Marsheyna ● Can't you see you belong to me ? (HOT)

Ma raison c’était envolée à l’instant même où il m’avait proposé ce plan en quelques sortes foireux. Et j’en étais bien heureuse car la raison parfois elle fait vraiment chier quoi. Vous voyez tout le plaisir dont je n’aurais pas bénéficier ? Je n’avais même plus le contrôle de mon corps ni de mes pensées tellement il me faisait frissonner de plaisir. Alors que ses lèvres approchaient de mon entre-jambe pour les poser sur la peau de mes cuisses, je me mordillais la lèvre inférieure jusqu’au sang pour me retenir de crier. Dans un musée ce n’était pas l’idéal. Je passai ma main gauche dans sa chevelure brune à titre d’encouragement, je détestais quand il se la jouait aguicheur comme ça, ce n’était vraiment pas gentil Reilly.

Sa main pressa l’arrière de ma tête et je souris rien qu’à l’idée de la voir me supplier, mais ce geste n’était pas suffisant, loin de là. Je recommençai mon petit manège, léchant du bout de la langue son intimité bien humide avant de relever la tête vers elle, un sourire joueur au coin des lèvres. Puis, je remontai lentement vers elle, venant plutôt l’embrasser passionnément avant de me diriger vers son oreille. « Tu en as envie hein..? Alors fait le moi savoir. »

Il s'amusait avec moi, ça se sentait. J'avais à la fois envie de le gifler pour me faire passer par tout cette gamme d'émotion et de lui sauter dessus parce que - il faut l'avouer - ça le rend sexy de vouloir se faire désirer comme ça.  « Prends moi Marshall ! Prends moi et je te promet de te faire vivre quelque chose que tu n'as pas vécu depuis bien longtemps. » J'en étais pleinement capable je le savais très bien, j'avais des dons hors du commun en tant qu'amante. Et surtout avec lui, on a toujours été doués tous les deux ce n'est pas un secret. Gardant toujours les jambes bien écartés, je ramenai mes main vers le bas pour détacher son pantalon afin qu'ils tombent au sol tout en lui laissant son sous-vêtement. Ce petit jeu ça se joue à deux vous savez. Ramenant mes lèvres aux siennes, je vins les capturer dans un baiser qui était loin d'être chaste et pure, passant ma langue sur ses lèvres une fois de temps en temps pour finalement dévier légèrement vers la droite mordiller le lobe de son oreille en évitant de le blesser. « Rappelle moi ce dont tu es capable... » soufflais-je dans un murmure à peine audible en accompagnant le tout d'une petite léchouille pour sa pauvre oreille meurtrie.

Son regard pétillait et je sentais déjà sa respiration irrégulière. C’était ça la beauté de la chose, se sentir désiré et savoir qu’on fait de l’effet. Non pas que j’eusse besoin qu’on me le rappelle, mais tout de même. « Prends-moi Marshall ! Prends-moi et je te promets de te faire vivre quelque chose que tu n'as pas vécu depuis bien longtemps. » Je souris largement, amusé et à la fois charmé par cette promesse qui, je le savais, risquais d’être intense. Leyna savait ce qu’elle faisait, elle l’avait toujours su. Et puis, en ma présence, c’était extraordinaire. Détachant mon pantalon, elle vint m’embrasser avant de me mordre l’oreille. Je serai la mâchoire en faisant fi de la douleur alors même que ce geste venait de m’exciter. J’étais si dur que c’était pratiquement douloureux. « Rappelle moi ce dont tu es capable... » Je souris à nouveau avant de me pencher derechef, l’allongeant sur le dos en tirant sur ses cuisses pour l’approcher du bord de la table, passant ma main sur son corps en remontant entre ses seins jusqu’à son cou pour la tenir bien en place et insérer aussitôt ma langue dans sa petite chatte pour la faire gémir.

Marshall aimait se faire désirer, tiens donc comme si c'était étonnant. Personnellement j'étais prête à faire pratiquement n'importe quoi si ça pouvait le rendre heureux, et puis je n'avais pas à faire semblant, depuis notre toute première rencontre je le désirais et ça ne risquait pas de jamais changer. Pour le coup je lui fis la promesse de lui faire vivre des choses qu'il n'avait pas vécu depuis longtemps. Ouais, j'avais envie que cette journée soit tout aussi mémorable pour lui que pour moi, qu'on se prouve l'un l'autre que nous avions toujours les mêmes talents que nous avions toujours eu. Il ne lui en fallut pas plus pour retrouver l'animal en lui, m'attirant davantage vers lui, caressant mon corps et posant finalement sa langue à l'intérieur de mon vagin. Il n'en fallut pas plus pour laisser échapper un : « Ohh oui... ». Mon corps s'était crispé de plaisir jusqu'à mes seins qui pointaient en sa direction. Ma tête quant à elle tomba légèrement vers l'arrière et mes yeux roulaient dans tous les sens ; bref mon corps entier le remerciait d'être toujours lui-même. J'en avais jamais douté mais ça me manquait terriblement plus que je n'aurais pu l'admettre. Je tentais tant bien que mal de retenir la peau des grandes lèvres avec mes doigts pour lui permettre un accès un peu plus facile.

« Ohh oui... » Je souris en l’entendant, non pas que j’ai besoin d’une confirmation, je savais ce dont j’étais capable, mais plutôt que j’adorais l’entendre. Plus elle gémissait, plus mon érection était intense et autant le dire, inconfortable. Je m’activai donc à la tâche, léchant son clitoris en faisant des petits ronds et glissant de temps à autre ma langue à l’intérieur d’elle quand ce n’était pas mes doigts qui y entraient. Lorsque sa main rejoignit son intimité, je souris de nouveau, appréciant de la voir se toucher ainsi et pris donc quelques secondes pour la regarder. Mes doigts toujours à l’intérieur d’elle, je faisais de lents vas-et-viens aussi profond que possible, observant les fluxassions de plaisir secouer son corps tout entier et lui crisper le visage.