Please ensure Javascript is enabled for purposes of website accessibility(+ Royce) Bouche-toi les oreilles fort fort fort ! Tu entends comme je t'aime ?
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(+ Royce) Bouche-toi les oreilles fort fort fort ! Tu entends comme je t'aime ?

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Comme tout le monde à 2h et quart du matin, je dors. Pour une fois d'ailleurs ! Dernièrement, je sortais beaucoup parce que je n'arrivais pas à dormir, parce que je préférais boire, et que... parce que je bois, j'oublie, et je peux ensuite facilement m'endormir. Mais mes rêves sont tous les mêmes. Je rêve d'une vie meilleure, d'une vie plus belle qui à chaque coup me laissait un goût amer en bouche au réveil. La vraie vie... elle paraît tellement fade et tellement compliqué que lorsque c'est tout moi qui invente. Plus les jours avançaient, plus il me manquait. Et je sais ce que c'est, de manquer quelqu'un, mais manquer vraiment. J'ai cru que j'étais dans "Inception" lorsque je me réveillai d'un bond, le coeur affolée, pour me rendre compte que mon téléphone vibrait... Et que c'était le prénom de Royce qui s'affichait sur mon écran verrouillé. C'était pourtant vrai. Il m'appelait aussi tard ? J'veux dire tôt ? Enfin... vous comprenez quoi. Je me dépêchais d'aller lire et plissais les yeux lorsque mon écran s'illumina. Putaiiiiinnnnnn j'suis aveugle ! Et j'arrive pas à lire son message... Mais encore, les lettres sont à l'endroit, je n'étais pas dans un rêve. Il avait besoin de sa médecine, qui se trouvait à être encore chez moi... Et il voudrait le récupérer. Je ne me suis même pas posée de questions sur sa santé actuelle que je lui ai répondu que je serai là dans quelques minutes. Je me dépêchais à tout ramasser et m'assurer que Coraleen dormait toujours, puis réveilla Roxanna pour la prévenir... M'bon, j'espérais quand même qu'elle n'avait pas trop la tête dans le uc pour avoir compris qu'elle devait veiller sur ma fille. Petit passage éclair devant le miroir pour constater que j'avais l'air d'un zombie horrible. Meeeerde... Je tentais de recoiffer ma touffe de lionne avec mes doigts et de frotter mes yeux pour me réveiller. Bon, j'me donne 3/10 pour le sexapeal du moment, mais 10/10 pour l'effort ! J'étais encore en pyjama en plus, mais je n'avais pas le temps de me changer. Je me dépêchais donc à me mettre en route chez les Winthrops, quelques minutes plus tard, je cognais déjà à sa porte.
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J'avais complètement la tête ailleurs. Je pensais même plus aux choses essentielles dans ma vie comme suivre mon traitement sans le faire en montagne russe, je devais avoir un certain équilibre. Sauf qu'il ne m'en restait plus. J'avais pas été refaire le stock pour mon mois. J'avais l'air beau sans mes médicaments, surtout dans mon état émotionnel qui dure depuis des jours et des jours; la déprime. Du coup, ça m'angoissait encore plus et j'étais presque incapable de mettre le pied dehors au risque de m'énerver sur des personnes qui n'avaient rien demandé. J'étais tendu, stressé, angoissé, assez mal. Je réfléchissais. Il fallait bien que je me démerde pour aller à la pharmacie, je pouvais pas rester comme ça. J'envoyais le miroir de ma chambre en éclats sur le sol. Ok, maintenant tu trouves quelque chose Royce, t'as sept ans de malheur là. Je me souvins ensuite que j'avais laissé une petite pharmacie chez Apple. Mon visage se décomposa rien qu'en pensant à elle. J'avais pas trop le choix, peut être qu'elle pourra me convaincre qu'elle était encore là pour moi. Je sautais sur mon lit et je prenais mon téléphone en tremblant. Je soupirais un bon coup puis je composais un message de détresse en espérant qu'elle y réponde. Si ça ne va vraiment pas, je téléphonerais à Tessy, elle savait toujours quoi faire. Je me couchais dans mon lit lorsqu'Apple me répondit qu'elle arrivait. Et en effet, une dizaine de minutes plus tard, elle frappait déjà à ma porte. Je lui ouvris un peu mal à l'aise. Je n'allumais pas la lampe parce que j'avais beaucoup trop mal à la tête. La lune éclairait déjà une bonne partie de la pièce. Merci... lui lançais en prenant le sachet avec les médicaments. Je regardais combien il m'en restait puis je les prenais en m'aidant d'une bouteille d'eau. Elle était venue, putain, je pensais pas qu'elle reviendrait après l'avoir envoyé à la merde. Je frottais mes yeux qui me brûlaient et je posais mes fesses sur mon lit. Tu peux rester... près de moi...? s'il te plait. j'avais besoin de soutien, de quelqu'un qui prenne soin de moi.
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Je ne manquerai jamais d'occasions pour être à la rescousse de Royce, faut ne pas être bien pour croire que c'est possible que je me rendorme après un tel sms en détresse. Pour la peine, j'ai même pas fait gaffe à mon apparence, même pas fait gaffe au fait que je manquerais de sommeil après... Tant pis. La beauté et le sommeil passe en second à sa santé, non ? Même si j'étais un peu son dernier espoir, un peu comme "bouche-trou" dans ce cas-là, j'y voyais une petite chance de faire des preuves. J'étais à sa porte en quelques minutes, et il m'ouvrit aussi rapidement... Merci... On avait l'air de deux cons là. J'devais faire quoi ? Partir ? Pourtant mes pieds étaient comme enfoncé dans le plancher, comme si j'avais les pieds dans le ciment en fait. J'voulais pas partir m'voyez ? J'avais l'impression qu'une éternité entière s'est déroulé entre la dernière fois qu'on s'est vu et maintenant. Pourtant, ça n'impliquait qu'une semaine et demi. Royce prit ses médocs devant moi, ne me demandant même pas de partir. Je devais le faire de moi-même c'est ça ? Il s'est assis sur son lit et je le regardai faire... Alors il compte se calmer et laisser la porte ouverte ? Tu peux rester... près de moi...? s'il te plait. Hein ? Si ce n'était pas qu'il était presque trois heures du matin, j'me serais retournée pour voir s'il y avait quelqu'un derrière moi... Peut-être que je rêvais, quoi. Il avait envie que je reste... mmhh.. okay. J'entrais finalement dans sa chambre et refermais la porte. Mais j'étais un peu gênée et pas certaine des limites à ne pas franchir. J'allais m'asseoir à côté de lui, puisqu'il m'a demandé d'être près de lui. Comment tu te sens ? Pourquoi il ne dormait pas ? Pourquoi il avait besoin de ses médocs d'un coup ?
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Je demandais à Apple de bien vouloir rester près de moi. Tant pis si ça me faisait mal, tant pis si mon cerveau voulait la rejeter mais mon coeur voulait qu'elle reste. Il est un peu masochiste cet organe hein. J'avais peur qu'elle accepte et j'avais peur qu'elle refuse. Où est passé ma logique? Je ne la regardais pas tout de suite lorsqu'elle s'assit dans mon lit, je portais juste mon regard une fois qu'elle me demanda comment je me sentais. Cela se voyait non? La plupart de mes potes le savaient donc pourquoi Apple ne pouvait pas le savoir. Mon coeur me donnait des coups désagréables. Mal... c'était tout ce que je pouvais dire. Je me laissais ensuite coucher dans le lit, un peu comme un robot qui avait les batteries à plat. Mais je ne fermais pas les yeux, ils fixaient le mur d'en face. Je glissais ma main sous l'oreiller pour le rapprocher de moi. J'avais envie de prendre Apple dans mes bras mais... je n'osais pas. Je n'osais même plus la toucher car j'avais peur de savoir l'effet que ça me ferait.
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Au secours, ça me fait mal. Je medetestais pour l'erreur que j'avais commise mais c'était encore pire quand Royce n'allait pas bien. Déjà qu'avant, il ne me laissait pas m'occuper de lui, maintenant, je n'ai même pas mon mot à dire... on était plus ensemble. Cela dit, là, j'avais la chance d'au moins lui tenir compagnie puisqu'il me l'avait demandé... j'étais encore son ancre ? J'pense pas. Après l'horreur que je lui ai fait subir... et que je lui fait toujours subir... je deglutis en m'asseyant près de lui, en le regardant s'allonger. Puis, c'est con, mais je me suis mise à envier l'oreiller mais d'une puissance... jamais je n'aurais cru ça possible un jour. Tu... veux en parler ? Qu'est-ce qui le rendait mal... moi ? J'ai pourtant fais exactement ce qu'il m'a dit ; j'ai arrêté de lui parler, d'essayer, de prendre de ses nouvelles... Non, ça ne peut pas être moi. Il y a forcément autre chose qui le tracasse. J'peux quand même pas être assez importante dans son monde... non ? Je restais assise près de lui, sans bouger.
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Heureusement qu'Apple était venue m'apporter mes médicaments. Je me sentais un peu mieux, moins anxieux, tout mon corps de relaxait, sauf mon esprit en fait. Elle me demanda si je voulais en parler et à vrai dire, même si c'était elle le sujet, j'en avais juste marre de répéter tout le temps la même chose. Non. Je savais pas si c'était une bonne idée, mais j'avais envie qu'elle se couche près de moi, qu'elle me serre dans ses bras, simplement ça. Je voulais de nouveau sentir son odeur, son souffle, sans franchir les limites car je savais que cela me ferait encore plus de mal au coeur. Viens près de moi... elle allait quand même pas rester tout ce temps assise sur mon lit. Mon coeur battait tellement vite que j'en avais la migraine. Je voulais surtout pas qu'elle croit que j'avais envie de la récupérer maintenant. Je réfléchissais, c'est tout. Elle me manque...
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Je devais rester pour quoi au juste? Lui tenir compagnie parce qu'il s'emmerde ? Ou...je lui manquait tout simplement ? Peut-importe, j'étais prête à rester pour lui de toute manière, dans tous les cas. Mais il me rendait nerveuse... je ne savais pas à quoi m'attendre. Il m'avait dit des choses horribles, comme le fait qu'il préférait que je sois morte ou le fait que j'vais crever seule parce que je ne méritais personne. Je lui demandai alors s'il voulait en parler mais sa réponse fut négative. Okay... alors je sais vraiment pas c'que je fais ici. Je me pinçais les lèvres et tapotait nerveusement mes cuisses en cherchant quoi dire ou faire... puis il m'invita à m'allonger près de lui. Mon coeur s'est tellement mit à battre rapidement que j'ai cru l'espace d'un instant que j'allais perdre connaissance. Ça a dû se voir d'ailleurs sur mon visage, que j'étais étonnée. Mais agréablement surprise, surtout. Je m'allongeais alors à ses côtés, en respectant toujours son espace pour ne pas le toucher d'un poil. Je n'allais pas prendre d'initiative... moi, je ne voulais que son bonheur. S'il ne voulait pas parler... mais qu'il voulait que je reste... qu'est-ce qu'il avait derrière la tête ?
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Il y a tellement de choses que je voudrais dire à Apple. Comme par exemple m'excuser d'avoir souhaité sa mort, parce que je ne le pensais pas. Je voulais juste qu'elle disparaisse de ma vie, pas qu'elle perde la sienne. Je m'exprimais mal avec les mots et elle le savait. Je fus rassuré de voir qu'elle se prêtait au jeu de venir se coucher près de moi. Pfiou, combien de fois on a pas fait l'amour dans ce lit? Et là, on était plus ensemble et on était silencieux. Je pivotais pour me coucher sur le dos et je tournais la tête vers elle. Apple, il y a des choses horribles que j'ai dite sur toi... mais je les pense pas. Je n'avais pas envie qu'elle me force à les répéter, je pourrais pas. Un nouveau silence nous plongea et je décidais de le rompre encore une fois. C'est dur de ne plus être près de toi. je fermais ensuite les yeux. Je craquais, mes proches m'ont dit de ne plus parler à Apple mais c'était plus fort que moi, elle faisait partie de moi.
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J'avais l'impression que ma rupture avec Royce était plus difficile que celle avec Andy... étrangement. Andy j'y étais préparée, puis je n'étais pas coupable... alors que Royce, je culpabilisais à mort et c'est sur un coup de tête que j'ai décidée de lui annoncer. Ce n'était pas du tout réfléchi, puisque je m'étais dit que je n'allais pas lui dire. Je regrettais amèrement ce que je lui avais fait... Andy ou pas, il ne meritait pas ça et puis quand même que je ressentais quelque chose encore pour Andy, ce n'aurait pas dû être suffisant pour briser mon couple avec Royce. Le plus dégueulasse dans l'histoire, c'est que l'expression est vraie ; on ne réalise qu'après avoir perdu, à quel point c'était important. Je realisais à quel point il était devenu important maintenant et ça me tuais à chaque jours depuis. Je m'étais allongée près de lui, et soudainement il me faisait des confessions... ou plutôt des excuses ? Pour ce qu'il m'a dit... a croire qu'il lisait dans mes pensées. Je ne répondis pas, songeant que de toute manière, je méritais sa cruauté. Mais la suite me perturba un peu... Je trouvais ça tout aussi dur, sinon plus. C'est dur de ne plus être près de toi aussi Je n'ajoutai rien, il savait déjà que j'étais désolée. Je deglutis et tournai la tête pour le regarder... il est beau, tellement beau. Et moi j'suis vraiment conne.
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Je demandais un peu timidement à Apple de bien vouloir se coucher près de moi, et rien que de savoir qu'elle était à quelques centimètres de moi, ça me donnait des frissons. Aucun de nous n'osait parler, mais comme je l'avais invitée à à moi, je lui avouais que c'était dur d'être loin d'elle. Cela me faisait encore plus de mal. Car quand elle n'était pas près de moi, je ne savais pas ce qu'elle faisait, ni avec qui elle était. Là, elle était avec moi et elle écoutait ce que je disais comme si ça l'intéressait vraiment. Je la regardais un peu lorsqu'elle était d'accord avec moi sur ce que je venais de dire. On ne savait pas vivre l'un sans l'autre. Enfin si, mais ma source de bonheur avait été Apple pendant un mois, maintenant j'avais perdu cette raison de vivre heureux. Je regardais ensuite son poignet et je sentis mon coeur gonfler. Elle avait toujours mon fin bracelet en argent. Tu l'as toujours. Elle savait de quoi je parlais. Moi je n'avais rien d'elle, ni même un vêtement, ou une petite chose, à part mon iphone brisé que je n'avais pas jeté. C'était mon seul souvenir d'elle, sans compter la douleur que je ressentais.
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