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- Je n'arrivais pas à en croire mes oreilles ! Je suis sérieuse, Stacy ! Le culot de cette fille ! Elle mérite tout ce qu'elle va avoir, elle. Oui, je suis calme ! Non, je ne suis PAS irrationnelle ! OUI, je SAIS ce que je fais ! ... Tu sais quoi ? Je vais raccrocher. Parfaitement, là, maintenant. Je. vais. raccrocher. Au revoir stacy ! J'ai dit au revoir !
Elle raccrocha alors, avant de ranger le téléphone dans son sac à main, soupirant. Ce que son amie pouvait l'agacer, parfois, avec sa compassion, sa raison, son recul et son empathie ! Elle était spirituelle, elle ! Elle avait besoin de spontanéïte, de pulsion, d'impulsion ... De vivre la vie pleinement, car après ses expériences passées, Camille Melanie Parker savait mieux que n'importe qui d'autre que la ville était un don, un don fragile qui était brisé lorsque la moindre brise passait par là. Tournant sa cuillère dans son cappucino, elle regardait le dossier qui était posé là, sous ses yeux, devant elle, sur la table. Pourquoi avait-elle choisi psychologie ? Parce qu'elle avait envie d'aider les autres ? Ça n'en valait vraiment pas la peine, vu tout le travail avec lequel elle se retrouvait au final. Elle n'avait besoin que d'une chose : de vac-ances. Mais son père, visiblement, n'était pas prêt d'écrire un mot d'excuses au Campus comme quoi son arrière grande-tante (ou autre membre fictif de sa famille) venait de décéder. Quel dommage.
Elle était donc forcée à rester ici, contre sa volonté, obligée de travailler, d'étudier ... De faire des choses qu'elle ne devrait pas faire, en fait. Elle était jeune, libre et vivace ; ses professeurs ne comprenaient-ils donc pas que rester assise était pour elle une véritable corvée, voire, même, une pathologie ? En plus, la maison des Cabots était loin d'être l'endroit le plus approprié pour étudier ... Encore, quand elle voyait Steven, elle pouvait passer chez les Dunsters afin de lui demander de faire ses devoirs avant d'aller faire la fête ; là, elle était seule, et ça la rendait de mauvaise humeur ...
Elle raccrocha alors, avant de ranger le téléphone dans son sac à main, soupirant. Ce que son amie pouvait l'agacer, parfois, avec sa compassion, sa raison, son recul et son empathie ! Elle était spirituelle, elle ! Elle avait besoin de spontanéïte, de pulsion, d'impulsion ... De vivre la vie pleinement, car après ses expériences passées, Camille Melanie Parker savait mieux que n'importe qui d'autre que la ville était un don, un don fragile qui était brisé lorsque la moindre brise passait par là. Tournant sa cuillère dans son cappucino, elle regardait le dossier qui était posé là, sous ses yeux, devant elle, sur la table. Pourquoi avait-elle choisi psychologie ? Parce qu'elle avait envie d'aider les autres ? Ça n'en valait vraiment pas la peine, vu tout le travail avec lequel elle se retrouvait au final. Elle n'avait besoin que d'une chose : de vac-ances. Mais son père, visiblement, n'était pas prêt d'écrire un mot d'excuses au Campus comme quoi son arrière grande-tante (ou autre membre fictif de sa famille) venait de décéder. Quel dommage.
Elle était donc forcée à rester ici, contre sa volonté, obligée de travailler, d'étudier ... De faire des choses qu'elle ne devrait pas faire, en fait. Elle était jeune, libre et vivace ; ses professeurs ne comprenaient-ils donc pas que rester assise était pour elle une véritable corvée, voire, même, une pathologie ? En plus, la maison des Cabots était loin d'être l'endroit le plus approprié pour étudier ... Encore, quand elle voyait Steven, elle pouvait passer chez les Dunsters afin de lui demander de faire ses devoirs avant d'aller faire la fête ; là, elle était seule, et ça la rendait de mauvaise humeur ...
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