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devyn & alexia - viens voir du pays en bonne compagnie

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"Six, dis donc, tu approches de la fin alors ! Tu sais déjà ce que tu veux faire ensuite ?" A sa connaissance certains étudiants restaient jusqu'à huit ans à Harvard mais guère plus. C'était son ambition finale d'ailleurs, et son frère faisait ça aussi. Devyn, elle n'avait pas entendu ce prénom, ou peut-être que si en fait, elle ne savait plus. Ils étaient tellement sur le campus. En tout cas, elle avait bien enregistré son nom. Et futur Lowell en plus, elle ne s'était pas trompée. Super. Ca présageait d'un bon feeling et elle le reverrait surement. Elle allait souvent aux fêtes Lowell. Plus volontiers qu'aux fêtes mather en tout cas. Elle sourit quand il lui demanda si elle en était une. Elle aurait pu, c'est vrai, mais elle n'avait peut-être pas assez l'âme artiste. Non, elle avait trouvé la confrérie parfaite pour elle avec des gens qu'elle adorait. Les Dunster. "Non, je suis une dunster. C'est une confrérie un peu plus confidentielle mais l'ambiance y est excellente. Tu en connais peut-être quelques uns." Etant un génie de l'informatique, rien n'aurait pu mieux lui convenir.
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Trois ans exactement. Oui oui, tu y tenais. Tu avais encore un an avant de terminer ta maîtrise, et deux pour obtenir un doctorat. Cela te rajoutait tout de même une année de tranquillité relative, vu que tu aimais étudier, et un an de plus en compagnie de William, si tout se passait bien pour lui. Et ça, franchement, c'était toujours bon à prendre. Ce n'était pas pour autant que tu allais lui en vouloir, il ne fallait pas exagérer : une erreur pouvait arriver à tout le monde. Ainsi, il s'agissait d'une Dunster ? Tu connaissais assez mal cette confrérie, tu savais juste que c'était l'élite au niveau de l'ambition et de l'intelligence, pas forcément les buts qui t'intéressaient dans la vie... mais tu respectais totalement ceux qui en avaient, tu n'avais pas plus de soucis que ça. Je ne crois pas... mais après, je ne parle pas forcément beaucoup de confréries aux gens, cela dépend. Je connais plus de gens sans confrérie à vrai dire.
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Il était précis comme garçon, parce qu'elle en tout cas ne savait même pas combien d'années il lui restait. En fait elle était tellement préoccupée par sa start up en ce moment qu'elle perdait un peu la vue sur le long terme. Faut dire qu'elle avait un contrat de plusieurs millions de dollars à honorer, ça mettait un peu la pression, vacances ou pas. N'empêche, c'était surprenant, il ne connaissait aucun dunster ! C'est vrai qu'ils étaient une des confréries les plus fermées, moins nombreux que les mathers ou les eliots par exemple, mais ils étaient tous plutôt influents dans leur genre. "Oh, moi c'est l'inverse. Je connais peu de gens sans confrérie. Il y a ma meilleure amie Camryn et une autre fille en cours d'info mais j'avoue qu'on fonctionne beaucoup entre groupes ... " Marrant, elle n'en avait jamais pris conscience jusqu'à aujourd'hui. Pas grave, ça lui faisait un nouveau student dans ses connaissances. "J'espère que t'as pas une mauvaise image de nous. C'est sur que quand tu penses aux mather ... voilà. Mais en tout cas chez les dunsters on est cool et on est surtout une grande famille, on s'entraide." Oui, les mathers, ça se passait de commentaire. Elle n'était pas du genre à juger mais il était évident que certains étaient un peu effrayés par l'image qu'ils donnaient, très trash.
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Tu avais l'impression d'une généralité, lorsque tu l'écoutais parler. Les confréristes avec des confréristes, surtout ceux étant dans la même qu'eux, et les autres avec ceux sans confréries. Heureusement qu'il y avait plus de mixité que cela, ce serait triste sinon. Ou alors, était-ce parce que les gens sans confrérie à la base s'ouvraient plus que ceux y étant depuis leurs débuts ici ? Très bonne question, mais je ne pourrais en avoir la réponse hélas. En plus, cela voudrait dire que, si tu n'avais pas connu William d'avant ton arrivée, tu ne serais peut-être pas un futur Lowell alors... Mais elle semblait en tout cas s'inquiéter de la réputation de sa maison, vu sa question, dénigrant au passage les Mathers. Je ne connais pas assez les confréries pour cela. Il y a des gens bien et moins biens dans toute confrérie à mon avis. Je ne fuis pas si j'entends la confrérie de mon interlocuteur, quelle qu'elle soit. Les préjugés, c'était le mal.
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"C'est super alors. Parce que parfois on nous catalogue comme des rats de laboratoire je t'avoue que c'est un peu frustrant mais on s'assume parfaitement ceci étant c'est à nous de prouver que ce n'est qu'une idée préconçue." Elle ne prenait même pas la mouche quand on la traitait de geek, ça la faisait sourire - du moins la plupart du temps en tout cas - et elle ne relevait pas. Elle savait qu'elle était plus que ça et elle savait aussi surprendre les gens comme il fallait. De façon générale Alexia était quelqu'un d'assez zen de toute manière. "Tu es sur de ne pas vouloir nous filer un coup de main ? Les Haïtiens sont super sympas. D'habitude je ne fais pas ce genre de choses mais c'est une expérience humaine extra." Elle proposait juste comme ça, il pouvait parfaitement dire non, elle ne le jugerait pas pour autant. C'était un choix personnel après tout, et elle ne participait jamais aux trucs caritatifs dans son quotidien, dans le fond, elle ne savait pas vraiment pourquoi.
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Des rats de laboratoire ? Oh. Toi, c'était rat de bibliothèque, cela vous faisiez au moins un point commun. Tu comprenais donc que c'était frustrant vu que tu subissais la même chose, même si tu avais compris avec le temps qu'il fallait mieux que tu en sois fier et que tu n'avais pas à rougir de cette image. Au moins, toi, tu étais sérieux, rien à te reprocher au niveau des études, et tu t'en sortais avec de bons résultats, généralement au contraire de ceux qui t'appelaient ainsi. Il faut assumer cela, car rat de laboratoire ou de bibliothèque sont plutôt des compliments de mon point de vue. Cela montre qu'on veut tout faire pour arriver dans nos études au moins. Par contre, sa suggestion était moins ce que tu désirais à vrai dire. Aider bénévolement ici ? Tu avais un coeur certes, et s'il n'y avait que cela, tu aurais peut-être accepté, pour l'expérience. Mais tu étais aussi maladroit en général, et tu te voyais mal faire un chantier sans te blesser, ce qui serait dommage pendant un Summer Camp. Je préfère éviter, mais merci de la proposition. Quelque chose t'intriguait également chez elle, et je venais enfin de comprendre, lorsqu'elle s'était remise à parler, tu lui en fis part. Tu ne serais pas anglaise ? Tu as un accent de là-bas.
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"Et en général on y arrive." fit-elle remarquer un sourire malicieux aux lèvres. Il se sentait apparemment super concerné. Elle ne doutait pas que lui aussi devait être brillant scolairement. On sentait souvent quand on s'adressait à une personne très cultivée et vive intellectuellement. "Pas de problème." Tant pis, elle continuerait seule. Les Haïtiens qui travaillaient avec elle était adorables, mais pas très bavards à vrai dire. Et Alexia, elle, était super bavarde en toute circonstance. Sauf quand elle codait sur son ordinateur. "Oh, si je suis anglaise, effectivement. Tout le monde le remarque en général." Ca l'amusait systématiquement. "Je n'ai jamais réussi à me débarrasser de mon accent, mais finalement, je ne regrette pas, ça fait une touche d'exotisme. Je suis originaire de Cambridge, mais le Cambridge anglais. Enfin, je passais mon enfance entre Cambridge et Londres." Oui parce que son père avait acheté une immense baraque à Cambridge UK, mais travaillait à la City et donc avait un grand appartement en plein coeur de Londres aussi. Enfin ça elle ne le précisait pas en général. Elle n'aimait pas parler de son père outre mesure, il fallait dire.
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Oui, on y arrivait, et même plutôt deux fois qu'une. Pour toi, le travail était la clé de la réussite, car on n'avait rien sans rien. Et certains avaient beau dire, cela s'appliquait aussi à l'art, l'imagination seule ne suffisait que rarement à faire un succès. Des exceptions existaient à tes yeux, mais cela pouvait venir soit des personnes extrêmement chanceuses, ou alors surdouées, donc dans tous les cas hors normes. Tu ne t'estimais pas hors normes... donc tu devais travailler, CQFD. De toute façon, tu n'en aurais jamais plus que ce que tu ne pouvais pas fournir toi-même. Mais trêve de théories sur les études, parlons plutôt de son accent, que tu avais fini par repérer comme étant britannique... et c'était bien le cas. Tu n'avais pas l'habitude de croiser des compatriotes sur le territoire américain, les seuls étant des gens que tu connaissais déjà d'avant ton arrivée à Harvard. Tu étais donc intrigué par tout cela, tandis que la tristesse et la joie se mélangeaient lorsqu'elle t'annonça avoir vécu en partie à Londres. Arès tout, tu aimais cette ville autant qu'elle regorgeait de bons souvenirs... Je suis Londonien d'origine, c'est pour ça. J'y étais avant Harvard. C'est une belle ville, si on la fouille.
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Quelle coïncidence, Devyn était londonien, cette ville qu'elle connaissait presque aussi bien que le Cambridge britannique. Alexia adorait Londres, bien plus qu'une ville comme Paris par exemple, contrairement à beaucoup de gens. Chaque grande capitale européenne avait son charme propre, mais il n'y avait qu'à Londres, et éventuellement Berlin ouest, qu'elle se sentait chez elle, qu'elle se sentait bien. "Oh je n'avais même pas fait attention à ton accent. Enfin tu n'en as pas vraiment mais j'aurais du le déceler." Des petits prononciations et des termes plus anglais qu'américains qui parfois ressortaient, ils n'avaient pas toujours la même façon de s'exprimer. "C'est drôle, vu que j'ai passé un temps fou à Londres, je suis sure qu'on a déjà du se croiser ou passer dans des rues parallèles en même temps sans le savoir. C'est la magie de la vie humaine. Le hasard des rencontres. Et pourquoi tu as quitté Londres ? Je veux dire, il y avait Oxford et Cambridge en Angleterre, tu aurais pu rester là bas ?" Elle-même s'était posé la question. Mais elle avait envie de changer d'air, tout simplement, et elle s'était dit que le rêve américain serait enrichissant à vivre.
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Ah, Londres la belle capitale de l'Angleterre... Tu mentirais en disant qu'elle ne te manquait absolument pas. Parfois, tu te disais qu'il faudrait que tu y retournes un jour, tu l'avais même dit à William une fois... mais à chaque fois, tu te rappelais pourquoi tu étais parti, et tu oubliais l'idée. En plus, tu n'aurais sûrement pas l'argent nécessaire pour y passer du temps. Le bénéfice américain de 6 années passées ici sans doute. C'est vrai que tu avais pas mal perdu ton accent anglais depuis ton arrivée, même si tu conservais encore certains tics de langage et autres expressions absolument pas américaines. Au moins était-il plus difficile de savoir d'où tu venais. D'ailleurs, peut-être allais-tu finir par regretter cet aveu d'origine. Certes, elle était enthousiaste à l'idée d'avoir un compatriote à ses côtés mais, et cela était logique, se demandait pourquoi tu en étais parti. Je peux te retourner la question, tu es ici après tout. Ou comment esquiver la question.
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