viendra- viendra pas ... with calvin

Si elle se cherchait des excuses ? Ahah, Calvin l’amusait. Oh que non, il la connaissait assez bien pour savoir qu’elle ne se cherchait pas d’excuse… entre ceux deux c’était toujours comme ça, un coup ils étaient amis, un coup ils avaient envie de plus. Aujourd’hui, ça semblait être le second cas. Il faut dire que Sienna avait toujours été très attiré par Cal. Il dégageait quelque chose qui l’empêchait toujours de résister, ce soir-là, il lui avait suffi de quelques paroles provocatrice pour s’accaparer Sienna. A cet instant, elle était sienne. Marié ou pas. De toute façon, Sienna savait pertinemment que ce mariage ne comptait pas aux yeux de Calvin alors pourquoi se priver de lui ? Elle le regardait profondément, se mordillant le coin de la lèvre. « Non pas d’excuses… c’est l’alcool qui me fait dire n’importe quoi… » Elle agrippa le col de son t shirt, se colla le plus possible a lui avant de lui susurrer au coin de l’oreille : « Je suis toute a toi… » Elle le laissa l’embrasser à nouveau puis se détacha de lui. Elle lui prit la main. « Viens ! » Elle l’emmena un peu plus loi, a l’abri des regards. L’endroit semblait désert mais on pouvait encore entendre la musique résonner dans les airs. Elle se plaqua contre le mur, l’attrapa a nouveau par le col et l’attira face a elle, réduisant le peu de distance qui les réparaient encore. Ni une, ni deux, d’un bon elle passa ses deux jambes autour de sa taille pour l’encercler, remontant sa courte robe au niveau de ses hanches. Elle passa ses deux bras autour de sa nuque et l’embrassa à nouveau. Elle avait bu juste assez pour décupler excitation et plaisir.

« Non pas d’excuses… c’est l’alcool qui me fait dire n’importe quoi… » Où l’alcool ne faisait que dire ce qu’elle désirait. Il était bien connu que l’alcool nous désinhibait. M’apprêtant à lui répondre, je fis surpris, alors qu’elle s’approchait de mon oreille pour me susurrer quelques mots : « Je suis toute a toi… » A ses mots, je capturais ses lèvres dans un baiser pour en réclamer davantage. « Viens ! » En une seconde, elle s’était emparée de ma main pour me forcer à la suivre. Chose que je faisais sans grande méfiance. Arrivé près des bungalows de plage, elle m’attirait entre le couloir sombre de deux bungalows. Passant ses jambes autours de moi, je me retrouvais encerclé en un seul bond. Elle voulait vraiment jouer à cela ? Je ne la connaissais pas aussi désireuse de ma personne et une petite voix me disait que cela ne datait pas d’aujourd’hui. S’emparant une fois de plus de mes lèvres, je la laissais prendre ses aises. D’une main, je caressais la peau hâlée de sa cuisse, remontant avec sensualité jusqu’à l’intérieur de cette dernière. Du bout des doigts, je caressais la dentelle de sa petite culotte sans en faire plus. Disons que j’aimais jouer avant de gagner ce qu’il m’était dû. De mon autre main, je caressais son bras gauche, remontant jusqu’à son épaule. Dégageant cette dernière de ses cheveux blonds, je venais déposer une série de baisers de sa clavicule à son lobe d’oreille. « C’est ça que tu veux ? » murmurais-je. 
 
 
 

Les doigts de Calvin qui effleuraient sa peau remontant doucement le long de sa cuisse lui donnait des frissons… Il allait la faire imploser. Elle sentait les lèvres de Calvin glisser sensuellement dans son cou, tandis qu’un désir aigu, liquide, torride, brulait au creux de son ventre. Elle se décala légèrement d’elle pour lui murmurer ces quelques mots « c’est ca que tu veux ? » Son regard de braise la mettait au défi. La bouche entre ouverte, il l’attendait, prêt a bondir sur sa proie. « Oses me dire que ces moments-là ne t’ont pas manqués… » Elle n’avait pas besoin de lui répondre, il connaissait déjà la réponse à sa question. S’il était déjà arrivé aux deux amis de coucher ensembles, Sienna s’était rarement montré si désireuse. Peut-être l’alcool, peut être autre chose… elle n’avait pas le temps de chercher une réponse. Elle avait envie de lui, c’était tout. Toujours écrasée entre le mur et le corps humide de Calvin, elle saisit les revers de son t shirt avant de lui retirer avec fougue avant de le jeter par terre. Ses lèvres rattrapèrent celles de Cal tandis que ses mains parcouraient lentement son torse parfaitement modelé pour descendre jusqu’à son jean qu’elle déboutonna tout en continuant tout en caressant sa langue avec le sienne.

« Oses me dire que ces moments-là ne t’ont pas manqués… » Un sourire se dessinait sur mes lèvres. On peut dire qu’elle me connaissait bien. Sans plus attendre, Sienna se débarrassait de mon t-shirt, le laissant choir sur le sol. Ses mains caressaient mon torse avec envie, avant de rapidement descendre vers mon pantalon pour le déboutonner. Sentant qu’elle était pressée, je me glissais ma main vers son intimité, passant les barrières du tissu, je caressais le cœur de son plaisant. La bouche à quelques centimètres de la sienne, je ne la quittais pas du regard, continuant mes mouvements. A cet instant, je me sentais totalement libre. Milena avait quitté mes pensées pour être remplacé par la jolie blonde. Il n’y en avait que pour Sienna ce soir et je comptais lui rendre justice. Insérant un doigt en elle, je veillais à ne pas lui faire du mal, la respectant avec soin. Je ne voulais pas paraître abrupte avec elle au risque de la faire fuir.  
 
 
 

Lorsqu'elle aperçut le sourire de Calvin, elle sut qu'il était tout a elle. Du moins pour ce soir. Il comprit très vite le message, et ses doigts expérimentés quittèrent la dentelle de ses sous vêtement pour venir caresser sensuellement son intimité. Il ne la quittait pas du regard, l'obligeant a affronter ses yeux ardents et déterminés a lui donner tout le plaisir qu'elle désirait. Elle sentit alors ses doigts s'enfoncer dans sa chair sous sa robe noire, de façon déterminée mais en même si délicatement... Elle reconnaissait bien la les gestes de Calvin, toujours très respectueux des femmes. Elle lâcha le jean du garçon pour plaquer brutalement sa main gauche dans son dos tandis qu'elle enfouissait son visage dans son décolleté de sa main droite, tout en se cambrant au rythme des mouvements de la main de Calvin. Elle ferma les yeux, le souffle coupé, totalement abandonnée a lui, savourant l'exquise sensation que lui donnait le jeune homme. Elle ne pensait plus a rien, qu'a lui. Lui, elle, ses mains... L'alcool la désinhibait et le désir était tel qu'elle ne tiendrait pas bien longtemps.

Lui donner du plaisir était l’une de mes premières pensées se soir. Savoir qu’elle me désirait temps ne faisait qu’accroitre mon désir. L’entendre doucement gémir me donnait des frissons qui me parcouraient l’échine. M’arrêtant brusquement, je la privais de l’orgasme qui menaçait d’exploser. Positionnant une main sous ses fesses, je la maintenais du mieux que je le pouvais, alors que je baissais mon pantalon. Ainsi, j’exposais mon membre gonflé de désir sous ses yeux. La sentant plongé dans une léthargie charnelle, je sortais moi-même le préservatif de ma poche, avant de le faire glisser sur mon membre. D’un geste rapide, je lui arrachais sa petite culotte, la réduisant en lambeau sur le sol. Puis, me positionnant à l’entrée de son intimité, je glissais une main sur son cou pour attirer ses lèvres sur les miennes. Peut-être y allais-je un peu trop vite, mais je n’avais pas envie de m’attarder dans cet endroit. Surtout qu’on pouvait nous voir et il n’était pas conseillé de faire ses petites affaires privés en public. De plus, l’excitation de nos retrouvailles, étaient beaucoup trop forte pour que je puisse tenir.  
 
 
 

Sienna n'en avait rien a faire de l'endroit ou ils se trouvaient. Elle avait la sensation de voyager dans un autre espace temps ou rien ni personne ne pouvait les atteindre. Son sang bouillait dans ses veines tandis qu'elle sentait venir le plaisir au travers des mouvements délicats de Calvin. Du moins jusqu'à ce qu'il se stoppa. Au bord de l'orgasme, elle n'eut même pas la force de lui témoigner sa frustration. Elle le laissa lui arracher sa culotte et la jeter a terre. Elle était sans défense, épinglée contre le mur, le visage maintenu, les hanches de Cal l'empêchant de bouger. Son érection a l'entrée de son intimité. Il l'avait envie d'elle, au moins autant qu'elle avait envie de lui. Il n'allait tout de même pas la faire attendre encore? Cela devenait une véritable torture. Le souffle court, elle le dévorait des yeux, attendant le moment fatidique. Elle arrivait a peine a contenir les sensations débridées qui se déchainaient dans son corps tant elle le désirait. Elle le supplia de mettre fin a cette torture. "Calvin..." C'est alors qu'il plongea en elle avec une lenteur délicieuse, Enfin. Elle ferma les yeux, savourant l'ampleur et la sensation exquise de sa possession, basculant instinctivement le bassin pour aller a sa rencontre, gémissant contre ses lèvres.

Envahis par un désir ardent, je m’apprêtais à la pénétrer. Mes yeux bleus croisèrent son regard et je pus y lire autant d’envie. "Calvin..." Un sourire narquois prenait naissance sur mon visage, alors qu’elle me suppliait de la soulager. Un bras autour de sa taille, je la pénétrais avec une infinie lenteur. Pourquoi y aller vite ? J’avais envie de profiter de ce moment avec elle. J’appréciais Sienna et partager ce moment avec elle me faisait plaisir. Sans oublier que nous avions beaucoup de temps à rattraper. Capturant ses lèvres dans un énième baiser, je lui donnais de très légers coups de reins. Une de mes mains traçait un chemin de son cou à sa poitrine. Au fur et à mesure, j’y allais de plus en plus fort tout en gardant un rythme stable. Sans la quitter des yeux, je savourais la sensation que je ressentais en étant en elle. C’était un moment intime, mais quelqu’un pouvait nous surprendre à tout moment. « Tu es si belle » murmurais-je, alors que je déposais mes lèvres sur son cou.
 
 
 

Calvin venait d’abréger sa souffrance en s’introduisant délicatement en elle. La tête basculée en arrière, elle soupira lentement, laissant s’évacuer tout le plaisir qu’elle contenait jusqu’à présent. Cette douleur exquise lui coupait le souffle. Elle gémissait, les mains crispées dans les cheveux du jeune homme, son corps convulsé se tordant contre le sien. Elle s’accrochait a sa nuque comme si son salut en dépendait. Sienna rouvrit les yeux pour les plonger dans le regard brulant de Calvin tandis que la main du garçon descendait dangereusement entre ses seins. Elle aimait partager cette intimité avec lui. De délicieux frissons parcoururent son échine lorsqu’elle l’entendit murmurer ses quelques mots qui lui avaient rarement fait autant d’effet. Puis ses lèvres parcoururent la peau de son cou… il n’avait pas oublié son point faible. Elle ferma a nouveaux les yeux, se mordant la lèvre presque jusqu’au sang. Dans un rythme parfait, contrastant avec leur respiration saccadée, elle se mit a jouir autour de lui, dans des gémissement incohérents qu’elle tentait d’étouffer tant bien que mal. Mais le plaisir fut de courte durée, quelque part entre rêve et réalité, des rires et des cris parvinrent aux oreilles de la belle. Elle ouvrit brutalement les yeux. « Calvin ! » Dur de résister a la tentation mais la situation était critique. Deux ombres se dressaient la, a quelques mètres d’eux, entre les deux bungalows. Dans la pénombre elle ne pouvait distinguer les visages, mais ils semblaient bien se rincer l’œil. « Calvin y quelqu’un… » Pour le coup, elle ne se sentait plus très a l’aise.

Me perdant en elle, mes mouvements furent accompagnés par ses jouissements. Oubliant le contexte dans lequel nous évoluons, je continuais mes coups de reins, lorsque sa voix lointaine venait briser ce moment. « Calvin ! » Pourquoi est-ce qu’elle avait l’air aussi paniqué. Levant mon regard vers elle, je tentais de discerner quelque chose. « Calvin y quelqu’un… » Merde ! Qui était ces cons qui se permettaient de nous regarder ?! Tournant le regard vers les ombres qu’elle m’intimait de regarder. Ces deux idiots étaient en train de se marrer, tout en se rinçant l’œil. Ils étaient d’ailleurs, probablement ivre. Me retirant un peu plus sèchement de Sienna, j’eu vite fait de remettre mon pantalon. « Cassez-vous ! » Les deux idiots continuaient de rire. Est-ce que j’étais en état de me battre ? Non, mais j’étais sacrément remonté et frustré. Prenant la main de la jeune femme, je nous éloignais de cette ruelle, abandonnant sa petite culotte au sol. « Quelles bandes de con ! » J’étais tellement agacé que j’en oubliais d’être polie. « Ça va ? » A la lumière d’un lampadaire, je m’étais tourné vers elle pour évaluer l’étendue des dégâts. Le regard encore luisant, elle avait les cheveux en bataille et les joues rougies par notre séance.