[Elio] Fait moi oublié

Abby était mal, elle l’avait appelé pour qui lui change les idées, ils avaient terminé sur le canapé en regardant le film préféré d’Elio, même si la jeune fille n’avait pas bien, Elio avait la politesse de ne pas lui posé de question, un vrai gentleman, se qui plaisait beaucoup a Abby jamais il ne la prendrai pitié et sa c’était se qu’elle adorait chez lui, une personne qui ne cherche pas a la protégé de tout a chaque instant son cousin était déjà assez étouffant. La jeune fille avait fini par s’endormir sur l’épaule de son ami, en même temps a dormir que quelque heure par nuit ce n’était pas une solution, mais elle n’arrivait pas a dormir surtout seul dans cette villa. Elle savait que si elle en parlerai a Andrew il la forcerait a venir chez lui, il serait beaucoup trop intrusif. Après quelque minute de sommeil elle avait bien entendue vu les images qui resteront gravé a jamais dans sa mémoire, elles s’estomperont avec le temps mais pour l’instant elle était trop importante. Ses larmes avait commencé a paniqué en se réveillant en sursaut. Elio la recollai contre lui pour qu’elle se calme, se qui eu l’effet de l’apaisé instantanément, elle adorait être dans ses bras même si pour le moment elle était incapable de se détendre, Abby c’était légèrement calmé, la jeune fille luttai pour ne pas dormir elle ne voulait pas le faire sa servait a rien elle savait pertinemment qu’elle se réveillerait très vite dans le même état.
« Elio … Merci, je vais prendre l’aire»
Elle se redressa elle avait besoin de prendre l’air, Abby sorti sur sa terrasse, elle espérait qu’un peut d’aire lui fasse du bien mais ce n’était pas vraiment le cas. La jeune fille s’asseyait sur les marche et regardai au loin ses yeux baignait dans les larmes.

J’étais pourtant d’un naturel curieux, mais bizarrement je me montrais toujours silencieux envers Abby. Je savais que de toute façon, elle n’allait pas parler même si cela lui ferait le plus grand bien. Elle venait de faire un cauchemar mais elle semble ne pas vouloir se reposer. Elle avait peur de quelque chose, je le sais très bien. Je la regarde se lever pour partir de son côté prendre un peu l’air. J’avoue ne pas vraiment tout comprendre dans sa façon de faire. Elle ne voulait certes pas dire ce qui ne va pas mais cela n’empêche en rien que je commence à m’inquiéter quelque peu pour elle. Je me lève pour aller la rejoindre sur son grand balcon et plisse le nez. Tu n’as pas pensé à faire de la colocation ? Cette villa est bien trop grande pour toi toute seule… Tu devrais y penser, cela te fera de la compagnie au moins. dis-je en haussant les épaules doucement. Je ne pouvais pas la forcé non plus à faire cela. Mais je pense que ça serait nettement mieux pour elle d’avoir une présence toujours avec elle. Tu viens juste de te réveiller, tu vas attraper froid… dis-je en fronçant les sourcils. Elle m’écoutera pas de toute façon, elle est tout de même assez têtu comme fille mhh.

Abby était sorti prendre l’air, elle se sentait pas bien, après son cauchemar fallait qu’elle pense a autre chose. Elle adorait Elio, il ne la regardait pas comme tout les autres qui eut cherchait a la protégé de la moindre petite chose, il avait surtout la politesse de pas la forcé a lui parlé. Même si elle l’avait invité à venir pour lui changé les idées elle n’était pas en état. Elle l’entendit arriver derrière elle, Abby savait bien qu’il ne la laisserait jamais seul. Quand il lui demanda pourquoi elle ne prenait pas une colocation pour sa villa elle réponds :
« J’aime bien mon autonomie et ma tranquillité, certes en ce moment ce n’est pas une bonne idée, comme tu l’as constaté dormir en ce moment c’est une options, sa va passer que je le sais bien, mais je trouve sa long, et de toute façon personne m’irai pour une coloc » Elle redressa la tête et lui sourie, d’un courir mélancolique
Quand il commença a faire le monsieur protecteur elle le regarda dans les yeux
« Alors toi je t’interdis de : t’inquiété pour moi et de me surprotégé, mon cousin le fait déjà bien assez ainsi que ses amis. Toi t’es le seul qui me regarde pas comme une petite chose fragile, alors ta pas interet a commencer, toute les personnes qui sachent pourquoi je suis comme sa me regarde avec pitié et son ennuyé, c’est bien mignon mais sa m’aide pas c’est pour sa que je veux pas te le dire pour pas que tu me regarde comme sa »
Elle en avait assez des hommes qui la surprotégeait sa ne l’aidai pas a avancé en fin de compte. Elle avait juste peur de parlé de sa vie actuel a son cousin de peur de le voir partir en live. Abby se releva d’un coup
« oh puis merde »
Elle se jeta dans les bras d’Elio elle mourrai d’envie d’un câlin mais elle avait peur de ses réactions, peur de craqué. Tant pis.

Je m’en doutais qu’elle allait dire non, mais je suis persuadé au final que c’est vraiment une bonne chose pour elle si elle décidait enfin à se montrer plus ouverte. Elle faisait toujours ce qu’elle voulait après tout, je ne la force pas non plus. Je te dis juste que je pense et tu devrais peut-être apprendre à t’habituer aux personnes, personne n’est parfait. dis-je en haussant les épaules. Je lui fais une grimace quand elle me dit que je ne pouvais pas m’inquiéter pour elle comme le faisait les autres. Elle a qu’à se comporter autrement si elle ne veut pas que je m’inquiète pour elle. T’as qu’à pas être ainsi, je m’inquiéterai pas pour toi va ! dis-je en lui ébouriffant les cheveux pour bien montrer mon désaccord. Je la laisse faire quand elle vient se jeter dans mes bras. J’entoure sa taille de ceux-ci et la câline sans oser briser le silence apaisant qui s’était installé. Cela dura quelques minutes, je ne savais pas si elle était en train de pleurer ou pas. Je n’osais pas bouger mais je n’étais pas quelqu’un qui aime vraiment le silence. Je ne pus m’empêcher de parler. Je savais que tu voulais des câlins, tu en demandes tout le temps d’habitude. dis-je avec un léger sourire. Venant tapoter doucement le haut de sa tête.

Abby était pas au top de sa forme olympique ne même temps vu la situation elle ne le sera pas toute suite. Elle avait fini sur la terrasse a parlé a son ami. Elle ne releva pas quand i lui dit qu’elle devait juste s’habitué au personne. Abby n’avait confiance que en très peut de gens, et encore en moins de gens pour partager sa demeure. Quand elle lui donna les règles qu’elle ne voulait pas qu’il s’inquiète pour elle ni qu’il la surprotège, il lui dit qui fallait pas qu’elle se comporte comme sa si elle ne voulait pas qui s’inquiète. Mais la jeune fille n’était pas capable de se comporté autrement pour le moment. Même si elle arrivait a avoir des sursauts de bonne humeur ceux la ne durait jamais bien longtemps. Quand elle termina par se jeter dans les bras de Elio, la jeune fille adore les calins avec lui. Elle lui avoua tout, c’était l’effet calin, elle lui dit a l’oreille
« je me suis fait violer quand j’avais 7 ans par mon oncle et ma mère la protégé je viens de le savoir grace a un hypnotiseur, je te l’ai dit mais je veux pas que sa change quoi que se soit, t’es la pour me faire oublié … »
Elle le serra fort ses larmes avait commencé a perlé sur son visage elle ne voulait pas qui réagisse, mais en même temps qui ne réagirait pas a cette bombe. Elle voulait juste lui dire pour qu’il ne fasse plus de gaffe, ou de blague stupide sur le sujet.

J’avoue que je n’aurais jamais cru qu’elle puisse m’en parler comme cela. Ce n’était pas son style d’habitude de me parler des choses qui la tracassent. Mais elle venait juste de le faire et sa révélation fut assez choquante. J’aurais pu penser à tout sauf à cela. Mais je n’avais pas le droit de m’inquiéter pour elle et de me lamenter sur le sort de mon amie. Je recule son visage et lui ressuye ses larmes du bout des doigts. C’est difficile à surmonter mais tu peux le faire, t’es une vraie fille Abby. Tu bouges ton cul et tu croques ta nouvelle vie à pleine dent okay ? dis-je avec un sourire pour la réconforter. Je viens la recoller contre moi et lui caresse les cheveux doucement en essayant de la calmer le mieux possible. Mes parents viennent de m’annoncer qu’ils m’ont trouvé une fiancée, je vais devoir la rencontrer durant le Summer Camp. Ils en ont choisi une qui est dans mon université… Sérieusement. dis-je en soupirant avant de poser ma tête sur le haut de la sienne. Je n’allais pas non plus me lamenter de mon sort, elle pouvait être jolie et gentille mais pour principe, je ne pouvais épouser une fille que je n’aime pas amoureusement parlant. C’est contre nature nom de dieu ! De toute façon, il n’y a pas moyen et j’allais bien lui faire comprendre.

Elle avait tout avouer a son ami parce qu’elle savait que si elel le faisait pas sa la gênerait. Quand elle lui annonça elle le sentit se crispé, mais il eu la réaction qu’elle attendait de lui, il ne se lamenta pas il ne la prenait pas en pitié. Quand il lui dit qu’elle pouvait surmonter sa elle le regarda en hochant la tête
« Je sais que la vie continue quoi qu’il se passe »
Quand il lui annonça son mariage arrangé avec une fille qu’il ne connaissait pas elle ouvrit grand les yeux, elle souriait parce qu’elle avait préparé sa grosse connerie
« Ohhhh, sa veut dire qu’on pourra jamais se marié ensemble, c’est trop injuste tu es le seul homme avec qui j’aurai accepté de me marié »
Elle explosa de rire en même temps c’était un peu vrai, c’était la seul personne qui ne la prenait jamais en pitié, et qui arrivait a la faire sourire, qui serait toujours la pour elle sans lui demandé quoi que se sois, et sa elle l’appréciait vraiment. Elle ne pouvait plus vraiment supporté qu’on la surprotège beaucoup trop. Abby ne connait rien a l’amour alors elle ne pense pas comme sa mais lui est différent des autres hommes sa vie pour le moment.

Je savais qu’elle ne voulait pas que je me lamente sur son sort, puis cela ne changerait rien au fait de toute façon. Je ne pouvais que me contenter de la soutenir comme je le peux pour pouvoir l’aider à remonter la pente, par un moment de tendresse par exemple. Elle avait au moins compris que la vie continuait malgré ce problème qu’elle a découvert dans son enfance. Elle paraît vraiment faible à vu d’œil mais je sais très bien qu’elle est forte intérieurement. Je lui explique ensuite ma situation de mariage arrangé avec une fille que je n’ai jamais vu. La voilà en train de rire en me parlant de mariage avec elle qui est maintenant impossible. Je pouffe de rire et secoue la tête doucement avant de lui ébouriffer les cheveux. Tu trouveras un homme dix fois mieux que moi, il a plutôt intérêt sinon je l’étrangle. dis-je avec un tendre sourire sur les lèvres. Je voulais tout ce qu’il a de mieux pour elle. Elle le méritait pleinement après tout.

Abby était en compagnie de Elio un ami mais plus qu’un ami celui la, il est trop adorable avec elle. C’était bien la seul personne qui ne la plaignait pas et qui ne la regardait pas avec pitié. C’est pour sa qu’il occupait une place importante dans sa vie. Il arrivait a lui remettre les pieds sur terre en toute circonstance. Elle venait de rigolé quand il lui avait annoncé le mariage arrangé, et encore plus quand elle lui avait sorti sa bêtise. Quand il lui sorti qu’elle trouvera quelqu’un de bien et 10 fois mieux que lui, elle rigolait.
« Dure de faire mieux que … Non je te ferai pas se plaisir tu vas encore prendre la grosse tête. De toute façon je ne risque pas de chercher après ce qui viens de se passé on verra bien »
Elle lui souriait, elle se préparait a lui demandait quelque chose qui pourrait être mal interprété même si c’était lui on sait jamais
« Elio, tu peux rester se soir ? Je pense que je pourrais dormir si t’es avec moi … Et après tout t’es pas encore marié » Elle rigolait sa c’était son truc c’était de rire quand la situation était gênante.

Elle osait dire que moi j’attrapais facilement la grosse tête ? Comme si c’était vraiment mon genre tiens… Menteuse ! Il n’y a pas plus saint que moi… Bon ok j’avoue que des fois, je me sens pousser des ailes quand on me fait des éloges mais tout de même. Prend ton temps, tu en as encore le temps. Et ne t’impose pas un fiancé de force, montre leur que tu peux trouver quelqu’un de bien par toi-même. dis-je en lui faisant un clin d’œil. Je penche la tête à sa demande, elle semblait assez gênée de me la poser et je ne voyais pas du tout en quoi. On était ami après tout, il n’y a rien de vraiment ambigüe entre nous, je pouvais très bien dormir avec elle sans le moindre problème. Bien sûr, pourquoi je te dirais non ? Ca te permettra d’éviter les cauchemars ce soir… Enfin je l’espère du moins. dis-je en la poussant vers la porte fenêtre pour qu’elle rentre dans la villa. Elle allait attrapé froid, elle ne dort pas beaucoup après tout.