[Elio] Fait moi oublié

Abby était chez elle, la jeune femme n’était pas au too de sa forma mais elle reprenait le dessus peut a peut et après des jours et des jours a pleuré, elle essayait de retrouvé son beau sourire. Elle ne voulait plus parler elle voulait oublier, rire et s’amusé. Elle savait qu’elle pouvait compter sur une personne, son ami Elio, elle était une sorte de confidente pour lui. Abby n’arrivait pas a se confier a lui, même si elle l’adore et que lui lui parle énormément. Elle n’avait pas l’intention de lui parler des récents événements. Abby l’avait invité pour qui fasse les cons, qui rigole ensemble, et pourquoi pas que Elio lui fasse dépassé sa peur de conduire des voitures de sport. La jeune fille était prête a tout pour oublié se qui la hantait a cette instant précis, c’est sur que tout sa allait sonner faux au départ mais elle espérait bien qu’il respecte son silence et son choix de ne pas lui parlé. Elio et elle avait une certaine infinité, leur parents était les même, le milieu des riches européen. Le jeune homme était comme Abby il avait pas eu le droit de choisir ses études, il avait eu le droit a un mariage arrangé, bon sa Abby était arrivé a l’évité. Mais ses futures prétendant devront être validé, se que Abby ne fera pas elle comptait bien se séparé de sa famille après les récent événements, la seul personne avec qui elle avait un lien de sang et qui elle ne pourrait pas laisser tombé. Son interphone la sortit de ses pensé c’était Elio qui venait d’arrivé. Elle s’efforça de reprendre son beau sourire. Elle alla lui ouvrir.
« Salut toi ! »
Abby affichait un grand sourire.

J’étais sur le chemin de l’appartement d’Abby, elle semblait vouloir me voir et je me doutais que dans ce genre de situation, elle avait le besoin de se changer les idées. Je n’ai pas attendu très longtemps avant de partir à la rencontre de mon ami. Une fois devant chez elle, je finis par toquer en espérant qu’elle soit bien là. Ben ouais, elle aurait pu s’absenter cinq minutes. Surtout que je suis arrivé plus rapidement que prévu. Elle ouvrit finalement et je l’accueillis d’un merveilleux sourire dont je peux être fier. Coucou Abby, alors t’as besoin de la présence du merveilleux Elio ? Ouais, bon d’habitude je ne suis pas aussi narcissique de ma personne –ou plutôt je ne lui dis pas. Je finis par entrer et retirer ma veste et mes chaussures avant de me laisser tomber dans le canapé de la belle. Alors t’as envie de faire quoi ? De boire, de danser, de chanter, de jouer au combat ? Bon, je ne garantis pas qu’elle gagnera contre moi surtout si on fait du catch mais cela défoule toujours nan ? Enfin, je faisais souvent cela avec mes cousins et cousines quand on était gosse. Bon je n’étais pas trop net à l’époque aussi … Ou peut-être câlin ? dis-je en arquant un sourcil. Oui, je suis très tactile mais personne ne s’en est jamais plein.

Abby avait besoin de se changer les idées, elle avait donné rendez vous a Elio un ami avec qui elle aimait passé du temps, mais elle ne se confia jamais a lui. Elle venait de lui ouvrir la porte, aparamant sa bonne humeur avec une pointe de vanité. Elle aimait bien sa bonne humeur et son coté vaniteux mais pas trop –en même temps il avait de quoi- Elle ne répondit pas a la première question, fin sa allait de sois si elle lui avait demandé de passé ce n’était pas pour rien. Il entra dans sa villa comme dans si il était chez lui en même temps pour elle Elio était comme chez lui. Il lui proposa diverse activité. Alors boire dans l’état ou était Abby sa allait mal se terminé, dansé Abby n’était pas franchement d’humeur a voir du monde, de chan ter sa risquait pas Abby déteste sa voix, dansé elle savait pas faire. Quand il lui demanda si elle voulait jouer au combat elle ouvrit des grands yeux.
« Heu, toi moi se battre, tu va me casser en 2 en moins de 30 secondes. » Abby grossissait le trait un peut beaucoup elle était quand même dans l’équipe de natation de Harvard se qui demandait une certaine forme physique et elle c’était toujours entretenu. Mais en même temps face a Elio elle faisait brindille. Quand il lui proposa un câlin, même si elle adorait les câlin et que c’était la seul chose qui pouvait la rassuré quand sa n’allait pas, elle ne voulait pas lui en faire par ce qu’elle savait très bien qu’elle craquerai forcement , et elle ne l’avait pas invité pour se lamenté sur son sort.
Elle alla s’installé a coter de lui dans son grand canapé. Finalement elle décida a l’attaqué, elle voulait pas qu’un silence d’installe sa la rendrait forcement triste. Elle l’attaquait a coup de chatouille, elle savait qu’elle allait le regretter mais ca allait être tellement marrant .

J’étais toujours le premier à répondre quand un de mes amis avait besoin de mon aide. C’était comme une obligation pour moi, c’est juste quelque chose que je devais faire. C’est la raison de ma présence dans la villa d’Abby pour pouvoir la consoler on dirait. Mais je sais déjà qu’elle ne va pas m’en parler de toute façon. J’entre ainsi chez elle comme si j’étais chez moi et m’installe dans le canapé. Je lui récite alors une liste de chose qu’on pouvait faire ensemble pour qu’elle se change les idées. Lui parlant même de faire du catch tous les deux, ben ouais j’aime ça. Bon elle n’avait pas tord au final, j’allais la casser en deux si on faisait vraiment cela. Bon j’avoue, ce n’est pas l’idée du siècle. dis-je en haussant les épaules doucement. Même la proposition « câlin » ne lui convient pas alors que je sais qu’elle adore cela d’habitude. Cela me surprend quelque peu, je dois bien l’avouer. Alors que j’étais en pleine réflexion sur ce qu’on pouvait faire tous les deux pour s’amuser. Je la sentis s’installer à mes côtés et elle passa directement à l’attaque. Alors ni une ni deux, je me mets à l’attaquer de chatouille à mon tour. J’étais assez doué de côté, je dois bien l’avouer. T’as pas le droit de te plaindre, c’est toi qui a commencé hein ! Je savais très bien où toucher pour la voir se tortiller à cause des chatouilles. Pour une fois que ce n’est pas moi qui commence ce genre de jeu…

Abby allait mal vait elle en avait marre de se plaindre et de se lamenter sur son sort. C’est pour cela qu’elle avait appelé Elio c’était un ami avec qui le contact passait super bien. Même si elle se confiait pas a lui quand elle le regardait dans les yeux elle ne pouvait pas s’empêcher de rire quand elle se trouvait en sa compagnie elle changeait du tout au tout, il arrivait a la faire rire pour rien. Elle voyait bien que quand elle avait refusé sa proposition câlin sa lui avait paru bizarre, en effet elle adorait lui faire des câlin il était très tactile tous les deux. Quand ils c’étaient installé sur le canapé elle avait commencé a l’attaqué a coup de chatouille, il lui avait pas fallu longtemps pour passé en mode connerie et se jeter sur le jeune homme. Quand il lui dit qu’elle n’avait pas le droit de se plaindre elle répliqua
« C’est pas mon genre »
Si Abby provoquait quelqu’un elle assumait toujours ses actes derrière. Elle avait déclenché cette bataille pas qu’elle savait pertinemment que c’est que comme sa qu’elle allait rire au éclat. Quand il commença a attaqué les endroits sensible elle explosa de rire, Abby était très chatouilleuse il était très facile de la faire rire au éclat. Mais lui était trop grand comparé a Abby pour qu’elle puisse l’atteindre quand il la chatouillait.

Je savais qu’en me comportant ainsi avec elle, elle allait retrouver le sourire. C’est ce que je recherchais après tout, je n’aime pas spécialement quand Abby est aussi triste. Même si elle essaye de me le cacher, je le sais parce qu’elle n’a pas accepté la séance tendresse, chose qu’elle n’aurait jamais refusé avant. Mais elle avait commencé la guerre des chatouilles, elle n’avait pas le droit de se plaindre maintenant. Même si je sais que ce n’est pas son genre comme elle vient de me le redire. Je finis par coincer sa tête entre mon bras et lui ébouriffe les cheveux. Tu fais moins la fière maintenant hein ! dis-je en pouffant de rire. Je finis par la lâcher un peu, me tournant ensuite vers elle en penchant la tête sur le côté doucement. On se mate un vieux film drôle ? Ca existe ça ? Azy Abby montre moi ce que tu caches sous ta jupe ! Nan, je rigole dans ta boîte de DVD dis-je en pouffant de rire. Bon okay, mon humour est à chier mais j’arrive toujours à faire rire mon ami alors autant que je continue dans cette voie là. Genre the Mask ? Tu l’as j’espère ?! Je peux te faire le personnage quand tu veux. dis-je en sautillant à moitié sur place. Mais je décide de me rendre utile et pars faire deux chocolats chaud spécialités de ma personne. Parce qu’elle a besoin de réconfort donc forcément, je me dois de me montrer plus particulièrement attentive avec elle.

Abby était en compagnie de son ami Elio. Elle lui avait demandé de passé pour lui changé les idées, après une guerre de chatouille qu’elle avait lamentablement perdu. Il lui avait ébouriffé tout les cheveux. Après avoir bien rigolé et qu’Elio l’ai deffet de son emprise. Elle passa sa main dans ses cheveux pour les remettre en place un minimum sa coiffure. Elle souriait il lui avait rendu son si beau sourire qui resta malheureusement éphémère quand il fi une blague du genre qu’es ce que ta sous ta jupe, la jeune fille perdu son sourire quelque instant mais elle tournait le dos a Elio a se moment la il ne pouvait pas la voir, même si elle savait qu’il n’avait jamais voulu la blesser ni rien elle n’avait pas vraiment prit dans le bon sens. Elle allat pour enclencher le dvd que le jeune homme lui avait demandé, quand elle le vit partir vers la cuisine. Abby inspira un grand coup et chassa ses larmes avec sa main ce n’était pas vraiment le moment de craqué. Elle s’installa dans le canapé. Elle ne souriait plus. Abby commençait a être dans ces pensés en attendant son ami. Elle ne sentait même pas qu’elle pleurait, jusqu’au moment ou elle l’entendit revenir de la cuisine elle se dépêcha d’essuyé ses larmes. Il n’était pas venue pour l’écouté se plaindre il était venue pour s’amusé.

Bon, je ne peux pas dire que je suis le mec le plus drôle, surtout que je peux me montrer lourd par moment. Mais cela faisait mon charme, je dois bien l’avouer. Je partis sans rien dire en direction de la cuisine après lui avoir demandé si elle avait mon film préféré. Je mordis ma lèvre en revenant dans le salon avec deux bols de chocolat en main avec du chocolat fondu au fond et avec en plus un peu de marshmallow à l’intérieur. J’adorais faire ce genre de chose durant les coups de blues. Je m’assis à côté d’elle et pose le bol juste devant elle sur la petite table. Quand rien ne va… Il faut le chocolat chaud spécial Elio, pour la plus jolie. dis-je en souriant. Je savais qu’elle n’allait pas bien et qu’elle venait de pleurer mais par respect pour elle, j’ai préféré ne rien dire. Je viens déposer un baiser sur le haut de sa tête avant de lui faire signe de boire son chocolat chaud avant qu’il ne refroidisse. Commençons le film ma belle. Prenons des kilos en plus en même temps. dis-je avec un grand sourire. Je lui ébouriffe les cheveux avant de prendre la télécommande pour mettre le film en route. Je me doute que j’ai dû dire quelque chose de mal pour qu’elle pleure, à moins qu’elle n’ait gardé tout cela aussi longtemps… Dur à dire.

Pendant que Elio était dans la cuisine quelque larme avec échappé a Abby, qu’elle avait vite essuyé avant son retour. Quand il lui déposa un chocolat chaud devant elle avec un marshmallow qui flottait elle ne pu s’empêché de sourire surtout avec la petite phrase qui l’accompagnait,
« t’es un amour »
ils savait très bien que quelque larmes lui avait échappés, Abby savait très bien qu’ils se connaissaient assez pour connaitre l’humeur de l’autre sans posé de question. Elle bue son chocolat chaud assez vite. Il avait la gentillesse de ne pas la harcelé de question, c’était rare tout le monde voulait la protégé donc savoir se qu’elle avait pourquoi elle pleurait pourquoi elle n’était pas bien ? Cela devenait chiant a la longue, c’est pour sa que c’était lui qu’elle avait appelé, il ne savait pas alors ne pouvait pas la regardé avec pitié. Et en même temps elle savait très bien qu’il ne la harcèlerait pas de question. Elle s’allongea et cala sa tête sur l’épaule de Elio, elle faisait tout le temps sa d’habitude, aujourd’hui elle commençait a fatigué en même temps elle ne dormait toujours pas elle devait dormir maximum 2 heures par nuit, surtout en vivant seul dans cette villa. Abby ne suivait pas le film et commença a s’endormir sur l’épaule de son ami, après quelque minutes ou elle pleurait dans son sommeil elle se réveilla en sursaut comme a chaque fois qu’elle trouvait le sommeil, les images du viole lui revenait en tête.

Je prenais toujours un grand plaisir à m’occuper d’Abby. Après tout, elle est vraiment adorable et il est rare de trouver un mauvais côté chez elle, autant le dire directement. Le petit chocolat chaud maison n’était qu’un petit plus, la séance câlin pouvait maintenant commencer. Je la sentais s’endormir contre moi, je passais alors mon bras autour de ses épaules et la laisse se reposer contre moi. Mon attention était donc plongé totalement dans le film que j’ai du voir une bonne centaine de fois sans déconner. Je la sentis gigoter contre moi après quelques minutes, je plisse le nez et la sert un peu plus contre moi pour la calmer un peu. Elle se réveilla finalement, je ne dis rien de spécial et viens remettre les cheveux de la belle en place. La recollant alors contre moi pour qu’elle se calme un peu. Respire doucement, cela va aller. dis-je en souriant doucement. Je caressais toujours ses cheveux doucement pour qu’elle se calme un peu plus vite. Je n’osais pas lui poser de question, je savais qu’elle ne dirait rien de toute façon donc autant rester silencieux. Je la colle un peu plus contre moi et la berce doucement pour l’aider à s’endormir, en espérant que son sommeil soit calme.