Li Mei & Coco - Mais tu vas t'habiller oui ?

★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★

« Ce n’est pas de ma faute, c’est l’habitude…. » J’avais ça dans le sang, et je comprenais bien que cela pouvait bien être étrange pour elle. Je me disais qu’il faudrait bien que je lui réponde : « Bah tu serais habillée, je n’aurais pas fait de remarque sur ta poitrine redondante ! » Elle l’avait bien cherché et il fallait bien l’avouer que pour l’instant, j’avais juste trouvé cette remarque adéquate à sa question. A sa remarque pour ma peau si douce, je ne voyais pas trop quoi répondre, rougissant un peu et me cachant dans mes cheveux, je m’apercevais qu’elle était en train de draguer ! Essayant de ne pas tomber dans une situation qui ne me plairait sans doute pas. Sauf que pour l’instant, je ne maîtrisais pas trop la situation. Ensuite, pour l’instant je ne préférais pas trop parler de ça. Sauf que la révélation de mon amie me rendait encore plus surprise.

« Hein ?! Quooi ?! Tu dis quoi là ?! » Lui donnant un petit coup de pied dans son dos, je rajoutais en riant : « Comment tu peux aimer une râleuse ?! » Je savais bien qu’elle en voulait plus, rien qu’en observant ses propos et sa façon de faire, je me rendais compte de tout cela. Je ne voyais pas trop comment continuer et j’étais tout à coup curieuse… « Qu’est-ce que tu aimes chez moi ? » Bougeant toujours mes jambes pliées, j’avais alors une attitude d’une gamine qui attendait son cadeau de Noël. Mais c’était la simple façon pour moi de comprendre le truc. Sauf que tout en l’entendant me dire que j’avais droit à tous pleins de bisous, je souriais toujours planquée dans mes cheveux. Je lui répondais quand même : « Oui, merci, cela me fait du bien. »

(Invité)

Me parler avec son jargon médical n'était pas de sa faute mais plus une habitude, ce qui n'était pas faux mais je décidais de la taquiner un peu en la chatouillant sur le côté du dos, d'autant plus qu'elle me fit savoir que si je n'avais pas été la poitrine à l'air ou presque, elle ne m'aurait pas fait la remarque. Quand je luis fis savoir que sa peau était douce, elle se mit à rougir, preuve que ma remarque la touchait. Mais sa surprise fut d'autant plus grande quand je lui révéla que j'aimais les femmes et surtout celle qui était allongée sur mon canapé, en l'occurrence elle. Après la surprise, elle se demandait, tout en me donnant un coup de pied, comment je pouvais aimer une râleuse mais j'appréciais ladite râleuse depuis 9 ans don à force je m'y étais un peu habituée à son côté râleur et puis cela rajoutait à son charme. Et elle voulait savoir ce que j'aimais chez elle, j'aimais tout en elle avant de me dire que mon massage lui faisait du bien. Alors je lui répondit.

Oui je me doute que les habitudes sont difficiles à faire partir. Je peux en avoir des sales habitudes aussi comme de me balader presque nue dans mon propre appartement. Hé mais je fais ce que je veux avec ma poitrine d'abord, tiens prends ce guili-guili, tu vas voir toi. Oui Li, j'aime les femmes et les hommes aussi, je suis bisexuelle depuis quelques années maintenant et depuis quelques temps, tu m'attires fortement, je ne sais pas si c'est de l'amour mais en tout cas j'éprouve des sentiments pour toi Li. Hé mais me donne pas de coup de pied ma puce. Et bien j'aime tout chez toi, je te connais depuis 9 ans et j'ai l'impression de te connaitre depuis toujours. Et regarde on est perfectionniste, très famille et séductrice toutes les deux, ce qui nous fait des points communs non ? Heureuse d'apprendre que mon massage te fait du bien, je continue ou tu veux te relever ?

J'aimerai poursuivre mon massage mais si elle souhaite se relever et me faire face, je ne dis pas non plus, d'autant plus que mes sentiments étant révélés au grand jour, j'ai encore plus envie de l'embrasser là maintenant, de la serrer dans mes bras ou bien de sentir sa peau contre la mienne. Mais je me retiendrai jusqu'à temps qu'elle sera prête, réellement prête pour cela avec moi.

(Invité)

★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★

« Bah comme ça si tu tombes malade, je pourrais toujours jouer au docteur….» Je ne savais pas trop ce qu’il me prenait là maintenant, mais bon, il fallait quand même que je trouve une autre façon de me rattraper. « Laisses tomber, je n’ai rien dit….» Je l’écoutais patiemment me dire ce qu’elle avait à dire et je comprenais qu’il serait bien que je sache lui donner une réponse. Je prenais l’idée qu’il fallait que je sache ce qu’elle me voulait. Me bougeant pour remettre mon haut, je m’asseyais à côté d’elle, et je lui disais en souriant tout en me montrant : « Alors comme ça tu as craqué pour ça…. ? » Riant un peu, je lui répondais : « Il ne fallait pas le faire, je suis une râleuse, casse pied, j’ai des heures pas possibles, et je suis irrésistible ! » Riant un peu plus, je me disais qu’il fallait bien que je prenne cela par l’humour ou sinon j’aurais un petit souci…Je me rendais compte qu’il était bien aussi que je lui réponde : « Ah ah, je t’ai vaincue c’est ça ?! » Triomphante, je souriais fièrement et je me demandais bien ce qu'elle allait me faire par la suite, il n"était pas forcément évident pour moi d'avoir une bonne attitude. Toutes ces révélations me mettaient vraiment mal à l'aise.

(Invité)

Ce que Li me dit me fit sourire car cela ne me dérangeait pas qu'elle joue au docteur avec moi bien au contraire. Puis je la vis surprise que j'ai craqué pour elle car elle me fit la remarque qu'elle râlait, était casse pied, avait des heures pas possibles mais qu'elle était irrésistible. Ce qui était totalement le cas. Elle se mit à rire et me demanda si elle m'avait vaincue, sans doute pour le massage mais ne comprenant pas ce qu'elle voulait dire, je lui adresse un sourire. Malgré son sourire, je la sentais assez mal à l'aise de toutes ces révélations et je voulais qu'elle se sente au mieux. Alors je lui répondit.

Mais bien sur que tu es irrésistible ma Li, tu es la plus parfaite des femmes que je connaisse. C'est bien pour cela qu'on est meilleures amies depuis autant de temps toutes les deux, pas vrai ma puce ? Sinon je suis désolée de ma révélation ma belle mais je ne pouvais pas te le cacher plus longtemps, on est toujours les meilleures amies du monde hein ?

En effet, je craignais que Li m'en veuille de toutes ces révélations et que je la perde comme meilleure amie, tellement je remarqua qu'elle était mal à l'aise. Alors après ce massage, je voulais lui proposer à boire mais je préfère attendre sa répondre à mes questions.

(Invité)

★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★

« Parfaite ?! La perfection n’hésiste pas, sinon, je ne serais pas qu’irrésistible ! » L’entendant me dire qu’on était toujours meilleure amie ou pas, je voyais de l’inquiétude dans ses yeux, elle me demandait ce que j’avais entendu ?! Je l’observais doucement, et je me demandais bien ce que j’allais pouvoir lui dire par la suite. Mais bon, tout en essayant de comprendre la situation, je trouvais qu’il était bien aussi que je lui donne un avis. « Pourquoi est-ce qu’on ne le serait plus ? » Je ne voyais pas vraiment quoi dire mais pour le moment, il fallait juste que je sache si pour l’instant tout irait bien. Néanmoins, je trouvais qu’il fallait juste que je sache ce qu’elle avait derrière la tête. Ensuite, pour l’instant, je la voyais qui se posait aussi un tas de questions. Mais, c’était elle qui avait lancé ses révélations ?! Je ne savais pas quoi lui dire d’autre, et je constatais tout simplement que le silence ferait sans doute l’affaire….

(Invité)

Li me fit savoir que la perfection n'existait pas sinon elle ne serait qu'irrésistible mais à mes yeux elle était parfaite et irrésistible de par sa beauté. En voyant Li mal à l'aise de toutes mes révélations, j'avais un peu peur de la perdre comme meilleure amie d'où ma question qui fut suivie par Li d'une autre question. Alors je lui répondit.

Je ne sais pas trop Li, je ne t'ai peut-être choquée en t'avouant que tu m'attirais ? Mais saches que tu ne m'as pas choquée quand tu m'as avouée aimer les femmes car je suis pareille que toi. On va tenter de penser à autre chose, tu as soif ma belle ?

Je me leva toujours en tee shirt arrivant à mes cuisses et laissant apparaître mon boxer en dessus mais peu importe je suis chez moi, je me dirige alors vers la cuisine pour regarder ce que j'ai en boissons et fit l'inventaire à Li pour qu'elle choisisse.

Euh Li, j'ai de l'eau, du jus d'orange, du Coca ou un peu d'alcool, tu choisis quoi ma puce ?

Je lui demande ce qu'elle veut car je voulais qu'elle se sente le plus à l'aise possible après mes petites révélations. Elle restait ma meilleure amie avec une petite différence, une attirance était en train de naître depuis quelques temps pour elle de mon côté et il allait falloir m'armer de patience pour la conquérir.

(Invité)

★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★

« Tu me sors ça comme ça, et tu ne penses pas que cela n’est pas un choc ? Tu crois quoi ? Tu me sors une telle chose et tu voudrais que je ne réagisse pas….Tu te trompes complètement…. » Je l’entendais essayer de changer la conversation, et je lui disais sérieusement : « Tu penses que cela va changer la conversation ? Tu me sors un truc pareil, alors donne-moi un truc fort ! » Je comprenais qu’il était bien drôle pour moi de lui demander un truc pareil, mais j’avais une forte envie de sake ou de vodka ! Mais bon, je le ferais chez moi et là au moins, je n’aurais pas trop l’envie de sortir comme ça. De toute évidence, Coco avait le don pour me dire des choses que je ne voulais pas forcément entendre. Sauf que…La vérité parfois n’était pas une bonne chose à entendre….Elle était dure, franche, et même si je tenais à l’entendre, là mes oreilles faisaient la sourde oreille….Je tentais de trouver une autre image pour me faire changer les idées, sauf que le moment n’était pas vraiment bien choisi. Alors qu’est-ce qu’il fallait que je fasse ? Il serait bien que je trouve une solution, sauf que rien ne venait. Maintenant, je ne comprenais pas trop ce qu’il allait se passer par la suite. Je ne pensais pas non plus que toute cette histoire allait sans doute nous aider. Mais pour une fois, j’avais comme le sentiment que tout cela finirait par s’arranger.

(Invité)

Je vis Li assez remontée suite à mes paroles, je la compris bien évidemment car je venais de lui annoncer cela comme cela, il fallait que la pilule passe et qu'elle assume le fait d'aimer une femme de son côté. J'étais prête à l'aider de mon côté mais pour l'heure, elle voulait boire un peu de vodka pour oublier tout cela. J'espérais sincèrement que mes révélations ne gâchent en rien notre amitié car je ne supporterai pas de la perdre à cause de ma propre bêtise. Alors elle me demande un peu de sake ou de vodka et je sortis deux petits verres ainsi que la bouteille de vodka avant de revenir près d'elle et de nous servir, le tout en lui répondant.

Bien sur que je m'attendais à une réaction de ta part, c'est normal que tu sois surprise de mes révélations mais on va prendre le temps hein pour ne pas gâcher notre belle amitié à cause de mes bêtises. Oui buvons pour oublier tout cela, cela me va moi. Tiens, voilà ton petit verre de vodka ma belle.

J'espérais que tout cela ne change en rien à notre amitié mais je ne pouvais pas faire comme si mes sentiments pour elle n'étaient pas là alors qu'en fait si. Malgré tout, je lui adresse un léger sourire pour apaiser un peu la tension qui régnait dans la pièce.

(Invité)

★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★

Prenant la vodka et le verre, je le remplissais pour moi avant de le vider d’un trait. Il ne fallait pas non plus que je défaille, mais j’avais juste envie de le boire. Le remplissant à nouveau, je disais en souriant : « Encore un pour faire passer la couleuvre….» Prenant le suivant, je sentais la chaleur de l’alcool me brûlait un peu la gorge. Je fermais la bouche, et je lui demandais : « Il faut du lait, aussi, tu en as ? » Puis, n’attendant pas sa réponse, je ramenais deux verres et le lait frais. Cela adoucissait l’estomac et on avait moins mal le lendemain, entendant mon ventre gargouiller, je lui demandais : « Je me doute que tu as faim de moi, mais j’aimerais bien remplir mon estomac….» Je restais debout, et sentant que la suite me serait bien utile en remplissant mon petit ventre, je l’observais doucement, et je lui disais : « Bêtises, pourquoi tu dis qu’il s’agit d’une bêtise ? C’est comme ça, il faut faire avec….Et moi la première….» Retournant m’asseoir, et n’étant pas ivre du tout, je tenais bien l’alcool, et il m’en faudrait plus pour évacuer le truc….Ou alors danser sur le toit de la confrérie ou dans un club de danse. Cela va mettre utile par la suite…Je l’observais, et je demandais : « Tu ne pouvais pas me dire ça avant ? Franchement ? Cela fait neuf ans qu’on se connait, tu ne pouvais pas m’annoncer ça avant ? » Sérieuse, j’attendais fermement une réponse, remarque cela justifiaient pas mal de petites attentions qui maintenant avaient plus de valeurs sentimentales que je ne le pensais….

(Invité)

Ayant ramené la vodka et deux verres, je venais de servir Li et je la vis le boire d'un trait avant de m'en demander un autre, il fallait bien cela pour faire passer la bombe que je venais de lui révéler. Puis elle me demande du lait mais sans attendre ma réponse, je la vis aller chercher le lait et deux verres le tout en me disant qu'elle se doutait que j'avais faim d'elle mais qu'elle devait se remplir l'estomac. Ensuite, j'évoqua la bêtise que je venais de lui révéler et elle me fit savoir qu'il fallait faire avec et elle la première. Enfin, elle vient à me demande pourquoi j'ai attendu aujourd'hui pour lui avouer alors que cela fait neuf ans que l'on est amies. Alors je lui répondit.

Avec plaisir pour ton deuxième verre ma puce mais fais attention. Euh oui j'ai du lait mais il se trouve que tu l'as déjà en main. Oui il faut faire avec mais je suis désolée de te l'avoir avoué comme cela. A vrai dire, depuis neuf ans qu'on se connait, j'ai toujours eu une profonde affection et amitié pour toi mais ce n'est qu'il y a quelques mois que je me suis rendu compte que cette amitié se transformait en attirance pour toi mais je n'en étais pas sûre à 100 % mais désormais j'en suis sûre Li, c'est toi qui me sait me faire rire et j'adore être à tes côtés. Voilà la raison du pourquoi je ne t'ai rien dit jusqu'alors. Tu m'en veux pas trop ?

J'espérais qu'elle ne m'en voulais plus trop et attendant sa réponse, je me resservis un deuxième verre de vodka sans prendre la peine de boire un verre de lait car je savais que je tenais bien l'alcool. Malgré tout, je lui adresse un petit sourire.

(Invité)

(Contenu sponsorisé)