MAELYS&ALEXYS † le summer camp du siècle !

Il s'appelle comment..? Fonces! Oh non, je ne pouvais pas lui dire qui s'était, c'était trop risqué. Les murs ont ds oreilles et puis, c'était juste l'histoire d'un jour. Je savais que ça n'irait pas plus loin. C'était un Eliot, j'étais Mather, on était bornés et aucun de nous prendrait le risque de perdre sa confrérie, ses amis ou encore sa réputation. Vous imaginez je deviens comme Briony ? Non, je ne peux pas faire une telle chose, c'est pas moi, ça ne me ressemble pas. On est en vacances, au summer camp et c'est super le soleil qui me fait perdre la tête. Je peux pas foncer Maë. Je ne sais pas ce que j'éprouve au fond de moi. Je suis pas prête à me réengager et c'est un Eliot. Je marquais une courte pause en me rappelant que Maë était une cabot et qu'elle ne devait pas comprendre tout ce que je lui disais. Tu dois trouver ça con pas vrai ?! Les mathers, c'est ma famille... Je peux pas leur faire ça et puis, t'imagines la réaction de mon frère ? Non, c'st impossible. Ce à quoi, je lui promis d'essayer d'arrêter de jouer les cupidons mais pour ça, il fallait qu'elle arrête d'en faire de même.

Alexys & Maëlys
Le SC du siècle!

"Je peux pas foncer Maë. Je ne sais pas ce que j'éprouve au fond de moi. Je suis pas prête à me réengager et c'est un Eliot." je comprenais, c'était toujours difficile de franchir le pas, de réfléchir et savoir ce qu'on désire réellement. Mais il ne fallait pas que tu gâches ça simplement pour une confrérie. "Mouai.. la misère.." l'amour? ca nous pourrissait la vie enfaite! "Tu dois trouver ça con pas vrai ?! Les mathers, c'est ma famille... Je peux pas leur faire ça et puis, t'imagines la réaction de mon frère ? Non, c'st impossible." je trouvais pas ça "con", mais simplement étrange, je ne comprenais pas non, et quelques fois, je comprenais Holly quand elle disait que les confréries servaient simplement à diviser les gens et les groupes. J'haussais les épaules en te souriant très finement, parlant sincèrement "Je pense comprendre ce que tu ressens mais.. faut arrêter avec les étiquettes des confréries. Et vois ce que toi tu ressens, tu vois?"

Mouai.. la misère.. La misère comme elle le disait si bien. Je ne savais pas. Je ne comprenais pas. Je ne connaissais pas cette sensation nouvelle qui prenait possession de tout mon corps et mon âme lorsque j'étais en présence de Zakhar. Je soupirais avant de lever les bras au siècle, ajoutant que cette histoire de confréries était stupide mais juste en même temps. Bah ouais pour moi, c'était normal et jamais je ne pourrais trahir ma famille. Je pense comprendre ce que tu ressens mais.. faut arrêter avec les étiquettes des confréries. Et vois ce que toi tu ressens, tu vois? J'hochais la tête positivement parce que je comprenais ce qu'elle me disait mais, ça ne pouvait me faire changer d'avis. Ca se voit que tu connais pas Jeno... Soupirais-je en imaginant ce que mon frère dirait ou ferait s'il apprenait que j'avais couché avec un Eliot... Aie, l'horreur, ça me donnait des frissons.

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"Ca se voit que tu connais pas Jeno..." je ne le connaissais pas non, mais quand même, ça ne devait pas être un monstre et il avait du certainement déjà ressentir des sentiments pour quelqu'un, donc il savait ce que ça faisait. C'était pas des choses contrôlables, puis toi, si tu étais heureuse, c'était le principal non.. "S'il t'aime vraiment, comme un frère aime sa soeur, il verra simplement ton bonheur.." enfin, je pense. Mais fallait changer de conversation parce que ça nous ruinait le moral. Je tournais sur la chaise, pour me faire bronzer le dos maintenant. "Début août on se fait la soirée hamac alors, en pleine nature? On propose à qui?" voilà une question intéressante.

Jeno, c'était toute ma vie. Les Mathers, ils étaient ma famille. QU'est-ce vous voulez que je vous dise de plus ? Je venais de confier quelque chose que j'avais uniquement raconté à a soeur. Les autres ne savaient pas et encore, je ne disais pas tout. Je pouvais pas faire comme si l'avis des autres m'étaient indifférents sachant que celui de mon frère m'était très important. S'il t'aime vraiment, comme un frère aime sa soeur, il verra simplement ton bonheur.. Je roulais des yeux avant de me mettre à sourire en repensant à la relation que j'entretenais avec Jeno. Justement, il ne voit que mon bonheur et il sait parfaitement que ça me fera souffrir un jour ou l'autre et... Non vraiment, les Eliots, c'est la pire chose qui puisse exister au monde pour lui. Tant pis. C'est peut-être que je suis pas prête pour tout ça... Les relations, l'amour et tout beurk, trop compliqué pour une fille comme moi. J'abandonne, je baisse les armes et je laisse le temps faire les choses. Début août on se fait la soirée hamac alors, en pleine nature? On propose à qui? Je remettais mes lunettes sur les yeux et réfléchis à sa question pendant quelques minutes avant de soupirer. J'en ai clairement aucune idée...Mais oui, en pleine nature !

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"Justement, il ne voit que mon bonheur et il sait parfaitement que ça me fera souffrir un jour ou l'autre et... Non vraiment, les Eliots, c'est la pire chose qui puisse exister au monde pour lui." c'était délicat, maintenant que j'avais un frère, je pouvais comprendre. Mais bon, ces trucs avec les confréries, ça me mettait hors de moi quand même, bien que tu avais de bons arguments, c'était ton bonheur qui était en jeu tout de même. Je te parlais donc de la soirée, des hamacs et des invités "J'en ai clairement aucune idée...Mais oui, en pleine nature !" tu me répondais en haussant les épaules et je souriais finement, j'allais répondre quand Duncan m'envoyait un sms, j'avais zappé que je devais le rejoindre et que c'était.. urgent. Je te regardais alors, un peu gênée, me relevant de la chaise longue "On en reparle par sms ma belle? Je dois filer.."

A part les mathers et les eliots, personne ne pouvait vraiment comprendre. Personnellement, j'avais toujours vécu cela. Même avant mon entrée, lorsque je venais rendre visite à mon frère à Harvard. Je suis dedans depuis longtemps alors oui, à mes yeux cette guerre est fondée et juste... Oui voilà, je crois que ce sont les mots que j'utiliserais. Enfin bref, j'étais bien contente qu'elle change de sujet et me parle de cette soirée hamacs. J'avais vraiment envie d'y être, cela ne pouvait que me changer les idées. On en reparle par sms ma belle? Je dois filer.. Je lui adressais un petit sourire, hochant la tête positivement. Pas de problème. Passe une bonne fin de journée alors ! Moi, je comptais rester ici et profiter du soleil, du transat libre, de la vue et de l'eau bien entendu !