là, tu peux rêver... J'ai gardé la petite une bonne partie de l'après-midi et ce soir, donc je compte bien profiter de ma liberté demain.Tu diras à ta chère future conquête qu'elle devra attendre un petit peu... » Je refusais donc de garder Malvina demain soir, comme il venait de me le demander. D'une part, parce-qu'il est vrai que je voulais profiter du Summer Camp et des soirées. J'avais besoin de respirer, de souffler et de voir du monde pour déstressée. Et d'autre part, c'est vrai qu'au moins, je sais qu'il ne sera pas avec une autre femme à faire je ne sais quoi. Enfin si, je sais ce qu'ils feraient. Je regardais donc le jeune homme et vit son large sourire. Il m'énervait. Je finissais donc le repas de notre fille quand il me demandait si je ne fréquentais personne en ce moment. « Il faut croire qu'il y a écrit 'maman' sur mon front... Et une femme qui a accouchée il y a un mois, ce n'est pas ce qu'il y a de plus attirant. Et puis, ce n'est pas grave, hein. Je ne suis pas désespérée et ma situation actuelle me convient parfaitement. » J'exagérais peut-être un peu les choses. Quelle jeune femme de 21 ans est ravie de n'avoir aucun mec qui lui tourne autour et qui a une vie intime aussi plate que celle d'une gamine de 12 ans ? Aucune. Je ne sais même plus pourquoi j'avais avais à Leandro que ma vie était vide. Ça ne le regardait pas et ça devait même le faire rire puisque la sienne avait l'air palpitante. Trop tard, il le savait. Tant pis, de toute façon, je ne suis pas la seule femme qui n'a plus aucune envie après un accouchement.
Le biberon était prêt. Leandro allait donc s'installer sur son lit afin de pouvoir le donner à Malvina. Je rangeais les affaires lorsqu'il dit qu'elle n'en voulait pas. Je soupirais, les regardant.
« Elle n'est pas malade, tout de même... Elle était en pleine forme toute la journée, elle souriait, elle allait bien. » Je me dirigeais vers le lit afin de m'asseoir à côté du père de ma fille. Je regardais cette dernière, en disant : « Malvina, s'il te plaît... Il est trois heures du matin et tu es aussi fatiguée que nous. Alors dors, je t'en supplie... » Je me doutais que ces paroles étaient inutiles mais bon. Je lui caressais doucement la joue, essuyant ses petites larmes qui coulaient. Nous aimons notre fille plus que tout mais là, les nerfs étaient à rude épreuve. Je me laissais donc partie en arrière, étant allongée sur le lit de Leandro. « Pourquoi on n'arrive pas à comprendre ce qu'elle a ? On est aussi cons que ça ? » Elle finirait bien par s'endormir de fatigue... En espérant que ce soit le cas avant que moi, je m'endorme, totalement épuisée.

(Invité)
Anonymous

Préférences de jeu
veritas
Invité
est en ligne
Invité
Ornella & Leandro

J'aurais dû m'en douter, elle ne voulait pas me laisser ma soirée de demain soir. L'excuse était-elle réelle ? Voulait-elle réellement s'amuser ou voulait-elle m'empêcher de prendre du bon temps avec une autre ? Je ne sais pas, mais la situation me faisait grandement sourire. J'imagine que sa soudaine jalousie vient probablement de sa fatigue, car il n'y a jamais rien eu de sérieux entre nous, nous avons couché qu'une seule fois ensembles et nous étions bourrés comme de phoques. Bref, je l'écoutais ensuite me parler de sa petite vie tranquille de nouvelle maman. Personne ne s'intéresse à elle ? Non j'y crois pas une seule seconde. N'importe quel homme trouverait Ornella à son goût, moi le premier .. Bon je sais pas pourquoi cette pensée me vient soudainement, mais peu importe, je vais aussi mettre ça sur le dos de la fatigue. Cependant pour une raison qui m'échappe, mon sourire de draguer italien apparut sur mes lèvres alors que je tenais toujours ma fille dans mes bras. Je suis pas d'accord avec toi sur ce point-là. Je suis persuadé que tous les mecs te regardent sur la plage .. Ou alors ils sont aveugles. Disais-je avec mon plus beau sourire de latin lover .. Je rêve ou je suis en train de draguer Ornella ? Certainement la fatigue. Et je n'attendais pas une seule seconde pour qu'elle me réponde, j'attrapais le biberon pour m'installer sur mon lit, tentant par la même occasion de calmer notre fille. Malheureusement rien à faire, Malvina continue encore et toujours de pleurer, ça en devient presque insupportable. Ma tête va finir par exploser, heureusement sa mère vint s'asseoir à mes côtés pour essayer à son tour de la calmer, sans succès. Je regardais Ornella se laisser tomber sur mon lit, j'eus un petit rire nerveux lorsqu'elle me demanda si notre incapacité à deviner ce qu'a notre fille vient du fait que nous sommes cons. Finalement je soupirais, je ne voyais plus qu'une solution, prendre l'air. Tu sais quoi ? Elle finira bien par arrêter tôt ou tard, faut bien qu'elle dorme à un moment où un autre. Par contre en restant là, je sens que les autres membres de l'équipe qui dorment dans les chambres d'à côté ne vont pas forcément apprécier de se faire réveiller à cette heure-ci à cause des pleurs d'un bébé. Disais-je en me levant, je donnais Malvina à sa mère le temps d'enfiler un jean, je n'allais pas sortir dehors en boxer tout de même. On va faire un tour sur la plage, la température doit être bonne à cette heure-ci, Malvina s'endormira dans sa poussette. Du moins j'espère, sans quoi je ne voyais absolument pas ce que nous pourrions faire pour calmer la petite Spinelli. Une fois mon jean enfilé, j'enchaînais avec mes chaussures, regardant par la même occasion Ornella .. J'allais une nouvelle fois tenter ma chance pour demain soir. Sauf si t'es trop fatiguée, tu n'as qu'à rester là .. Par contre en contrepartie tu me laisses ma soirée de demain, d'accord ? Lui demandais-je avec un large sourire sur les lèvres.


CREDIT TO KAIJI FROM ILH
(Invité)

Préférences de jeu
veritas
Contenu sponsorisé
est en ligne
(Contenu sponsorisé)