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Li Mei & Coco - Mais tu vas t'habiller oui ?

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★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★



J’avais reçu un drôle de texto : « Passe chez moi, on doit se parler. » J’avais alors une petite chose qui se tramait : soit j’avais fait un truc de travers, soit j’avais vraiment un truc moche à faire…Colleen me voulait un truc, mais elle n’avait pas dit de quoi il s’agissait. J’avais pris mes affaires, et j’avais comme le sentiment que tout irait sans doute de travers. Je réalisais aussi que pour l’instant, mon amie que je connaissais depuis neuf ans avait sans doute un truc à me dire. Je me disais qu’il faudrait bien que je sache comment avancer et je réalisais qu’une fois devant sa porte j’aurais droit à une drôle de surprise. Je la voyais en petite tenue devant moi, pas trop contente qu’elle met fait venir pour ça, je lui disais : « Tu comptes me montrer tes seins longtemps ou tu comptes t’habiller un peu ? » J’avais traversé toute la ville pour aller la voir, et il était hors de questions que je perde mon temps à la voir à moitié nue. Je ne voyais pas vraiment quoi dire mais bon, tout en l’observant, je patientais doucement. Je trouvais même qu’il était bien que je la secoue un peu plus. Je lui disais amusée : « Tu vas attraper froid. » Je lui mettais l’un de ses pulls qui trainaient à côté et je posais mon sac pas loin de moi. Je lui demandais : « Voulais me voir pourquoi ? Je sors tout juste de consultations, et je suis un peu fatiguée. »

© Kimiko

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Depuis quelques temps, je ressentais plus que l'amitié pour Li Mei, mon amie depuis neuf ans, je ressentais une certaine attirance amoureuse pour elle mais je n'osais pas lui dire, de peur de perdre son amitié. Mais aujourd'hui, j'avais décidée de lui révéler mon attirance pour elle. Alors ce matin après avoir pris une petite douche rafraîchissante, notamment avec mon footing du matin, je décida de m'habille d'une manière sexy afin de passer la journée tranquillement dans mon salon devant la télévision. En effet, les cours venaient de se finir et tout le monde s'apprêtait à partir au camp d'été sauf moi évidemment car quand tu bosses pour le FBI, tu dois rester disponible 7 jours sur 7. Alors je me trouvais en nuisette ultra sexy avec un plateau repas devant la tv quand j'eus envie en fin de journée d'envoyer un SMS à Li Mei afin que je lui dise mes sentiments. Il était environ 18h, je me trouvais toujours en nuisette sexy laissant apparaître ma poitrine quand la porte se mit à sonner. Je savais que c'était Li alors j'allais lui ouvrir et elle me demanda si je comptais m'habiller un peu ou si je comptais rester comme cela à lui montrer mes seins. Mais cela ne me dérangeait pas qu'elle me voit ainsi, au contraire elle m'attirait fortement depuis quelques temps. Mais elle décida de me faire enfiler un pull qui traînait, je compris que cela la gênait et me fit savoir qu'elle était fatiguée après sa journée de travail et qu'elle voulait savoir ce que je voulais. Alors je lui répondit, d'un air séductrice.

Je n'ai pas le droit de me balader à moitié nue dans mon propre appartement, c'est nouveau cela ? Mais pourquoi tu me remets cela sur le dos, j'ai chaud moi ? Viens, on va s'installer sur le canapé entre amies, non ? C'est interdit de vouloir voir une amie ? Tu veux que je te fasse un massage, on m'a toujours dit que j'étais douée ?

Bien sur que je voulais plus avec elle mais je n'allais pas la brusquer au risque de la perdre pour toujours alors j'avais décidée d'y aller par étapes et de ne pas lui dire de suite mon attirance pour elle. Une fois sur le canapé, je me rapprocha d'elle, retira mon pull car j'avais chaud et attendit sa réponse pour le massage. J'étais la plus heureuse qu'elle soit là, tellement heureuse que j'aurai pu la prendre là sur le canapé mais je ne le ferai pas par respect pour elle. Alors je lui adressa mon plus beau sourire afin qu'elle accepte mon massage.

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★ Mais tu vas t'habiller oui ? ★



« Et la décence alors ? Elle n’existe plus ? » La voyant comme ça, j’avais juste envie de prendre la poudre d’escampette, je me disais que pour une fois, il était bien normal que je sache si je devais ou pas rester sur une bonne idée. Ensuite, je me rendais compte qu’il était nécessaire que je sache où est-ce que je mettais les pieds, je réalisais qu’il était bien mieux que je lui coupe lui sifflet de suite : « Mais chaud ou pas chaud, je n’ai pas à voir ta demie vallée en permanence ! Je vois des femmes tous les jours et tu veux aussi m’imposer ça…. ! Mais franchement !  » Lui tournant le dos, j’allais donc posé mes fesses dans le sofa sachant que cela risquait fortement de me contrarier mais bon, je lui répondais : « J’ai mal là….» Montrant avec ma main là où j’avais mal, je me disais que tout se passerait bien, et sachant qu’elle ne resterait pas forcément dans la même optique que moi. Je constatais tout simplement que pour le moment, je devais tout justement essayer de comprendre le truc, je commençais par une phrase bateau. Je lui demandais : « Tu as passé une bonne journée ? Ou est-ce que tu as des soucis au travail ? » Je me disais que pour le moment, il fallait juste que je sache comment faire le truc ou pas, mais regardant un peu plus son appartement, je me disais que Coco avait bons gouts. Je trouvais alors que tout allait bien. De plus, regardant devant moi, je me demandais bien ce que mon amie de neuf ans allait sans doute me faire.

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Je sentis que mon amie semblait prendre peur de par ma tenue car elle me demanda où était passée la décence. Or, nous étions deux filles normalement constituées et de plus, je me trouvais présentement chez moi, je n'étais qu'en nuisette où l'on voyait certes ma poitrine en dessous mais je ne voyais pas du tout où était le problème. Puis elle me fit savoir que même si j'avais chaud, elle ne voulait pas voir ma poitrine en permanence, d'autant plus que dans son métier, elle en voyait à longueur de journée et elle ne voulait pas en voir après son travail en plus. Je ne sais pas comment je devais le prendre mais je ne le pris pas mal, elle était juste mal à l'aise. Elle me désigna ensuite là où elle avait mal et je commença mon massage pendant qu'elle est dos à moi. Durant mon massage, elle me demanda si j'avais passé une bonne journée et si j'avais des soucis au travail. Alors je lui répondit en la taquinant un peu.

Mais de quelle décence parles tu ma puce ? Ah donc parce que tu vois des poitrines à longueur de journée, la mienne ne te convient pas ? Comment dois je le prendre dis moi hein ? Oh ma pauvre, je vais te soulager cela, tu vas voir. Sinon j'ai passé une bonne journée et au boulot, c'est plutôt calme. En fait, je t'ai fait venir pour passer un peu de temps avec toi car tu es un peu ma meilleure amie, on se connait depuis 9 ans et j'adore passer du temps en ta compagnie.

Je ne lui dis pas de suite que j'étais attirée par elle car je ne voulais pas lui faire peur mais l'envie de l'embrasser ou de lui faire un câlin dans le lit restait toujours bel et bien présent et toujours aussi fort. Alors je lui adressa un immense sourire car j'étais malgré tout très contente qu'elle ait pu venir, elle n'était pas obligée et pourtant elle est venue.

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« Ta puce ? Depuis quand est-ce que j’ai ce surnom ? Tu as fumé un truc ou quoi ? » Une simple question qui indiquait fortement ma frustration. Je trouvais que pour le moment, il était juste évident qu’elle avait une autre idée en tête sauf que pour moi, j’avais tout simplement la tête ailleurs… « Des seins, des ventres ronds, des bébés qui pleurent et des femmes qui ont des airs bag avant proéminant !  » J’avais sorti cela comme ça, et j’avais vraiment fait une grimace au moment de dire cette phrase. Puis me radoucissant un petit peu, je disais : « Ah oui, c’est là que ça coince….» Je l’écoutais patiemment, et je lui répondais en riant : « Une amie ne me fait pas un strip tease ! Tu crois que je suis comme un cône de glace ou quoi ?! On ne me mange pas moi, espèce de goinfre ambulante…» Je comprenais que pour le moment, j’avais besoin de l’humour pour parler et surtout lui casser les pieds ! Je constatais aussi que pour l’instant, il était bien aussi que je sache comment faire pour la suite. Me tortillant un peu alors qu’elle me massait, je voyais enfin la réaction de Jasmine lorsque je lui avais dit pour les femmes…Finalement, cela me poursuivait ! Même ma meilleure amie s’y mettait ! Mais j’avais fait quoi à Bouddha pour méritait ça ?!

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Li Mei fut surprise que je l'appelle ma puce et elle crut que je venais de fumer quelque chose mais en fait c'était le fait qu'elle soit là qui faisait ressortir mon côté romantique que j'aimais masquer pour ne pas paraître trop ennuyeuse. Puis elle évoqua son travail avec des seins, des ventres ronds, des bébés et toutes sortes de choses se rapportant à la maternité mais certes la maternité je ne voulais pas pour le moment mais les seins, on en avaient toutes. Mais elle fit référence à son travail car j'étais en boxer et rien en dessous de mon pull que je venais de me mettre sur le dos à sa demande. Je commençais mon massage quand j'arrivais au coin qui coinçait et en la massant, j'avais envie de plus avec elle car elle m'attirait et me faisait perdre presque mes moyens. J'eus une petite idée en tête, celle de lui faire un strip tease n'ayant rien en dessous de mon pull mais j'oubliais bien vite mon idée quand elle me fit savoir qu'elle ne voulait pas qu'on la mange et je compris qu'elle faisait de l'humour, était elle sous mon charme avec mon massage ? Alors je lui répondit.

Oui tu es ma puce, tu le savais pas depuis qu'on se connait ? Tu es ma meilleure amie Li et en 9 ans on en a partagées des choses toutes les deux non ? Ah oui tu vois des seins à longueur de journée et tu veux pas voir les miens, je ne sais pas comment je dois le prendre ? Comment cela j'ai pas le droit de te manger ? C'est pas ma faute si je tombe sous ton charme ma puce. Oh la oui tu es tendue comme tout, tu veux que je te fasse un massage encore plus relaxant ? Mais il te faut enlever ton haut pour cela. T'en dis quoi ?

Pour ne pas la brusquer, je décidais donc de la jouer subtilement car je ne voulais pas la faire fuir. J'aimerai l'embrasser et la prendre dans mes bras mais déjà si elle accepte mon massage du dos en se découvrant, j'aurai réussi. Alors j'attendis sa réponse sans rien dire car je me dis qu'il vaut mieux parfois trop ne rien dire pour pas trop la perturber encore plus. Elle me faisait perdre mes moyens mais surtout ressortir mon côté romantique que je cache sans cesse pour profiter de ma vie.

Sa tenue du moment :
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« Ah oui ? Tu es certains que tu vas bien ? » Me tournant pour la voir, je lui disais : « Es-tu certaine que tu vas bien ? » Je l’entendais me poser une question, et je lui répondais : « Bah, tu n’as qu’à les mettre dans un bout de tissu qui s’appelle un soutient gorge ! » Je constatais en voyant sa tête qu’elle n’était pas vraiment prête à me répondre. Me retournant, je constatais que finalement tout irait bien  de travers par la suite. Je lui disais tout en croisant les bras et les mains : «  Mais tu as très bien compris ce que je dis ! Je ne veux pas passer à la casserole ! » J’avais dit cela comme ça et tout en me levant, je lui faisais ma plus belle grimace tout en disant cela, je bougeais mes doigts : « Et là tu fais tes trucs avec tes doigts….Tu n’as pas honte de faire ça, franchement ?! » Je comprenais bien qu’elle n’allait sans doute pas accepter ma réponse, mais bon, je trouvais qu’il était bien aussi que je sache comment continuer. Je m’asseyais et je lui tournais le dos comme pour avoir la suite de mon massage. N’enlevant pas mon pull de suite, je trouvais qu’il était bien pour moi de trouver une solution, mais bon, il fallait tout de même qu’elle me décoince le dos. Enlevant mon pull, je lui disais sérieusement : « Je ne suis pas une poupée, et tu gardes tes mains baladeuses pour toi.   » Il ne fallait pas non plus qu’elle essaye de faire cela.....Je prenais le temps de me calmer tout en ne sachant pas trop ce que Coco allait me faire.

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Li me demande si j'étais certaine d'aller bien et je ne m'étais jamais sentie aussi bien qu'aujourd'hui car la femme dont je suis le plus attirée se trouvait à mes côtés, d'autant qu'elle s'est tournée face à moi. Puis elle m'expliqua que pour protéger mes seins, il existait un bout de tissu qui s'appelait un soutien gorge, sauf que dès que je peux et en l'occurrence chez moi, je n'aime pas les soutiens gorges et je préfère laisser respirer ma peau. Ensuite, elle accepta que je lui fasse un massage du dos complet alors elle se tourna dos à moi afin de retirer son haut et tout en prévenant qu'elle n'était pas une poupée, elle se mit en position allongée, les seins contre le canapé. Alors je lui répondit tout en commençant mon massage.

Oui je sais ce qu'est un soutien gorge mais je n'en mets jamais quand je suis chez moi, j'aime bien laisser ma peau respirer si tu vois ce que je veux bien. Et évidemment que je vais bien, je vais toujours bien quad ma meilleure amie est là. Bien sur que tu n'es pas une poupée, tu es juste mon petit rayon de soleil à moi. C'est parti pour un petit massage du dos, tu va plus avoir mal après tu va voir.

Je venais de commencer mon massage sur le dos de Li et à peine ai je touché sa peau si douce et si délicate à la fois que je ne peux m'empêcher d'imaginer nos deux corps l'un contre l'autre. J'aimerai lui faire des baisers dans le cou mais je n'ose pas et puis l'envie est trop présente alors je me rapproche de son cou afin de lui déposer un baiser dans le cou en espérant qu'elle ne le prenne pas mal. Et je continue mon massage mais l'envie de l'embrasser sur la bouche est plus présente depuis que je lui ai fait le baiser dans le cou. Avec Li, je me vois vivre une belle histoire d'amour et cela fait ressortir mon côté romantique, une chose rare chez moi.
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  «  Bah tu devrais en mettre un, c’est bon pour la matière grasse qui s’y trouve à l’intérieur. » Mon côté docteur reprenait le dessus, et j’avais vraiment la sensation que tout irait encore plus loin. Voilà que Coco était maintenant romantique, elle avait vraiment eu le cran de me dire cela, je réalisais qu’il était bien aussi que je trouve une autre porte de sortie : « Tu es certaine que tu vas bien ? Moi un rayon de soleil, théoriquement, je suis un être humain.  » Je la laissais faire, et j’avais une douce sensation de ses mains sur ma peau, cela me faisait du bien d’avoir un petit massage, et je me disais que tout serait bien par la suite. Que cela resterait collégial sans aller plus loin. Ma meilleure amie me faisait un bisou dans le cou, et surprise, je regardais un peu plus ce qu’elle faisait, je grimaçais, et je lui disais : « Pourquoi j’ai le droit à un bisou, je ne suis pas gentille, je te gronde depuis mon arrivée ? » Je me rappelais de mon souvenir lorsque j’avais seize ans, et je ne voyais pas vraiment quoi dire par la suite, je me rendais compte que pour l’instant, je devais sans doute tout mélanger. Je lui demandais alors à ma Coco : « Dis-moi ma Coco, si j’aimais les femmes, tu dirais quoi ? Je ne sais pas trop où est-ce que j’en suis….J’ai eu enfin…. » Je n’allais pas parler de cela avec elle bien qu’elle soit ma meilleure amie, je ne voyais pas trop quoi dire, et je rajoutais : « C’est comment dire…..Tabou dans mon pays….Mais ici, cela me perturbe ; tu comprends ? » Tout en laissant faire, je lui demandais timidement : « Si je suis sage, je peux avoir un autre bisou ?  »

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Le côté professionnel de Li venait de ressortir puisqu'elle m'informe que je devrais mettre un soutien gorge pour le bien de l'intérieur de ma poitrine mais bien sur que j'en portais un, seulement pas quand je suis chez moi. Puis ce fut à mon tour de faire ressortir mon côté romantique en l'appelant mon "rayon de soleil", ce qui la surprit tout autant que moi. D'ordinaire, je ne dis pas de mots doux à mes amis mais Li est ma meilleure amie et je voudrai qu'elle soit plus que ma meilleure amie sans perdre notre amitié. Je fis ensuite son massage et le fait de la voir torse nu, le soutien gorge enlevé me donne l'envie de lui faire des bisous sur sa peau si douce. Mais Li me demanda pourquoi je lui faisais un bisou alors qu'elle me grondait depuis tout à l'heure. Alors je lui répondit.

Li, tu n'es pas à l'hôpital en ce moment alors remballe ton jargon médical s'il te plait ma puce. Et puis je porte un soutien gorge quand je sors, ce n'est que lorsque je reste chez moi que j'aime me balader presque nue, un problème avec cela ma meilleure amie ? Pourquoi un bisou ? Parce que j'aime t'en faire, ta peau est si douce.

Puis Li toujours allongée sur le canapé me demande si elle aimait les femmes ce que je pouvais dire car dans son pays, c'est assez tabou et ici cela la perturbe. Etant bisexuelle avec une préférence pour les femmes, je ne pouvais qu'apprécier que ma meilleure amie aime les femmes. Enfin, ce fut à elle de me redemander un bisou. Alors je lui répondit.

Oh tu aimes les femmes, je suis heureuse de l'apprendre car j'aime les femmes aussi et plus particulièrement une qui se trouve allongée sur mon canapé. Donc cela ne me dérange absolument pas ma puce. Evidemment que tu as le droit à un autre bisou. Si je m'écoutais, je t'en ferai des tas de bisous. Dis Li, mon massage te fait du bien ?

Tout en continuant mon massage le plus délicatement et sensuellement possible, je lui fis un nouveau bisou sur son cou. Sa peau était si douce que j'aimerai qu'elle soit contre la mienne mais je ne voulais pas la brusquer alors je me contenta de lui faire des bisous dans le cou et son massage au dos.
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