MAXAPPLE • overwhelmed.

Rolala, c'est quoi ce moment de regard intense ? On ne peut rien faire... Y'a ma fille à côté... Et pourtant, cela ne m'empêcha pas de retirer mon short pour me retrouver au même niveau que Max. Il voulait que je cède, j'étais pourtant difficile à convaincre puisque je ne voulais pas manquer de respect à ma fille... Mais... C'est vrai qu'à deux ans elle ne se souviendra de rien je crois, c'est vrai qu'elle dormait et que j'avais déjà fait l'amour avec Andy pleiiin de fois devant... pleiiiin de personnes ahem. Pourtant, Coraleen, ça me gêne. Et j'suis loin d'être le genre gênée je pense que Max a cru le comprendre depuis qu'on se connait. Les coussins existent pour ça.. étouffer les cris des gens bien trop bruyant. Je le regardais d'haut en bas encore, impossible de regarder ailleurs en fait. Je n'arrivais même pas à l'regarder dans les yeux... Putain je crains ! J'imagine que si on ne va pas trop loin... Y'a pas d'mal... Le sexe avec modération, y'a qu'ça d'vrai. Hum. Je venais de lui donner mon feu vert... à peine hein. Je me mordis la lèvre et tournai la tête vers le lit de Cora... Elle semblait être dans un sommeil profond, au moins. Je marchais jusqu'à mon lit pour me glisser sous les draps et... après avoir détaché mon soutien-gorge, je lui lançais dessus en riant doucement. Faut bien qu'j'te prouve que j'suis pas un homme...

Il faisait de plus en plus chaud alors qu'il ne se passait rien de très caliente pour l'instant. Mais j'sais pas, le fait de pas encore savoir si oui ou non il y aurait une étape supérieure faisait que les choses devenaient de plus en plus chaudes. Sa fille était juste là, en train de dormir. Duh, dilemme quand tu nous tiens. Enfin il tenait surtout Apple parce que moi, j'avais vraiment envie d'aller plus loin. « J'imagine que si on ne va pas trop loin... Y'a pas d'mal... » Et ouais, faudrait vraiment que j'investisse dans une entreprise de vente de coussins, parce que je sais leur trouver une bonne utilité là. « Nan, y'a pas de mal. » Je restais planté là alors qu'elle venait se foutre sous les draps et... elle retirait tout simplement son soutien-gorge, qu'elle balançait en dehors du lit. Me mordant la lèvre, je m'approchais du dit-lit. « Faut bien qu'j'te prouve que j'suis pas un homme... » Je hochais la tête avec un sourire aux lèvres, me faufilant sous le drap, malgré la chaleur ambiante. C'était un petit prix à payer pour pouvoir le faire en la présence de sa fille. Je regardais alors les boobs qui m'appartenaient et, posant une main sur son flanc, je la remontais jusqu'à un de ses seins. « Ce sont des vrais pare-chocs, tu n'es pas un homme. » disais-je en riant légèrement, venant poser mes lèvres sur les siennes, continuant de prodiguer quelques caresses à sa poitrine.

Je n'étais même pas certaine de comprendre comment il avait réussi à me convaincre... Pourtant, il n'utilisait que des mots, et... bon okay un peu de son corps sexy faut dire. Mais durant toute la soirée j'étais en colère et je ne demandais qu'à oublier Royce, on m'a même traitée de salope, qui couche avec tous les gars. C'n'est pourtant pas le cas, pendant des mois je ne touchais qu'à Royce et depuis notre rupture je n'ai absolument rien fait hum. Donc en fait, j'suis une salope chaste, c'est sympa. Et contradictoire ma foi. Nan, y'a pas de mal. Il était resté là, alors que je prenais les devant pour me glisser sous les draps. Je me demandais s'il était du genre soumis, un peu comme Royce ? Ralala, j'tombe que sur des mecs peu entreprenant ! Bon... Après, quand j'vois son jumeau, j'me pose moins d'questions sur son éducation. Il doit être un bon gars aussi. En tout cas j'espère ! Il vint me rejoindre sous les draps et comme un aimant, il posa de nouveau ses mains sur ma poitrine mis à nue. Ce sont des vrais pare-chocs, tu n'es pas un homme. Je riais avec lui avant de prolonger le baiser tendrement. Et entre deux baisers, je murmurai: tu peux appeler ça des seins maintenant... Je n'étais pas choquée, ni insultée par le mot "pare-choc" mais on pouvait au moins commencer à parler un peu plus sérieusement si on était pour coucher ensemble. Je glissais ma jambe entre ses cuisses pour me rapprocher un peu plus de lui et l'embrassai de nouveau.